ENQUÊTE MARS 2010
UNE ÉTRANGE RENCONTRE
AVEC DES ENFANTS AUX POUVOIRS SURNATURELS.
IMOUZZER KANDAR - MAROC -
J’ai
aujourd’hui 31 ans, je vis au Maroc, à Mohammedia, actuellement j’occupe
un poste de cadre supérieur dans un groupe agroalimentaire à Casablanca.
Lorsque j’avais 17 ans, j’ai fait une étrange rencontre qui n’a pas été
sans conséquences sur ma vie et sur ma santé. Aujourd’hui encore, je ne
cesse de me poser des questions sur ce que j’ai vu. J’ai fait des études
en France, après cette rencontre, j’ai donc acquis une certaine culture
scientifique et j’ai aussi une vision de la culture occidentale.
Aujourd’hui, j’ai conscience que des faits aussi étranges doivent être
portés à la connaissance du public, sous un autre regard que l’explication
toute faite de l’intervention de Djin’s ou autres créatures enseignées
dans notre religion. Je me suis intéressé à l’astronomie, aux phénomènes
qui dans l’espace restent non identifiés (OVNI) et j’ai aussi lu des
ouvrages sur les légendes en France. Ici, au Maroc, de tradition, on ne
parle pas de tout cela, sinon dans le cercle restreint de la famille, des
amis proches. Il n’y a donc que très peu de faits similaires à ce qui
m’est arrivé, publiés dans la presse ou dans des ouvrages.
Je vous
raconte ce que j’ai vécu.
Ces vacances
ont duré 10 jours, nous logions dans une petite maison dans un centre
estival avec piscine. J’étais passionné par la nature, j’avais des
jumelles, et chaque jour je faisais des sorties sans la permission de mes
parents pour aller découvrir les montagnes environnantes.
Il y avait une
montagne non loin du Centre, qui me fascinait beaucoup, il y avait comme
une petite forêt à la base de la montagne. J’y suis allé plusieurs fois
mais sans jamais monter très haut.
Un jour j’ai
décidé d’aller plus loin et de monter jusqu’au sommet afin de contempler
le paysage. Mais, arrivé à mi-chemin sur un plateau, je découvre une
crevasse, comme une grotte enfouie dont l’entrée était impraticable, vu
qu’il y avait un vide et que des cordes et du matériel étaient
indispensables pour y descendre.
Le lendemain je
suis remonté une nouvelle fois, mais cette fois-ci, avec la volonté de me
rendre jusqu’au sommet. J’ai suivi le même chemin que la veille, passant
sur le plateau ou se trouvait la grotte. Alors que je m’en approchais,
j’aperçois ce que j’ai identifié comme un groupe d’enfants venus de nulle
part. Ils étaient sur le plateau, regroupés en un cercle et semblant
occupés à examiner quelque chose au sol. Ils semblaient muets et froids à
la fois, ils m’ont vu venir et se sont aussitôt dispersés.
A première
vue, ils étaient très bien habillés et même trop bien habillés. Aucun
rapport avec les personnes habitant la région, des bédouins et des paysans
pour la plupart et même leur apparence était bien soignée. Ils m’ont
donné l’impression qu’ils avaient entre 8 et 10 ans au maximum, vue leur
taille (qui était d’environ 1 m 40), et ils étaient beaux. Ils avaient des
vêtements de type occidental, (c’est le rapprochement que j’ai fait, mais,
vu l’étrangeté, ils pourraient très bien être d’une autre origine), ce qui
n’est pas dans les coutumes locales.
On aurait dit
des enfants qui sortaient d’une école Française, car ils portaient le même
code vestimentaire (chemises avec petits gilets, demis-pantalons et
souliers, tout ça propre et bien soigné), (1) vu leur similitude dans
l’habillement, chose impossible ici ! Ils n’avaient aucun sac, ni
bouteille d’eau, ce qui n’est pas non plus dans les habitudes ici, vu le
climat très chaud et les risques liés à la montagne. Ces « enfants » m’ont
semblé très mystérieux, comme s’ils étaient d’un autre monde ! Ils
étaient beaux, calmes, même trop calmes pour leur âge. Cela donnait une
impression de surnaturel ! Je dirais même comme si ces enfants venaient
d’une autre planète. Pourtant pas d’engins pour les transporter aux
environs, comment sont-ils venus ici, sans adulte, sans accompagnateur ?
Leur présence, leur apparence, leur façon d’agir, de se comporter, que
l’on peut comparer à des adultes, ne cadre pas avec l’environnement, les
habitudes locales ou de la campagne Marocaine. Cette scène me donnait
vraiment l’impression d’avoir à faire à des « extraterrestres » venus sur
notre terre ! Comment cela est-il possible ?
