17 ATTERRISSAGE OVNI - UAP - UFO A TIEKENE/BOUSSOURA AU SENEGAL

17 - UNE OBSERVATION AU SÉNÉGAL A TIEKENE (KOUMPENTOUM) 1998-1999.



SITUATION - LOCALISATION

Tiekene,
c’est un petit village au Sénégal situé près de Boussoura à quelques kms de Koumpentoum. Nous sommes déjà sur la région de Tambacounda. La région de Kaffrine commence à quelques kms. Ce village est situé à environ 400 kms au sud-ouest de Dakar. L’observation à lieu à partir de la piste, à environ 500 m de la sortie nord du village de Tiekene, après les dernières habitations. Les observations d’ovni en Afrique noire sont relativement rares, quelques cas seulement sont connus au Sénégal, mais cela s’explique aisément par le manque de médias locaux, d’instruction, par les faibles revenus de la majorité de la population, par le manque d’information etc… Un cas nous parvient, il est donc important de le répertorier et d’enquêter car il peut être utile pour l’avenir.

Ci-dessus carte de l’ouest Afrique, zone Sénégal et Gambie.

ORIGINE DE L’INFORMATION

Carte région de Koumpentoum.

Je fais l’objet de diverses interventions dans les médias, dans le cadre des Repas Ufologiques que j’avais créé vers 1997 et qui avaient pris une importante extension à cette époque. En octobre 2008, je reçois un mail dans lequel Monsieur Amadou N’Diaye, qui a appris notre existence par un média, me signale connaître une personne qui est actuellement à Dakar au Sénégal, Monsieur Akhalou Baye qui a été le témoin d’une observation d’un objet similaire à un « soleil ardent » qui s’est posé à terre et qui est reparti une à deux minutes plus tard. Il n’a jamais identifié cet objet, l’observation reste gravée dans sa mémoire, il n’a pas d’explication. C’est pourquoi, mon informateur intrigué par ces faits, s’adresse à des spécialistes dans ce domaine, pour essayer d’en savoir plus et faire connaître cette histoire. À la suite de ce contact, j’ai rencontré Monsieur Amadou N’Diaye afin d’en savoir plus sur cette observation.

LE TÉMOIN ET L’INFORMATEUR

Mon informateur, Monsieur Amadou N’Diaye (1) est commerçant à Paris, il a été à l’école primaire à Dakar, il est installé en France depuis une vingtaine d’année. Il est cultivé, connait les habitudes des Français et il est parfaitement intégré. Il a la quarantaine aujourd’hui. (2009) Il est toujours en rapport avec le témoin, qui est un ami depuis plus de 20 ans. Il a donc été en mesure de le contacter pour obtenir des précisions, le témoin lui ayant parlé de son observation il y a 4 ou 5 ans à l’occasion d’un voyage dans son pays où il retourne régulièrement, sa famille étant restée à Dakar.

Le témoin Akhalou Baye (1) est quant à lui resté au Sénégal, dès l’âge de 18 ans environ, il a quitté sa région natale des environs de Koumpentoum pour venir à Dakar où il occupe divers petits emplois, actuellement tenant une petite boutique où il fait le commerce de tout ce qui entre dans le domaine de la quincaillerie, électricité… Il a lui aussi aujourd’hui la quarantaine. Il n'a que peu fréquenté le milieu scolaire, voir pas si j’en déduis la description qu’en fait Amadou N’Diaye. Mais au Sénégal, dans les campagnes, peu de personnes fréquentaient à cette l’époque l’école.

Le témoin est fiable, sérieux, compte tenu du déroulement de cette affaire, il n’a pas été influencé par les reportages médiatiques en France, ni par les médias Sénégalais dans lesquels le dossier des OVNI n’est jamais relaté. Ce cas avait plus de chance de rester inconnu que de parvenir à la connaissance de personnes qui suivent ce phénomène.

