1 - OUVRAGE "L'HISTOIRE DES OVNIS AU MAROC" 1900 - 1953


 
L'HISTOIRE DES OVNIS AU MAROC


Gérard Lebat
Version 01 09 - Novembre 2012
 
INTRODUCTION

Le phénomène OVNI au Maroc n’est que très rarement évoqué dans la presse de ce pays. Le public n’est pas, en conséquence, informé de ce qui se passe dans ce domaine, à l’exception de certains, curieux, qui ont accès à l’éducation et à la connaissance de la presse étrangère, des télévisions via les satellites ou par quelques ouvrages qui se retrouvent au Maroc. Le public en général à d’ailleurs d’autres préoccupations.

Nous n’avons référencé aucun auteur sur le sujet au Maroc. Nous n’avons référencé aucun ouvrage traduit ou traitant du sujet, ni même des numéros spéciaux publiés par des organes de presse au Maroc.

Parler OVNI au Maroc est donc particulièrement difficile, un gros travail reste à faire quant à l’information. Aucune structure n’existe pour accueillir, enregistrer ou recenser les témoignages. La gendarmerie, contrairement à ce qui se passe en France, n’a pas pour préoccupation d’enregistrer les « éventuels » témoignages ou de les orienter vers une « structure » apte à les analyser. Tout reste donc à faire, développer « sous un angle scientifique et sérieux » l’étude du phénomène ovni au Maroc.
 
Dans ce petit opuscule vous trouverez tout d’abord une liste des observations qui ont pour origine le Maroc et relevées dans divers ouvrages, sites Internet, revues et surtout auprès des témoins. Des cas inédits, inconnus et surtout suvent très intéressant.

Nous avons complété cette liste par deux dossiers relatifs à une rentrée de satellite pris pour un ovni le 15 avril 2006, ainsi que le dossier relatif à Éric Julien, qui en Mai 2006 avait prédit sur le Maroc une vague géante qui engloutirait hommes et habitations. Nous connaissons depuis bien longtemps Éric Julien, qui se dit avoir été enlevé par des « extraterrestres » qui lui ont donné des « cours de pilotage de soucoupe volante » ! Pas sérieux, mais à partir d’une nouvelle lancée sur un site Internet installé aux USA, il à commencé à produire un « mouvement de panique » au Maroc.

D’autres dossiers s’ajouteront à cette liste dans l’avenir. D’autres observations également. Ce document est donc « vivant » et sera mis à jour régulièrement, au fur et à mesure que vous voudrez bien nous faire parvenir des informations nouvelles.
 
D’autre part, « Les Repas Ufologiques de Marrakech » auront une mission un peu plus large que les autres, ils se chargeront de répertorier dans ce document, toutes les observations dont ils vont avoir connaissance et de faire l’étude des nouveaux cas, récents, qui seront portés à leur connaissance. Dés maintenant, merci de bien vouloir nous communiquer copie de tous les documents et informations que vous disposez sur les Ovni au Maroc.

L’UFOLOGIE AU MAROC
L’OPINION DE REDA – MAROCAIN VIVANT EN FRANCE
 
Réda nous a contacté afin de nous faire part d’une étude personnelle qu’il a menée sur les ovnis au Maroc il y a quelques années. Il a aussi réfléchi sur ce thème. Il nous a livré son opinion, que nous avons trouvée très pertinente et que nous reproduisons ici.

Ce qui est dommage c’est qu’au moment ou la plupart de ces cas historiques célèbres se sont produits (principalement dans les années 50) il n’y avait pratiquement pas de médias au Maroc mis à part quelques radios dans les grandes villes du royaume tenue par les résidants français de l’époque.

Par ailleurs la plupart des cas observés à dans les années 50 étaient rapportés dans la plupart des cas par les français qui résidaient au Maroc pendant la période coloniale et qui était un peu plus instruis, plus en contact avec l’actualité mondiale de l’époque et plus en courant de ce phénomène.

Comme vous l’évoquiez dans l’introduction de votre livre virtuel, même de nos jours la plupart des marocains qui s’intéressent au phénomène sont plutôt des personnes assez « cultivés » et assez informés sur ce phénomène via Internet ou les TV satellite.

Malheureusement dans les années 50 la majorité de la population du Maroc était rurale, isolée, analphabète, avec des modes de vie rudimentaires et n’avait ni télés ni radio (qui ne sont démocratisé que dans le milieu des années 70). De les services publics (police, gendarmerie) n'étaient présentent que dans les grandes villes, et étant donné le climat coloniale de l'époque et tout ce qui en découle les gens avaient une méfiance vis à vis de ces services. Je suis convaincu qu’à cette époque

Par ailleurs il y a un phénomène particulier qui s’appelle « quand la porte du ciel s’ouvrent » qui est très intéressant et que l’on pourrait traduire dans notre langage par des observations d’ovni. en effet, dans beaucoup de régions du Maroc lorsqu’on observait des lumières intenses dans le ciel on considérait que c’est une porte du ciel qui s’ouvre et qu’on le doit faire des vœux pour qu’ils puissent se réaliser (exactement comme s’il s’agissait du passage d’une étoile filante et que l’ont doit faire des voeux en culture occidentale sauf que dans les cas marocains ils s’agissait plutôt de grosses lumières intenses parfois stationnaires avec des couleurs différentes donc rien à voir avec des comètes).

De plus, les attributions de ces phénomènes changent d’une région à l’autre et d’une culture à l’autre, par exemple les explications de ces phénomènes dans les régions berbères seraient différentes de celles des régions du Sahara ou encore des régions

La culture locale musulmane et le coran approuvent l’existence des djinns (être mystérieux qui vivent dans un autre monde parallèle au notre) et de la nuit du destin (nuit ou les portes du ciel s’ouvrent et les esprits descendent des cieux)… la plupart des cas ont été expliqués en tenant compte de ce genre de chose.

C’est pour cela je me suis permis d’insister sur l’aspect socio culturel dont on doit tenir compte dans l’étude du phénomène ovni au Maroc.

Aujourd’hui les choses ont changé, la société marocaine s’est modernisée et de plus en plus de personnes s’intéressent au phénomène, mais il est dommage de négliger les cas observés dans les années 50 et 60 par manque d’information car la fréquence des observations à cette période était très élevée.
 
LE CATALOGUE DES OBSERVATIONS ENREGISTRÉES A CE JOUR DANS L’HISTOIRE DES OVNI AU MAROC
 
FIN JUILLET 1929 OU 1930 – CASABLANCA
Nous reproduisons avec l’aimable autorisation de Guy Tarade, l’observation datant de 1929-1930 qu’il a publié dans son ouvrage "Les Portes de l'Atlantide", publié chez Robert Laffont en 1976.

 
 
Le témoignage d’un haut fonctionnaire, M. Marcel Clairac, Conseiller Honoraire à l’ex-Cour d’Appel de Rabat, nous le prouve. Voici ce que nous rapporta M. Clairac :

« J’ai été le témoin d’un fait extraordinaire que je n’ai signalé qu’une seule fois à M. Alfred Nahon, qui dirigeait une revue spécialisée dans ces questions de « soucoupes volantes », mais je pense que mon témoignage, aussi tardif soit-il, pourrait apporter une confirmation d’autant plus précieuse de l’existence réelle d’engins extraterrestres qu’à l’époque où se situent les faits, le mot « Soucoupe Volante » n’avait pas encore été employé ou, du moins, je n’en avais jamais entendu prler.

Cela se passait vers la fin du mois de juillet 1929 ou 1930, je ne saurais préciser. Ce qu’il y a de certain, c’est que c’est l’année où l’Organisme International, la S.D.N. avait décidé d’appliquer des sanctions contre l’Italie en raison de son agression contre l’Ethiopie, ce qui avait créé une tension assez grave dans les rapports entre la France et l’Italie.C’était à l’époque où le Graaf Zeppelin effectuait ses traversées Allemagne –Amérique du Sud. Il survolait le Maroc à très basse altitude, ce qui constituait pour l’Allemagne un extraordinaire moyen de propagande auprès des masses indigènes et ce qui permettait aussi, à ceux qui avaient la chance de l’apercevoir, d’admirer presque à le toucher, l’énorme masse de ce vaisseau aérien en forme de cigare qui glissait, presque sans bruit, entre ciel et terre.

J’étais jeune magistrat au tribunal de Casablanca, et célibataire. Il m’arrivait souvent de passer mes soirées soit chez des amis, soit au cinéma ou au spectacle, et de rentrer chez moi à pied, vers le milieu de la nuit. Donc ce soir là du mois de juillet 1929 ou 30, j’étais allé au cinéma en compagnie de mon frère Jean, pilote d’avion à la Compagnie Latécoère, future Air-France, et qui faisait la ligne Toulouse-Cap Jubi. Il passait ses soirées avec moi à chacune de ses escales à Casablanca. Il devait être entre 23h30 et minuit. Nous regagnions à pied notre hôtel, lorsque arrivés à hauteur du carrefour formé par la rue de Marseille et de Bouskoura, en regardant machinalement le ciel étoilé, notre attention fut attirée par un objet sombre qui se déplaçait très haut dans la nuit claire.

- Tiens, voilà le Zeppelin, dis-je à mon frère.

L’objet en question avait, en effet, la forme et l’allure du Zeppelin, c’est-à-dire la forme et la couleur d’un gros cigare, mais j’ajoutait :
 
- Pourquoi se déplace-t-il si hait aujourd’hui alors que d’habitude, il rase le toit des maisons ?
 
Ce que je prenais pour le Zeppelin, se dirigeait d’est en ouest, et à une allure qui me paraissait assez rapide en raison de l’altitude à laquelle il se trouvait.
 
Nous suivions donc des yeux ce « zeppelin » dont on distinguait parfaitement la forme, puisqu’il se détachait en sombre sur un ciel relativement clair, lorsque, soudain, nous vîmes surgir derrière lui, en parfaite ligne de bataille, deux, quatre, dix, puis près de vingt engins, exactement de même structure et de même dimension. Nous étions littéralement stupéfaits et, pendant près de dix minutes, nous pûmes contempler cette Armada, qui s’effectuait toujours d’est en ouest, dans un alignement rigoureux avec en pointe, le premier aéronef qui avait attiré notre attention. Et puis, petit à petit, nous les vîmes s’éloigner, et disparaître dans la nuit ;
 
Le lendemain matin, je racontai ce que nous avions vu à un ami, le Docteur Maurice Roblot, qui nous invita à faire un compte rendu à son frère, qui étai alors Chef de Cabinet du Chef de la Région de Casablanca, pour en faire éventuellement part à l’Autorité Militaire, très alertée, comme je l’ai déjà dit, par la tension existant entre la France et l’Italie. Je me rendis donc à la Région Civile où je fis à M. Roblot le récit que vous connaissez. Mon interlocuteur m’écouta avec intérêt mais ne voulut jamais admettre qu’il s’agissait de vingt Zeppelins car, affirmait-il, l’Allemagne, seul constructeur de ces engins, n’en possédait que deux ou trois tout au plus. Je repartis sans avoir convaincu notre ami, malgré mes véhémentes affirmations et celles de mon frère Jean, tout de même qualifié pour parler de questions aéronautiques puisqu’il avait fait la guerre de 1914 comme pilote de chasse et qu’il était présentement pilote à la Compagnie latécoère. Je classai donc cet événement dans la case aux souvenirs.
 
