UNE OBSERVATION D'UN OVNI
A L'OUKAIMEDEN AU MAROC
AOUT 2009
UN INVITE NOUS FAIT PART DE SON
OBSERVATION
Photo
et montage Gérard Lebat (c)
Ce cas
intéressant a été évoqué lors d'une réunion tenue à Marrakech le 15 janvier
2010. Nous vous en donnons ci-dessous, un extrait de ce qui a été évoqué. Une
reconstitution photo a été faite en compagnie du témoin.
C’était au
mois d’août 2009, alors que je me promenais à la station de ski de l’Oukaimeden
au Maroc, près de Marrakech. Mon attention fut soudainement attirée par un grand
disque jaune – orangé qui se déplaçait en parallèle de la crête de la montagne.
Il était 9 h 00 - 10 h 00 environ, le secteur était pratiquement désert,
seulement quelques personnes dans le lointain, (5 ou 6) qui ne semblent pas
avoir vu le phénomène, mais vu la distance et le fait que je ne les ai pas
contacté, je ne peux pas le confirmer. La grosseur de l'objet était similaire à
une petite maison, au moins 10 m de longueur, mais aplatie, comme une soucoupe.
J’ai vu à un moment un jet de lumière descendre vers la montage. Cela à duré
environ 5 secondes. J’ai eu largement le temps de le voir. L’observation a durée
environ 1,5 minutes, l’objet était stable par intermittence. Lorsqu’il a atteint
le sommet de la montagne, il à disparu à une vitesse très importante, en une
seconde !....
Après cette
observation, je suis resté quelques instants sur place à réfléchir, mais je ne
trouvais aucune explication. Je me suis donc remis à marcher, tout en y pensant
constamment. Ne pouvant rien faire, en tout état de cause, j'ai gardé jusqu'à
ce jour cette observation insolite dans un emplacement de ma mémoire, sans en
parler, car ici on ne m'écouterait pas, au contraire, cela ferait rigoler
!
Mohamed
F. – Marrakech. (extrait de son témoignage)
Ce repas a été
l'occasion de rencontrer deux personnes intéressées par le dossier ovni. La
documentation n'est pas disponible au Maroc, on ne peut pas trouver d'ouvrages
sur le sujet, même en Français, car les importations de ces ouvrages sont
vraiment rares. Internet est donc un palliatif à ce problème, mais faut il
encore avoir les moyens de l'avoir à domicile. Souvent, les personnes
intéressées vont dans les CyberCafés pour se connecter sur des sites
Français.
Mais
évidemment ce n'est pas très pratique et cela explique le peu de personnes
passionnées par le sujet. L'histoire des OVNI au Maroc a été évoquée et ce
projet ne manque pas d'intéresser les participants. De temps à autre, les
invités reconnaissent que parmi la famille, les amis, si on aborde les
observations d'objets insolites dans le ciel, certains ont des faits de ce type
à évoquer. Le phénomène est donc bien présent, mais ici aucun organisme se
s'occupe de regrouper les cas. Sur le territoire, les brigades de gendarmerie ne
s'en occupent pas. Enfin, les médias n'en parlent pas et ne relayent aucune
information sur ce sujet. Le public n'est donc pas véritablement informé sur ce
phénomène.
On a évoqué
les conditions difficiles pour se réunir, les frais inhérents aux déplacements,
ce sera donc après un contact individuel par mail, que la prochaine réunion aura
lieu. Contactez nous dès maintenant si ces réunions vous
intéressent.
Gérard Lebat (c)
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UNE ETRANGE RENCONTRE AVEC DES ENFANTS VENUS D'AILLEURS A IMOUZZER KANDAR AU MAROC
ENQUÊTE
MARS 2010
UNE
ÉTRANGE RENCONTRE AVEC DES ENFANTS AUX POUVOIRS SURNATURELS.
IMOUZZER
KANDAR - MAROC -
J’ai
aujourd’hui 31 ans, je vis au Maroc, à Mohammedia, actuellement j’occupe un
poste de cadre supérieur dans un groupe agroalimentaire à Casablanca. Lorsque
j’avais 17 ans, j’ai fait une étrange rencontre qui n’a pas été sans
conséquences sur ma vie et sur ma santé. Aujourd’hui encore, je ne cesse de me
poser des questions sur ce que j’ai vu. J’ai fait des études en France, après
cette rencontre, j’ai donc acquis une certaine culture scientifique et j’ai
aussi une vision de la culture occidentale. Aujourd’hui, j’ai conscience que des
faits aussi étranges doivent être portés à la connaissance du public, sous un
autre regard que l’explication toute faite de l’intervention de Djin’s ou autres
créatures enseignées dans notre religion. Je me suis intéressé à l’astronomie,
aux phénomènes qui dans l’espace restent non identifiés (OVNI) et j’ai aussi lu
des ouvrages sur les légendes en France. Ici, au Maroc, de tradition, on ne
parle pas de tout cela, sinon dans le cercle restreint de la famille, des amis
proches. Il n’y a donc que très peu de faits similaires à ce qui m’est arrivé,
publiés dans la presse ou dans des ouvrages.
Je vous
raconte ce que j’ai vécu.

Ces vacances
ont duré 10 jours, nous logions dans une petite maison dans un centre estival
avec piscine. J’étais passionné par la nature, j’avais des jumelles, et chaque
jour je faisais des sorties sans la permission de mes parents pour aller
découvrir les montagnes environnantes.
Il y avait une
montagne non loin du Centre, qui me fascinait beaucoup, il y avait comme une
petite forêt à la base de la montagne. J’y suis allé plusieurs fois mais sans
jamais monter très haut.
Un jour j’ai
décidé d’aller plus loin et de monter jusqu’au sommet afin de contempler le
paysage. Mais, arrivé à mi-chemin sur un plateau, je découvre une crevasse,
comme une grotte enfouie dont l’entrée était impraticable, vu qu’il y avait un
vide et que des cordes et du matériel étaient indispensables pour y
descendre.
Le lendemain
je suis remonté une nouvelle fois, mais cette fois-ci, avec la volonté de me
rendre jusqu’au sommet. J’ai suivi le même chemin que la veille, passant sur le
plateau ou se trouvait la grotte. Alors que je m’en approchais, j’aperçois ce
que j’ai identifié comme un groupe d’enfants venus de nulle part. Ils étaient
sur le plateau, regroupés en un cercle et semblant occupés à examiner quelque
chose au sol. Ils semblaient muets et froids à la fois, ils m’ont vu venir et se
sont aussitôt dispersés.
A première
vue, ils étaient très bien habillés et même trop bien habillés. Aucun rapport
avec les personnes habitant la région, des bédouins et des paysans pour la
plupart et même leur apparence était bien soignée. Ils m’ont donné l’impression
qu’ils avaient entre 8 et 10 ans au maximum, vue leur taille (qui était
d’environ 1 m 40), et ils étaient beaux. Ils avaient des vêtements de type
occidental, (c’est le rapprochement que j’ai fait, mais, vu l’étrangeté, ils
pourraient très bien être d’une autre origine), ce qui n’est pas dans les
coutumes locales.
On aurait dit
des enfants qui sortaient d’une école Française, car ils portaient le même code
vestimentaire (chemises avec petits gilets, demis-pantalons et souliers, tout ça
propre et bien soigné), (1) vu leur similitude dans l’habillement, chose
impossible ici ! Ils n’avaient aucun sac, ni bouteille d’eau, ce qui n’est pas
non plus dans les habitudes ici, vu le climat très chaud et les risques liés à
la montagne. Ces « enfants » m’ont semblé très mystérieux, comme s’ils étaient
d’un autre monde ! Ils étaient beaux, calmes, même trop calmes pour leur âge.
Cela donnait une impression de surnaturel ! Je dirais même comme si ces enfants
venaient d’une autre planète. Pourtant pas d’engins pour les transporter aux
environs, comment sont-ils venus ici, sans adulte, sans accompagnateur ? Leur
présence, leur apparence, leur façon d’agir, de se comporter, que l’on peut
comparer à des adultes, ne cadre pas avec l’environnement, les habitudes locales
ou de la campagne Marocaine. Cette scène me donnait vraiment l’impression
d’avoir à faire à des « extraterrestres » venus sur notre terre ! Comment cela
est-il possible ?
En observant
ce groupe, tout d’abord, j’ai eu peur pour eux, peur qu’il leur arrive quelque
chose ici, au milieu de nulle part, et tout près d’une grotte d’au moins 15
mètres de profondeur, voir plus. J’étais encore loin d’eux, mais je les
interpellai tout de même en leur posant la question toute bête :
« Qu’est-ce
que vous faites là et d’où venez vous ? ».
L’un des
êtres, l’un de ces gamins et un seul m’a répondu, en langue française, comme
s’il lisait dans mon inconscient et d’une voix normale qui ne m’a pas choqué :
« On vient de
pas loin ».
Rien de plus,
pas d’autres détails. Aussitôt qu’il a prononcé ces mots, les autres « enfants »
vont se disperser aux abords du gouffre. J’aperçois alors une petite fille avec
eux (ce qui, à nouveau, n’est pas dans les habitudes dans notre pays, et qui
plus est à la campagne où les filles restent à la maison !) qui semblait vouloir
descendre dans le gouffre. Instinctivement, j’ai alors lancé :
« Mais où
voulez-vous aller, c’est dangereux ici, vous voulez vous jeter dans le
gouffre ? ».
L’être qui m’a
répondu au début me dira alors :
« Nous sommes
venus ici pour enlever ces choses ».
Il me montrait
ce qui était comme des fils fixés sur la paroi opposée du gouffre. Mais pour
moi, il leur était impossible de décrocher ces fils, il faudrait voler ou être
en lévitation pour le faire. Il y avait le vide, le gouffre, comment des enfants
auraient-ils été en mesure de faire cela sans aide, sans matériel... Il
s’agissait d’un acte qui n’était pas à la portée d’enfants normaux, surtout de
ceux qu’on rencontre ici, et qui n’ont pas une grande culture.
C’est alors
qu’il me dit :
« Ne
t’inquiète pas et viens, on va jouer à un jeu, je vais te défier et je suis sûr
que je vais gagner »
J’ai souri et
je lui ai dit :
« Vas-y,
montre-moi ».
C’est alors
que l’enfant se déplace assez loin du gouffre, je le suis, tout en me situant à
une bonne distance de lui. Il prend un caillou et le lance en l’air. C’était
tout à fait stupéfiant : le caillou volait comme un éclair, sans pratiquement
que je sois en mesure de le suivre des yeux. Une vitesse folle, vertigineuse !
On aurait dit que le caillou brûlait dans l’air, tout en émettant un son très
sourd.
Bien que je ne
pensais pas faire mieux, je suis plus âgé que lui, je dois essayer, je ne peux
donc que relever le défi. J’ai pris un caillou sur le sol, je l’ai lancé à mon
tour et, évidemment, je ne suis pas arrivé au même résultat ! J’en ai repris
d’autres et à deux ou trois reprises, j’ai lancé ces cailloux, sans obtenir le
résultat que cet « enfant » m’a démontré. J’ai bien cherché des explications,
mais je ne trouvais aucune solution. Comment cela était-ce possible ? Un pouvoir
« surnaturel », une force ou une technologie que je ne connaissais pas. Je me
pose toujours cette question, je n’ai pas trouvé à ce jour de
réponse.

« Tu
n’arriveras jamais à faire ce que je peux faire …. »
Je ne réponds
pas, en moi-même je me dis « bravo », tu as un pouvoir mystérieux, moi, je ne
le connais pas. Je me retourne et je regarde vers les autres « enfants » qui
attendaient, les yeux dirigés dans ma direction et qui ne parlaient pas. Je
remarque qu’ils ont tous quelque chose de commun : les mêmes
traits !
Le « gamin »
m’a alors demandé d’une façon qui ne m’a pas parue étrange où je comptais aller
et pourquoi je suis monté jusqu’ici. Je lui ai répondu que je voulais seulement
monter jusqu’au sommet de la montagne pour voir le paysage, y rester un moment,
puis redescendre au village. Il a poursuivi en me disant :
Sur le coup je
n’ai pas saisi le sens de cette demande, car dans ma tête, il n’y avait pas où
aller en bas, ni même ailleurs.
J’ai dit tout
simplement :
« Je dois
poursuivre mon chemin pour ne pas rentrer tard ».
Surpris, ébahi
par la scène, je ne comprenais toujours pas, mais je devais continuer ma route.
Je leur ai alors dit à nouveau de faire attention. Pour poursuivre mon chemin,
étant en contrebas de ce groupe « étrange », je monte, je les contourne en
passant à côté de l’endroit ou ils étaient en cercle, lorsque je les ai vus
pour la première fois. J’ai remarqué à cet endroit comme des cendres et des
plumes d’un oiseau qui me semblaient être celles d’un pigeon. Rien de plus, pas
d’os, pas de déchets. Je ne peux en dire plus, en tout état de cause, ce qui
restait là au sol, ne pouvait pas expliquer que ces êtres partageaient un
repas !
Je poursuis
néanmoins l’escalade, puis, quelques minutes plus tard, je me retourne pour voir
où était ce groupe bien mystérieux. Je regarde intensément, je cherche en
direction de l’endroit où je les avais laissés, puis je vérifie en me déplaçant,
en direction de la base de la montagne, si je les apercevais, mais plus
personne… Plus rien : ce groupe a disparu comme s’il s’était volatilisé.
L’horizon est relativement bien dégagé sur cette partie de la montagne, j’aurais
dû les voir. Il semble impossible, vu les moyens dont ils disposaient, de
descendre dans la grotte, et encore moins, en si peu de temps, de disparaître de
mon champ de vision. Je ne m’explique pas.
Je continue
toutefois mon chemin mais j’ai comme l’impression que quelque chose me suit, une
présence qui m’accompagne, je ressens seulement cet effet car je ne vois
personne autour de moi.