L’ENQUÊTE

Je me suis rendu à Paris ou j’ai rencontré mon informateur après avoir fixé un rdv, mais il s’avérait que les informations qu’il détenait étaient vraiment très peu précises. Une masse comme une sorte de soleil qui arrivait à une vitesse moyenne, qui a semblé s’être posé au sol durant une minute, il pouvait alors voir dans la masse lumineuse une sorte d’objet ovoïde gris, qui est ensuite reparti à une vitesse fulgurante dans la direction approximative d’où il venait. Je lui ai donc remis un questionnaire basique, lui demandant de bien vouloir contacter son ami pour avoir plus de détails. Par chance il maitrise bien internet et donc il été en mesure de converser avec lui par WhatsApp et de lui communiquer par mail le questionnaire.

Environ un mois plus tard, je conviens d’un nouveau RDV, Amadou N’Diaye ayant reçu en retour le questionnaire et il a obtenu de nombreux détails sur l’observation, nous avions ensemble évoqué tout ce qui était utile de relever afin d’archiver et de répertorier ce cas.

RÉCIT SOMMAIRE

Alors que je m’étais rendu dans ma famille proche de Koumpentoum, je n’ai plus la date exacte, mais c’était certainement en Aout ou Septembre 1998-1999, quittant alors le cercle de ma famille après avoir déjeuner, vers 15 h 00, pour me balader dans les environs. J’ai pris mon vélo et je me suis dirigé après 20 mn de balade dans le chemin en terre, une piste, qui va vers les maisons composant ce qu’on appelle comme lieu-dit : Tiekene. J’avais dépassé les dernières maisons d’environ 500 m lorsque sur ma gauche, venant du Nord-Ouest mon attention est attirée par une grosse boule très lumineuse qui arrive dans ma direction, en perdant de l’altitude et qui se déplace assez lentement, je dirais 5 à 7 secondes pour arriver proche du sol à peut-être 400 mètres de moi.

Reconstitution de la scène de l’observation.

L’objet semble s’arrêter une seconde ou deux et descend de quelques mètres (5 à 8 m, il était bas, proche de la hauteur des arbres) pour probablement se poser, mais avec la forte lumière, je ne peux pas dire s’il était vraiment posé au sol ou s’il reposait sur des pieds. D’autre part quelques arbustes me gênaient un peu, mais je voyais tout de même l’ensemble de cette masse lumineuse qui paraissait solide. Je stoppe mon vélo, je descends et je tiens mon vélo par le guidon, surpris, n’ayant jamais vu un tel phénomène. Beaucoup moins rapide qu’une météorite, il se déplaçait beaucoup plus lentement et « j’ai eu le temps, alors que j’étais encore à rouler lentement à vélo sur la piste, de le voir venir dans ma direction ». Ayant mis le pied à terre, l’objet est comme posé. Il restera dans cette position environ une minute. Mais sans que j’aie vraiment le temps de poser mon vélo à terre, sans aucun bruit, cette lumière – objet, s’élève en une seconde de 20 à 30 m, (plus haut que la position ou il s’est rapidement arrêté lors de son approche). En marquant un arrêt d’un dixième de seconde, après avoir décrit nettement un angle à 90 degrés en repartant instantanément et approximativement dans la direction d’où il était venu à une vitesse fulgurante ! Je dirai en moins d’une seconde. Il disparait alors dans le lointain, très haut, à 80 degrés au maximum, en s’élevant rapidement dans l’espace. C’est donc pratiquement immédiatement qu’il disparaitra tout en ayant pris une altitude beaucoup plus élevée, comme un avion de ligne que l’on regarde presque au-dessus de notre tête. Si on compare cette vitesse de départ fulgurante à celle qu’il avait lorsqu’il est arrivé, on la comparerait à un hélicoptère qui vole au-dessus des arbres et à une vitesse plus rapide 
Origine de l'ovni - ufo - plan google map