Ce n’est que bien plus tard, et plus de vingt ans après, que je tombais par hasard, sur le récit de quelqu’un qui déclarait avoir vu dans le ciel des « cigares volants », qui, d’après l’auteur de l’article de presse qui relatait le fait, ne pouvaient être que des OVNI. Brusquement, ma vision me revint en mémoire et je ne peux douter aujourd’hui, étant donné les innombrables témoignages recueillis sur ces engins extraterrestres, avoir vu réellement évoluer certains d’entre eux, qui posent pour l’humanité le plus angoissant mais aussi le plus merveilleux des problèmes. »

MAI 1939 – PORT LYAUTEY – Maroc
Un lecteur nous écrit :
 
Voici un témoignage que j'ai recueilli par courrier l'an dernier (en 2007) et qui date de mai 1939 entre 13h 00 et 16h 00.
 
Le témoin Raphaël M. habite à l'adresse: xxxxxx 67 xxxxxxxxxxxxx (coordonnées dans les archives Gérard Lebat).
 
Alors qu'il jouait dans un grand jardin sauvage à PORT LYAUTEY l'enfant qu'il était observa un personnage type batracien d'environ 20 à 25 cm qui se mouvait sans bruit et par une température de 10 degrés.
 
Le personnage se déplaçait en bipède. Il a disparu à la venue d’autres enfants. Raphaël l'observa avec curiosité et sans peur.
 
Pendant 40 ans il se posa des questions avant de tomber sur une revue qui parlait de ce phénomène.
 
Nous venons de recevoir cette information. Nous informons un enquêteur local afin d’auditionner le témoin dans le but d’avoir un maximum d’information sur ce dossier et de vérifier le sérieux du cas. Nous en somme donc au stade de la simple information que nous vérifions et analysons maintenant. Merci à « Alfred » d’avoir bien voulu nous communiquer ce dossier.
 
AOÛT 1942 OUEZZANE
Voici ce que raconte le docteur R. Liégeois, témoin direct, qui à l’époque vivait à Hyères:
 
"Nous venons de mener une mission à son terme, avec le docteur Bonjean de l’institut de l’Hygiène du Maroc. C’était au mois d’août 1942 et, pendant que la nuit tombait, nous venions de quitter la ville de Ouezzane, au pied du Rif sud occidental, dans le nord du pays. Nous nous dirigions vers Rabat, à 170 km au sud-ouest.
 
Notre véhicule était conduit par un jeune réserviste. Il faisait beau, le ciel sans nuages, la température clémente, la route libre. Tout à coup, vers 19h45 la partie de la route à notre droite se vit éclairée par une lumière ; le conducteur se porta immédiatement sur la gauche et s’arrêta dans un coin. Je ne puis dire si cet arrêt fut provoqué ou s’il était naturel. Nous pensions tous les trois qu’une énorme voiture silencieuse voulait nous dépasser, mais il n’en était rien, et la lumière s’éteignit.
 
Je suis sorti de la voiture, suivi par les deux autres, mais nous ne voyions rien sauf la lune brillant au nord-est. C’est à ce moment que je fis remarquer à mes compagnons que la lune ne se trouvait pas à l’endroit exact, qu’elle ne devait pas être en train de se lever, parce que nous étions dans une période de pleine lune. A ce moment l’objet que nous avions pris pour la lune se mit brusquement en mouvement, en passant à une vitesse folle d’un point de l’horizon à l’autre en deux secondes.
 
L’objet ressemblait à une pleine lune déformée, il ne fit aucun bruit et n’émettait pas de fumée. Ensuite, après une immobilisation de trente secondes, cet objet brillant disparut brusquement. Et nous ne le revîmes plus.
 
Le docteur Bonjean en parlait le lendemain soir à l’un de ses amis, rédacteur à l’Écho du Maroc; le jour suivant le journal publiait que nous n’avions pas assisté à la chute d’un aérolithe, puisque c’était inconciliable avec ce que nous avions vu. Mais à l’époque personne ne parlait d’OVNI...
 
Nous n’avons subi aucun effet physiologique, alors que l’objet s’était à un certain moment rapproché de nous, quand il avait illuminé la route devant notre véhicule. »
 
http://web.tiscalinet.it/lareteufo/marocco2.htm Traduction de l’Italien par Godelieve Van Overmeire
 
CASABLANCA PRINTEMPS 1944
 
 
Nous avons été récemment contactés (mai 2011) par un lecteur du site des Repas Ufologiques Marrakchis qui nous fait part d’une observation qu’il tient de son père et qui se déroulait sur la région de Casablanca.
 
Mr Jean M. qui habite actuellement l’ouest de la France, nous relate un cas dont son père lui a souvent parlé et qui l’avait beaucoup marqué. Comme un certain nombre de Français, il se trouvait à cette époque au Maroc ou il avait diverses missions en rapport avec la guerre qui battait son plein eu Europe. Préparation des étapes à venir, enfin est-il qu’un jour, qu’il situe au printemps 1944, avec un ami, ils avaient quitté la ville, très petite à l’époque de Casablanca, pour se balader et découvrir le pays, la campagne, non loin de Casablanca, en direction du petit village de Settat. Aujourd’hui c’est une grande bourgade, qui s’est largement développée. Mais il se trouvait en fait pas très loin de Casablanca, une vingtaine de kilomètres peut être. Les moyens de communication étaient a cette époque très limités, les routes en faible nombre. Le lieu précis, il ne nous l’a jamais dit, d’ailleurs, il ne le connaissait certainement pas. C’était à l’occasion d’un rare moment de liberté, qu’il avait entrepris avec un ami, collègue embarqué dans la même galère, ce déplacement.
 
La campagne était vide à cette époque, par ci par là des fellahs occupés dans les champs à des tâches pénibles, sans moyen, pour retourner quelques centaines de mètres carrés de terre ou il cultivait un blé rudimentaire qui ne donnait en fin de compte, pour un travail énorme, que quelques centaines de kilos à l’hectare. Un travail très dur, sous le soleil, pour seulement survivre. Mais c’était ainsi à cette époque, l’espérance de vie était pour ces gens très limitée, au mieux une trentaine d’année, avec la maladie, le manque de nourriture et de soin, qui emportaient vers l’au delà bien des gens au moment de leur vie qui aurait du être le meilleur.
 
La campagne était verte, pas comme en France bien évidemment, rapportons cela à ce pays ou la sécheresse est de rigueur dés le mois de juin. Mais c’était le printemps, après les pluies de l’hiver, le peu de végétation présente était au mieux de leur forme.
 
Tout cela, mon père nous l’évoquait. Ce jour précisément, sur un chemin à la rigueur carrossable, il observa avec son ami, à 15° d’azimut au maximum, donc relativement bas, un objet de forme ovale et qui se trouvait, selon lui, à moins d’un kilomètre. Cet objet, une masse grise, qui semblait métallique, avançait lentement dans l’espace, venant de l’Est (la province) et allant vers la Mer (vers Casablanca). Il estimait sa grosseur à 5 à 6 m de long pour 3 mètres de large ou plus précisément de haut. Il faut prendre ces dimensions avec une certaine incertitude, l’éloignement peut tromper et notre œil n’est pas apte à donner avec précision des dimensions à cette distance. Cette distance, il l’estime à partir de bosquets, de plantes grasses qui poussent dans la campagne et au dessus desquelles l’objet semblait se situer. Cet objet tout d’un coup est descendu en direction du sol, il a semblé se poser. La végétation, même à cette distance, empêchait mon père de discerner véritablement si l’objet était vraiment posé au sol. L’objet, dés qu’il a été observé par mon père et son ami, a évolué en ligne droite, lentement, durant au moins une minute, avant de faire cette manœuvre en direction du sol. Mon père et son ami n’ont pas quitté le lieu à partir duquel il observait cet étrange engin, totalement inhabituel et dont ils ne pouvaient absolument pas donner une identification quelconque. Ce n’était pas un avion (très rare à l’époque en ce lieu) encore moins un dirigeable, en aucun cas une météorite ou un quelconque bolide venant de l’espace. L’objet était d’ailleurs très bas et l’atterrissage s’est fait tout d’un coup, l’objet descendant à angle droit vers le sol, aussi lentement que lorsqu’il se déplaçait.
 
Mon père me racontait, qu’au bout de quelques minutes, il avait avec son ami, commencé à se rendre en direction de l’objet, a pied. Ils avaient parcouru 50 à 70 mètres, en marchant normalement, donc environ une minute et ils ont vu l’objet remonter vers l’espace, a faible vitesse, approximativement la même que lorsqu’ils l’avaient observé lors de son déplacement horizontal. Cela a duré une dizaine de secondes, puis l’objet, qui avait toujours la même apparence, est parti à une vitesse vertigineuse vers la campagne, direction Est. En une seconde, il avait disparu à l’horizon, prenant progressivement de l’altitude. L’objet a pris instantanément une vitesse incroyable, impossible à l’époque selon notre technique et les engins fabriqués par l’homme. Vu la distance, l’identification aurait été relativement facile a faire. Même aujourd’hui, avec cette description et les caractéristiques du déplacement de l’objet, on ne peut toujours pas donner une solution.
 
Cette observation a beaucoup marqué mon père qui la racontait souvent en famille. Il était vraiment déçu de ne pouvoir donner une explication à ce qu’il a vu. Pour lui, cet objet, bien matériel, bien qu’il ne pouvait en discerner les détails (apparence lisse de loin, pas de fenêtre ou hublot, pas de dôme, une simple masse qu’il lui semblait métallique). Évidemment pour lui, ayant vécu à l’époque glorieuse des « soucoupes volantes » dans les années 50 -55, c’était un de ces engins qui pourrait venir d’un autre monde. Mais lui n’a pas pu voir d’êtres aux abords, trop loin, la vision cachée par la végétation. Une simple certitude, l’objet a du atterrir ou alors rester à quelques centimètres du sol.
 
Les deux témoins sont allés en direction du lieu supposé de l’atterrissage, mais ils n’ont rien observé d’anormal au sol. La terre était dure, donc pas possible d’y trouver d’empreinte. La végétation trop peu dense, donc pas possible d’y trouver de l’herbe qui aurait pu être écrasée. Ils ont cherché, mais rien, pas d’indice, pas de végétation brûlée. Après avoir fait ces recherches, rapide, un coup d’œil vu qu’on ne voyait rien dans l’espace supposé de l’atterrissage, au bout de 10 minutes ils ont regagné le chemin et ils ont poursuivit leur chemin. Ils ont évoqués durant des heures cette observation entre eux, puis en ont parlé à leur retour. Mais toujours pas d’explication, les interlocuteurs ayant d’autre part beaucoup d’autre soucis et un travail constant à assumer. Les heures consacrées aux loisirs étaient rare, le personnel devait toujours être à la disposition de la hiérarchie.

