L’objectif
de l’association de fait Les Repas Ufologiques, créée par moi-même, faisait
suite à des réunions cordiales et amicales ou l’amitié était de mise. C’est entre
autres dans cet état d’esprit qu’elle a œuvré durant une dizaine d’année. Elle
a été après mon départ sur l’étranger, totalement transformée et totalement
réorientée vers une organisation qui n’a engrangée au fil des années que
polémiques et menaces les plus diverses. De nombreuses plaintes auraient été
déposées ces dernières années à l’encontre de son président ou ex-président
dont l’égo surdimensionné l’a amené à continuellement déraper. Certaines
seraient encore en cours.
J’apprends
par le net que son président ou plutôt ex président puisque il a démissionné, a
ses dires sur le net pour protéger l’association, vient d’être condamné dans un
jugement en date du 9 décembre 2019 jugé par le Tribunal d’instance de
Narbonne, dans un des dossiers portés en justice, pour « insultes publiques ».
A titre de réparation, deux personnes obtiennent de la part de l’ex-président
de cette association, recréé par lui-même, divers dommages et intérêts en
réparation des préjudices subis.
Ce
jugement démontre le bien fondé des rumeurs et propos régulièrement formulés
par ce personnage, qui au fil des années, expulsait de son groupe toutes les personnes
qui ne le soutenait pas, sans tenir compte du plus élémentaires des droits :
la liberté d’expression.
Il
y a bien longtemps que je me suis désolidarisé de cette copie de l’association
que j’ai créée et qui était alors présente dans la grande majorité des
reportages médiatiques sur le dossier ovni, devenue également une interlocutrice
référencée des médias d’alors. Sa notoriété internationale à d’ailleurs
rapidement cessée d’exister, au profit d’un groupe reconnu comme polémique et
peu sérieux vu les diffusions d’informations des plus fantaisistes, dénuées de
tout caractère scientifique. Cette situation a largement contribué à la « décadence »
du mouvement ufologique en France, éloignant de ce dossier la grande majorité
des chercheurs dans ce domaine, mouvement qui aujourd’hui ne présente plus le caractère
sérieux et reconnu dans les médias nationaux que nous prônions.
Gérard
LEBAT
Aux termes de l’article 1240 du Code Civile, « tout
fait quelconque de l’homme, qui cause a autrui un dommage, oblige celui par la
faute duquel il est arrivé à le réparer ».
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