L’objet n’a laissé aucune trainée lors de ses déplacements. Ses manœuvres étaient rapides, à angle droit chaque fois qu’il s’est arrêté et instantanément, en une fraction de seconde il poursuivait son déplacement. Le témoin estime que cette masse lumineuse se déplaçait intelligemment, ses manœuvres consistant à se poser, faire deux manœuvres à angle droit, puis décoller pour repartir ce qui ne peut pas être le résultat d’un phénomène, l’objet semblait bien comme « piloté ». Bien que le sol soit composé d’une terre très friable en surface, le témoin n’a vu aucune projection de poussière et aucune fumée. L’objet était très lumineux, sa lumière similaire à la couleur de celle du soleil, se projetait en dehors d’un point qui semblait foncé au centre, gris sans reflet, que l’on devinait. La masse totale devait être similaire à un fourgon tôlé, tandis que le point que l’on devinait au centre, qui semblait être alors l’objet, avait une longueur de 4 ou 5 m sur 2 m 50 de haut en son centre. Cette masse plus sombre était de forme ovoïde, un cercle aplati avec deux extrémités arrondies. L’objet avait bien du volume et lors de ses rares manœuvres on pouvait voir qu’il avait une certaine largeur, peut-être 2 m. (4)

Après ce « spectacle » insolite dont le témoin ne comprenais pas l’origine et qui a duré moins d’une minute, il a repris le vélo posé à terre, poursuivant sa petite balade dans la campagne. Le témoin surpris, mais n’ayant pas l’habitude de voir un tel engin, il n’a absolument pas pensé à se rendre sur le lieu présumé de l’atterrissage. Il a seulement été intrigué, « encore un nouvel avion militaire » pensa t’il et il ne parla pas de ce phénomène à sa famille. Il n’en a d’ailleurs que parlé à deux ou trois personnes une fois rentré à Dakar.

Zone de l’atterrissage de l’objet.

Avec Amadou N’Diaye, nous avons retracé le parcourt d’Akhalou Baye à partir de Google et localisé le lieu de l’observation. Il s’était déjà entretenu avec le témoin de cette localisation. Amadou N’Diaye connait aussi cette région pour y être allé une fois avec son ami, mais évidemment, tout ceci étant lointain, il n’aurait pas été en mesure de faire une localisation précise sans un entretien à ce sujet. (3)

Le témoin ne porte pas de Lunette et il a une bonne vue. Il situe l’heure de l’observation vers 15 h 30 – 16 h 00, ces faits étant anciens, il n’a pas de montre, il se replace seulement dans le contexte traditionnel : déjeuner tardivement, échanger avec sa famille…. Ensuite il décide de partir faire une promenade en vélo, pour bouger, rencontrer des connaissances et voir ce qui a changé dans le secteur. Akhalou Baye n’a pas de véhicule automobile et il se déplace en car ou en taxi collectif. À sa connaissance, il n’y a pas eu d’autres témoins de ce phénomène, mais il pense que probablement des personnes ont été témoin au moins du déplacement de l’objet très lumineux dans l’espace car en campagne les gens sont souvent à l’extérieur. Toutefois il n’a pas porté une grande importance à cette observation et il n’a pas chercher à savoir si d’autres personnes en ont été les témoins. Il n’en n’a pas entendu parler dans le village ou dans les environs. Au niveau de la météo, le ciel était clair, bleu et il y avait du soleil. On pouvait donc facilement observer la totalité du phénomène c’est-à-dire son arrivée lors de son apparition, les différentes phases de descente, pose au sol, élévation et enfin sa disparition. Aucun bruit ne provenait de l’objet ou encore d’un tout autre appareil dans le secteur. Il se rappelle que c’était très calme, sans grand vent et en fait le site de l’observation était silencieux. Le témoin n’avait pas de smartphone ou de téléphone portable à l’époque de son observation, il n’en avait pas alors les moyens (1998-1999).