Mon père qui est décédé il y plus de 10 ans, n’a jamais trouvé une explication, il n’hésitait pas à en parler toutefois, ne craignant pas le ridicule, lui étant certain d’avoir eu la chance de pouvoir observer quelque chose d’inconnu et peut être provenant d’une autre civilisation hors de notre univers.

Photo : reconstitution de la scène par Gérard Lebat (c).
Source : Archive Email avec le fils du témoin conservé par l'auteur.
 
15 MARS 1944 – ANFA - CASABLANCA – CATALOGUE UFOCAT
Voir le catalogue Ufocat en fin de l'ouvrage.
 
En 1946, OBSERVATION DE FUSEES FANTOMES EN SCANDINAVIE, puis au Portugal au Maroc et en Turquie.
 
1946, aux environs du 15 septembre
MAROC, Casablanca

Le phénomène de "fusée" est observé à Casablanca, laissant un immense sillage verdâtre. (Antonio RIBERA: "Procès aux Ovni" - De Vecchi 1977, p. 37)

11 au 13 SEPTEMBRE 1946 – TANGER
Les informations concernant une vague d’observations au Maroc sont particulièrement confuses et contradictoires. Lundi 16, l’Agence France-Presse diffusa depuis Paris un communiqué affirmant qu’à Tanger, entre minuit et une heure, pendant trois nuits successives (donc du 11 au 13), de grandes boules de feu avec de longues traînées vertes et rouges avaient été observées. Sur place, on supposait qu’il s’agissait de « fusées » semblables à celles de la Scandinavie. On pourrait donc supposer que les informations ci-après se réfèrent aux mêmes événements (même si l’on doit ajouter ceux de Fez), à moins que la vague n’ait continué les jours suivants ? Impossible de trancher sur la base des informations disponibles.

Ufocat référence 11413 pour le 16 à Tanger.

Source : Stilo, Giuseppe, L'alba di una nuova era, UPIAR, Turin, 2004, pp. 109-110 – Traduction Bruno Mancussi
 
18 SEPTEMBRE 1946 - CASABLANCA - 17 SEPTEMBRE 1946 - FEZ - TANGER -
Dall’Africa al Nord Europa - Invasione di siluri volanti?

Londra, 18 settembre – Le segnalazioni di razzi misteriosi che incrociano apparentemente a capriccio sulle zone più disparate d’Europa, non escluso il bacino del Mediterraneo, vanno facendosi sempre più frequenti e non mancano di suscitare una certa preoccupazione in alcuni circoli. Qualcuno si chiede se non si sia alla vigilia di una vera e propria invasione di questi strani ordigni. E’ di stasera la notizia, di un siluro volante, notato sull’abitato di Fez, nel Marocco, che lasciava lungo il suo percorso una ben visibile scia di fumo.
 
Un altro proiettile ha sorvolato a bassa quota i quartieri periferici di Tangeri.
L’osservatorio di Lisbona segnala dal canto suo la comparsa di strane sfere infuocate in diverse parti del Portogallo. Nella zona d’occupazione britannica in Germania una consimile sfera di fuoco è stata segnalata su Pinneberg, località situata a sedici chilometri da Amburgo.

(“La Gazzetta d’Italia”, Torino, del 19 settembre, p. 4) La stampa inglese ed americana parlava di segnalazioni a Fez il 17. Casablanca, 18 sett., mercoledì (U. P.). Oggi si è avuta notizia che un proiettile volante dotato di “una coda di fiamme” è stato visto ieri sera sulla città di Fez, in Marocco. Quasi alla stessa ora un missile simile è stato segnalato nelle vicinanze di Tangeri. Testimoni da entrambe le località dicono che i proiettili sembravano volare a bassa quota da est ad ovest, che erano assai più veloci di qualsiasi aeroplano e che lasciavano una sottile coda di luce verde gialla. Si muovevano a grande velocità. (B. U. P.) (Tail of flame over Morocco, in “Daily Telegraph”; Mystery Projectiles Zip Over Fez, Tangier, in “The Washington Post”, p. 4, entrambi del 19 settembre)

Référence UFOCAT pour Casablanca situé au 17 :1141
Source : Stilo, Giuseppe, L'alba di una nuova era, UPIAR, Torino, 2004, pp. 109-110
 
07 – 1948 CASABLANCA
Début juillet 1948 - Récit de M. Gérard Caparros, fils des témoins :
 
« En début d'après-midi, mes parents, Prosper et Anita Caparros, se promenaient dans le quartier Maarif, sur le boulevard Brahim Roudani (anciennement boulevard Mazagan), en direction du centre ville. Ils se trouvaient près de l'intersection de ce boulevard avec la rue du Pelvoux, ou la rue du Mont-blanc, lorsqu'un objet de forme ovale passa, assez lentement, au-dessus de leurs têtes, sur une trajectoire orientée sud-nord, vers la mer. Cet objet, de grande taille, avait des couleurs flamboyantes (rouge, jaune, ...) disposées de façon concentrique. Soudain, il a accéléré et a disparu.
 
Il y a eu d'autres témoins que mes parents et il semble que les journaux aient relaté l'incident. »

Témoignage déposé sur http://ovni-ufologie.over-blog.org/ - Relaté également par Joël Mesnard, directeur de la revue Lumières dans la Nuit sur le site de la revue LDLN.

1949 – DATE INCONNUE – RÉFÉRENCE UFOCAT
Voir catalogue Ufocat en fin de l'ouvrage.
 
DÉBUT DES ANNÉES 1950 – PORT LYAUTEY UNE ENQUÊTE - AUTHENTIQUE ET PLEIN DE NATUREL SUR UNE ANCIENNE OBSERVATION AU MAROC

ENQUÊTE DE REMY FAUCHEREAU

Infatigable, Rémy Fauchereau enquête auprès des témoins, dans sa région, afin de mémoriser un maximum d'observations d'ovni. Lorsqu'il a appris que nous réalisions un dossier sur LES OVNI AU MAROC, il a retrouvé dans ses archives un cas intéressant. Par chance, le témoin est encore en vie et il a décidé de le rencontrer à nouveau, de tourner le film de cette enquête, de ce témoignage.
 
Le résultat est étonnant : une véritable confession, plein d'authenticité et touchante au plus haut point. Le travail fait par Remy Fauchereau pour faire ressortir de la mémoire du témoin les caractéristiques de cette observation est exceptionnel.
 
Dans le début des années 50 (il y a 60 ans de cela !) une "planche" est passée, en direction des terres, au couché du soleil, observée dans le ciel à partir de Port Lyautey. L'objet était bien au dessus de l'horizon, vers 6 / 7 heures du soir......
 
Un DVD concernant cette enquête a été fait par Rémy Fauchereau, figurant dans les archives de l'auteur.
 
 
DÉBUT DES ANNÉES 50 CASABLANCA – JUIN OU JUILLET
Témoignage de M. Perez recueilli le 26 janvier 1971.

Il y aurait eu des milliers de témoins, et l'observation fut signalée dans les journaux (Le Petit Marocain, La Vigie, Le Maroc quotidien). M. Perez, qui a passé 17 ans dans l'armée de l'Air, est catégorique : il ne s'agissait pas d'un avion, mais d'un objet en forme de cigare, « long comme deux wagons de chemin de fer », portant une dizaine environ de hublots alignés. Autour de cet objet, on remarquait une auréole incandescente, jaune-rose. Altitude estimée : 3 500 m. L'objet resta immobile un instant, se mit en mouvement, s'arrêta de nouveau, puis s'éloigna définitivement. L'observation avait duré environ une minute.

Source : Joèl Mesnard
 
MARS 1950 - RÉFÉRENCE UFOCAT22 mars 1950 - EL MOUDZINE - Maroc.
Des employés de la station expérimentale des tabacs à El-Moudzine, voient apparaître dans le ciel une traînée lumineuse suivie par une masse sphérique aux reflexts métalliques. L'engin dont la grosseur est égale à celle d'un soleil couchant disparaît à l’est, à très vive allure.

Source : Journal nostra
Dépèche « France soir »

Trois employés de la régie des tabacs à El Moudzin, près de Port Lyautey ont aperçu mercredi, vers 18h30 un engin ressemblant à un bloc de ciment grisâtre, filant à une très grande vitesse dans le ciel et laissant derrière lui une trainée de fumée. Le passage de l’engin qui allait d’Ouest en Est, a duré deux secondes.

Source : Journal inconnu daté du 25 Mars 1950, observation du 22 mars 1950.
 
23 Mars 1950 – EL MOUDZINE - UFOCAT
Dans le catalogue Ufocat, Claude Poher situe ce cas en 1951 ce qui est probablement une erreur ?   Voir catalogue en fin d'ouvrage.

Soucoupes volantes partout.
Des « objets bizarres » aperçus dans le ciel du Maroc.
Rabat, 24/25 mars 1950 environ. (OBSERVATION DU 23 ? ndlr)

En divers points du Maroc, des habitants ont signalé depuis 48 h le passage dans le ciel « d’objets bizarres ». A 40 km de Rabat, notamment, une dizaine de personnes ont aperçus avant-hier, vers 18h, un objet qui se déplaçait à vive allure, de l’est vers l’ouest, laissant une traînée lumineuse rougeâtre qui persistait quelques secondes.

La couleur des objets étaient, affirment les témoins, très exactement celle du ciment séché, avec de vagues reflets métalliques.

Hier soir, à Tanger, diverses personnes ont observé « un objet lumineux de grand diamètre » qui se dirigeait très rapidement vers l’ouest, laissant également derrière lui un sillage « phosphorescent ».

Source Var Matin République – année 1950 – Le Provencal du 26 mars 1950
 
23 MARS 1950 – RABAT
De divers points du Maroc des habitants ont signalé depuis 48 h le passage dans le ciel d’objets bizarres. A 40 km de Rabat une dizaine de personnes ont aperçu un objet se déplaçant à vive allure de l’est vers l’ouest, laissant une traînée rougeatre qui persista quelques secondes.

Source : Lumière dans la Nuit, Nr 211-212 de Janvier/février 1982
 
24 MARS 1950 TANGER
Diverses personnes ont observé un objet lumineux de grand diamètre se dirigeant vers l’ouest, laissant un sillage « phosphorescent ».

Source : Lumière dans la Nuit Nr 211 -212 de Janvier/Février 1982.
 