Ces êtres qui
ressemblaient à des enfants, m’ont totalement perturbé. Ils m’ont montré une
chose incroyable, que je ne pouvais pas reproduire, que j’étais incapable de
faire. Eux- mêmes étaient étranges, comme s’ils n’étaient pas de notre monde.
En descendant
la montagne, je suis repassé devant la grotte, le gouffre, mais il n’y avait
rien, aucune présence de ces enfants. Une fois arrivé au Centre, je ne parle
pas de cette rencontre, je me contente de montrer à ma famille les plantes que
j’ai arrachées au sommet de la montagne. Je demande à mon père de tenter de les
voir en haut de cette montagne, à l’aide d’une paire de jumelles qu’il possède.
Mais il est fou de rage, il ne savait pas que je faisais ce genre de sortie,
pensant que je restais dans le Centre de vacances et il me défend de sortir
dorénavant du village où nous sommes.
Mais l’envie
de retourner là-bas avec mon frère de 14 ans, avec qui j’avais partagé ma
rencontre, était plus forte. Nous avons donc désobéi à notre père et nous sommes
partis un après-midi en direction du sommet de la montagne. Toutefois, arrivé
près du gouffre, de la grotte, mon frère a été envahi par la peur et il m’a
demandé de redescendre immédiatement. Il n’y avait pourtant personne, cette
fois-ci, dans cet endroit qui forme une sorte de plateau.

Ce qui va
suivre est encore plus que surprenant, plus grave et je fais le rapprochement de
ces faits avec ma rencontre car on n’a pas trouvé d’explication. De retour à
Mohammedia, lieu ou j’habite normalement, j’ai commencé à avoir des fièvres
ininterrompues, chaque semaine. Dès que je commençais à aller mieux, ces fièvres
revenaient. Le médecin ne comprenait pas. J’ai eu aussi des difficultés à
uriner. Puis les fièvres se sont arrêtées.
Deux semaines
après, j’ai eu un malaise au lycée, comme un début de fièvre, je rentre chez
moi, je me couche. Lorsque je suis allé aux toilettes, j’ai uriné du sang ! Une
infection, mais pourquoi, comment ? Puis cela a empiré, allant jusqu’à provoquer
au niveau des testicules, des douleurs importantes et insupportables. Je suis
resté ainsi durant une semaine, au lit, sans pouvoir me lever ou même changer
de position. J’étais presque paralysé ! Les médecins m’ont fait des piqûres,
mais rien n’a changé, je ne pouvais plus marcher ni bouger, je devais rester
allongé sur mon dos et les jambes écartées. J’ai consulté un spécialiste, un
urologue, qui m’a fait hospitaliser et il a découvert une inflammation de
l’hypophyse dont l’origine était inexpliquée. Au début, je suis resté au lit et
à la maison pendant plus d’une semaine, en prenant les médicaments prescrits par
le médecin urologue mais un soir, les douleurs se sont accrues et intensifiées.
Mes parents m’ont immédiatement emmené à une clinique privée, où je suis resté
une dizaine de jours, sous soins intensifs. Grâce aux multiples traitements que
j’ai suivis, je me suis rétabli tout en évitant une opération chirurgicale. J’ai
poursuivi le traitement une fois rentré à la maison, mais cette maladie m’a
beaucoup coûté car j’ai perdu une année de bac.

Je n’ai parlé
de cette rencontre qu’à quelques personnes, sans approfondir, mais jamais elle
n’a été l’objet d’une publication. C’est une rencontre encore totalement
inconnue. Je suis allé dans les années qui ont suivi, poursuivre mes études en
France. J’ai alors rencontré une personne originaire de cette région qui m’a
confirmé que cette montagne était bien mystérieuse, qu’elle était maudite,
hantée, et que les habitants, localement, racontaient de nombreuses légendes sur
des histoires étranges qui s’y étaient passées. Je me pose toujours des
questions quant à cette grotte, ce gouffre et la présence inexpliquée d’un
groupe d’enfants qui semblaient venir d’ailleurs.
Au Maroc, ce
type d’histoire ne franchit pas la porte de la famille, la religion admet la
présence de Djin’s, ces êtres de feu qui sont là pour expliquer bien des visions
ou des rencontres insolites et hors du commun. En conséquence, compte tenu de
cette explication, de ce que prévoit le coran, il n’y a donc pas à s’inquiéter,
et tous ces faits restent inconnus du grand public.
Youssef M - Remise en forme et enquête Gérard
Lebat (c)
Reproduction interdite sans accord des
auteurs.
(1) Je fais
cette comparaison à partir d’images, où dans certaines écoles, les enfants sont
habillés tous d’une même façon, une sorte d’uniforme, pourrait-on dire.
Évidemment, l’origine, compte tenu de l’étrangeté de la scène, peut être
différente, et on pourrait imaginer un groupe d’êtres venus d’un autre monde,
impression que j’ai eue également.
LES LÉGENDES
AU MAROC
Cette histoire
a été retranscrite telle que vécue et ressentie par le témoin. Si vous
connaissez des légendes, des faits incroyables, des informations en rapport avec
les ovni, l'insolite, des légendes, n’hésitez pas à les évoquer et nous les
faire partager.
OVNI -
INSOLITE - IMOUZZER KANDAR - MAROC -
IMMOUZZER KANDAR :Un mouzari raconte que dans les
années 70 ou 80, une groupe de personne dans le Moyen-Atlas, près de Dayet Aoua
a vu une personne disparaitre, aspirée par le ciel par un engin extra-terrestre.
Probablement
un Ovni ? Plus jamais personne ne l' a plus jamais revu et cela reste sous
silence encore de nos jours.
( source : http://www.natureculture.org/wiki/index.php?title=Mythes_et_l%C3%A9gendes_%C3%A0_Imouzzer_Kandar
)
++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
UN OVNI EN 1944 PRES DE CASABLANCA !
CASABLANCA
PRINTEMPS 1944
Une
enquête de Gérard LEBAT (c

Mr Jean M. qui
habite actuellement l’ouest de la France, nous relate un cas dont son père lui a
souvent parlé et qui l’avait beaucoup marqué. Comme un certain nombre de
Français, il se trouvait à cette époque au Maroc ou il avait diverses missions
en rapport avec la guerre qui battait son plein eu Europe. Préparation des
étapes à venir, enfin est-il qu’un jour, qu’il situe au printemps 1944, avec un
ami, ils avaient quitté la ville, très petite à l’époque de Casablanca, pour se
balader et découvrir le pays, la campagne, non loin de Casablanca, en direction
du petit village de Settat. Aujourd’hui c’est une grande bourgade, qui s’est
largement développée. Mais il se trouvait en fait pas très loin de Casablanca,
une vingtaine de kilomètres peut être. Les moyens de communication étaient a
cette époque très limités, les routes en faible nombre. Le lieu précis, il ne
nous l’a jamais dit, d’ailleurs, il ne le connaissait certainement pas. C’était
à l’occasion d’un rare moment de liberté, qu’il avait entrepris avec un ami,
collègue embarqué dans la même galère, ce déplacement.
La campagne
était vide à cette époque, par ci par là des fellahs occupés dans les champs à
des tâches pénibles, sans moyen, pour retourner quelques centaines de mètres
carrés de terre ou ils cultivaient un blé rudimentaire qui ne donnait en fin de
compte, pour un travail énorme, que quelques centaines de kilos à l’hectare. Un
travail très dur, sous le soleil, pour seulement survivre. Mais c’était ainsi à
cette époque, l’espérance de vie était pour ces gens très limitée, au mieux une
trentaine d’année, avec la maladie, le manque de nourriture et de soin, qui
emportaient vers l’au delà bien des gens au moment de leur vie qui aurait du
être le meilleur.
La campagne
était verte, pas comme en France bien évidemment, rapportons cela à ce pays ou
la sécheresse est de rigueure dés le mois de juin. Mais c’était le printemps,
après les pluies de l’hiver, le peu de végétation présente était au mieux de
leur forme.
Tout cela, mon
père nous l’évoquait. Ce jour précisément, sur un chemin à la rigueur
carrossable, il observa avec son ami, à 15° d’azimut au maximum, donc
relativement bas, un objet de forme ovale et qui se trouvait, selon lui, à moins
d’un kilomètre. Cet objet, une masse grise, qui semblait métallique, avançait
lentement dans l’espace, venant de l’Est (la province) et allant vers la Mer
(vers Casablanca). Il estimait sa grosseur à 5 à 6 m de long pour 3 mètres de
large ou plus précisément de haut. Il faut prendre ces dimensions avec une
certaine incertitude, l’éloignement peut tromper et notre œil n’est pas apte à
donner avec précision des dimensions à cette distance. Cette distance, il
l’estime à partir de bosquets, de plantes grasses qui poussent dans la campagne
et au dessus desquelles l’objet semblait se situer. Cet objet tout d’un coup est
descendu en direction du sol, il a semblé se poser. La végétation, même à cette
distance, empêchait mon père de discerner véritablement si l’objet était
vraiment posé au sol. L’objet, dés qu’il a été observé par mon père et son ami,
a évolué en ligne droite, lentement, durant au moins une minute, avant de faire
cette manœuvre en direction du sol. Mon père et son ami n’ont pas quitté le lieu
à partir duquel il observait cet étrange engin, totalement inhabituel et dont
ils ne pouvaient absolument pas donner une identification quelconque. Ce n’était
pas un avion (très rare à l’époque en ce lieu) encore moins un dirigeable, en
aucun cas une météorite ou un quelconque bolide venant de l’espace. L’objet
était d’ailleurs très bas et l’atterrissage s’est fait tout d’un coup, l’objet
descendant à angle droit vers le sol, aussi lentement que lorsqu’il se
déplaçait.
Mon père me
racontait, qu’au bout de quelques minutes, il avait avec son ami, commencé à se
rendre en direction de l’objet, a pied. Ils avaient parcouru 50 à 70 mètres, en
marchant normalement, donc environ une minute et ils ont vu l’objet remonter
vers l’espace, a faible vitesse, approximativement la même que lorsqu’ils
l’avaient observé lors de son déplacement horizontal. Cela a duré une dizaine de
secondes, puis l’objet, qui avait toujours la même apparence, est parti à une
vitesse vertigineuse vers la campagne, direction Est. En une seconde, il avait
disparu à l’horizon, prenant progressivement de l’altitude. L’objet a pris
instantanément une vitesse incroyable, impossible à l’époque selon notre
technique et les engins fabriqués par l’homme. Vu la distance, l’identification
aurait été relativement facile a faire. Même aujourd’hui, avec cette description
et les caractéristiques du déplacement de l’objet, on ne peut toujours pas
donner une solution.
Cette
observation a beaucoup marqué mon père qui la racontait souvent en famille. Il
était vraiment déçu de ne pouvoir donner une explication à ce qu’il a vu. Pour
lui, cet objet, bien matériel, bien qu’il ne pouvait en discerner les détails
(apparence lisse de loin, pas de fenêtre ou hublot, pas de dôme, une simple
masse qu’il lui semblait métallique). Évidemment pour lui, ayant vécu à l’époque
glorieuse des « soucoupes volantes » dans les années 50 - 55, c’était un de ces
engins qui pourrait venir d’un autre monde. Mais lui n’a pas pu voir d’êtres aux
abords, trop loin, la vision cachée par la végétation. Une simple certitude,
l’objet a du atterrir ou alors rester à quelques centimètres du sol.
Les deux
témoins sont allés en direction du lieu supposé de l’atterrissage, mais ils
n’ont rien observé d’anormal au sol. La terre était dure, donc pas possible d’y
trouver d’empreinte. La végétation trop peu dense, donc pas possible d’y trouver
de l’herbe qui aurait pu être écrasée. Ils ont cherché, mais rien, pas d’indice,
pas de végétation brûlée. Après avoir fait ces recherches, rapide, un coup d’œil
vu qu’on ne voyait rien dans l’espace supposé de l’atterrissage, au bout de 10
minutes ils ont regagné le chemin et ils ont poursuivit leur chemin. Ils ont
évoqués durant des heures cette observation entre eux, puis en ont parlé à leur
retour. Mais toujours pas d’explication, les interlocuteurs ayant d’autre part
beaucoup d’autre soucis et un travail constant à assumer. Les heures consacrées
aux loisirs étaient rare, le personnel devait toujours être à la disposition de
la hiérarchie.
Mon père qui
est décédé il y plus de 10 ans, n’a jamais trouvé une explication, il n’hésitait
pas à en parler toutefois, ne craignant pas le ridicule, lui étant certain
d’avoir eu la chance de pouvoir observer quelque chose d’inconnu et peut être
provenant d’une autre civilisation hors de notre
univers.
Photo :
reconstitution de la scène. (c) Gérard Lebat ( C)
Source :
Archive Email avec le fils du témoin conservé dans les archives d'OVNI Maroc
international.
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DEUX GROS DISQUES SE DEPLACENT A BASSE ALTITUDE AU DESSUS DE
MARRAKECH AU MAROC
MAROC : OVNIS À BASSE ALTITUDE - DEUX DISQUES GÉANTS SE DÉPLACENT
LENTEMENT AU DESSUS DE MARRAKECH
LE 21 AVRIL 2012 VERS 20 H 40
Deux ovnis en
forme de disque ont survolés à basse altitude Marrakech le 21 avril 2012 vers 20
h 40. Quatre témoins observent la scène, puis trois autres témoins se sont fait
connaître le lendemain. L’observation est insolite, précise et est à ce jour
considérée comme « non identifiée ».
C’est à la suite d’un appel téléphonique le 4 juin 2012 que OVNI Maroc Internationl de Marrakech ont été informés d’une importante observation d’un ovni qui s’est déroulée au-dessus d’un Ryad situé dans le quartier Dar El Bacha, à Marrakech au Maroc. Une enquête a été engagée dès le 5 juin 2012.