En observant ce
groupe, tout d’abord, j’ai eu peur pour eux, peur qu’il leur arrive
quelque chose ici, au milieu de nulle part, et tout près d’une grotte d’au
moins 15 mètres de profondeur, voir plus. J’étais encore loin d’eux, mais
je les interpellai tout de même en leur posant la question toute bête :
«
Qu’est-ce que vous faites là et d’où venez vous ? ».
L’un des êtres,
l’un de ces gamins et un seul m’a répondu, en langue française, comme s’il
lisait dans mon inconscient et d’une voix normale qui ne m’a pas choqué :
« On vient de
pas loin ».
Rien de plus,
pas d’autres détails. Aussitôt qu’il a prononcé ces mots, les autres
« enfants » vont se disperser aux abords du gouffre. J’aperçois alors une
petite fille avec eux (ce qui, à nouveau, n’est pas dans les habitudes
dans notre pays, et qui plus est à la campagne où les filles restent à la
maison !) qui semblait vouloir descendre dans le gouffre. Instinctivement,
j’ai alors lancé :
« Mais où
voulez-vous aller, c’est dangereux ici, vous voulez vous jeter dans le
gouffre ? ».
L’être qui m’a
répondu au début me dira alors :
« Nous sommes
venus ici pour enlever ces choses ».
Il me montrait
ce qui était comme des fils fixés sur la paroi opposée du gouffre. Mais
pour moi, il leur était impossible de décrocher ces fils, il faudrait
voler ou être en lévitation pour le faire. Il y avait le vide, le gouffre,
comment des enfants auraient-ils été en mesure de faire cela sans aide,
sans matériel... Il s’agissait d’un acte qui n’était pas à la portée
d’enfants normaux, surtout de ceux qu’on rencontre ici, et qui n’ont pas
une grande culture.
C’est alors
qu’il me dit :
« Ne t’inquiète
pas et viens, on va jouer à un jeu, je vais te défier et je suis sûr que
je vais gagner »
J’ai souri et
je lui ai dit :
« Vas-y,
montre-moi ».
C’est alors que
l’enfant se déplace assez loin du gouffre, je le suis, tout en me situant
à une bonne distance de lui. Il prend un caillou et le lance en l’air.
C’était tout à fait stupéfiant : le caillou volait comme un éclair, sans
pratiquement que je sois en mesure de le suivre des yeux. Une vitesse
folle, vertigineuse ! On aurait dit que le caillou brûlait dans l’air,
tout en émettant un son très sourd.
Bien que je ne
pensais pas faire mieux, je suis plus âgé que lui, je dois essayer, je ne
peux donc que relever le défi. J’ai pris un caillou sur le sol, je l’ai
lancé à mon tour et, évidemment, je ne suis pas arrivé au même résultat !
J’en ai repris d’autres et à deux ou trois reprises, j’ai lancé ces
cailloux, sans obtenir le résultat que cet « enfant » m’a démontré. J’ai
bien cherché des explications, mais je ne trouvais aucune solution.
Comment cela était-ce possible ? Un pouvoir « surnaturel », une force ou
une technologie que je ne connaissais pas. Je me pose toujours cette
question, je n’ai pas trouvé à ce jour de réponse.
« Tu
n’arriveras jamais à faire ce que je peux faire …. »
Je ne réponds
pas, en moi-même je me dis « bravo », tu as un pouvoir mystérieux, moi,
je ne le connais pas. Je me retourne et je regarde vers les autres
« enfants » qui attendaient, les yeux dirigés dans ma direction et qui ne
parlaient pas. Je remarque qu’ils ont tous quelque chose de commun : les
mêmes traits !
Le « gamin »
m’a alors demandé d’une façon qui ne m’a pas parue étrange où je comptais
aller et pourquoi je suis monté jusqu’ici. Je lui ai répondu que je
voulais seulement monter jusqu’au sommet de la montagne pour voir le
paysage, y rester un moment, puis redescendre au village. Il a poursuivi
en me disant :
« Si tu veux,
tu peux venir avec nous ».
Sur le coup je
n’ai pas saisi le sens de cette demande, car dans ma tête, il n’y avait
pas où aller en bas, ni même ailleurs.
J’ai dit tout
simplement :
« Je dois
poursuivre mon chemin pour ne pas rentrer tard ».