26 MARS 1950 (ou 24 Mars ? ) – RABAT- TANGER – PORT LYAUTEY
Le Caire, 26 mars. – Dans une localité à 40 km de Rabat on a vu plusieurs objets étranges, « couleur du ciment sec », observés l’autre jour par une douzaine de personnes, qui ont déclaré qu’après le passage de « ces choses » (soucoupes volantes, à l’époque), le ciel avait été illuminé par une lueur rougeâtre qui avait persisté quelques secondes. Il semble toutefois que les observations aient déjà commencé le 21. En effet, dans les 48 heures suivantes, plusieurs habitants de différents points du pays signalèrent le passage d’objets bizarres dans le ciel. A Tanger, l’autre soir, un grand disque parfaitement circulaire fut également observé, qui laissait un sillage phosphorescent durant environ une minute. Le 26, à 15h, une « assiette » fut aperçue dans le ciel de Port-Lyautey. Elle passa à une vitesse vertigineuse à environ 1500 mètres d’altitude, laissant derrière elle une traînée de fumée laiteuse. Elle fut observée par 500 personnes, ouvriers et dirigeants d’une grande entreprise étatique. (Giornale dell’Emilia du 27 mars, Corriere della Sera, La Sicilia et Alto Adige du 28 mars; Fernand, Lagarde, « Rétrospective », Lumières dans la Nuit, n° 211-212; jan.-fév. 1982, p. 4)

Source : Stilo, Giuseppe, Scrutate i cieli!, UPIAR, Turin, 2000, pp. 351-352.
Traduction Bruno Mancussi
 
AUX ENVIRONS DU 8 AVRIL 1950 - CASABLANCA
Selon le Giornale dell’Isola du 8 avril, les soucoupes volantes avec une longue traînée auraient également fait leur apparition à Casablanca.

Source : Stilo, Giuseppe, Scrutate i cieli!, UPIAR, Turin, 2000, pp. 351-352 –Traduction Bruno Mancussi.

1952 OU 1953 – CASABLANCA
Témoignage de Mme Muller, recueilli le 10 décembre 1970.
 
Vers la tombée de la nuit apparut un " cigare " sombre qui se déplaçait en ligne droite, venant de la mer. Sa vitesse était à peu près « celle d'un avion ». Une fumée s'enroulait en spirale sur l'arrière du cigare.

Les journaux (La Vigie de Casablanca, ou Le Petit Marocain ?) signalèrent le passage de cet objet, ajoutant même qu'un avion avait dû manœuvrer pour éviter le cigare. (Personnellement, Mme Muller n'a pas vu cet avion).

Source : Joel Mesnard
 
1952 – PORT-LYAUTEY
Ce cas est rapporté au cours d’une conversation entre le témoin et Rémy Fauchereau, enquêteur local. Il sort véritablement de la « mémoire collective », notre témoin étant très âgé et ce cas jamais évoqué. Les quelques brides d’information restant dans la mémoire, pas très bonne, du témoin, seront donc maintenant sauvegardées.
 



C’était dans le désert, (1) le soir, alors que j’étais sous notre « guitoune » en compagnie de plusieurs camarades, raconte t’il. Ils boivent le thé et sortant de la tente, c’est alors qu’il aperçoit un « truc » lumineux passer dans le ciel. Il appelle ses camarades qui observent aussi le phénomène. Ils décrivent l’objet comme une soucoupe, le témoin emploi plutôt le comparatif suivant : « c’était comme une planche » ! J’étais au Maroc, dans la région de Port Lyautey comme employé de la société Beghin, vous savez la société Beghin qui fait le sucre ! J’avais été envoyé là bas en tant qu’électriLe témoin a donc vu une « planche brillante », en pleine nuit, alors qu’il était dehors près de sa tente. Il était donc sur Port Lyautey, dans l’arrière pays, dans les terres, mais pas très loin de la mer, selon ses déclarations. Il a travaillé là-bas en 1951 – 1952 et situe cette observation en 1952. Il déclare aussi avoir déjà observé cette « chose » qui « tombait » (il faut comprendre descendait) du ciel et qui ensuite allait tout droit (à l’horizontale). Cette planche arrivait à grande vitesse et ce ne peut en aucun cas être un avion, même Américain, ils ne se déplace pas ainsi.
 
Cette observation a fait l’objet d’une seconde entrevue avec le témoin. Cette entrevue a été filmée et nous disposons de l’enregistrement complet. L’objet, en forme de « néont », »régle lumineuse ou encore planche lumineuse, est apparu dans le ciel à 45 degrés environ. Stable il a descendu quelques secondes comme une feuille morte. Puis après quelques secondes il s’est déplacé vers l’ouest, direction de la mer, partant lentement et accélérant, puis s’arrêtant brusquement. Après quelques secondes dans cette position immobile, ce « néont » est revenu à se place initial. Il a disparu ensuite, comme s’éteingnant, donc instantanément. Le témoignage est complet dans la vidéo que nous vous présenterons sur le net ultérieurement.
 
(1) Le mot « désert » ne doit pas être interprété comme nous l’entendons habituellement, Port Lyautey et sa région étant une région ou la verdure, la végétation, les arbres sont présents et non pas une région désertique comme le Maroc Saharien. Les zones de « sables » ne sont d’ailleurs que peu présentes au Maroc ou les régions les plus sèches sont essentiellement « caillouteuses ». Rappelons aussi que Port Lyautey, située sur une rive du fleuve Sebou, est une ville construite par les Français et fondée en 1912. Elle a changée depuis sa création de nom pour s’appeler maintenant « Kenitra », une ville calme sur un port fluvial actif, située au bord de l’océan atlantique, à 30 Kms de Rabat.
 
(2) L’enquêteur note que le témoin emploi les terme de « désert du Sahara » « et ajoute aussi, pour situer le cas, que c’était à l’époque du tremblement de terre d’Agadir. Il est évident que la mémoire du témoin s’est beaucoup altérée car nous ne sommes nullement dans le désert, mais non loin de Port Lyautey, proche de la mer ou l’installation de Beghin est compatible. Quant au tremblement de terre, il a eu lieu en 1960, donc beaucoup plus tard. Nous retenons la date à laquelle il travaillait dans ce pays, car elle situe mieux cette observation.
 
Source : relevé de conversation de Rémy Fauchereau. Archives de l'auteur

28 AVRIL 1952 - CEUTA
Un groupe d'objets volants a été vu dans les cieux au-dessus de Ceuta le 28 Avril 1952. Les objets émettaient une lumière intense et se déplaçaient très rapidement. Leur transit a duré entre deux et cinq minutes (d'autres sources indiquent entre dix et quinze minutes) et ils étaient accompagnés par un bruit puissant en pleine puissance.

Source : Olmedo Andalousie Misteriosa Angel Carretero - S. Corrales
 
29 AVRIL 1952 – TETOUAN.
Nel Marocco Francese e Spagnolo Tetuan, 29. - Un gruppo di dischi volanti è stato scorto lunedì nel cielo di Ceuta. Da essi sprigionava una intensa luce e la loro velocità era rilevante. Il passaggio dei dischi è durato da 2 a 5 secondi ed è stato accompagnato da un potente rombo. (“La Nazione Italiana” e “Giornale dell’Isola” del30 aprile)

Source : Stilo, Giuseppe, Ultimatum alla Terra, UPIAR, Torino, 2002, pp. 462-464
 
30 AVRIL 1952 – CEUTA – CATALOGUE UFOCAT -
voir en fin d'ouvrage.

FIN AVRIL 1952 – CEUTA -
Vers la fin du mois, une escadrille de Soucoupes Volantes survola Ceuta (Près de Tanger). Un groupe d'employés de la pêcherie à la baleine de Benzou aperçut, à midi, une série de disques qui passaient dans le ciel en direction Nord-Ouest à grande vitesse en produisant un puissant ronflement. De Ceuta, ces mêmes disques brillant intensivement furent visibles durant 10 à 15 minutes. (Jimmy GUIEU :"Les S.V. viennent d'un autre Monde" Fleuve Noir 1954 - Réédition Omnium Littéraire 1972 p.50)

Référence Ufocat Nr 17318 – Ufocat à comme source Jacques Vallée. Obser faite à 12 h 00
 
MAI 1952 – MAROC ESPAGNOL – CATALOGUE UFOCAT.
Il est possible que ce cas soit en réalité celui de Tétouan le 29 avril (date non confirmée). Tétouan est en Maroc Espagnol. Les infos sur le cas étant vagues, il a pu être placé en Mai au lieu d’Avril.
 
12 ou 13 MAI 1952 – CASABLANCA
Casablanca, 13 mai, matin. – Des témoins oculaires affirment que des « soucoupes volantes » ont fait leur apparition hier dans le ciel du Maroc français. Ces témoins déclarent avoir observé dans un premier temps un avion qui volait à très haute altitude en direction de l’est et, peu après, deux objets décrits comme très de gros disques très lumineux sont apparus dans le ciel, volant parallèlement, dans la même direction que l’avion et laissant derrière eux une traînée grisâtre. Selon certains spécialistes, il ne s’agirait que d’un phénomène de condensation en relation ou non avec le passage de l’appareil. Rappelons qu’il y a quelques jours, des soucoupes volantes avaient été signalées dans le ciel du Maroc espagnol. (Le Ultime Notizie, Trieste, et Pomeriggio, Bologne, du 13 mai et Gazzetta di Parma, La Nazione italiana, Il Tirreno, Il Secolo XIX, La Sicilia, Corriere di Sicilia, Catane, et Giornale dell’Isola, Catane, tous du14 mai)

Catalogue Ufocat. Situé à la date du 12 mai. Réf. 17372.
Source : Stilo, Giuseppe, Ultimatum alla Terra, UPIAR, Turin, 2002, pp. 462-464. – Traduction Bruno Mancusi.
 
13 MAI 1952 – OUJDA. CATALOGUE UFOCAT
Voir en fin d'ouvrage le catalogue Ufocat

27 Mai 1952 – TEMOIN MAC DOWELL – BLUEBOOL - SOURCE UFOCAT.
 
7 JUIN 1952 – MEKNES
OO-W-23759
FLYING SAUCER OVER MEKNES, MOROCCO -- Algiers, Echo d'Alger, 11 Jun 52

Two witnesses reported a flying saucer appearing above Meknes at 1300 hours on 7 June 1952. One of them said that he saw a bright light in the sky moving at lightning speed. He was able to compare its speed with that of some T-33 planes flying near the Meknes base, for they seemed very slow by comparison. The unknown apparatus emitted a white, trail of smoke and made no sound. It drew near, described a parabola in the sky, stopped, and then disappeared toward Ifrane in the south.

Source : Document de la CIA déclassifié.
Écho d’Alger du 11 juin 1952
 
9 JUIN 1952 – MEKNES – CATALOGUE UFOCAT.
Voir catalogue en fin d'ouvrage

12 JUIN 1952 – MARRAKECH
A 11 h 26 à Marrakech, le sergent/T H. D. Adams, utilisant un système radar SCR-584, détecte un blip non identifié à 650 noeuds (750 miles/h) à une altitude supérieure à 60000 pieds.

Extrait de cas Blue Book n° 1270 non expliqué.
Ufocat Ref 52401.
 