Le lendemain
de son observation, le 22 avril 2012 le témoin a tenté de nous joindre, mais
malheureusement, aucun enquêteur n’était disponible pour raison de déplacement à
l’étranger. Toutefois, les informations relatives à cette observation ont été
scrupuleusement notées, le soir même et le lendemain. La qualité du récit est
donc excellente et en rapport avec la réalité, sans que l’imagination ou la
mémoire qui résulterait d’un récit fait un mois et demi plus tard aient altérés
les faits.
Au Ryad, 4
personnes qui seront témoins des faits, Jean Claude G, témoin principal, N.G, sa
femme, A.G sa fille de 9 ans et occupée aux tâches quotidiennes de la tenue du
Ryad, Fatima, employée de maison.
Le 21 avril 2012 à 20 h 40, (heure d’hiver), il ne faisait pas encore tout à fait nuit, Jean Claude G. sort du Salon qui donne sur le patio central de son Ryad, une cours carrée de 7 m 50 sur 7 m 50 environ, occupée en son centre par une petite piscine, quelques orangers, des bananiers et qui donne directement sur le ciel.
Habituellement on peut y voir des étoiles, éventuellement la lune, mais ce soir-là, le temps était couvert, les nuages étaient bas, certainement à moins de 1000 m et on craignait même la pluie. En sortant, levant machinalement les yeux vers le ciel, il a la surprise de voir deux immenses disques, si gros qu’ils couvraient environ les deux tiers du champ aérien que l’on peut voir depuis la base du patio. Ces deux disques étaient en conséquence exactement à l’aplomb du patio, ils se déplaçaient sans bruit et dans un calme complet.
Le 21 avril 2012 à 20 h 40, (heure d’hiver), il ne faisait pas encore tout à fait nuit, Jean Claude G. sort du Salon qui donne sur le patio central de son Ryad, une cours carrée de 7 m 50 sur 7 m 50 environ, occupée en son centre par une petite piscine, quelques orangers, des bananiers et qui donne directement sur le ciel.
Habituellement on peut y voir des étoiles, éventuellement la lune, mais ce soir-là, le temps était couvert, les nuages étaient bas, certainement à moins de 1000 m et on craignait même la pluie. En sortant, levant machinalement les yeux vers le ciel, il a la surprise de voir deux immenses disques, si gros qu’ils couvraient environ les deux tiers du champ aérien que l’on peut voir depuis la base du patio. Ces deux disques étaient en conséquence exactement à l’aplomb du patio, ils se déplaçaient sans bruit et dans un calme complet.


Arrivés à ce
nouveau point de vue, les quatre témoins poursuivent l’observation de ces deux
objets à partir de la terrasse. Les deux « ovnis » en forme de disque, se
déplacent toujours très lentement en direction de la Koutoubia. Arrivé à hauteur
de la koutoubia, l’objet situé à gauche par rapport à notre poste d’observation
se met à se déplacer brutalement, à accélérer rapidement, à monter vers l’espace
et s’est dissocié d’environ 25 à 30° sur la gauche, par rapport à sa trajectoire
initiale. L’objet de droite fit de même, virant à droite, donc à l’opposé de
l’autre objet, mais il ne s’est que très peu écarté quant à lui de sa
trajectoire. Plus ils s’éloignaient, plus leur grosseur diminuait et ils ont
alors semblé se rapprocher pour ne faire plus qu’un point lumineux qui a
disparu, soit dans les nuages, soit dans le lointain en direction de l’Atlas. La
durée de l’observation à partir de la terrasse est d’environ une minute et
demie, soit une durée totale de la vision de ces deux objets, d’environ deux
minutes.

Les témoins
ont cherchés le lendemain matin si d’autres personnes dans les environs avaient
observé ces objets. En évoquant l’observation avec une coiffeuse voisine, ils
ont appris que cette personne et deux autres témoins, ont eux aussi vu ces
objets. En conséquence, il doit y avoir dans la ville de Marrakech, voir dans
les environs, de nombreux témoins. Mais au Maroc, ni la gendarmerie, ni la
police ne recueillent ces témoignages, le public n’a en conséquence aucune
solution pour rapporter à une autorité du royaume, les observations dont il est
le témoin. D’autre part, la presse, peu présente sur le terrain, n’évoque que
rarement ces phénomènes qui bien souvent ne parviennent pas jusqu’aux rédactions
des médias.
Il serait donc intéressant de savoir, si ce 21 avril 2012, vers 20 h 40, d’autres personnes ont observé ces deux OVNIs, se déplaçant dans les cieux de Marrakech. Si tel est votre cas, contacter par émail « OVNI Maroc International » à : lebat1@aol.com
Gérard
Lebat (c)
Reproduction interdite - propirété littéraire de l'auteur.
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OBSERVATION D'UN OVNI AU SOL
SUR MARRAKECH
UN ATTERRISSAGE AVEC LA PRÉSENCE D’UN
HUMANOÏDE AU MAROC PRÈS DE MARRAKECH
ORIGINE
DE L’AFFAIRE
Je recherchais
une personne pour s’occuper de l’entretien d’une propriété. Je suis donc en
contact avec beaucoup de gens, en règle générale des marocains ne parlant pas le
Français, parlant même dans certains cas, que le « berbère » local. La tâche
n’est donc pas facile et il me faut en générale une personne pour « traduire ».
Ici, ces recherches se font essentiellement via le « téléphone arabe »
c'est-à-dire les relations qui en parlent autour d’elles, ces derniers
répercutant la nouvelle. On est ainsi amené à rencontrer d’innombrables
personnes, habitant parfois très loin.
Au mois de
Mars 2012, j’ai rencontré une personne, qui parlait le français convenablement,
nous avons en conséquence longuement discuté. Nous avons évoqués de nombreux
sujets et je lui ai à un moment parlé du fait que je m’intéressais à tout ce qui
était mystérieux et qui touchait l’espace, le ciel, les étoiles et naturellement
tout ce qu’on pouvait y observer, y compris des objets inconnus. Le mot « ovni »
a ainsi été prononcé, ce dernier n’était pas inconnu de mon interlocuteur qui
parfois regarde les chaînes de télévision en provenance de la France. J’évoquais
sans détailler ce qu’était ce phénomène, les observations de points lumineux,
les objets à terre et à très basse altitude. Brahim, un peu plus d’une
quarantaine d’années, c’est le prénom de cette personne qui se présentait pour
le poste recherché, sans toutefois en avoir les compétences, candidature qui ne
pouvait donc pas convenir. Mais, il évoqua toutefois dans la conversation, le
fait que son père, âgé aujourd’hui de 70 ans, avait été l’objet, dans les années
60 – 70, d’une bien étrange observation.

L’affaire me
semblait intéressante, peu d’observation d’objets à terre au Maroc, quelques cas
avec des entités aux abords, mais ici comme l’information ne circule pas
facilement vers les médias, la situation est normale et elle est connue. D’autre
part, pour un villageois de la campagne, il ne serait pas question d’aller
raconter une telle histoire à la gendarmerie, qui d’autre part ne saurait pas
quoi en faire. La peur du « gendarme » est ici très grande, synonyme de
problèmes qui peuvent être très graves….

Je tentais
alors indirectement de lui demander s’il serait possible de rencontrer son père.
Ou il habitait. Pour le lieu où se situait le domicile de cette personne, pas de
soucis, un petit groupe de maisons, le père, les enfants proches des voisins,
non loin de Tahanaout, une distance de cinquante kilomètres au maximum de mon
domicile. L’objectif était évidemment de tenter d’en savoir plus sur ce cas. La
rencontre n’est pas facile, le père est âgé, il habite la campagne et il
n’évoque pas cette affaire, encore moins à un étranger. Arriver à deux ou trois
personnes, étrangères à ce village, dans ce « bled » va faire « jaser » et que
vont bien dire les habitants. Ici, on prend soin de sa personnalité au sein du
village et on craint le « ce que vont penser les autres » ! Ce n’était donc pas
gagné d’avance, mais, avec diplomatie, en rassurant Brahim sur le fait que
jamais personne ne serait informé des identités, le fait que nous serions le
plus discret possible lors de notre venue, sans matériel, ni même appareil photo
et le plus rapide possible, j’ai tenté d’obtenir une entrevue avec son
père.
Il est parti
en me promettant de lui parler de mon intérêt pour cette observation et de
demander à son père s’il accepterait de me parler.
Je n’étais
absolument pas convaincu qu’un jour j’aurai une réponse, ni même des nouvelles
de Brahim.

Nous convenons
donc de nous rencontrer le Lundi 7 mai 2012 vers 10 h 00 au carrefour du village
de Knine. (Environ 40 kms de Marrakech) Il s’agit du carrefour, sur la carte,
entre la P2017 et la P2010. Ce village, n’est pas mentionné sur la carte, mais
il est aujourd’hui important et le commerce y est actif. Le Lundi, dans ce
village, en contrebas, (à environ 1 km 500 du croisement) il y a un souk typique
qui a encore conservé aujourd’hui son caractère campagnard.
RENDEZ-VOUS
POUR ALLER RENDRE VISITE AU TÉMOIN
Le jour venu je suis sur les lieux du rendez-vous et je
retrouve Brahim. C’est lui qui me traduira en Français, nous n’avons pas jugé
indispensable pour raison de discrétion, de nous déplacer à plus de personnes.
Nous poursuivons notre route, empruntant la P2010 qui rejoint Tahanaout et après
quelques kilomètres, il nous faut emprunter une piste sur la gauche de la route,
qui nous mène en direction de la montagne. Un kilomètre de piste, pas de soucis,
on peu y aller en voiture, me dit Brahim……. Mais, au fil des minutes, la piste
relativement bonne, l’hiver n’a pas été très pluvieux, les kilomètres
s’additionnent !...... En bref, comme à l’habitude ici, un petit kilomètre qui
en fait bien 5 chez nous….. et sur une piste, la route parait longue……. Mais
après un bon quart d’heure de piste, j’aperçois un groupe de maisons en pisé
(des habitations rudimentaires faites en terre, comme on en trouve partout dans
la campagne marocaine) qui forment un petit ensemble. C’est là qu’habite mon
père, me confirme Brahim.

