UAP ET OVNI EN PHOTOS

 L’HISTOIRE DES SOUCOUPESVOLANTES EN PHOTOS

LE GROUPE D’ETUDE DES OBJETS SPATIAUX DE FRANCE - avait entreprit de réaliser des séries de diapositives représentant sous forme de photos ou de dessins artistiques, l'histoire des OVNI. 9 séries ont ainsi vue le jour avec des thèmes différents. D'autres étaient disponibles à la publication, mais les fonds de l'association eux n'étaient pas suffisant. Diffusées dans le monde entier, ces séries de diapositives sont maintenant toutes épuisées ou invendables du fait des années (les vues sont très pâles, les couleurs n'ont pas supporté les années). Elles représentent pour les ufologues une source unique de documents souvent inédits qui ont servi à réaliser des centaines, voire des milliers, de conférences. Elles ont été également reproduites par de nombreux journaux et par certaines encyclopédies.  

Les documents que nous publions ci-après reprennent les séries éditées, des documents préparés pour des séries qui étaient aptes à être réalisées ainsi qu'un certain nombre de documents exceptionnels, souvent inédits, issus des archives photographiques du GEOS FRANCE. (Certains documents de certaines séries étant, avec le temps, devenus de mauvaise qualité, n'ont pas été repris ici.) Le GEOS France a été fondé en 1969, mais personnellement je me suis occupé du dossier OVNI dès 1966, quelques temps après l'atterrissage de Valensole qui avait eu pour action de me faire me poser des questions sur les soucoupes volantes, sans pour cela déclencher ma curiosité au point d'y consacrer une partie de ma vie.

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SÉRIE 1 :
LES DISQUES DE BAIAN KARA OULA

LA CIVILISATION DES DROPAS

Cette série de diapositives éditée par CASADAMONT était la première série de ce qui allait devenir "l'histoire des soucoupes volantes en diapositives". Ces séries étaient planifiées et documentées par Gérard Lebat, les grandes lignes des deux premières séries ont été élaborées par Gérard Lebat, pour les éditions Casadamont, les dessins réalisés par l'éditeur Casadamont. L'affaire de BAIAN KARA OULA n'est certainement pas le dossier le plus solide en matière d'OVNI dans les temps anciens. Cette série remontant à la fin des années 60, cette histoire venait d'être publiée dans de nombreux journaux ou ouvrages. Aucune vérification n'étant à la portée de l'association à l'époque, (bien que des courriers aient étés envoyés dans différentes administrations Chinoises) elle a donc été prise telle quelle. Par la suite, des chercheurs ont tentés de l'authentifier, sans y parvenir. On remonte des sources en Pologne, Allemagne, Urss, mais elles n'ont pas débouché sur la personne qui a émis l'information. La Chine ne dément pas, mais ne confirme pas. Nous devons être méfiant quant à l'authenticité de cette information. Toutefois, cela illustre en tout état de cause les nombreux documents qui nous démontrent que dans les temps anciens, les OVNI probablement, visitaient déjà notre planète. 

HISTORIQUE

L'une des histoires les plus extraordinaires et incroyables relatives à des visiteurs extraterrestres débute en 1938 alors que l'archéologue Chi Pu Tei découvre une série de tombeaux régulièrement creusés et alignés dans des cavernes artificielles des montagnes de Baian Kara Ula près de la frontière sino-tibétaine. Entre des décorations montrant de petits êtres coiffés de casques, des étoiles, des planètes et des lignes qui les joignent, il trouva de petits squelettes aux larges crânes. Il fut vite évident que les étranges squelettes n'étaient pas ceux d'une espèce inconnue de singe, lesquels n'enterrent pas leurs morts.

On trouva également des objets de pierre contenant des traces de métaux incongrues, parfaitement circulaires et ornée de symboles stellaires et d'une écriture minuscule en spirale. Ce n'est qu'en 1962, qu'un linguiste chinois réussit à traduire le texte d'un des 700 disques entreposés à l'Académie de Pékin.

Cette traduction nous rapporte l'histoire d'un groupe d'êtres qui se sont écrasés sur la Terre il y a 12.000 ans et qui se sont trouvés incapables de réparer leur vaisseau. Ce groupe fut d'abord traqué, à cause de son apparence inhabituelle, par la tribu de chasseurs qui occupait les lieux, mais finit à force de gestes pacifiques à se faire accepter et à s'installer en paix. Cette traduction fur largement ignorée ou moquée par les collègues du traducteur, car elle ne cadrait vraiment pas avec les idées que l'on pouvait alors accepter.