15 JUIN 1952 - TAOUIRT -
Oran, 15 juin.

Un étrange phénomène a été aperçu hier matin dans le ciel de Taourit, dans le Maroc oriental. Pendant 30 secondes, les ouvriers d’un chantier local ont pu voir un disque incandescent de couleur blanche, entouré de deux anneaux, qui semblait se diriger vers la terre, en laissant derrière lui un sillage de fumée. (Giornale dell’Emilia et Giornale di Sicilia du 16 juin)

Source : Stilo, Giuseppe, Ultimatum alla Terra, UPIAR, Turin, 2002, pp. 462-464
Traduction Bruno Mancusi

15 JUIN 1952 – TAOUIRT - AUTRE SOURCE
FLAMING DISC ABOVE TAOUIRT, MOROCCO -- Algiers, Echo d'Alger, 16 Jun 52

On the morning of 15 June 1952, a strange phenomenon appeared above Taourirt, French Morocco. For 30 seconds, dock workers saw a disc of white flames surrounded by two circular strands, with smoke trailing behind it. The fiery object, which seemed to move earthward, vanished rapidly.

Source : Document CIA déclassifié.
Echo d’Alger du 16 juin 1952
 
15 JUIN 1952 – TAOUIRT - AUTRE SOURCE
Rabat 16 Juin. Des ouvriers travaillant dans la région de Taourirt (Maroc oriental) ont vu évoluer dans le ciel durant une trentaine de secondes, un disque de feu qui laissait derrière lui une trainée de fumée.

Un phénomène identique avait été signalé à Casablanca le jour précédent.

Source : Journal « Combat » du 17 Juin 2008
 
CASABLANCA - 15 JUIN 1952
SAUCER OVER CASABLANCA -- Alger, Journal d'Alger, 16 Jun 52

After Meknes and Marrakech, Casablanca bad its flying saucer on 15 June 1952. It was observed by Andre Assorin, a former pilot. The Meteorological Bureau claims that is has not seen this unusual apparition above Casablanca.

Source : Document CIA déclassifié.
Echo d’Alger du 16 juin 1952
 
18 JUIN 1952 – CASABLANCA – CATALOGUE UFOCAT
Voir catalogue Ufocat en fin d'ouvrage.
 
12 JUILLET 1952 HAD COURT
Vers la mi-juillet, il semble qu’il y ait eu une petite vague d’observations au Maroc. La nuit du 12, dans la localité de Had Court, deux policiers auraient vu deux soucoupes volantes « de forme allongée, suivis d’une traînée de lumière blanche » qui se déplaçaient à grande vitesse du nord au sud. Le 13, deux habitants de Fédala auraient observé à 23h45 un objet sphérique vert-bleu. Il disparut après trois ou quatre secondes comme s’il s’était « dissout dans le ciel ».

Source : Stilo, Giuseppe, Ultimatum alla Terra, UPIAR, Turin, 2002, pp. 462-464 et Saga’s UFO Report, vol. 7, n° 3, août 1979, p. 16 – Traduction de Bruno Mancusi.

Note : le cas de Fédala fait l’objet à la date du 13 d’un rappel.
 
12 JUILLET 1952 – MECHRA BEL KSIRI
De Mechra bel Ksiri on nous rapporte qu’en date du 12 juillet 1952, deux soucoupes volantes ont été vues par deux policiers du service de nuit à Had Kourt. Les soucoupes avaient une forme allongée et étaient suivies par une traîbnée de lumière blanche, les objets filaient à très grande vitesse du nord vers le sud..

Source: Saga’s UFO Report Page 16, Vol. 7, No. 3, August 1979

CIA voir ci-dessous
 
12 JUILLET 1952 – LOUIS GENTIL.









A Louis-Gentil, le 12 à 21h30, de nombreux témoins observèrent un « disque jaune » d’« environ trente centimètres » de diamètre, se déplacer d’est en ouest.

Source : Stilo, Giuseppe, Ultimatum alla Terra, UPIAR, Turin, 2002, pp. 462-464 –
Traduction de Bruno Mancusi.
 
12 JUILLET 1952 – MECHRA BEL KSIRI – SOURCE CIA
Nous reproduisons ci-dessous pour information, le document de la CIA
CENTRAL INTELLIGENCE AGENCY REPORT NO. OO-W-23845

INFORMATION FROM
FOREIGN DOCUMENTS OR RADIO BROADCASTS CD NO.

COUNTRY French Morocco; French West Africa DATE OF
INFORMATION 1952

SUBJECT Military - Unidentified aircraft

HOW DATE DIST. {2 Sept} 1952
PUBLISHED Daily newspapers

WHERE
PUBLISHED Dakar; Casablanca NO. OF PAGES 2

DATE
PUBLISHED 12 - 18 Jul 1952

LANGUAGE French SUPPLEMENT TO
REPORT NO.

THIS IS UNEVALUATED INFORMATION

SOURCE Newspapers as indicated.

UNIDENTIFIED FLYING OBJECTS OVER MOROCCO AND FRENCH WEST AFRICA

EYEWITNESS REPORTS SAUCER OVER DAKAR -
Conakry, La Guinee Francaise, 12 Jul 52

France-Afrique Dakar weekly reports the statement of an eyewitness who claims to have observed a flying saucer above Dakar at 0608 hours on 3 July 1952.

According to this account, the object was flat and tapered in shape and issued forth bluish and reddish flames which were quite long and very clearly visible. The report further stated that the object was moving southward at a great rate of speed, at an altitude of approximately 1,500 meters. The report added that the stars were no longer visible at the time of the saucer sighting and that there were no aircraft in flight over Dakar at the time.

FLYING OBJECTS SEEN IN MOROCCO - Casablanca, La Vigie Marocaine, 16 Jul 52
It is reported from Mechra bel Ksiri that on 12 July 1952, two flying saucers were seen by two policemen on night duty at Had Kourst. The saucers were elongated in shape, followed by a trail of white light, and traveled at a high rate of Speed from north to south.

On 13 July 1952, two inhabitants of Fedala reported having seen, at 2345 hours, a blue-green, ball-shaped object, followed by a short trail of light, and moving at a rather high rate of speed. According to the eyewitnesses, the object disappeared after about 3 or 4 seconds as though it had literally melted in the sky.

On 14 July 1952, a man and his wife reported having observed for about 30 seconds, at about 0900 hours, a mysterious flying object traveling from Ifrane in the direction of Meknes.

ARCHIVAL RECORD
PLEASE RETURN TO APPROVED FOR RELEASE
AGENCY ARCHIVES, [ ] DATE {6 Nov 78}



13 Juillet 1952 – Base de Nouasseur. Bluebook. Source Ufocat.
Catalogue en fin d'ouvrage

CAS FIGURANT DANS LA BANQUE DE DONNEES « BANQUE OVNI » Evidemment comme tous ces projets aléatoires, un gros travail est fait, qui ne sert a rien par la suite, car inaccessible ! Ces cas sont donc à compléter si vous disposez d’informations.
 
13 juillet 1952 :
 art  - cigare, SO/se/NE, 5s, x.T -  - /32491
 - 09:25 - 434 - Casablanca (Maroc)         33°39   +7°35 
 
13 Juillet 1952
art  - masse verte à tuyère (T: 3 pilotes) - "1"/39493
 - 09:3x - 434 - Rabat (Maroc)              34°02   +6°51 
 
13 Juillet 1952 
art  - cigare lumineux -  - "1"/32494
 - 22:00 - 434 - Oukaimeden (Maroc)            ?       ? 
 
13 Juillet 1952
art  - sphère blanche 5mm.bdb NE/SO, se fractionne en 3 se suivant - *1*/32492
 - 22:00 - 434 - Asni (Maroc)               31°14   +7°55 
 

13 JUILLET 1952, FEDALA – Complément au cas du 12 JUILLET – HAD COURT – Il s’agit là de la partie concernant Fedala.
Le 13 juillet 1952, deux habitants de Fedala disent avoir vu, à 23h45, un objet sphérique bleu-vert, suivi par une courte trainée de lumière et volant à assez grande vitesse. D’après les témoins, l’objet disparut au bout de trois ou quatre secondes, comme s’il c’était fondu dans le ciel.

Source: Saga’s UFO Report Page 16, Vol. 7, No. 3, August 1979Source : Stilo, Giuseppe, Ultimatum alla Terra, UPIAR, Torino, 2002, pp. 462-464
Source : CIA - voir document ci dessus

13 JUILLET 1952 – CHICHAOUA – BOUZNIKA – BAULHAUT.
Di nuovo il 13, alle 21.30 due abitanti di Chichaoua avrebbero visto tre “fuochi bianchi” nel cielo. Lo stesso giorno, fra le 21 e le 22 oggetti volanti insoliti furono segnalati anche a Bouznikaou e a Baulhaut.
 
Dans un document déclassifié de la CIA on lit :

OO-W-23845
[ ]

Casablanca, Maroc-Presse, 16 Jul 52

Two inhabitants of Chichaoua report having seen three "white fires" in the sky at 2130 hours on 13 July 1952.
 
Meanwhile, it is reported from Louis Gentil that at 2130 hours on 12 July 1952, several persons saw a yellow flying disk, about 30 centimeters in diameter, moving very rapidly from east to west.

Unusual flying objects were also reported seen at Bouznikaou and Baulhaut between 2100 and 2200 hours on 13 July 1952.

(tutti da “Maroc-Presse”, Casablanca, del 16 luglio).
Source : Stilo, Giuseppe, Ultimatum alla Terra, UPIAR, Torino, 2002, pp. 462-464
Source : Document déclassifié de la CIA
 
OUVRAGE DE J. PLANTIER
2 pilotes d'Aéro-club du Maroc sont dépassés par un "cigare" qui disparaît devant eux dans une gerbe d'étincelles - Ouvrage de J. Plantier et info citée dans le numéro 84 de septembre 1953 de la Revue mensuelle de l'Armée de l'Air.

 
SOURCE : FORCES AÉRIENNES FRANCAISE – JUILLET 2003
Dans le châpitre « Correspondance » on peut lire

LE CIGARE LUMINEUX DE CASABLANCA
Dans l’article sur les Soucoupes paru en février, il avait été question de ce cigare lumineux, suivi d’une « flamme bleu-vert » qui avait dépassé rapidement, à faible distance, un avion de l’Aéro-Club de Casablanca.

Le Capitaine de Frégate Parent, de l’état major de la marine à Casablanca, témoin du phénomène, a bien vous nous rapportes ses observations, très intéressantes par leur précision et leur objectivité, que nous résumons ci-dessous.

Le phénomène a été vu, simultanément, d’un grand nombre de villes du Maroc. Les observations concordent quant à l’heure, la durée de l’apparition, l’aspect général et la route de l’objet, mais divergent considérablement quant à l’altitude. Les témoins de Casablanca avaient l’impression que l’objet était à très faible altitude. Mais d’une part le fait qu’il ait pu être vu de points très éloignés les uns des autres – le commandant Parent était à Ifrane, à plus de 200 kms, à vol d’oiseau de Casablanca -, d’autre part le recoupement des renseignements fournis par les observateurs établissent, sans aucun doute, que le phénomène était très haut dans l’atmosphère, à 50 kms d’altitude au moins.