CONCLUSIONS – RÉFLEXIONS

Les faits ont été relevés avec un maximum de détails et suivant les écrits et les déclarations du témoin et de mon informateur. Compte tenu des circonstances relatives à la révélation de cette observation, on peut écarter la thèse du canular. Le fait qu’il n’y ait qu’un témoin connu, qu’aucune photo ou film n’ait été pris fait que cela fragilise la qualité de l’observation. On notera que ces dernières conditions sont difficiles à obtenir dans un pays ou on vit avec peu d’argent, sans moyens tels appareils photos, caméra, smartphone, voiture … (en se replaçant à l’époque) pour la majorité des Sénégalais, surtout dans les campagnes. Une confrontation avec les phénomènes connus, objets volants aériens connus, objets ou phénomènes célestes ne permet pas dans les conditions actuelles de nos connaissances de donner une explication à cette observation.

Les ufologues privés qui ont tenté de faires diverses recherches sur le phénomène, avançaient pour certains à une époque, que les apparitions avaient fréquemment lieu proche de sites mégalithiques, ou proche de lieu où il y a des perturbations telluriques etc… En faisant des recherches on s’est aperçu qu’il y avait proche du lieu de l’observation, un site mégalithique.

En fait dans cette partie du Sénégal et de la Gambie voisine, il y a plus de 1600 sites mégalithiques dont celui de Tiekene – Boussoura, précisément proche de l’observation. Nous sommes également près de la région du site de Sine Ngayène qui est situé près de Kaolack, sur la Trans gambienne (ou N 4) et proche de la région de Nioro Du Rip, considérée comme le cœur de la zone des mégalithes : plus de 1 000 cercles concentriques avec plus 30 000 pierres érigées !



Photos Zones mégalithes de Sine Ngayène – Tiekene/Boussoura -Sénégal

En fait ces idées, comme en son temps l’Orthoténie, ne sont pas convaincantes et ne permettent pas d’expliquer quoi que ce soit dans une quelconque origine des OVNI.

Les mégalithes ne sont donc pas rares au Sénégal. On connait ceux de Carnac, en France, ceux de Stonehenge en Grande Bretagne, on pense souvent qu’on ne peut trouver ces « monuments » qu’en France, voir en Europe. Mais contrairement à cette idée, en fait les mégalithes sous différentes formes, sont présents dans beaucoup de pays au monde.

Il se trouve que j’ai eu l’occasion dans le courant des années 90 d’aller visiter les mégalithes de Sine Ngayène. À partir de la route nationale, la Trans gambienne, à cette époque en très mauvais état, on devait prendre des pistes, parfois pas très praticable en voiture de tourisme, pour aller sur ce site situé à quelques dizaines de kms de la RN. Une expédition qui déboucha sur un village, et un très grand site de mégalithes totalement abandonnés ou mouton et autres animaux broutaient les herbes sèches ! Ces mégalithes ont en fait été mis en place depuis le III ème siècle avant jésus Christ et jusque que vers le XVI ème siècle. Ils sont fréquemment organisés en cercle et ils servaient à l’inhumation de dignitaires, parfois avec vêtements, poteries, et ornements divers. Certains lieux peuvent aussi avoir servi à des cérémonies en fonctions des diverses croyances locales. On trouve en général les carrières ou été prélevés ces pierres dans un secteur proche des lieux de commémoration ou on trouve ces concentrations de mégalithes. Cette région du Sénégal détient d’ailleurs la plus forte concentration de ces pierres au monde ! La majorité des sites mégalithiques sont protégés par l’Unesco. Certains seulement sont gardés ou font l’objet de panneaux indicateurs, la majorité sont sans véritable protection et sont accessibles à tout le monde.

Paysage typique région de Tiekene/Koumpentoum - Sénégal

Tiekene selon certains, attirerait donc les OVNI du fait de ses mégalithes ! Or, dans la région, il y a des milliers de sites mégalithiques, alors pourquoi plus Tiekene qu’un autre ! Cette théorie est loin d’être prouvée en fait. Oublions-la ! Il faut noter que le site mégalithique de Tiekene a fait l’objet d’études précises et voici ce qu’en dit Archéologie Culture du gouvernement Français :