« De très anciennes légendes chinoises font d’ailleurs référence à « un peuple de petits hommes jaunes venus des nuages » avec « des têtes si grosses et si horribles qu’ils étaient pourchassés et tués ». Parlent-elles des Dropas ? »

La Chine n’a ouvert ses frontières qu’il y a peu de temps ; peut-être est-ce cela qui explique l’absence d’enquête approfondie sur les Dropas.

Il faut tout de même dire que leur intérêt pour ces lieux avait été éveillé, à l'époque, par la découverte d'une série de tombes alignées avec soin qui contenait des restes de squelettes. En 1965, 716 autres disques gravés furent trouvés dans les mêmes cavernes.

Résumé de : http://minuit.forum-actif.net/t278-les-dropas-une-race-extra-terrestre-vivant-sur-terre

 En général, nous avons créé un fichier image à partir des diapositives originales datant de l’année d’édition, d’où une dégradation importante des couleurs que nous avons légèrement récupéré à partir d’un programme d’édition photos.

PRESENTATION DIAPOSITIVE 1

Depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours notre planète a été visitée par des astronefs habités venus de mondes inconnus.

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LOCALISATION DIAPOSITIVE 2

Aux confins de l'Inde et du Tibet, dans l'Himalaya, à 3500 m d'altitude, les grottes de BAIAN KARA OULA.

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LES HAMS ET LES DROPAS DIAPOSITIVE 3

Dans cette région vivent deux tribus, les Hams et les Dropas, des hommes d'environ 1m 30. Leur origine : indéterminée. Ils n'appartiennent à aucune origine ethnique connue.

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LEUR HABITAT DIAPOSITIVE 4

Leurs habitats sont simples, leurs ustensiles de cuisine sont taillés dans le bois. L'intérieur est très peu meublé.

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DECOUVERTE DIAPOSITIVE 5

Sous contrôle de l'armée Chinoise, cette région est sous le commandement du Maréchal Chang Kai Chek. Son armée à découvert dans ces grottes 716 disques de 35 à 50 cms de diamètre, qui portaient un double sillon spiroïdale partant de l'orifice central et rejoignant le bord extérieur.

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LES DISQUES DIAPOSITIVE 6

Les premiers disques furent transportés à l'université de Pékin ou les premières observations permirent de constater une importante proportion de cobalt dans la composition des disques qui émettaient des vibrations à un rythme inhabituel

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DECOUVERTE DIAPOSITIVE 7

L'examen des doubles sillons révéla des signes en relief dont le graphisme ne pouvait se comparer à aucune écriture connue. Il y a plus de 50 ans le professeur TSOUM OUM NUI lors d'une déclaration à l'académie des sciences de Pékin révélât qu'il avait décrypté ces disques

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ARRIVEE DES EXTRATERRESTRES DIAPOSITIVE 8

Le professeur TSOUM OUM NUI explique : à cette époque lointaine des astronefs habités se posèrent à plusieurs reprises à Baian Kara Oula. Ils explorèrent méthodiquement la région.

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1er CRASH D'OVNI (bien avant Roswell !) DIAPOSITIVE 9

Quelques milliers d'années plus tard, lors d'un atterrissage, leur vaisseau s'abime. Impossibilité de le remettre en état, ni de contacter leur civilisation d'origine. Certains périrent, les survivants parvinrent progressivement à s'adapter aux conditions de la vie terrestre.

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LE RETOUR DIAPOSITIVE 10

Quelques milliers d'années plus tard, un nouveau vaisseau revint sur les lieux. Malheureusement, les quatre occupants ne purent établir un contact aisé avec les descendants des extraterrestres, qui étaient redevenu des êtres primitifs.

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CONTACT DIAPOSITIVE 11

Les extraterrestres se sont mêlés aux habitants et la communication a été très élémentaire. Les DROPAS, ont pour légende qu'ils descendraient des " nuages". Ce n'est peut-être pas aussi faux que cela, en effet, ils descendraient même directement des " extraterrestres";

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TOUJOURS LES OVNI DIAPOSITIVE 12

120 siècles avant notre ère, au-dessus de l’Himalaya les ovni apparaissaient déjà. C'est toujours le cas de nos jours.

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Nous rappelons qu'il faut prendre cette histoire avec précaution, Elle est possible, mais beaucoup d'éléments sont soit inaccessibles à ce jour, malgré aujourd’hui par rapport à 1967 des recherches sur les lieux, à cause du secret en Chine ou encore n'ont jamais été retrouvés. 