Après avoir
arrêtée la voiture, ici pas de soucis pour les emplacements de stationnement,
nous sommes seul, nous nous dirigeons vers la porte. Derrière, déjà les chiens
aboient, entraînant dans ce « système d’alarme » efficace, les nombreux autres
chiens de ce groupe d’habitation. Brahim pousse la porte, une petite cours,
quelques moutons dans un coin, des poules, un coq et devant la maison un homme
âgé, (il a 70 ans environ) le père de Brahim qui se prénomme
Mohamed.
Raide, malgré
les années et un travail difficile dans les champs qui ont usés son corps,
sérieux et qui est loin de prendre notre arrivé à la rigolade, Mohammed nous
accueil toutefois chaleureusement et est très heureux à la fois de recevoir la
visite de son fils et de ma présence. Il nous invite à entrer, la pièce est
simple, 3 m de large sur 6 m de long, dans laquelle sont installés au sol et sur
le pourtour des tapis et des cousins. Il y a seulement une petite fenêtre, 80
cms par 80 cms pour ouverture ainsi que la porte. C’est suffisant pour éclairer
la pièce. Le soleil monte à plus de 60° l’été (52 à l’ombre, il y a deux
années), donc pour se protéger, les fenêtres sont rares et souvent petites. Nous
prenons place, à terre, comme de coutume. (Pas de table, pas de chaise, pas de
fauteuil, ici on n’a pas les moyens de s’offrir tout cela) Et rapidement,
arrivant de dehors, (la cuisine est souvent située dans ces maisons en terre,
dans une pièce attenante, domaine des femmes) une personne âgée, sa femme et
deux jeunes filles, deux de ses enfants encore à la maison. Elles nous apportent
le thé à la menthe traditionnel, accompagné de pain, d’huile d’olive, de
confiture, de gaufres paysannes, de lait et même des œufs cuits durs…….. un
accueil traditionnel au Maroc, que ce soit à la ville ou à la
campagne.
Les femmes se retirèrent et Brahim parle avec son père,
en Arabe et en Berbère, traduisant de temps à autre certains passages de la
conversation. Nous en arrivons à ce qui nous intéresse, la description de ce que
Mohamed a observé. Replacer dans le temps ce fait n’est pas évident, c’était
avant la naissance de Brahim, 1er
point. Se référer à des éléments de l’actualité, c’est impossible, ici le temps
s’écoulait à cette époque au fils des saisons, sans que la radio ni la
télévision ne viennent perturber la vie paisible de cette famille. On peut au
mieux replacer l’évènement vers 1967 – 1969 et au printemps, Mohamed se rappelle
qu’il s’apprêtait à ramasser le blé (ici la récolte se fait en fin avril et en
mai).
UN OBJET MATÉRIEL AU
SOL
Il s’était
couché la veille de son observation un peu après la tombée de la nuit ( pas
d’électricité à cette époque, on vit ici au rythme du levé et du coucher du
soleil) , après sa journée de travail dans les champs, à surveiller les moutons
et les animaux qui ici son quasiment en liberté, allant et venant entre un petit
enclos attenant à la maison, fait de pierres et de terre et la campagne
environnante. Il s’était allongé dans la pièce où nous étions, sur les tapis
avec sa femme. Les enfants, quant à eux dorment dans une autre pièce, sur les
nattes posées à même la terre. Déjà à cette époque, Mohamed avait des chiens,
deux semble t’il se rappeler. Ils dorment dans l’enclos dont les murs sont
utilisés sur deux côtés pour les pièces composant l’habitation et la bergerie.
Vers 2 h 00 du
matin, les chiens aboient longuement, ce qui réveille Mohamed. Comme les chiens
persistent à aboyer, il se lève et sort dans la cours. Ils tentent de rassurer
les chiens car il ne voit rien d’anormal, mais ces derniers continuent à aboyer,
tout en courant sans cesse et rapidement dans le patio.
Devant cette
insistance Mohamed se dirige vers la porte qui donne sur la piste. Il sort, fait
quelques mètres à droite, puis à gauche, il observe. Rien d’anormal. Les chiens
ont-ils vu un chat, un autre animal sauvage, c’est sa conclusion et il rentre
dans la cour, tentant de calmer les chiens. Ils se taisent durant quelques
minutes, mais une fois que Mohamed est rentré dans la chambre, ils recommencent
à aboyer. Mohamed a alors l’idée de regarder par la fenêtre qui donne sur le
derrière de la maison, la face opposée à la porte de sortie sur la piste, juste
par sécurité, pour vérifier s’il ne voit personne sur ce côté de la
maison.
Là, surprise,
la lune éclairant assez bien la campagne (mais ce n’était pas « l’éclairage
maximum » de la lune précise-t-il, en conséquence ce n’était pas la pleine lune
et on ne voyait donc pas dans les meilleures conditions.) il aperçoit une masse
sombre, qui brille légèrement comme si c’était de l’aluminium, mais un aluminium
assez sombre, comme s’il avait déjà vieilli. Cette masse était grosse comme «
une Fiat familiale », mais toutefois de forme « ronde et allongée ». Je note un
maximum d’informations, traduites par Brahim, sur un bloc à l’aide d’un stylo.
Je propose à Mohamed de me faire un croquis de l’objet. D’un geste de la main,
il me fait comprendre que « non ». Je regarde Brahim qui me dit : « mon père ne
sait pas écrire, ni lire et n’a jamais tenu de sa main un stylo. D’ailleurs,
dans la maison, il n’y en a pas …. »
Je dessine
alors grossièrement plusieurs formes, entre le rond et l’ovale, y mettant même
des « carrés », me souvenant de cas de ce type. Il me désigne alors une forme
ovale, relativement allongée, en conséquence plus allongé que l’observation d’un
ovni à terre, de forme ovale mais avec une sorte de coupole à Valensole en 1967.
Toutefois, tout ceci après plus de 40 années, ne peut être qu’approximatif,
Mohamed, n’ayant pas évoqué cette histoire depuis au moins 20 ans, voir plus
!
Et comment
s’était-il posé à terre ? Sur des pieds, la masse ovale était-elle directement
sur le sol composé ici de terre et de beaucoup de pierre ? Mohamed ne se
souvient plus très bien, il réfléchit, il décrit l’objet comme étant à un peu
prés 1 m du sol, posé sur une « sorte de tonneau » très sombre. Je traduis cela
par un pied central qui ferait la grosseur d’un tonneau de 200 l, ainsi qu’il me
confirme, d’un métal (ou autre ?) de couleur sombre, plus sombre que l’objet.
Hauteur un mètre environ pour une largeur apparente de 70 cms.
Par
comparaison avec un véhicule de type Berline, l’objet ne devait pas avoir une
longueur supérieure à 5 m pour une hauteur de 2 m au point central de l’objet.
(Hauteur estimée et confirmée par le témoin, de la masse ovale, ce qui fait une
hauteur maximal de 3 m à partir du sol.)
En regardant
par la fenêtre, je me replace dans les conditions de l’observation, le sol est
parsemé de nombreuses pierres, toutefois certains endroits, n’en comporte pas ou
peu. La distance : on situe l’objet entre 80 et 120 m de la maison, du champ de
vision par la fenêtre. En se replaçant sur les lieux mêmes, le témoin compte
tenu de l’ancienneté de l’observation, ne peu situer à 10 ou 20 m près,
l’endroit préci ou se trouvait posé l’objet;
L’objet ne
présentait aucune porte, aucun hublot, aucun dôme et était parfaitement ovale,
brillant seulement très légèrement. Il se détachait très bien malgré la nuit,
car l’horizon est vide, pas ou peu d’arbres ou arbuste, des champs de blé et de
légères collines à quelques kilomètre.
UN PERSONNAGE
ÉTRANGE SE DIRIGE VERS L’OBJET