Comment expliquer une telle différence dans des témoignages par ailleurs concordants ? Il n’est pas possible d’admettre que la taille de l’objet ait été suffisante pour que, alors qu’il passait très haut au dessus de Casablanca, les observateurs aient eu, du sol, par comparaison instinctive avec les dimensions habituelles des avions, l’impression de proximité. Il n’a pu non plus y avoir trajectoire, montant à 50 km et se terminant près du sol, puisque des témois éloignés ont vu, en même temps, la projection d’étincelles qui a précédé d’un instant la disparition de l’objet. On peut supposer qu’il y a eu un phénomène de réflexion ou de réfraction, une sorte de mirage, mais rien de précis ne peut être avancé.

Quant à la description de l’appariton, voici celle qu’en fait le Commandant Parent (à 200 Km de distance) :

« Apparence ?... On sentait, plutôt qu’on ne le voyait, un corps allongé de très faible diamètre angulaire semblant traîner un jet de chalumeau oxyacétylénique d’un violet brillant avec projection d’étincelles. Il a décrit dans le ciel une trajectoire d’environ 15° et a disparu à la vue, probablement obsorbé dans l’éclat du soleil couchant. Compte tenu de la distance supposée, sa vitesse était considéralement moins grand que celle d’une étoile filante, mais considérablement plus grande qu celle de tout avion connu. »

Le Commandant Parent, très objectif, ne prend pas parti mais pense cependant qu’il aurait pu s’agir d’une fusée téléguidée, échappée au radioguidage d’un centre d’essai.

13 JUILLET 1952 – CASABLANCA
Il 13, alle 22, almeno quaranta persone videro un “oggetto luminoso” volare nei pressi di Casablanca.
 
Dans un document de la CIA ont lit :

LUMINOUS OBJECT SEEN NEAR CASABLANCA -- Casablanca, Maroc-Presse, 15 Jul 52

Forty persons have reported that at 2200 hours on 13 July 1952, they observed a "luminous flying object" in the vicinity of Casablanca.

Source : (“Maroc-Presse”, Casablanca, del 15 luglio
Source : Stilo, Giuseppe, Ultimatum alla Terra, UPIAR, Torino, 2002, pp. 462-464
Source : Document déclassifié de la CIA
 
13 JUILLET 1952 : ASNI - OUKAIMEDEN – CASABLANCA –
Rabat 15 juillet. On a signalé en quatre endroits différents des soucoupes volantes.
 
Un groupe de jeunes sportifs se reposaient dimanche soir ( donc le 13 juillet 1952) vers 22 heures à l’Oukaimeden, station de sports d’hiver située dans le haut Atlas à 35 kms à vol d’oiseau au sud de Marrakech, devant le chalet de service de la Jeunesse et des Sports dont la terrasse domine le plateau de l’Oukaimeden, quant ils aperçurent soudain un objet ayant la forme d’une voule vlanche de la grosseur de la pleine lune, volant horizontalement du nord est au sud ouest, qui bientôt se partageant en trois tronçons, ressemblant à trois wagons lumineux attachés à la même rame. L’engin disparut derrière un des sommets de la station.
 
Pendant ce temps,à 25 kilomètres à vol d’oiseau à l’ouest de cette station, sur la route Marrakech-Tarroudant par le Tizi n’Test, à l’auberge du Sanglier qui fume, non loin du petit village d’Asni ? une quarantaine de personnes de Marrakech, parmi lesqulles le chef de région et le consul du Portugal, virent, vers 22 h 00 un enfin dont la description qu’elles en ont faite correspond ) celle des jeunes gens de l’Oukaimeden.

Le même jour à Casablanca et dans la région de Rabat, deux groupes de trois et deux personnes ont vu un engin qui ne resemblait en rien à un avion.
 
Les premiers, trois aviateurs de l’Aéro-Club de Casablanca, ont vu à 9 h 25, à l’auberge de Skirat, petite plage près de Rabat, une fusée avec une masse verdâtre et un prolongement qui ressemblait à une tuyère d’avion à réaction.De temps à autre en jaillissaient des éclats lumineux comme des étincelles.
 
Senssiblement à la même heure, à Casablanca, près du commissariat de police central, un couple aperçut un engin lumineux, silencieux, ayant la forme d’un cigare.

Source : Le Bien Public en date du 16 Juillet 1952.
 
1 3 JUILLET 1952 : ASNI - OUKAIMEDEN.
MAROC, Plateau de l'Oukaimeden (Haut Atlas)

A 22 heures, un groupe de jeunes sportifs se reposaient sur le plateau de l'Oukaimeden (station de sports d'hiver, Haut Atlas) quand ils aperçurent soudain un engin ayant la forme d'une boule blanche et le diamètre apparent de la pleine lune. Il volait horizontalement du Nord-Est au sud-ouest, bientôt se partagea en trois tronçons ressemblant à trois wagons lumineux attachés à une même rame. Les "tronçons" disparurent derrière un des sommets de la station. Pendant ce temps, à 25 km à vol d'oiseau de l'Oukaimeden, sur la route de Marakech-Taroudant par le Tizi N'Test, proche du village d'Asni, une quarantaine de personnes virent vers 22 heures un engin dont la description qu'elles en firent concordait exactement avec celle des jeunes gens de l'Oukaimeden. (Jimmy GUIEU: "Les S.V. viennent d'un autre Monde" Fleuve Noir 1954 - Réédition Omnium Littéraire 1972 p. 63

Ref / UFOCAT 17664 - 17662
 
13 JUILLET 1952 - CASABLANCA
A 9 heures 25, trois aviateurs de l’Aéro-club Casablancais virent à leur tour une fusée avec une masse verdâtre et un prolongement (ressemblant à la tuyère caudale d'un avion à réaction) d'où jaillissait parfois des éclats lumineux. (Jimmy GUIEU: "Les S.V. viennent d'un autre Monde" Fleuve Noir 1954 - Réédition Omnium Littéraire 1972 p. 63
 
13 JUILLET 1952 – OUKAIMEDEN – REGION DE L’OUKAIMEDEN - CASABLANCA.
Rabat, 15, matin. – Hier, des « soucoupes » lumineuses auraient été observées dans le ciel de quatre localités différentes du Maroc. Un groupe d’alpinistes européens a aperçu au-dessus d’Oukaimeden, dans les montagnes de l’Atlas, une sphère blanche ayant apparemment les dimensions de la pleine lune, qui volait du sud en ouest. A un certain moment, la sphère a semblé se séparer en trois parties distinctes et a disparu derrière une montagne.

A vingt-cinq kilomètres de distance, un autre groupe de personnes ont vu à plusieurs reprises un objet en forme de cigare, de couleur vert clair, se déplacer silencieusement dans le ciel et à grand vitesse.

(Le Ultime Notizie, Trieste, du 15 juillet; Il Popolo et La Nuova Sardegna du 16 juillet, L’Adige et Giornale dell’Isola, Catane, du 18 juillet).
Source : Stilo, Giuseppe, Ultimatum alla Terra, UPIAR, Turin, 2002, pp. 462-464 -
Traduction Bruno Mancusi.

13 ( ?) JUILLET 1952 – RABAT – CASABLANCA – MARRAKECH – TAROUDANT.
Rabat, 15. – Cette nuit, des soucoupes volantes ont été observées en quatre points du Maroc : à 35 km au sud de Marrakech, à Tafoudant, à Casablanca et dans la région de Rabat.

(Pomeriggio, Bologne, du 15 juillet, Giornale dell’Isola, Catane, Voce Adriatica, Gazzetta di Parma et Il Corriere di Catania du 16 juillet).
Source : Stilo, Giuseppe, Ultimatum alla Terra, UPIAR, Turin, 2002, pp. 462-4
Traduction de Bruno Mancusi.

14 JUILLET 1952 – RÉFÉRENCE UFOCAT.
3 cas voir catalogues Ufocat en fin d'ouvrage.
 
Le 14 JUILLET 1952 - IFRANE.
Un homme et son épouse rapportent avoir observé durant environ 30 secondes, vers 09h.00, un mystérieux objet volant d’Ifrane en direction de Meknes.

Source: Saga’s UFO Report Page 16, Vol. 7, No. 3, August 1979
Source “La Vigie Marocaine” du 16 Juillet 1952
Source : Stilo, Giuseppe, Ultimatum alla Terra, UPIAR, Torino, 2002, pp. 462-464
Source : CIA voir ci-dessus.
 
14 JUILLET 1952 – MARRAKECH – IFRANE – MEKNES. (Idem ci-dessus).
Vi fu poi la grande ondata della sera del 14 luglio. “L’Echo du Maroc” del giorno 16 scrisse che una grande disco luminoso che volava orizzontalmente era stato visto da Marrakech alle 21, sparire poi con una fiammata. Dopodiché, sarebbe apparso un secondo disco più piccolo, che anch’esso volando in linea retta dirigeva a sud-ovest. Lo stesso giorno, altri “dischi volanti” erano stati osservati sulla zona di Ifrane mentre dirigevano verso Meknes.

Source : Stilo, Giuseppe, Ultimatum alla Terra, UPIAR, Torino, 2002, pp. 462-464
 
16 JUILLET 1952 – RABAT – CATALOGUE UFOCAT





16 JUILLET 1952 - MARRAKECH
vers 21 heures (probablement le 16 juillet 1952, N.d.A.) diverses personnes ont vu un grand disque lumineux volant horizontalement, avec un mouvement sautillant et rebondissant. Vint ensuite un rayon de lumière. Un second disque, de plus petite dimension, apparut, se mouvant horizontalement vers le sud-ouest. L’apparition dura environ une minute. Des disques lumineux qui se mouvaient à vitesse vertigineuse ont été vus de divers points de la région de Marrakech.

Source : http://web.tiscalinet.it/lareteufo/marocco2.htm Traduction Godeliève Van Overmeir

ENVIRON DU 16/17 JUILLET 1952 DAIET AOUA. 
Gli abitanti della regione di Daiet Aoua riferirono di aver visto al suolo “di recente” un “oggetto ovoidale, blu, fosforescente”, decollare rapidamente e volare via seguito da una scia bluastra. Gli osservatori avrebbero stimato che l’oggetto era “lungo venti metri”. (“Maroc-Presse”, Casablanca, del 18 luglio

Dans un document déclassifié de la CIA on lit :

OVOID OBJECT SEEN TAKING OFF IN DAIET AOUA REGION
Casablanca, Maroc-Presse, 18 Jul 52

Inhabitants of the Daiet Aoua region, French Morocco, have reported seeing recently a "'blue, phosphorescent, ovoid, object" on the ground rise rapidly in the air, followed by a bluish trail. The observers estimated the object to be 20 meters long.