Nous ajouterons à cette histoire deux études pertinentes bien documentées faites par deux chercheurs sérieux afin de vous permettre de vous faire une opinion plus avancée.

Lorsque j’ai documenté cette affaire de Baian Kara Oula, vers 1967-1969 pour le compte de Monsieur Casadamont, qui se lançait alors dans l’édition, (il consacra à cette époque la première série de diapositives qu’il éditait à ce thème) il était difficile de se documenter sur ce dossier, retraçant à cette époque seulement les articles issus d’Union Soviétique, du Bufoi en Belgique, de Karl Veit dans UFO Nachrichten en Allemagne et d’une ou deux autres sources. Des courriers envoyés vers la Chine, l’Urss et vers les responsables des associations ufologiques citées précédemment restèrent sans suite ou indiquaient seulement la reprise en générale des sources Russes. La seule solution aurait été de se rendre sur place, ce qui était évidemment impossible vue les ressources financières utiles à une telle enquête, se qui n’était pas dans mes moyens. C’est donc à partir de cette documentation que je rédigeais un texte retraçant toutes les informations qui ont été utilisées pour la conception de cette série de 12 diapositives.

Afin d’actualiser un peu ce dossier, j’ai sélectionné l’étude de JMM du blog : https://theo-complot.com/blog/disque-dropa qui est excellente, très critique et qui représente en quelque sorte une vision de l’état de nos connaissances à ce jour sur ce dossier. N’hésitez pas à vous rendre sur cet excellent blog, afin de prendre connaissance de l’article complet et de bien d’autres dossiers tout aussi passionnants. A noter que c’est un pont de vue du dossier 

Les disques de pierre de Baian Kara Ula  (ou Bayan Har Shan)

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Blog / Par JMM

Source : https://theo-complot.com/blog/disque-dropa

L’HISTOIRE GRAVÉE

La province du Sichuan est la plus grande et la plus peuplée des provinces chinoises. Elle compte environ 100 millions d’habitants. Située à l’est du Tibet, la grande majorité de sa population vit dans la région orientale plate, tandis qu’à l’ouest, qui est une grande région montagneuse limitrophe du Tibet et difficile d’accès, vit une petite population dispersée.

Ces régions montagneuses de l’Himalaya avaient la réputation, à l’époque, de regorger de trésors archéologiques, religieux et surtout ésotériques.

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Dans ce contexte, trois “puissances” menaient, peu avant la seconde guerre mondiale, des recherches intenses, la Russie, l’Allemagne et la Chine. L’Allemagne nazie était la seule, à faire des recherches archéologiques en dehors de ses frontières, notamment dans les montagnes de l’Himalaya, mais elle s’arrêta à Lassa, au Tibet.

016 C’est dans ces régions, plus précisément dans les montagnes de Baian Kara-Ula, ou Bayan Har Shan, qu’en 1938 une équipe d’archéologues chinois, dirigée par le professeur Chi Pu Tei de l’université de Pékin, a étudié en détail un réseau de grottes interconnectées. Ils découvrent alors un étrange cimetière intérieur composé de tombes parfaitement alignées. À l’intérieur des tombes, des squelettes humains ont été découverts, mais avec des caractéristiques inhabituelles : ils étaient petits (environ 1,20 mètre), minces, et les crânes étaient disproportionnés.

017    Excités par cette découverte, le professeur Chi Pu Tei et son équipe se sont concentrés sur l’étude des squelettes. C’est à ce moment-là qu’un membre de l’équipe est tombé sur un objet à moitié enterré dans le sol de la grotte. L’objet a été retiré et s’est révélé être un disque de pierre d’1 centimètre d’épaisseur et de 30 centimètres de diamètre. Au milieu se trouvait un grand trou d’où sortaient, perpendiculairement, des rainures incurvées, des sortes de double-sillons, qui se dirigeaient, en spirale, vers le bord externe du disque.

Toute l’équipe s’est rassemblée autour de l’étrange objet en essayant de comprendre ce que c’était, et à quoi il servait. Il ressemblait à un disque de gramophone de l’âge de pierre. Enfin, un examen plus approfondi a révélé que chaque rainure était constituée de deux lignes de caractères étranges, très serrés.

Parallèlement, des peintures rupestres ont également été découvertes sur les murs de la grotte, illustrant des êtres avec des casques ronds.

Il y avait également des gravures illustrant le Soleil, la Lune, la Terre et quelques étoiles, au milieu de groupes de points, de la taille d’un pois, qui semblaient tomber vers la Terre. D’autres gravures illustraient les mystérieux disques.