Surpris, ébahi
par la scène, je ne comprenais toujours pas, mais je devais continuer ma
route. Je leur ai alors dit à nouveau de faire attention. Pour poursuivre
mon chemin, étant en contrebas de ce groupe « étrange », je monte, je les
contourne en passant à côté de l’endroit ou ils étaient en cercle, lorsque
je les ai vus pour la première fois. J’ai remarqué à cet endroit comme
des cendres et des plumes d’un oiseau qui me semblaient être celles d’un
pigeon. Rien de plus, pas d’os, pas de déchets. Je ne peux en dire plus,
en tout état de cause, ce qui restait là au sol, ne pouvait pas expliquer
que ces êtres partageaient un repas !
Je poursuis
néanmoins l’escalade, puis, quelques minutes plus tard, je me retourne
pour voir où était ce groupe bien mystérieux. Je regarde intensément, je
cherche en direction de l’endroit où je les avais laissés, puis je vérifie
en me déplaçant, en direction de la base de la montagne, si je les
apercevais, mais plus personne… Plus rien : ce groupe a disparu comme s’il
s’était volatilisé. L’horizon est relativement bien dégagé sur cette
partie de la montagne, j’aurais dû les voir. Il semble impossible, vu les
moyens dont ils disposaient, de descendre dans la grotte, et encore moins,
en si peu de temps, de disparaître de mon champ de vision. Je ne
m’explique pas.
Je continue
toutefois mon chemin mais j’ai comme l’impression que quelque chose me
suit, une présence qui m’accompagne, je ressens seulement cet effet car je
ne vois personne autour de moi.
Arrivé
au sommet, cette perception de n’être pas seul s’est transformée en une
envie de redescendre le plus vite possible ! Je ne dois pas rester là
longtemps, mais je cueille toutefois quelques plantes qu’on ne trouve qu’à
cet endroit, pour prouver, s’il était utile, mon exploit. A l’origine
pourtant, j’avais programmé de rester un petit moment pour contempler le
paysage situé derrière la montagne, mais, à ce jour, je ne comprends
toujours pas pourquoi je ne suis pas resté, pourquoi aussitôt arrivé et
cueilli les plantes, je me suis précipité pour redescendre. Je n’ai même
pas pris la peine de respirer, ni même de voir le paysage, c’est comme si
quelque chose me murmurait à l’oreille de partir aussi vite que possible.
Ces êtres qui
ressemblaient à des enfants, m’ont totalement perturbé. Ils m’ont montré
une chose incroyable, que je ne pouvais pas reproduire, que j’étais
incapable de faire. Eux- mêmes étaient étranges, comme s’ils n’étaient pas
de notre monde.
En descendant
la montagne, je suis repassé devant la grotte, le gouffre, mais il n’y
avait rien, aucune présence de ces enfants. Une fois arrivé au Centre, je
ne parle pas de cette rencontre, je me contente de montrer à ma famille
les plantes que j’ai arrachées au sommet de la montagne. Je demande à mon
père de tenter de les voir en haut de cette montagne, à l’aide d’une
paire de jumelles qu’il possède. Mais il est fou de rage, il ne savait pas
que je faisais ce genre de sortie, pensant que je restais dans le Centre
de vacances et il me défend de sortir dorénavant du village où nous
sommes.
Mais l’envie de
retourner là-bas avec mon frère de 14 ans, avec qui j’avais partagé ma
rencontre, était plus forte. Nous avons donc désobéi à notre père et nous
sommes partis un après-midi en direction du sommet de la montagne.
Toutefois, arrivé près du gouffre, de la grotte, mon frère a été envahi
par la peur et il m’a demandé de redescendre immédiatement. Il n’y avait
pourtant personne, cette fois-ci, dans cet endroit qui forme une sorte de
plateau.
A la suite de
mon expérience, n’en parlant vraiment qu’à peu de personnes, j’étais
toutefois à l’écoute de tout ce qu’on pouvait dire sur cette montagne.
J’ai ainsi entendu des jeunes parler à son sujet. Ils voulaient y aller,
mais l’un d’entre eux les avait dissuadés. Cette montagne est hantée,
disait-il, il ne faut pas y aller ! Une fois, poursuit-il, un groupe de
personnes qui s’étaient engagées dans cette direction ont été attaquées
par une pierre géante qui est descendue de nulle part. Les personnes ont
failli être écrasées par cette pierre, par chance elles l’ont évité, mais,
de peur, elles sont redescendues immédiatement !