Source : Stilo, Giuseppe, Ultimatum alla Terra, UPIAR, Torino, 2002, pp. 462-464.
Source : Document déclassifié de la CIA
Maroc Presse du 18 juillet 1952
 
20 JUILLET 1952 – CASABLANCA – CATALOGUE UFOCAT
 
20 JUILLET 1952 – DAI EL AOUAGRI
M. Petijean voit une soucoupe décoller ; elle lance des éclairs bleus et dégage une forte odeur de souffre en train de brûler.

Source: Peter Brookesmith - UFO the complete sightings catalogue.
 
Le 20 JUILLET 1952 - DAI EL AOUAGRI
(Info plus complete) – A minuit trente à Dai-el-Aouagri, Maroc, Mr. R. Petijean observait un objet lumineux d’une envergure de 20 mètres, au sol. Lorsque l’engin décolla il émit des flashes bleutés et laissait derrière lui une odeur de souffre brûlé.

(Source: Jacques Vallee, Passport to Magonia: A Century of Landings, p. 199)
Référence Ufocat : 18038. 17792 .17794. 17793. 71047. – LDLN nr 100bis
 
30 JUILLET 1952 – OUED TARIA - SOURCE UFOCAT.

2 AOÛT 1952 - MOULAY BOUSSELHAM
Vers 20h45 un groupe de cinq personnes voyait un disque lumineux ou une sphère dans le ciel de Moulay Bousselham, du Maroc français. L’objet, rouge dans le cnetre et bleuâtre sur le bord volait assez rapidement du sud-est vers le nord-ouest, restant visible pendant environ vingt secondes avant de disparaître à l’horizon..

Source : http://web.tiscalinet.it/lareteufo/marocco2.htm - Traduction de l’Italien par Godeliève Van Overmeire.
(“L’Echo du Maroc”, Rabat, 5 Août 1952)
Stilo, Giuseppe, Ultimatum alla Terra, UPIAR, Torino, 2002, pp. 462-464
Source : Document déclassifié de la CIA
 
7 OU 8 AOUT 1952 – PORT LYAUTEY – (selon Ufocat : Mina Hassam Tani le 7 et le 8)
Le 7 août, vers 23h, à Port-Lyautey, où se trouve une base de l’aéronavale américaine, un lieutenant de l’US Navy vit une lumière brillante et ronde traverser le ciel. Un peu avant, ce soir-là, une fameuse observation avait eu lieu, celle effectuée par deux pilotes de l’US Navy qui venaient de décoller de Port-Lyautey, les lieutenants D.M. Dobos et Foster, qui suivirent pendant quelque temps une lumière très brillante.

(Information report du lieutenant N. J. Traves, de l’Office of Naval Intelligence, base aéronavale de Port-Lyautey, Maroc français, annexe I, déclaration du lieutenant G. B. Green, et annexe VI, déclaration du lieutenant Foster, 15 août 1952. Archives du Project Blue Book)

Catalogue Ufocat ref: 52894 et 52895
Source : Stilo, Giuseppe, Ultimatum alla Terra, UPIAR, Torino, 2002, pp. 462-464
 
26 AOUT 1952 – MARRAKECH – SOURCE CATALOGUE UFOCAT
vOIR CATALOGUE uFOCAT
 
9 SEPTEMBRE 1952 - RABAT
A 21 h à Rabat, E. J. Colisimo, illustrateur civil des renseignement de l'USAF, observe durant 5 s un disque avec des lumières sur sa circonférence voler aussi vite qu'un chasseur d'entraînement T-33, selon un trajet légèrement incurvé

Source : cas Blue Book n° 2062 non expliqué. –
(Project Blue Book - cfr Don Berliner).
Catalogue Ufocat Ref 53075.
 
9 SEPTEMBRE 1952 – RABAT.
Six objets volants insolites furent observés à Rabat le soir du 9 septembre, de 21h à 21h40. Ils étaient de forme discoïdale et silencieux.

(Operational Immediate Message, à l’Air Matériel Command de la base aérienne de Wright-Patterson, Dayton, Ohio, provenant de la 5e Division aérienne USAF de Rabat, Maroc français, 18 septembre 1952.

Archives du Project Blue Book
Source : Stilo, Giuseppe, Ultimatum alla Terra, UPIAR, Turin, 2002, pp. 462-464
           

18 SEPTEMBRE 1954 – CASABLANCA –
20 h 15 – Un petit disque gris à survolé une voiture, à très vive allure suivi par des courants d’air froids. Observation communiquée par Mr Guitta de Casablanca.

Source : Revue Ouranos. LDLN nr 95bis
 
21 SEPTEMBRE 1952TANGER – MARRAKECH - CASABLANCA
Des ovnis apparaissent au-dessus de Tanger, Marrakech et Casablanca. A l'Ouest de Nefik, un disque volant à vive allure change de forme pour celle d'une ellipse et s'immobilise brusquement tandis que des bruits d'explosion en parviennent. Puis il reprend son chemin à la même allure, dans la même direction, et aussi lumineux qu'auparavant.

(Site RR0 notamment)
 
21SEPTEMBRE 1952 - CASABLANCA. 
Témoin : Mr Sedrejas. Claude Poher. Catalogue Ufocat.

21 SEPTEMBE 1952 – RABAT – ORIGINE BLUEBOOK DANS LE CATALOGUE UFOCAT.
Témoin : Creze - Catalogue Ufocat Certainement celui cité dans le cas de Fez Azemmour meknes Safi Ci-dessous.

21 SEPTEMBRE 1952 – FEZ – AZEMMOUR – SAFI – MEKNES ETC….  
Numerose sono le fonti di stampa marocchine sul transito di questo probabile bolide visto la sera del 21 settembre intorno alle 18.30. “L’Echo du Maroc” propendeva appunto per tale ipotesi. Avvistamenti c’erano stati da Fez, Azemmour, Meknes, Safi, eccetera. L’oggetto viaggiava da est ad ovest, in apparenza lentamente e a bassa quota. Il “Maroc-Presse” scrisse anche che esso emetteva sbuffi di fumo, che si fermò un attimo e si girò su se stesso emettendo una pioggia di scintille. Il pilota di un aereo da turismo ed ex-pilota militare che stava per atterrare a Casablanca, certo Creze, per una durata di dieci secondi, alle 18.25 se lo vide passare accanto ad una distanza che stimò in “cinquanta metri”! Interrogato sui dettagli, Creze dichiarò che l’oggetto era passato alla sua sinistra. Volava orizzontalmente da est ad ovest, parallelo al piccolo aereo che in quel momento viaggiava a 220 chilometri l’ora ed a 450 metri di quota. A Creze parve che il corpo si spostasse a una velocità doppia rispetto alla sua. Richiamò l’attenzione del suo passeggero, che lo vide anch’egli: sembrava una fiamma brillante verde - blu e aveva una forma oblunga, sigariforme. Era silenzioso, e, dopo aver sorpassato l’aereo, scomparve in direzione del mare. Il pilota dichiarò che aveva preferito non inseguirlo, temendo di “subire la stessa sorte toccata al capitano pilota americano Mantell”. Un meccanico che era a terra, sulla pista dell’aeroporto, ritenne addirittura di vederlo sfrecciare, luminoso, fra il suo punto di osservazione e l’aereo.

(“Maroc-Presse”, Casablanca, du 22 et du 23 septembre 1952).
Source : Stilo, Giuseppe, Ultimatum alla Terra, UPIAR, Torino, 2002, pp. 462-464.
LDLN n° 126, Juin-Juillet 1973 cite : « Dans la région d’Azemmour, 100 kms au S-O, Mr Hareu et ses ouvriers virent eux aussi passer le Bolide, mais presque immédiatement après, ils entendirent le bruit d’une explosion. »
 
21 SEPTEMBE 1952, - CASABLANCA
(Également cité dans le cas ci-dessus)

Les 5000 spectateurs du match de boxe Famechon-Bohbot ont aperçu à 18 h 20 (heure locale), un engin lumineux qui traversait le ciel de Casablanca. Deux employés du contrôle local de l'aérodrome l'ont également aperçu, ainsi que des habitants de Tanger, de Louis-Gentil et de Marrakech. Les témoignages concordent à la fois en ce qui concerne la direction et l'aspect de l'objet. Celui-ci avait nettement la forme d'une boule incandescente d'un vert très clair prolongée par un cône d'où s'échappaient des flammes rougeâtres. (...)
 
Un document déclassifié de la CIA dit :

THOUSANDS WITNESS SAUCER OVER MOROCCO AND TANGIER --
Casablanca, Maroc-Presse, 22 Sep 52

On 21 September 1952, at about 1820 hours, an unusual object, possibly a saucer, flew at great speed over Casablanca. Shortly afterwards, about 15 telephone calls were received from local residents, and our Tangier correspondent

The inventor claimed that the craft, equipped with motors, has a diameter of 40 meters and can rise and descend vertically or remain motionless in the air. He estimated its maximum speed as 4,000 kilometers per hour.

Jimmy GUIEU: "Les S.V. viennent d'un autre Monde" Fleuve Noir 1954 - Réédition Omnium Littéraire 1972 p.77-80)
 
(...): le pilote d’un avion privé et des témoins au sol observent un objet lumineux bleu-vert en forme de cigare.

Source : (Projet Acufoe – 1999 – Dominique Weinstein)
Source : CIA document déclassifié.
LDLN n° 126, Juin-Juillet 1973, sous la plume de Fernarnd Lagarde, elle cite : « fin septembre 1952 : Journaux du 24 septembre 1952, on apprenait qu’un pilote Français, Monsieur Grèse, qui se rendait à Casablanca, a été, en vue de l’aérodrome en avion de Séville à Casablanca, a été en vue de l’aérodrome de Tilmellil-Casablanca, approché par un objet de forme oblongue qui semblait entouré d’une flamme verte. Il se trouvait alors à une altitude de 500 mètres : « J’amorçais un piqué l’engin vint à passer au-dessous de moi, se redressa, accéléra brusquement et me dépassa sur une trajectoire E-O en direction de la mer ». Dans la région d’Azemmour, 100 kms au S-O, Mr Hareu et ses ouvriers virent eux aussi passer le Bolide, mais presque immédiatement après, ils entendirent le bruit d’une explosion.
 
Le 21 mars 1953, j’avais dans mon bureau, avec deux de ses amis, Mr Bayeux, qui avait fait à cette époque une observation qu’il me narait, et pour en ficer la date, me précisait que c’était le même jour que les observations précédentes qu’il avait appris en rentrant, ce qui en fait l’intérêt;
 
Il travaillait à l’époque comme chef d’équipe électro-mécanicien aux Phosphates de Marrakech. Ce jour là, en promenade, il se trouvait aux environs de Khiey, en auto avec sa petite nièce et deux autres personnes, dans le Haut-Atlas, où culmine le Djebel Toubkal, à 4165 m. Dans la vallée qui les conduisait à Khiey, ils étaient descendus pour manger des arbourses, lorsque, en direction du QS. Dans l’échancrure en V de deux montagnes, ils aperçurent, dans le ciel bleu, un engin qui débouchait, d’apparence métallique, gris métallisé, avec jet lumineux en avant et en arrière. D’un blanc lumineux à la sortie, la couleur du jet se modifiait, pour se terminer en violet foncé, qui se confondait avec le bleu du ciel. La trajectoire étaient orientée selon l’Atlas, NE – SE, la durée de l’observation a été de 4 secondes environ. Le témoin à retenu l’heure : entre 18 h 05 et 18 h 10. Le point de la trajectoire à 8 à 10 kilomètres des témoins peut être estimé à 31°21’ de latitude N et 7° 50’ E.
 