Il était alors
à environ 5 - 6 m de l’objet, lorsqu’il le voit, il avançait en sa direction et
une fois arrivé à deux mètres, il l’a alors contourné l’engin par la gauche. Il
a alors à ce moment-là disparu derrière l’objet. Sa vitesse de déplacement était
d’une allure normale de marche. Il s’attendait à voir apparaître à l’autre
extrémité de l’objet, cette créature, mais ce ne fut pas le cas. Il n’avait
jamais vu un tel objet, il ne savait pas ce que cela pouvait être, il a pensé à
un voleur. Mais l’être ne transportait rien. Les chiens quant à eux continuaient
à aboyer.
Sa femme
s’était réveillée, mais ne s’est pas levé dans un premier temps. (La durée de
l’observation étant de 2 à 3 minutes, le temps qu’elle émerge, qu’elle comprenne
ce que Mohamed voyait, alors qu’il ne s’affolait pas, qu’il ne lui donnait pas
de détail sur ce qu’il observait, elle n’a de fait rien vu). Quant aux enfants,
pas de bruit, ils devaient dormir d’un profond sommeil. Mohamed, continue à
observer, ne comprend pas, mais semble comme paralysé et n’entreprend aucune
action. Il est parfaitement conscient, mais reste calme car pour lui aucun
danger malgré qu’il n’ait jamais vu un tel engin.
L’OBJET
S’ÉLÈVE EN DOUCEUR
Il y avait au
plus 1,5 à 2 minutes que l’être avait disparu derrière l’appareil, que ce
dernier se mit à s’élever lentement. On peut supposer que l’être à pénétré dans
l’objet par la face opposée. Je lui demande ce qu’est alors advenu du pied sur
lequel il reposait : il ne se rappelle plus, mais en l’air, l’objet avait bien
une apparence ovale, sans rien en dessous.
Il s’est élevé
ainsi durant quelques secondes, puis s’est arrêté à environ une dizaine de
mètres de hauteur. (Imprécision toutefois sur cette hauteur, vu qu’il estime
celle-ci à au moins trois maisons (une maison de terre fait au mieux 4 m de
haut, ce qui nous donne une douzaine de mètre). L’objet était bien visible, car
il se détachait sur le ciel dégagé. Il est resté ainsi immobile durant deux ou
trois secondes et il est parti à l’horizontal, avec une élévation toutefois
constante, vers le Nord Est, longeant ainsi l’Atlas en direction de l’Ourika. Sa
vitesse était relativement rapide, l’objet ayant démarré instantanément à cette
vitesse rapide, sans accélérer par la suite. Il a disparu en moins de trois
secondes dans la nuit lointaine.
Cette scène
s’est donc déroulée en environ deux minutes, sans qu’a aucun moment, Mohamed ne
perçoive aucun bruit, aucun souffle, aucune modification de la chaleur
environnante. Le tout s’est déroulé dans un calme parfait et il ne pouvait pas
entendre du fait de l’éloignement, les pas de l’être sur le sol. Seul les
aboiements des chiens étaient perceptibles, mais pas au point de couvrir un
bruit éventuel de l’engin, du fait que ces derniers s’arrêtaient durant quelques
secondes. C’est cette situation de calme qui a fait qu’il n’a pas paniqué, qu’il
a observé, s’apprêtant toutefois à sortir pour voir la scène de plus près au
moment ou l’objet a commencé à s’élever.
Il donne en
deux mots la description de ce qu’il vient de voir, à sa femme, cette dernière
est debout, mais ne comprend pas grand-chose à la situation, et il sort, décidé
d’aller voir sur le lieu où l’objet s’était posé s’il ne restait pas quelque
chose. Mais, il ne trouve rien, il fait sombre toutefois et on ne verrait pas un
petit objet de couleur foncé au sol. Après avoir regardé à l’horizon, tout
autour de lui, il rentre. Le lendemain matin, il ira à nouveau sur les lieux de
l’atterrissage, mais il ne trouve aucune trace, ni même une emprunte. Toutefois,
il admet avoir regardé grossièrement, si une emprunte légère dans le sol, sur la
poussière, dans la terre était présente, il ne l’aurait pas vue.
ON EXAMINE LES
FAITS
On examine les
possibilités d’identification de cet objet. L’hypothèse de l’hélicoptère est
envisagée, mais le fait qu’il n’y avait aucun bruit, à une aussi faible
distance, on l’aurait entendu, on l’écarte rapidement. Il est vrai qu’à cette
époque-là, Mohamed ne savait pas ce qu’était un hélicoptère, il n’en avait
jamais vu. Un engin militaire secret : oui, lequel, nous sommes fin des années
60 et alors construire un tel engin qui n’émet aucun bruit, ce n’était pas
réalisable. Nous ne trouvons aucune solution. La ressemblance avec les objets
vus à Soccoro où à Valensole est toutefois frappante, c’est l’un des seuls
points qu’on peut évoquer.
Le lendemain
matin, la vie de Mohamed a repris, comme par le passé, il n’évoqua même pas
cette affaire aux voisins, aux amis….. il n’aurait pas su comment leur expliquer
cela et on ne l’aurait pas cru….. il a encore rêvé, Mohammed …. Il n’en parlera
qu’à quelques reprises, sans toutefois approfondir comme il l’a fait aujourd’hui
avec nous, à certains de ses enfants. Il n’explique quant à lui, toujours pas
son observation, il ne sait pas ce que c’était. Cela ne le perturbe pas, s’il a
été témoin de cela, c’est grâce à la volonté d’Allah comme il nous répète… Il
n’a ressenti aucun effet sur lui-même, pendant ou après l’observation et cela ne
lui a causé aucune maladie……. Jamais malade, il a toujours travaillé durement,
dans ses quelques lopins de terre, qu’il cultive avec son mulet, ses ânes, tout
comme il y a des siècles ………. . Il fait encore à son âge chaque jour, de
nombreux kms à travers la campagne, gardant son petit troupeau de montons. Ici
pas de retraite, on travaille jusqu’à la mort et heureusement, lorsqu’ils le
peuvent, les enfants aident un peu.
Déjà 14 h 30,
je quitte alors Mohamed et je le remercie bien vivement du témoignage qu’il nous
a apporté. Le thé à la menthe, le pain fait ici même, à la maison et tout ce que
nous avons mangé fait que nous n’avons vraiment pas faim. Brahim décide de
rester ici chez son père, quant moi, je reprends la piste en direction de la
Route de Knine à Tahanaout, repensant constamment à cette expérience vécue au
fin fond de la campagne pratiquement désertique Marocaine….. Je me dis que des
cas comme celui-ci, même certainement encore plus étranges, doivent exister en
nombre ici au Maroc.
Ainsi qu’il a
été promis, l’anonymat sera conservé, aucune photo prises sur les lieux et nous
procédons à un photo montage pour les reconstitutions à partir de photos prises
dans la région.
Gérard LEBAT
(c)
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le cas de Martyl Maroc 2007 - OVNI- UFO -
UN
OBJET VOLANT NON IDENTIFIE OBSERVE SE DEPLACANT AU
RAS DE LA MER A MARTYL (MAROC).
Enquête de Gérard Lebat
2éme
Version comportant diverses analyses complémentaires
Il est
11 h 00 en cette matinée du 25 juillet 2007, un père et son fils profitent d’un
moment de détente sur la plage de Martyl, près de Tétouan, dans le Nord du
Maroc, lorsqu’ils voient arriver un objet se déplaçant à une vitesse très rapide
au ras de la mer, venant de l’horizon, prenant soin de ne pas survoler la plage
et qui repart vers l’horizon.
C’est une
ville d’environ 40 000 habitants, très touristique avec ses paysages
fantastiques, ses conditions climatiques très agréables. Elle est aussi très
appréciée pour sa plage, que l’on dit être l’une des plus belle du
Maroc.
Proche de
l’Espagne, de l’Europe, Martyl est située au Maroc et donc au Nord Ouest du
continent Africain.
LES
TEMOINS
Monsieur N.B.
à 50 ans, il habite à Rabat (Maroc), il a fait, entre autre, des Études à La
Sorbonne à Paris ou il a obtenu un Doctorat. Il occupe actuellement des
fonctions importantes au Maroc, Directeur d’une grande école, spécialiste des
villes anciennes du Maroc, il est l’interlocuteur de nombreux organismes
internationaux comme l’Unesco, ou d’autres, Français, avec lesquels il conserve
des liens très proches.
Sa position
fait que son témoignage est considéré comme sérieux et digne de foi. Dans cette
enquête, nous ne donnerons pas son nom, ce qui est compréhensible compte tenu de
ses fonctions. Son témoignage est conservé dans les archives des Repas
Ufologiques ou les coordonnées du témoin figurent.
Son fils à 17
ans, il poursuit actuellement des études supérieures dans une grande Université
Parisienne.
Les deux
témoins ne portent pas de lunette, leur vision est de 10/10. Aucun ne portaient
de lunette de soleil ce jour là. L’observation a été faite à l’œil nu, sans
autre moyen d’observation (Paire de jumelles ou autres).
L’APPARITION
Il était entre
11h 00 et 11h 30 GMT (heure marocaine équivalente à GMT) ce matin du 25 juillet
2007, N.B. et son fils profitaient de quelques jours de Vacances à Martyl et
c’est ce jour et à cette heure qu’ils furent les témoins de l’évolution d’un
engin bien étrange.
Ce matin là
ils s’étaient rendus à la plage, la marée était haute (estimée, du fait que la
mer était proche de la plage), il y avait un très beau ciel bleu, pas de vent,
pas de nuages, pas de vague, la plage et l’environnement étaient calme et
parfaitement naturel. Aucun bateau en vue, même pas une barque ou tout autre
engin maritime, avant, durant et après l’observation. Des vacances parfaites
dans un cadre idyllique, sans aucune activité industrielle à proximité, sans
bruit, ni nuisance quelconque.
Monsieur N.B.
surveillait de temps à autre son fils qui se baignait, proche du rivage. Peu de
monde sur la plage, il faut être vigilant, un accident est vite arrivé. Il
nageait, puis à un moment il s’assoit dans la mer, sur le sable, qui est à très
faible profondeur à cet endroit. (A quelques mètres de la plage) C’est alors que
le témoin remarque, venant de l’horizon en sa direction, un groupe d’objets qui
se déplacent à une très grande vitesse, au dessus de l’eau.
Le groupe
d’objets arrive vers les témoins, passe et tourne pratiquement au dessus du fils
de Monsieur N.B. « J’ai pensé qu’il pouvait le toucher, leur approche me
semblait dangereuse, mais toutefois, il est passé à proximité pour disparaître à
une vitesse aussi importante vers l’horizon », précise le témoin. Il écrit dans
le premier descriptif de la scène : « Ils ont disparus à l’horizon en moins
d’une seconde.. ». Cette remarque n’est pas exacte, bien qu’elle reflète la
rapidité de déplacement de la masse, le parcours pratiqué par cette masse de
couleur grise, métallique, s’est fait, de droite à gauche, à la limite de
l’horizon, en moins de 20 secondes. Il s’agit d’une estimation du témoin. (Le
témoin précise, en ce qui concerne les couleurs : « ils n'avaient pas des
couleurs vives remarquables mais ils semblaient être dans les tons gris, ni mon
fils ni moi ne pouvons donner plus de précisions sur la couleur précise. Mais
nous sommes tous les deux sûr que ce n'étaient pas des couleurs remarquables ou
vives. »)
Ce groupe
apparaissait comme étant une masse plane et horizontale formée de plusieurs
objets identiques. Ces objets au nombre de 5 ou 6 repartis sur plus de 1m²
environ, formaient un seul bloc volant en formation et en parfaite cohésion. La
longueur et la largeur ne dépassaient pas un mètre sur une épaisseur de quelques
dizaines de centimètres. En ce qui concerne la couleur de la masse, et plus
particulièrement des objets qui la formaient, ils semblaient gris et on aurait
dit qu’ils étaient liés entre eux par une matière transparente comme du verre.
Je ne pouvais pas discerner clairement le contour des objets qui ne me semblait
pas net car ils étaient les uns derrière les autres.
Le père est
situé à environ 15 m du fils, l’objet est quant à lui passé à 10 m du fils, côté
horizon.
(Soit le père
voyant l’objet passer à environ 25 m de lui).
La vitesse
était très grande, le témoin a pu se rendre compte de sa grande rapidité lorsque
l’objet était au niveau de son fils, car à ce moment il était proche de lui. Il
en a pris conscience précisément à ce moment ainsi que lors de son éloignement.
La vitesse était constante, pas de variation. Le témoin estime que la durée de
l’observation n’a pas dépassé les 20 secondes au maximum. (Durée comme pouvant
être la fourchette haute de ce paramètre). Les objets sont apparus à l’horizon
(voir ci-dessous à la rubrique « Hypothèses » la distance qui peut être
retenue). La durée estimée du trajet (horizon/plage à hauteur de mon fils) et de
la visibilité de l’objet était d’environ 5 à 7 secondes. Ces objets n’émettaient
aucun bruit et autour de témoin, pas d’avion, pas de voiture, donc aucun bruit
qui aurait pu cacher un bruit quelconque émis par la masse volante. Au passage
de la masse et durant tout son déplacement, la surface de la mer était
parfaitement plane, aucune présence de mini-vagues, vagues, bouillonnement ou
autres phénomènes qui auraient pu être provoqués par le passage de la masse. La
surface de la mer était vraiment comme un miroir. Nous notons également que la
cinétique de la forme était parfaite sans décélération ni à-coups et aucune
répercution sur la surface de l’eau.
La masse
semblait évoluer à 50 cm environ de la surface de l’eau, on avait même
l’impression qu’elle aurait pu toucher les nageurs, ajoute Monsieur N.B. Cette
masse est passée a environ une dizaine de mètres de son fils, côté mer, car il a
lui aussi pu observer l’engin qui est passé très près de l’endroit ou il se
trouvait. Le déplacement général de l’engin s’est fait en forme de courbe,
s’inscrivant parfaitement à la forme de la côte qui est très faiblement courbe.
Il se déplaçait parallèlement à la mer, sans mouvement apparent, sans phénomène
de vague, en conséquence sans descendre, ni monter.
Précisions
donnée par le témoin : L'objet vu se situait à hauteur de nos yeux dans le
centre de notre champ visuel sur la ligne d'horizon. Le soleil était aux azimuts
de juillet ce qui veut dire que les rayons sont presque perpendiculaires au sol
(86° à 11h30). Cette position ne provoque aucune réflexion ou contraste, bien au
contraire, les objets sont éclairés avec des rayons perpendiculaires à notre axe
d'observation.
Au niveau de
l’ombre portée par la masse lumineuse, de par son métier, le témoin a l’habitude
de faire attention à cet élément et il lui semble probable que c’est aussi avec
l’aide de celle-ci qu’il a pu obtenir une mesure précise quant à la distance de
l’objet par rapport à la mer (Environ 50 cms). L’ombre de cet engin, dont il en
déduit la présence, ne présente donc aucun caractère anormal.
LES
OBJETS