« La nécropole de Tiekene-Boussoura comprend de très nombreux monuments qualifiés de mégalithiques de par la présence d'au moins une pierre dressée à l'est. Leurs ruines apparaissent dans le paysage sous des formes parfois très différentes : cercles de pierres dressées, cercles pierriers, tumulus pierriers, etc. Neuf de ces monuments, aujourd'hui classés comme monuments historiques au Sénégal, avaient été fouillés par G. Thilmans et C. Descamps dans les années 1970 : ils se distinguent de ceux découverts plus à l'ouest du Sénégal et de la Gambie, par la présence d'inhumations, individuelles ou doubles, parfois sur plusieurs niveaux, comme par l'absence de mobilier associé aux ossements humains ou de céramiques déposées devant la façade orientale du monument. »

Pour les personnes qui seraient intéressées par le mystère des sites mégalithiques, il existe une étude de l’Unesco qui est facilement accessible et qui vous donnera des informations sérieuses sur les fouilles effectuées sur certains sites mégalithiques au Sénégal : à télécharger sur le site de l’Unesco : https://whc.unesco.org/uploads/nominations/1226.pdf

Comme vous l’aurez compris, ce ne sont pas ces mégalithes qui vont expliquer le phénomène OVNI et sa présence sur terre, mais, ils présentent un intérêt culturel et historique. Si vous avez l’occasion d’aller au Sénégal, ils peuvent être aussi pour vous un thème insolite qui vous orientera sur la visite de plusieurs de ces sites.

Il ne solutionne pas ni la présence des OVNIs sur terre, ni encore moins les faits dont a été témoin Akhalou Baye, en plein cœur de la savane Sénégalaise, là ou il n’y a rien de très intéressant à voir ou surveiller. Il est utile de répertorier ce type d’affaire, des détails peuvent aider à cerner entre autres le problème de propulsion de ces appareils. Ils se déplacent lentement, ce qui ne nous choque pas, mais aussi à une vitesse fulgurante comme nous le constatons dans ce présent cas et ce que nous ne savons pas encore faire à ce jour. La couleur et le type de luminosité de cette masse lumineuse peut indiquer à des scientifiques, physiciens et autres spécialistes une direction à prendre et élaborer des hypothèses. Il est donc important de tout noter pour l’avenir et si vous aussi vous avez été témoin d’un objet insolite se posant au sol, se déplaçant à basse altitude ou encore dans le ciel, prenez contact avec la gendarmerie, le GEIPAN à Toulouse au sein du CNES ou avec des enquêteurs dans les associations qui enquêtent sur le dossier des OVNIs et qui surtout se rendent sur le terrain.

Gérard LEBAT.


Gérard Lebat, Université de Droit - Paris, Ex Directeur de Comptabilité, à la retraite, Enquêteur dès 1966, Fondateur du GEOS France, 1969, de la Revue Hypothèses Extraterrestres 1969-1970 et des véritable Repas Ufologiques 1996 - aujourd’hui disparus. Auteur de l’ouvrage « OVNI AU MAROC » 2014, Études et enquêtes privées au Maroc sur le phénomène OVNI.  Organisateur des Rencontres Ufologiques Européennes Châlons en Champagne : 10 000 personnes, 100 stands,  plus de 200 personnalités du monde ufologiques sur place.... 


NOTES

(1) Les noms pour des raisons de confidentialité demandées par le témoin, ont été légèrement modifiés.

(2) Rédigé sommairement en février 2009, repris a partir du texte de base en 2024.

(3) J’ai repris, à partir de Google version de 2024 AIRBUS – CNES avant de publier à nouveau cette enquête, les documents concernant la localisation, que j’avais fait il y a quelques années et qui sont de mauvaise qualité.

(4) En fait, la partie centrale, grise donc plus sombre, était d’une forme similaire aux cas de Valensole, Socorro au Nouveau Mexique et Marrakech. (et bien d’autres) Toutefois compte tenu de la lumière et de l’éloignement, on ne pouvait pas distinguer sur sa structure des portes, fenêtres, hublots ou tout autres détails qui pourraient apparaitre sur sa structure.

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