22 OU 23 SEPTEMBRE 1952 : TITMELLILAPT – SOURCE CATALOGUE UFOCAT.
Observation située aussi au 23. – Probable aussi que ce soit le même cas que celui du 21.
6 entrées dans le catalogue Ufocat en fin d'ouvrage.
 
22 SEPTEMBRE 1952 - CASABLANCA – TANGER – GENTIL – MARRAKECH.
Casablanca, 22, matin. Un objet lumineux a été observé par plusieurs centaines de personnes au-dessus de la ville de Casablanca, à environ trois mille mètres d’altitude. Certains affirment que l’objet volant était une lumière verte orangée et se déplaçait à grande vitesse. D’autres, en revanche, déclarent que l’objet n’avait pas de queue et volait lentement. Cinq mille personnes présentes à un match de boxe auquel participait le champion européen des poids plumes Ray Famenchon, ont aussi observé le phénomène et affirment qu’il s’agissait d’une boule incandescente de couleur verte avec un cône de flammes orangées. Deux fonctionnaires de l’aéroport se trouvaient à la tour de contrôle et ont vu le phénomène. Des habitants de Tanger, Louis-Gentil et Marrakech ont également observé un objet volant semblable. Au Maroc, il y a des avions américains, parmi lesquels des chasseurs à réaction. Il n’a pas été possible de vérifier à ce jour s’il y en avait un en vol.

(Le Ultime Notizie, Trieste”, du 22 septembre et Giornale di Sicilia du 24 septembre 1952)
Source : Stilo, Giuseppe, Ultimatum alla Terra, UPIAR, Turin, 2002, pp. 462-464
 
1953 PRINTEMPS (PEUT ÊTRE) OUED ZEM Témoignage de Mme Compain, recueilli à Lagny le 15 avril 1971.
Sortant du cinéma, vers 17 h ou 17 h 30, cette dame et sa mère, ainsi qu'un certain nombre d'autres personnes, virent un objet allongé, très brillant, qui se déplaçait à très grande vitesse, en émettant à sa partie postérieure des lumières multicolores où dominait l'orangé. Cet objet sembla disparaître sur place. L'observation n'avait duré qu'environ 3 secondes.

Source : Joél Mesnard
 
25 MARS 1953 : NOUASSEUR AFB – RABAT – FRENCH MAROCCO (BBU)
Source Américaine
9:23-10:15 p.m. (GMT). Majors Radin and Rend plus 1+ crew of C-47 at 5,000 ft saw white light above at 7,000 to 8,000 ft maneuvering in spiral pattern over airfield, descend and land on airbase S of runways at 9:28 p.m. visible until suddenly blinked out on the ground at about 10:15. (Source: Hynek UFO Rpt pp. 83-87; FUFOR Index);
 
Source Italienne
Au Maroc, le 25 mars 1953, l’équipage d’un C-47 américain en vol d’entraînement, observa un objet volant au-dessus de la base de Nouasseur. Le commandant déclara au service secret de l’Armée de l’air américaine que l’objet, qui s’était approché à très grande vitesse, était passé à 600-900 mètres au-dessus de l’avion et avait ensuite traversé l’espace aérien de la base militaire. A ce moment, il avait ralenti et s’était exhibé en une série de manœuvres en spirale, en cercles toujours plus étroits, comme s’il était en train de s’écraser au sol. Au quatrième tour, l’ovni descendit et en accomplit un autre, cette fois-ci beaucoup plus large, à la fin duquel il s’abaissa encore jusqu’à atterrir en un lieu à la périphérie de la base. « En revenant à Nouasseur – écrivit le commandant de l’avion dans son rapport – nous vîmes que la lumière se trouvait toujours au même point et montrait la même fluctuation irrégulière d’intensité. Nous en informâmes la tour et, restant à une altitude de 1200 mètres, nous commençâmes à tourner autour de la zone. D’après ce qu’ils nous avaient dit, l’officier commandant de l’aérodrome était en train de conduire une équipe de recherche. Nous continuâmes à tourner en rond durant 15-20 minutes. Puis, à environ 22h15, mon attention fut distraite pendant un moment et lorsque je recommençais à regarder le sol, la lumière n’était plus visible. Nous en informâmes immédiatement la tour. A terre, le brouillard commençait à s’épaissir, mais, en comparant avec les autres lumières présentes dans la zone, il n’était pas encore assez dense pour être responsable de cette disparition… »

UFO Notiziario" Nuova Serie - N. 19 dell'Aprile 2001_
 
Source Française
25 mars 1953, MAROC, base Nouasseur (Rabat)

"Le soir je pilotais un appareil pour une mission régulière d'entraînement au vol de nuit, étaient également à bord... (4 noms cités) A 21 h 23 j'ai observé un aéronef venant en sens inverse, volant plus haut que nous, à 600 ou 1200 m d'altitude par rapport à notre appareil. On a aussitôt coupé le pilote automatique comme il est de règle. On ne voyait ni feu vert ni rouge, uniquement une lumière de la taille et de l'intensité normales du feu de navigation blanc. Le major Rend, faisant office de pilote instructeur, regardait la lumière par le hublot et fit la remarque qu'elle était bizarre. J'ai viré à gauche pour revoir cette lumière. Nous étions ainsi au-dessus de la base de Nouasseur à 1500 m d'altitude. A ce moment la lumière effectuait une rotation vers la gauche. La lumière tournait au-dessus de nous en cercles de plus en plus petits et à vitesse considérablement moindre. Les tours de contrôle contactés ne signalèrent aucun avion dans le voisinage. La lumière avait alors (il s'était passé de 2 à 3 minutes) un comportement bizarre, avec des modifications brusques de trajectoire et de vitesse. Puis finalement elle est partie en décrivant un large cercle, vers le sud à une vitesse descendante estimée à 650 km/h. Nous avons atterri à Casablanca à 21 h 38 et nous avons été avisés que deux autres C 47 signalaient la lumière et que le radar recevait 4 échos alors qu'il n'y avait que 3 avions en vol (...) Nous sommes donc remontés pour surveiller cette lumière. A 22 h 15 quelque chose a détourné mon attention et ensuite la lumière n'y était plus.

(J. Allen HYNEK: "Nouveau rapport sur les Ovni" - Belfond 1979, p. 85, 86)
Ufocat référence Nr : 19181 - 19182 – 54360
 
SOURCE ITALIENNE – TRADUIT PAR NEMO DE MAGIKOVNI ET PUBLIE SUR LE FORUM DE BENZEMA
Ca s’est passé le 25 mars 1953, vers 21 h 23, l’équipage d’un C-47 américain en cous d’entraînement au-dessus de la zone Française du Maroc, a observé un objet volant non identifié qui s’immobilisa à la verticale de la base de Nouasseur. Le commandant déclara aux services secrets de l’aéronautique militaire, que l’objet arriva à une très haute vitesse et qu’il leur passa dessus à 6900 mètres et traversa ensuite l’epace aérien de la base, sur ce point il avait ralentit et il commença à évoluer en spirale, en faisant continuellement des cercles, de plus en plus petit, comme s’il était en train de s’écraser, au quatrième tout, l’ovni en fit un nouveau mais plus grand et en s’abaissant, il descendit jusqu’à atterrir à un point périphérique de la base.

Arrivé au dessus de Nouasseur, le commandant écrivit sur son rapport : ‘ nous avons vus que la lumière était toujours sur le même point et présentait la même fluctuence irrégulière, nous informâmes la tour de contrôle de la base et nous nous établissons à une hauteur de 1200 m et tournons en cercle au-dessus de cette zone.








Selon ce que nous avait dit l’officier, commandant l’aérodrome, il était en train de conduire une équipe de recherche.

Nous continuâmes à tourner en rond, environ entre 15 et 20 mn, puis mon attention fut distraite un instant. Lorsque je fixais de nouveau le sol, la lumière n’était plus visible.Nous informâmes immédiatement la tour. La nuée commençait à s’épaissir, mais en comparant avec les autres sources lumineuses au sol, ce n’était pas justifiable pour provoquer cette disparition.
 
Les résultats de cette recherche ne nous furent jamais dévoilés car ils ont été classés « top secret » par les services secrets Américains. Seulement après quelques années de « batailles » légale et en vertue d’une loi qui permet la divulgation partielle de documents militaires, il a été dévoilé d’autres « Wfiles » au sujet d’autres observations d’ovni au dessus du Maroc.

DEBUT SEPTEMBRE 1953 : DOUAR R’BAT D’OUED-ZEM DE CASABLANCA.
Les colons du douar R'bat, à Oued Zem, entendirent un bruit sourd, la nuit, qu'ils crurent provenir d'un tremblement de terre. L'un d'eux sortit de chez lui, intrigué, mais ne remarqua rien d'anormal. Ce n'est que le lendemain matin, qu'interrogeant deux bergers marocains ceux-ci lui déclarèrent qu'un engin, ayant la forme d'un cigare éclairé de feux multicolores, était passé à très vive allure et dans un grand bruit à une dizaine de mètres au-dessus du sol. Le colon constata alors que la toiture d'un hangar avait été arrachée. Le bétail et la volaille s'étaient dispersés. S'il s'était agi d'un avion, le fait d'avoir arraché le toit d'un hangar aurait causé des dégâts à l'appareil, au train d'atterrissage, notamment. Or, aucun avion accidenté ne fut signalé. Les deux bergers marocains n'auraient donc pu confondre un appareil classique ou à réaction avec un "engin ressemblant à un cigare éclairé de lumières multicolores".

Source : (Jimmy GUIEU: "Les S.V. viennent d'un autre Monde" Fleuve Noir 1954 - Réédition Omnium Littéraire 1972 p. 137).
Catalogue Ufocat : 57445 – 19577.
 


2 SEPTEMBRE 1953 – SIDI SLIMANE

AFB
A 21 h 14 à la base USAF de Sidi Slimane, observation des lieutenant-colonel William Moore et le 1er lieutenant J. H. Mc Innis.

Source : cas commission Blue Book non résolu.
Ufocat ref 19578 - RR0

Autre Source :
9:14 p.m. Témoins: Lt. Col. William Moore et lst Lt. J.H. McInnis, (...) leur formation allait d'une ligne incurvée elliptique, jusqu'à une ligne droite stricte. Leur vitesse variait de 1,000 m.p.h. jusqu'à une vitesse quasi nulle en planant. Durée de l'observation: 3-4 minutes.

(Project Blue Book - cfr Don Berline.)
 
A SUIVRE SUR LA PAGE 2
DE L'HISTOIRE DES OVNIS AU MAROC

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