Je me trouvais
à une quinzaine de mètres de mon fils, ce dernier étant assis dans l’eau, à 5 ou
6 mètres du sable formant la plage. La plage de MARTYL est immense mais dans le
voisinage de N.B., il n’y avait que 6 ou 7 personnes situées au minimum à 30
mètres. La plage était relativement vide. Parmi ces personnes certaines se
baignaient, d’autres étaient assises sur la plage ou se tenaient debout, mais
apparemment aucune n’a fait attention au phénomène. Le temps de comprendre et
d’imaginer ce que pouvaient êtres ces objets au lointain, qu’ils passaient
devant le témoin et repartaient sans même qu’il prenne conscience de les faire
remarquer aux autres personnes présentes. Son fils, placé vraiment à proximité
de ces engins, à quant à lui pu les observer et en fait la même description que
son père. Monsieur N.B. n’a pas eu le temps de se déplacer durant l’observation,
il est resté debout, stupéfait de voir ce phénomène qui lui était totalement
inconnu.
VARIATION
DANS LA DESCRIPTION ENTRE LE TÉMOIN NR 1 (LE PÈRE – MR N.B.) ET LE TÉMOIN NR 2
(LE FILS).
La question
est de savoir si le témoin Nr 2 (le Fils) a pu observer des variantes par
rapport à la description du père. Voici ce qui a été relevé, à propos de cette
question, retracé et commenté par NB : la seule différence entre l'observation
de mon fils et la mienne c'est que lui considère que le déplacement des objets
s'est fait presque en ligne droite et moi je considère que c'est une courbe
comme dans mon dessin. Peut être que c'est du au fait qu'il n'a remarqué les
objet en question qu'une fois à sa portée et donc il n'a vue que la moitié du
déplacement. Par contre c'était plus proche de lui. Il reconnaît que c'est
plusieurs objets regroupés en seul système. Il confirme que ça ressemble à des
petits avions parfaits. Que la vitesse est vertigineuse. Il parle d'un vol en
formation. Pour lui, vue leur petite taille (30 cm chacun) les objets ont
disparus avant l'horizon parce qu'il ne les voyait plus. Il faut dire aussi que
le niveau de ses yeux était légèrement plus bas que le mien, étant donné qu'il
était assis dans l'eau et que je ne voyais pas son maillot de bain. (je me
situais aussi un peu plus haut, sur le sable de la plage.
CE
QU’EN PENSENT LES TEMOINS
Tout de suite
après l’observation, le témoin a pensé à des oiseaux qui planent ? Mais il a
vite compris que la vitesse et la perfection du vol étaient étranges,
incompatibles avec celles d’un vol d’oiseaux. Dans ce cas cela aurait été un vol
d’oiseaux métalliques qui se déplacent à une vitesse vertigineuse. Son fils a eu
la même impression, il a déclaré : « tu a vu ça ? C’est quoi ces trucs ? On
dirait des petits poissons volants mais leur vitesse et la régularité de leur
trajectoire est parfaite. Ce n est pas naturel !!!!! ». Le témoin à aussi pensé
à un vol d’avions miniatures, des avions « clones » qui volent en formation mais
la vitesse et la technologie qui aurait du être employée lui a semblée
impossible et de plus, ils étaient vraiment petits. Maintenant, il évoque la
possibilité qu’une puissance ait pu mettre au point des « sortes » de jouets
miniatures capables de se déplacer sur une grande distance en quelques secondes
!... Mais cela reste de l’hypothèse.
Quant aux
personnes de l’entourage du témoin, à qui il en a parlé, elles sont
indifférentes et son fils qui a observé avec lui le phénomène ne trouve pas
d’explication. Il confirme seulement la description du phénomène, tel que je
l’ai observé, par contre pour lui cette observation d’un ou de plusieurs engins
insolites n’offrent aucun intérêt.
HYPOTHÈSES
1 -
DIVERSES REFLECTIONS :
Comme il est
indiqué dans le titre, ce chapitre ne concerne que des réflexions, ce ne sont
pas des analyses élaborées par des spécialistes dans les domaines évoqués et qui
seraient considérées comme définitives et inattaquables, mais uniquement des
idées qui vont permettre ultérieurement à tous les lecteurs d’élaborer librement
des hypothèses quant à une possible identification de cet objet.
LIMITE DE LA
VISION
BORD DE
MER
Altitude
Limite de
vision
1,70 m
4,7
km
3,00 m
6,2
km
10 m
11,3
km
50 m
25,4
km
La
vitesse
Dans la
première version de ce rapport, nous avions présenté une analyse relative à une
vitesse déterminée à partir de la vision maximale d’un œil humain en tenant
compte de la situation des témoins mais sans tenir compte de la grosseur de
l’objet. Cette mesure ne peut pas être retenue. Une analyse plus appropriée est
présentée à la fin de ce chapitre. Notons toutefois que la visibilité maximum en
mer , par un oeil humain placé d'ou se situait le témoin Nr 1 à environ 5 Kms,
dans les meilleures conditions.
Les
dimensions.
Les dimensions
de la masse, (1m sur 1 m ) d’où par déduction de chaque petit objet (30 cms) qui
la composait, sont parfaitement connues car estimées lors du passage de la masse
qui s’est faite à environ 10 mètres du fils et 25 mètres du père.
Le
bruit – Incidence sur la surface de la mer. L’avis de M.P.
Ingénieur.
Le silence,
inimaginable même pour un planeur à si courte distance, rattache cette
observation à de nombreuses observations antérieures. Encore que sur ce point,
mieux vaut être prudent.
.On pourrait
objecter qu’un bruit du niveau de celui d’un moteur électrique aurait pu être
couvert par le bruit des vagues (même si le témoin dit qu’il n’y en avait pas,
il faut être réaliste : il y a toujours des vagues sur la méditerranée, même si
certains jours elles sont plus douces et moins bruyantes) et du vent. Je ne
connais pas le Maroc, mais sur la côte nord de l’Algérie, il y a toujours du
vent, et c’est probablement pareil au Maroc. Suivant le sens du vent, un bruit
peu important a pu rester imperceptible.
Notons
toutefois que le témoins à vu l’objet à 25 m et que son fils l’a vu à 10 m, ce
qui fait que ce paramètre est d’une bonne fiabilité : pas de bruit.
(Ndlr)
Un objet
rapide volant à 0,30 cms au dessus de l’eau devrait laisser un sillage sur l’eau
(voir. ) à moins
qu’il soit excessivement léger ou que sa sustentation ne soit pas basée sur les
mêmes principes que nos ailes.
En
conclusion : Un témoignage assez exceptionnel - Exceptionnel par la
nature de l’observation : la taille des objets, leur vol en formation à
proximité immédiate d’un baigneur, c’est, pour ce que j’en sais, du jamais
vu.
La
scène est soumise à une analyse « militaire » par J.P., qui connaît
bien le dossier ovni.
En soumettant
la scène à l’analyse militaire des paramètres de camouflage/non camouflage
:
F
orme : non définie avec précision. Normal : l’objet est observé pratiquement
dans son épaisseur, sur la tranche, sauf dans la trajectoire proche (plus que
quelques degrés sur l’horizontale)
O
mbre : pas mentionnée (la hauteur sur l’eau décrite sous un soleil à 81° rend
l’ombre inséparable de l’objet), sauf en trajectoire « proche ».
M
ouvement : Oui, décrit. Ce mouvement n’est détectable, au début, par les témoins
que dans sa composante angulaire latérale, dépendant donc de la distance et de
la vitesse de l’objet. Un objet très éloigné, même très rapide a un déplacement
angulaire lent, pas immédiatement détectable.
E
clat : aucun.
C ouleur : aucune (le gris
général n’est pas un élément d’identification par contraste).
Les conditions
militaires du camouflage, de l’indiscernabilité sont donc toutes réunies à
l’exception du mouvement.
Pourrions nous
avoir à faire à un engin militaire ? Une remarque que nous pouvons faire, c’est
que le lieu ne serait pas le mieux choisi.
L’avis d’un
psychiatre (après la lecture du rapport et non pas lors d’une
consultation)
J'ai bien lu
le rapport de ce témoignage. Je ne vois, dans ce rapport relaté par les
observateurs, aucune possibilité de distorsion liée à quelque phénomène
psychologique ou psychiatrique que ce soit. Ainsi, je pense en toute conscience
qu'il s'agit bien là d'un phénomène lexis non élucidé.
Franck
X
Commentaires
sur l’analyse des témoignages de Martyl.
Par
Claude POHER, Dr en Astrophysique, ancien directeur du Gepan.
Merci à
Monsieur Lebat de nous avoir fait connaître ces témoignages.
Je souhaite
cependant revenir sur certains détails de l’analyse de cette observation, à
titre strictement pédagogique, afin de partager mon expérience.
Les faits
importants pour le physicien :
Les deux
témoins du phénomène l’ont observé à l’œil nu, soleil presque à la
verticale.
Cette
observation s’est déroulée le 25 Juillet 2007, vers 11 heures du matin, sur une
plage méditerranéenne du Maroc, par un très beau temps, très calme, très chaud,
et très ensoleillé.
Le phénomène
s’est très brièvement approché à 10 / 20 mètres des témoins. A cette distance,
la vision binoculaire des témoins leur a probablement permis à chacun d’évaluer
correctement l’ordre de grandeur de la taille du phénomène et peut-être aussi sa
distance minimale.
C’est
toutefois plus délicat, en ce qui concerne la distance, faute de références
au-dessus de la mer, avec un phénomène observé pour la première fois, parce
qu’il n’y avait, semble-t-il aucun effet sur la surface de l’eau, pour pouvoir
fixer inconsciemment la verticale du phénomène. La vision binoculaire n’est
d’aucun secours dans la direction verticale, face à la mer.
La trajectoire
incurvée du déplacement du phénomène est restée proche de la surface de la mer,
dans un plan horizontal, (environ à 0,5 mètre au-dessus de la surface de l’eau),
à peu près à la hauteur des yeux des témoins.
La durée
totale de l’observation a été estimée entre 10 et 20 secondes. Les témoins ont
cependant affirmé avoir été étonnés de la rapidité du mouvement, et du silence
total. Une durée de 20 secondes est en effet extrêmement longue, il suffit
d’examiner un chronomètre pour s’en convaincre.
Les dimensions
du phénomène ont été estimées subjectivement par les témoins : environ un mètre
dans le sens horizontal, et quelques dizaines de centimètres en épaisseur
verticale. Les témoins décrivent quelques détails de la configuration du
phénomène.
Commentaires
de physique (optique de l’œil humain) :
L’œil humain «
parfait » possède une résolution angulaire d’une minute d’arc environ (1/3000 e
de radian). Cela est le résultat de plusieurs facteurs, comme la taille des
cellules photosensibles de la rétine, le diamètre de l’optique de l’œil, les
caractéristiques du milieu transparent interne, etc …
Cette
caractéristique incontournable de résolution signifie qu’aucun objet n’est
observable par un humain si sa dimension apparente (diamètre / distance) est
inférieure à 1/3000.
Par
conséquent, pour un phénomène d’un mètre de diamètre, la distance maximale à
laquelle un homme pourrait le distinguer est de 3000 mètres, dans des conditions
atmosphériques idéales. Pour un détail de 10 centimètres, c’est 300
mètres.
Et pour un
observateur non prévenu de l’apparition d’un tel phénomène silencieux, il est
évident qu’il ne commencerait à le distinguer que beaucoup plus près de lui. On
peut dire que l’image du phénomène devrait occuper plusieurs cellules
rétiniennes pour être perçue.
Dans ces
conditions (toujours idéales sur le plan atmosphérique) il est donc préférable
de considérer que l’objet a pu être perçu par l’œil humain, au début de
l’observation, à 2000, voire 1000 mètres de distance. Certainement pas à 5
kilomètres comme il est proposé. (1)
En ce qui
concerne la phase d’éloignement du phénomène, c’est sans doute une distance
maximale de 3000 mètres qu’il faudrait retenir, en conditions atmosphériques
idéales, parce que les yeux suivent le phénomène jusqu’à ce qu’il ne puisse plus
être observable.
Bref, en
conditions atmosphériques idéales, ce phénomène aurait parcouru 4 à 5 kilomètres
au maximum en 10 à 20 secondes.
Cela
correspondrait à une vitesse minimale de l’ordre de 200 mètres par seconde, et
une vitesse maximale de l’ordre de 500 mètres par seconde. La vitesse du son est
de 340 mètres par seconde.
Commentaires
d’optique atmosphérique :
Cependant, les
témoins décrivent un phénomène de couleur grise, qui est observé près de
l’horizontale, au-dessus de la mer.
Dans ces
conditions, on ne peut pas dire que l’observation se soit déroulée dans des
conditions atmosphériques idéales. En effet, au ras de l’horizontale, par temps
très chaud et ensoleillé, il existe une considérable diffusion atmosphérique.
Par conséquent, le contraste entre le phénomène de couleur grise, et le fond du
ciel (blanc laiteux près de l’horizon) est très fortement atténué.
Or c’est
uniquement le contraste ciel / phénomène en déplacement qui attire l’attention
des témoins.
La diffusion
atmosphérique rend donc encore plus difficile la perception du phénomène à
grande distance, surtout qu’il s’agit d’un phénomène silencieux, qui ne peut
attirer l’attention que par son contraste par rapport à la luminosité naturelle
de l’horizon.
En ajoutant
les contraintes liées à la diffusion atmosphérique, il apparaît ainsi très
probable que la distance à laquelle un phénomène, de cette taille et de cette
couleur grise, silencieux, ne pouvait être perçu par les témoins, que bien plus
près que 3 kilomètres. Peut-être moins de 1000 mètres.
La vitesse
réelle du phénomène devrait donc être nettement inférieure aux limites calculées
précédemment.
Dans ces
conditions il me semble très prématuré de conclure à une vitesse supersonique,
et d’en déduire diverses considérations. C’est ce genre de conclusion prématurée
qui crée un malaise chez ceux qui ne partagent pas notre point de vue. Nous
devons absolument éviter les conclusions hâtives. Conclure signifie que
l’enquête est achevée.
Ce n’est pas
le cas ici.
Ne pas poser
des questions sur la distance, les dimensions, ou la durée : simuler, mesurer,
chronométrer.
On se rend
compte que l’analyse d’un témoignage de ce genre repose sur des paramètres clé,
que sont les dimensions du phénomène, sa distance d’observation, la durée des
diverses phases de la trajectoire.
On a donc tout
intérêt à cerner ces données de manière aussi objective que
possible.
Par
expérience, j’ai constaté qu’il est possible, et préférable, de faire appel à la
mémoire visuelle et temporelle des témoins. Même des années après les
faits.
Par conséquent
la meilleure méthode semble être d’amener les témoins sur le lieu même de leur
observation, avec des conditions (heure, météo) aussi similaires que
possible.
Au lieu de les
interroger (les mots sont des pièges, ils n’ont pas la même signification pour
chacun), il est préférable de tenter une simulation physique des faits, phase
par phase, les témoins participant séparément et sans s’observer
mutuellement.
Pour effectuer
la simulation, on pourrait ici utiliser une « maquette » en carton, grise, fixée