Ce qui va
suivre est encore plus que surprenant, plus grave et je fais le
rapprochement de ces faits avec ma rencontre car on n’a pas trouvé
d’explication. De retour à Mohammedia, lieu ou j’habite normalement, j’ai
commencé à avoir des fièvres ininterrompues, chaque semaine. Dès que je
commençais à aller mieux, ces fièvres revenaient. Le médecin ne comprenait
pas. J’ai eu aussi des difficultés à uriner. Puis les fièvres se sont
arrêtées.
Deux semaines
après, j’ai eu un malaise au lycée, comme un début de fièvre, je rentre
chez moi, je me couche. Lorsque je suis allé aux toilettes, j’ai uriné du
sang ! Une infection, mais pourquoi, comment ? Puis cela a empiré, allant
jusqu’à provoquer au niveau des testicules, des douleurs importantes et
insupportables. Je suis resté ainsi durant une semaine, au lit, sans
pouvoir me lever ou même changer de position. J’étais presque paralysé !
Les médecins m’ont fait des piqûres, mais rien n’a changé, je ne pouvais
plus marcher ni bouger, je devais rester allongé sur mon dos et les jambes
écartées. J’ai consulté un spécialiste, un urologue, qui m’a fait
hospitaliser et il a découvert une inflammation de l’hypophyse dont
l’origine était inexpliquée. Au début, je suis resté au lit et à la maison
pendant plus d’une semaine, en prenant les médicaments prescrits par le
médecin urologue mais un soir, les douleurs se sont accrues et
intensifiées. Mes parents m’ont immédiatement emmené à une clinique
privée, où je suis resté une dizaine de jours, sous soins intensifs. Grâce
aux multiples traitements que j’ai suivis, je me suis rétabli tout en
évitant une opération chirurgicale. J’ai poursuivi le traitement une fois
rentré à la maison, mais cette maladie m’a beaucoup coûté car j’ai perdu
une année de bac.
Pas
d’explication à tous ces malaises, mais, je reste persuadé que le fait
d’avoir été en contact avec ce groupe étrange aux pouvoirs inconnus, que
j’ai pris pour des enfants, d’avoir aussi été dans leur environnement est
pour quelque chose dans ces fièvres et cette infection aux origines
inexpliquées, selon les médecins.
Je n’ai parlé
de cette rencontre qu’à quelques personnes, sans approfondir, mais jamais
elle n’a été l’objet d’une publication. C’est une rencontre encore
totalement inconnue. Je suis allé dans les années qui ont suivi,
poursuivre mes études en France. J’ai alors rencontré une personne
originaire de cette région qui m’a confirmé que cette montagne était bien
mystérieuse, qu’elle était maudite, hantée, et que les habitants,
localement, racontaient de nombreuses légendes sur des histoires étranges
qui s’y étaient passées. Je me pose toujours des questions quant à cette
grotte, ce gouffre et la présence inexpliquée d’un groupe d’enfants qui
semblaient venir d’ailleurs.
Au Maroc, ce
type d’histoire ne franchit pas la porte de la famille, la religion admet
la présence de Djin’s, ces êtres de feu qui sont là pour expliquer bien
des visions ou des rencontres insolites et hors du commun. En conséquence,
compte tenu de cette explication, de ce que prévoit le coran, il n’y a
donc pas à s’inquiéter, et tous ces faits restent inconnus du grand
public.
Youssef M - Remise en forme et enquête Gérard Lebat (c)
Reproduction interdite sans accord des auteurs.
(1) Je fais
cette comparaison à partir d’images, où dans certaines écoles, les enfants
sont habillés tous d’une même façon, une sorte d’uniforme, pourrait-on
dire. Évidemment, l’origine, compte tenu de l’étrangeté de la scène, peut
être différente, et on pourrait imaginer un groupe d’êtres venus d’un autre
monde, impression que j’ai eue également.
LES
LÉGENDES AU MAROC
Cette
histoire a été retranscrite telle que vécue et ressentie par le témoin. Si
vous connaissez des légendes, des faits incroyables, des informations en
rapport avec les ovni, l'insolite, des légendes, n’hésitez pas à les
évoquer et nous les faire partager.
OVNI - INSOLITE
- IMOUZZER KANDAR - MAROC -
IMMOUZZER KANDAR :Un mouzari
raconte que dans les années 70 ou 80, une groupe de personne dans le
Moyen-Atlas, près de Dayet Aoua a vu une personne disparaitre, aspirée par
le ciel par un engin extra-terrestre.
Probablement un Ovni ? Plus jamais personne ne l' a plus jamais revu et
cela reste sous silence encore de nos jours.
( source :
http://www.natureculture.org/wiki/index.php?title=Mythes_et_l%C3%A9gendes_%C3%A0_Imouzzer_Kandar
)
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