sur une rame tenue verticalement, par un assistant, dans une barque motorisée.
Le témoin, placé là où il se trouvait sur la plage, se contenterait de dire par
radio : plus loin, plus près, plus à gauche ou à droite, oui c’est à peu près
cela, etc … Et rien d’autre.
Un GPS ou un
théodolite (ou de simples piquets et un décamètre) donneraient alors aux
enquêteurs aisément les diverses distances, de manière beaucoup plus objectives.
Il faudrait procéder plusieurs fois, pour chaque témoin, sans possibilité
d’interaction entre eux et faire des moyennes. C’est ainsi que les meilleurs
résultats sont obtenus, en général.
Cette méthode
est très efficace, on est souvent étonné de la concordance des
témoins.
De même, pour
les durées, qui sont toujours cruciales, ne pas poser de questions, mais faire
plusieurs simulations, avec chaque témoin séparément, sans qu’ils se
concertent.
Chaque témoin
essaie simplement de se concentrer sur ses souvenirs, en silence, yeux fermés si
besoin, et il essaie de montrer l’évolution de la direction de sa propre
observation, de mémoire, avec son bras tendu, pour expliquer aux enquêteurs sans
parler. Le témoin tente surtout de respecter, dans sa mémoire, la vitesse
d’évolution du phénomène.
Le corps
humain possède plusieurs horloges internes, et en garde inconsciemment la
mémoire, même des années après les faits.
Un enquêteur
examine les gestes des témoins et chronomètre simplement chaque phase
reconstituée, sans rien dire, en se contentant de noter les durées lues au
chronomètre (silencieux).
On procède
ainsi plusieurs fois, afin de calculer des moyennes, phase par phase (approche,
passage à faible distance, éloignement). Il ne faut surtout pas indiquer les
durées chronométrées au témoin pendant la reconstitution, pour ne pas créer de
situation de contradiction entre son évaluation personnelle et le
chronomètre.
On procède
séparément pour chaque témoin, et l’on calcule des moyennes.
Cette méthode
révèle souvent de grandes surprises. Les durées mémorisées réelles sont très
souvent bien plus courtes que celles évaluées de vive voix (5 fois plus faibles
parfois).
Cette méthode
de reconstitution des durées n’impose pas nécessairement de se rendre sur place,
le témoin peut tenter de revivre la scène dans un fauteuil, loin des
lieux.
Cependant, en
ce qui concerne l’évaluation des dimensions et des distances, associées à un
effet de contraste, rien ne vaut une simulation sur place, dans des conditions
réalistes.
Cette
observation est certes intéressante, mais il reste beaucoup à faire avant de
conclure.
Avec des
résultats plus objectifs, la discussion et les conclusions n’en auront que plus
de poids, évidemment.
Alors au
travail !
2 - Aucune
hypothèse prouvée à ce jour quant à l’identification du phénomène.
Comme on peut
s’en douter, après lecture d’un certain nombre d’avis, à ce jour nous n’avons pu
donner aucune explication à cette observation. Aucun élément ne nous permet de
prouver avec certitude qu’il s’agit de tel ou tel objet terrestre ou phénomène
naturel. Il reste donc à ce jour un « ovni » ! Le dossier n’est pas clos, si
vous avez quelques idées contactez nous : lebat1@aol.com
Enquête et
analyse de Gérard Lebat et les auteurs des différentes réflexions.
REPRODUCTION INTERDITE PROPRIETE LITTERAIRE DES AUTEURS
(1) 5 Kms,
portée maximum de la vision de l’œil à partir de l’emplacement des témoins.
Élément utilisé, à tort, dans une version précédente de ce rapport pour en
déterminer la distance maximum ou aurait été vu l’objet lors de son
apparition.
Nota : Les
différentes durées relatives à l’observation données ici sont des estimations
faites un an après, bien qu’imprécises, reprises telles que données par le
témoin, elles nous donnent une idée de la durée de l’observation et donc de la
rapidité du déplacement de cette masse, qui s’est faite entre 10 et 20 secondes.
(Durée de la visibilité du phénomène).
Ce rapport a
été rédigé à partir de plusieurs écrits du témoin, fait à notre demande,
relatant l’observation, le premier datant de deux à trois mois. Les éléments
constitutifs de ce rapport ont donc été « réfléchis » et ne sont pas le résultat
d’une enquête verbale ou les informations auraient été retranscrites donc
modifiées ou interprétées. L’enquête a été faite au Maroc par le
signataire.
English language version
UFO
hovering above sea off beach in Marocco
It is 11 am 00
this morning of 25 July 2007, a father and son enjoy a moment of relaxation on
the Martyl, beach near Tetouan in northern Morocco when they see an object
moving very fast at sea level, coming from the horizon, careful not to fly over
the beach and then speeding back towards the horizon. GEOGRAPHIC
SITUATION
Mr NB and his
son were on the beach, they were exactly opposite the ERAC buildings on the new
double track of the Martyl cornice. Martyl is located on the northern coast of
Morocco, about 10 km to the east of Tetuan, 30 Kms from Ceuta.
It is a city
of about 40 000 inhabitants, very touristic with fantastic landscapes and
pleasant weather. It is also very popular for its beach, which are said to be
some of the most beautiful of Morocco. Close to Spain, Europe, Martyl is located
in Morocco and therefore the North West of the African continent.
THE
WITNESSES
Mr NB is 50,
lives in Rabat (Morocco), he studied at the Sorbonne in Paris where he obtained
a PhD. He currently holds important positions in Morocco, Director of a large
school, a specialist in ancient cities of Morocco.
His position
is such that his testimony is considered serious and credible. In this survey,
we will not give his name.
His son is 17;
he is currently pursuing higher studies in a large University of
Paris.
The two
witnesses do not wear glasses; their vision is 10/10. None were wearing
sunglasses that day. The observation was made with their sight, without other
means of observation (pair of binoculars or other). THE SIGHTING Between 11 and
11:30 AM on the morning of july 25 th 2007, N.B (50° and his son (17) are
vacationing in Martyl a well known maroccan touristic city.
They had
decided to go to the beach that morning, tide was high, a beautiful cloudless
sunny day , no waves : just a perfect environment. No boat to be seen on ocean
surface, no seafaring craft anywhere in sight before, during and after sighting.
This vacation place is also industrial pollution free , no nuisance of any
kind.
Mister N.B
watches his son every now and then who was close to shore in the sea .while
monitoring his son he suddenly sees a formation of objects flying feet above the
sea level coming from the horizon at great velocity .AS these UFO s arrive at
the level of the witnesses, they turn sharply seawards and fly away at great
speed.they turned just about at where N.B s son was standing from this witnesses
standpoint about 15 meters away.
"i thought
they were going to hit my son , their approach seemed dangerous but didn t and
just passed closeby to then speed away and disppear in a second" states the
witness.
The sighting
last approximately twenty seconds. the flying crafts flew from apparent horizon
to beach and out of sight again , right to left , and appeared to be metallic in
aspect.Both witnesses do not recall colours of unidentified carfts but recall
"they had no remarkably vivid colours but seemed to be grayish in
aspect".
The 5 UFO s
seemed solidly linked together somehow though shaped by separate identical
objects."they seemed linked together by a transparent material glasslike "
declares N.B."objects being one in back of another I couldn t see them
clearly".
The speed was
very high; the witness was able to account for its high speed when the object
was close to his son. The speed was constant, no variation. The witness
estimated that the observation did not exceed 20 seconds. (Length as being the
upper range of this setting). The objects have appeared on the horizon. The
estimated duration of the displacement of objects (for the beach up to my son)
and visibility of the object was about 5 to 7 seconds. These objects were
noiseless around the witness. no wind, no cars, or any noise that could hide any
noise emitted by the flying crafts. the sea surface was perfectly flat, no
presence of shoreberak, waves, boiling or other phenomena that could have been
caused by the passage of the UFOs. The surface of the sea was really like a
mirror. We also note that the kinetics of the shape was perfect without
deceleration or wake effects on the water surface;
The mass
seemed to move about 50 cm from the surface of water, we even had the impression
that it could affect swimmers added Mr NB. The general movement of the objects
was in a curve, fitting perfectly the shape of the beach (very low
curved).
More Details
given by the witness: The object was seen at eye level in the center of our
field of vision on the horizon. The sun was at its highest in July which means
that the rays are almost perpendicular to the ground (86 ° at 11.30 AM). This
means their in reflect ion or contrast, on the contrary, objects are lit with
rays perpendicular to the axis of observation.
The shadow
cast by the luminous mass enabled the witness to pay attention to this
phenomenon and it seems likely that it is also with the help of this he was able
to obtain an accurate measurement of distance of the object above the sea (about
50 cms).
THE
OBJECTS
The mass,
which came from the north, consisted of 5 or 6 items, maximum 7. These greyish
objects had a length of about 30 cms all identical; They looked like small
aircrafts. The witness observed these objects from three different perspectives:
front view when they arrived on his right, sideways when they were close to his
son and from the rear when they dashed away.
I was about
fifteen meters from my son, who was sitting in the water on the beach. The beach
is huge but MARTYL in the vicinity of NB were only 6 or 7 people. The beach was
relatively empty. Of these some bathed, others were sitting on the beach or
stood, but apparently none had paid attention to the phenomenon. His son very
close to these "airplanes" was also able to observe and gave in fact the same
description as his father. Mr NB did not have time to move during the
observation he remained standing, stunned to see the phenomenon that was totally
unknown.
Variations IN
THE DESCRIPTION BETWEEN THE WITNESS NR 1(FATHER - MR NB) and the witness NR 2
(THE SON).
The question
is whether the witness Nr 2 (the Son) observed variations in relation to the
description of the father. Here is what was raised about this issue, and
commented by NB: The only difference between the observation of my son and mine
is that he considers the moving objects were moving in a straight line while I
consider they turned around in a curve. Maybe this is because he had noticed the
object in question only close to him and so he hadn t a view only of half the
displacement of entire sighting from horizon to beach and away he recognizes
that these objects were also grouped into a single system. he also confirms that
it looked like small aircrafts. Their speed was immense.
WHAT THE
WITNESSES STATE
Immediately
after the observation, the witness thought of birds but soon realized that the
speed and perfection of the flight were strange, incompatible with those of
birds. In this case it would have been a flight of metallic birds moving at
breakneck speed. His son had the same impression, he said: "You see that? What
is this stuff? It looks like small flying fish but the speed and regularity of
their trajectory is perfect. It is not natural !!!!!." The witness also thought
of a flight of miniature aircraft, aircraft "that fly in formation but the speed
and technology employed seem impossible and moreover, they were really small".
As for people around the witness, whom he talked with saw nothing and felt
indifferent .
HYPOTHESES 1 -
VARIOUS REFLECTIONS:
As indicated
in the title, this chapter covers only thoughts, they are not prepared analysis
by specialists in the areas mentioned, which would be regarded as definitive and
unassailable, but only ideas that will allow all subsequent readers freely
develop hypotheses about the possible identification of this
object.
Speed In the
first version of this report, we presented an analysis on a rate determined from
the vision of up to one eye, taking into account the situation of witnesses, but
without taking into account the size of the object. This measure can not be
accepted. A more appropriate at the end of this chapter.
The
dimensions
The dimensions
of the mass (1m on 1 m) or by each small object (30 cms), which included, are
well known as estimated during the passage of the mass was about 10 meters from
the son and father of 25 meters.
Noise - Impact
on the surface of the sea opinion from MP Engineer
Silence:
unimaginable even a glider at short distance makes noise, this observation
relates to many previous ones. Although on this point, it is better to be
cautious.
It is arguable
that a noise level of that of an electric motor could be covered by the waves
(even if the witness said there were none, we must be realistic: there are
always waves of the sea, even if some days they are softer and less noisy) and
wind. I do not know Morocco, but on the north coast of Algeria, there is always
wind, and probably the same in Morocco. Depending on the direction of the wind,
a little noise could be imperceptible.
Note, however,
that the witness saw the object from 25 m and his son was 10 m away, so the
setting is a good reliability: no noise.
An object
flying fast 0.30 cms above the water should leave a wake on water
(see) unless too
light or its sustenance is not based on the same principles that our
wings.
In conclusion: A witness quite exceptional
- exceptional by the nature of observation: the size of objects, their formation
flying in close proximity to a swimmer is, as far as I know,
unprecedented.
Comments on the analysis of the
Martyl case
By Claude POHER, Dr. Astrophysics, former director of GEPAN , French official organization in charge of studying unidentified aerial phenomena
By Claude POHER, Dr. Astrophysics, former director of GEPAN , French official organization in charge of studying unidentified aerial phenomena
Mr Lebat thank you for making us aware of these
testimonies.
I hope to return to some details of the analysis of this observation, in a strictly educational maner, to share my experience.
Facts material to the physicist:
The two witnesses of the phenomenon observed it with their naked eyes, the sun almost vertical. This observation was held on 25 July 2007, around 11 am, on a Mediterranean beach in Morocco, by a very sunny, very quiet, very warm day.
The phenomenon was brief and close as up to
10 / 20 meters from the witnesses. At this distance, the binocular vision of
witnesses has probably helped everyone to properly assess the magnitude of the
size of the phenomenon and perhaps also its minimum distance.
However, more delicate, with regard to
distance, lack of references over the sea, with a phenomenon observed for the
first time, because there was apparently no effect on the water surface, to
determine the verticality of the phenomenon. Binocular vision does not help in
the vertical direction, facing the sea The curved path of travel of the
phenomenon has remained close to the sea surface in a horizontal plane (about
0.5 meters above the surface of the water), at about eye level of witnesses. The
total duration of observation was estimated between 10 and 20 seconds. a Witness
however said he was surprised at the speed of movement, and of the silence of
the observation. A period of 20 seconds is extremely long, just consider a
stopwatch to check this.
The dimensions of the unidentified objects
were estimated subjectively by witnesses about a meter in the horizontal
direction, and a few tens of centimeters in thickness vertically. Witnesses
describe some details of the configuration of the phenomenon.
Comments on optics of the human eye:
The human eye has an angular resolution of one minute of arc (1 / 3000 e radian). This is the result of several factors, such as the size of the photosensitive cells of the retina, the diameter of the optics of the eye, the characteristics of the internal transparent medium, etc. ...
This resolution must mean nothing is observable by a human if its apparent size (diameter / distance) is less than 1 / 3000.
The human eye has an angular resolution of one minute of arc (1 / 3000 e radian). This is the result of several factors, such as the size of the photosensitive cells of the retina, the diameter of the optics of the eye, the characteristics of the internal transparent medium, etc. ...
This resolution must mean nothing is observable by a human if its apparent size (diameter / distance) is less than 1 / 3000.
Therefore, for a phenomenon of a meter in
diameter, the maximum distance at which a man could distinguish it is 3000
meters, in ideal weather conditions. For details of 10 centimeters it is 300
meters. And for an observer not warned of the emergence of a quiet phenomenon,
it is clear that it would begin to distinguish that much closer to him.
In these conditions (always ideal from the
air) it is preferable to consider that the object has been perceived by the
human eye, at the beginning of the observation, from about 2000 or 1000
meters.
Regarding the removal phase of the
phenomenon one may consider probably a maximum distance of 3,000 meters to be
retained, in ideal weather conditions, because the eyes follow the phenomenon
until it can no longer be observable.
In short, in ideal weather conditions, this
would have gone 4 to 5 kilometers or less in 10 to 20 seconds. This would
correspond to a minimum speed of around 200 meters per second, and a maximum
speed of around 500 meters per second. The speed of sound is 340 meters per
second.
Comments Atmospheric :
witnesses describe a pattern of gray, which is observed almost horizontally over the sea
In these circumstances, we can not say that the observation was held in ideal weather conditions.
witnesses describe a pattern of gray, which is observed almost horizontally over the sea
In these circumstances, we can not say that the observation was held in ideal weather conditions.
But it is only the contrast sky / travel
phenomenon that attracts the attention of witnesses.
The atmospheric circulation makes it even more difficult the perception of the phenomenon range, especially since it is a silent phenomenon that can not attract attention by its contrast with the natural light from the horizon.
The atmospheric circulation makes it even more difficult the perception of the phenomenon range, especially since it is a silent phenomenon that can not attract attention by its contrast with the natural light from the horizon.
By adding the constraints of the
atmospheric conditions, it seems very likely that the distance at which a
phenomenon of this size and this gray, silent, could not be seen by witnesses
from a distance of 3 km. less than 1,000 meters. would seem more probable.
The actual speed of the phenomenon should
be significantly less than the limits calculated above. In these circumstances
it seems to me highly premature to conclude it moving at supersonic speed
without defining various considerations. This kind of premature conclusion that
creates unease among those who do not share our point of view. We must
absolutely avoid hasty conclusions. Conclusion means that the investigation is
completed.
It is not the case here.
Do not ask questions about the distance,
size or duration: simulate, measure, timing. We realize that the analysis of
evidence of this kind is based on key parameters, which are the dimensions of
the phenomenon, the distance of observation, the duration of the various phases
of its trajectory. It is our interest to identify this data as objectively as
possible.
From experience, I found that it is
possible and preferable to appeal to the visual and temporal memory of
witnesses. Even years after the fact.
Therefore the best method seems to be to
get the witnesses at the location of their sighting in compliance with
conditions (time, weather) as similar as possible.
Instead of them (the words are traps, they
do not have the same meaning for everyone), it is better to try a simulation of
the physical facts, phase by phase, the witnesses involved separately and
observe each other.
To make the simulation, here we could use a
grey cardboard simulating the objects held vertically by an assistant in a
motorized boat. The witness, placed where they were on the beach, would only say
by radio radio " closer, more to the left or right," ... And nothing else.
A GPS or a theodolite (or simple poles and a decameter) investigators would then easily obtain more objective distances of displacement.
A GPS or a theodolite (or simple poles and a decameter) investigators would then easily obtain more objective distances of displacement.
This method is very effective, we are often
surprised at the consistency of the witnesses. Similarly, for the duration, do
not ask questions but let the witnesses each separately describe and wait the
duration they believed observation took place with investigators measuring each
time the estimated break down period lasted.
Each witness should focus on his memories,
in silence, eyes closed if necessary, and trying to show the evolution of his
own observation using memory, so as to to explain to investigators without
speaking. Witness trying to respect, in his memory,the speed of evolution of the
phenomenon.
The human body has several internal clocks,
and guards unconscious memory, even years after the fact. An investigator
examines the actions of witnesses and the stopwatch simply reconstituted each
phase, without saying anything, simply noting the time elapsed with the
stopwatch in silence.
This should be done several times in order
to calculate averages, phase by phase (approach, passing a short distance,
distance). Do not indicate the length timed to witness in order not to create
situations of conflict between his personal assessment and timing.
Proceed separately for each witness, and
calculate average figures.
This method often reveals great surprises. The actual period of times averaged are often much shorter than those measured orally (5 times lower in some cases).
This method often reveals great surprises. The actual period of times averaged are often much shorter than those measured orally (5 times lower in some cases).
This method of recovery time does not
necessitate going on site, the witness may attempt to revive the scene in a
chair, away from the scene.
However, regarding the assessment of dimensions and distances, coupled with a contrast, nothing beats an on-site simulation, under realistic conditions.
However, regarding the assessment of dimensions and distances, coupled with a contrast, nothing beats an on-site simulation, under realistic conditions.
This observation is certainly interesting,
but much remains to be done before concluding.
With more objective results, discussion and conclusions would give them greater weight, of course.
With more objective results, discussion and conclusions would give them greater weight, of course.
End of return answer from GEPAN former
chiarman , mister Claude Poher , PHD ASTROPHYSICS - No event proved so far as to
identify the phenomenon.
As might be expected, after reading a
number of opinions, so far we could not give any explanation for this
observation. There is nothing we can prove with certainty that this is a
particular object land or natural phenomenon.
The file is not closed, if you have any
ideas please contact gerard lebat by email at lebat1@aol.com
Gérard
LEBAT – Translate : John Tomlinson (c)
+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
L'OBSERVATION DE L'OUKAIMEDEN
(MAROC) DU 20 DÉCEMBRE 2008 SERAIT UNE MÉTÉORITE
!
Enquête de
Gérard Lebat (c)
C’est à partir
de cet article et de cet appel à témoin passé sur le site des Repas Ufologiques
et sur divers forum que nous avons décidé d’enquêter sur l’objet en question.
Dans la région de l’Ourika, Tahanaout, nous n’avons retrouvé que des personnes
ayant entendu un bruit anormal. . Pas de témoin direct. Toutefois, sur les
forums, l’information allait vite faire son petit chemin. La presse dans son
ensemble, à l’exception d’ « Al Massae » n’a pas fait mention de cette
observation. Pas un mot à la télévision. Les médias, comme à l’habitude sur ce
sujet, sont ici d’un parfait mutisme, alors que des milliers de personnes se
posent des questions à propos d’un phénomène dont elles ont été les témoins.
Rien n’y fait, on ignore !
Nous avons
relevé sur le net, quelques rares témoignages, dont nous extrayons les éléments
principaux :
Un premier
témoin s’étonne :
« Une violente
secousse a été perçu dans l’Ourika et même sur Marrakech. (40 kms de distance au
minimum). Moi je l’ai vécu, je croyais qu’un mur de ma maison s’écroulait. Des
gens on vu comme une étoile filante, tandis que d’autres le décrivait comme un
éclair lumineux très intense…. »
Un autre
témoin qui habite Agadir décrit le phénomène ainsi :
« J’ai vu dans
le ciel un gros éclat, une boule énorme avec une traînée blanche derrière. Elle
se dirigeait vers l’Est. A un moment de l’observation elle était de couleur
verte. (Comme un flash vert) Puis elle est redevenue de couleur rouge/orange.
Elle s’est embrassée, enflammée. La durée de l’observation est d’environ une
vingtaine de seconde et elle descendais du ciel vers la terre. Elle a disparu
derrière les montages. »
Même à
Ouarzazate
« J’habite sur
la région de Ouarzazate, on a aussi entendu un bruit énorme. Des gens disent que
c’est une météorite ».
Un témoin à
Rabat signale :
« J’ai observé
ce phénomène mais l’objet était petit, j’ai pensé que c’était une étoile filante
».
A partir de
ces témoignages, il est évident que l’hypothèse de la rentrée dans l’atmosphère
d’une météorite était la conclusion la plus probable. De plus le bruit et la
secousse, laissait à penser que sa chute n’était pas très éloignée. L’Atlas, la
zone de Ouarzazate faisaient alors l’objet de recherches actives sur le terrain
de la part de plusieurs chercheurs.
Interrogé à ce
propos, quelques heures après l’événement, Monsieur Benkhaldoun Zouhair,
directeur de l’observatoire de l’Oukaimeden, Directeur du Laboratoire de
Physique des Hautes Énergies et Astrophysique - Université Cadi Ayyad, à
Marrakech, nous informais le 29 décembre de l’état de ce dossier, à sa
connaissance :
"Concernant
l'information que vous citez en référence nous l'avons comme vous appris par
voie de presse.Nos deux observatoires aussi bien à l'Oukaimeden qu'au Jbel Aklim
n'ont rien détecté. Le réseau sismologique du Centre National de Recherche
Scientifique n'a rien signalé. Nous nous sommes déplacé dans la région de
l'Ourika la gendarmerie locale nous a dit qu'aucun impact n'a été signalé dans
la région, il semblerais, si impact il y'a, que ca serait plus au sud est vers
Ouarzazate.Ça reste à confirmer.
Merci pour
votre intérêt.
Benkhaldoun
Zouhair
Directeur du LPHEA "
Directeur du LPHEA "
Ce dossier,
était au point mort, nous pensions qu’il s’agissait d’une météorite, hypothèse
la plus probable selon les descriptions relevées, mais nous en restions là,
jusqu’à ce que Philippe Thomas de Meteoritica.com nous informe le 10 janvier
2009, de ce fait nouveau :
« En
fait, l'objet dont parle l'article du quotidien Al Massae était une
météorite.
Une
pierre a été trouvée à 30 km au Nord-Ouest de Ouarzazate »
Nous
souhaitions en savoir un peu plus sur les circonstances de cette découverte,
dans les heures qui ont suivie, Philippe Thomas nous indiquait qu’un de ses
correspondants qui habite le Sud Maroc est parti sillonner la région de
Ouarzazate ou certaines personnes avaient entendu dire qu’il y aurait peut-être
une météorite de tombée dans la région. Après une semaine intensive de
recherche, ce correspondant a enfin rencontré une personne qui a trouvé une
pierre brisée en plusieurs morceaux à 30 Kms au N.0. de Ouarzazate. Cet
échantillon est entre les mains des scientifiques pour analyse et
authentification. (Université Pierre et Marie Curie à Paris)
Nous attendons
donc d’en savoir plus sur cette météorite.
LA
MÉTÉORITE DU 20 DÉCEMBRE 2008
AUTHENTIFIÉE PAR LES SPÉCIALISTES
C'est
officiel, la météorite du 20 décembre 2008 est authentifiée et reconnue comme
telle par les scientifiques.
Tamdaght,
Ouarzazate
province,
Morocco
Fell Saturday
20 December 2008, 22h37
Classification
and declaration pending
One broken
stone weighing 1 694g and one hundred fragments from the same stone adding up 2
649 g were found near Tamdaght (30 km N-W of Ouarzazate)
Tamdaght
Classification
& declaration pending
Mass (g):
2649Pieces: Many
Info: Main
mass, Léa & Philippe Thomas.
Tout ce travail a été fait par Philippe Thomas de meteoritica.com et ses collaborateurs, que nous félicitons ici.
Tout ce travail a été fait par Philippe Thomas de meteoritica.com et ses collaborateurs, que nous félicitons ici.
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