018  Sept cent quinze autres disques similaires auraient été trouvés à l’intérieur des pierres tombales. Personne ne pouvant identifier la signification des caractères enregistrés, les disques ont été emballés, numérotés et envoyés à Pékin.

Les premiers rapports de Chi Pu Tei suggéraient que les squelettes d’une espèce inconnue de gorille avaient été découverts, et que les disques avaient été placés là par une civilisation ultérieure. Mais cette théorie a valu au professeur d’être largement ridiculisé : les gorilles n’ont pas l’habitude d’enterrer leurs morts…

RÉVÉLATIONS ?

Photo : Le couple royal Dropa : Hueypah-La (1,20 m) et Veez-La (1 m) en costume traditionnel, photographié par le docteur Karyl Robin-Evans

Pendant ce temps, en 1947, un scientifique anglais, le docteur Karyl Robin-Evans, aurait reçu un étrange disque de pierre d’un professeur polonais, le professeur Lolladof. Lolladof lui aurait dit que l’objet provenait d’un mystérieux groupe ethnique asiatique appelé Dzopa, et qu’il était utilisé dans des rituels religieux. Robin-Evans aurait alors décidé de partir à la rencontre de ce peuple mystérieux, et se serait donc rendu au Tibet. Dans les montagnes de l’Himalaya, il aurait été abandonné par ses porteurs tibétains qui seraient retournés au Tibet. Ils auraient eu peur d’aller dans les montagnes de Baian-Kara-Ula. Têtu, le médecin aurait décidé, malgré beaucoup de difficultés, d’atteindre sa destination. Il serait parvenu à s’intégrer progressivement au peuple Dzopa, apprenant leur culture et leur langage.

Puis, il aurait reçu, de la part de son principal enseignant, des informations directes selon lesquelles les Dzopas étaient originaires d’une planète du système Sirius, qu’ils étaient arrivés sur Terre pour la première fois il y a 20 000 ans et que lors de la dernière expédition, en l’an 1014, un de leurs vaisseaux s’était écrasé, laissant ses occupants dans l’incapacité de revenir, ni, à priori, d’être secourus.

Le Dr Karyl Robin-Evans serait décédé en 1974. Le récit de son expérience avec les Dzopas a été publié en 1978.

TRADUCTIONS EMBARRASSANTES

Pour en revenir à la découverte du professeur Chi Pu Tei, plus de vingt ans se sont écoulés, pendant lesquels de nombreux spécialistes ont tenté de traduire les écrits enregistrés sur les disques, sans résultat. Jusqu’à ce qu’un autre archéologue, le professeur Tsum Um Nui, affirme avoir découvert le code.

L’interprétation fantastique des hiéroglyphes, selon la méthode de Tsum Num Nui s’est avérée extrêmement dérangeante, et le département de préhistoire de l’Académie des sciences de Pékin a décidé d’empêcher l’archéologue de publier les résultats de ses travaux. Parallèlement, les analyses chimiques des disques ont révélé un mélange d’une quantité importante de cobalt et d’autres métaux inconnus dans leur composition. Des scientifiques russes ont demandé à voir les disques et quelques échantillons furent envoyés à Moscou. Là, ils ont été débarrassés des particules de roche collées aux surfaces.

Une analyse plus poussée a confirmé que la composition était un mélange de métaux, avec une prédominance de cobalt, et une expérience a été menée avec un plateau tournant spécial. À la surprise des scientifiques russes, les disques ont vibré, émettant une certaine résonance rythmique à haute fréquence. Les conclusions de l’expérience sont que les disques ont été exposés à un moment donné à des tensions très élevées, comme s’ils faisaient partie d’un circuit électrique.

En 1963, le professeur Tsum Um Nui parvient enfin à publier son rapport, qui est mal accueilli, notamment par les scientifiques occidentaux. Ridiculisé, fatigué, Tsum Um Nui émigre au Japon où il meurt en 1965.

Sa traduction des écrits parle d’habitants d’une autre planète arrivés sur Terre il y a 12 000 ans, dont le vaisseau se serait écrasé dans cette région aride, et qui a été tellement endommagé qu’il n’a pu être réutilisé ou réparé. Ces étrangers sont d’abord passés inaperçus aux yeux des habitants de la région, le peuple Ham (Kham). Pendant un certain temps, ils ont été chassés à mort par des cavaliers d’origine inconnue.

Une partie de la traduction dirait : « Les Dropas sont arrivés des nuages avec leurs planeurs. Dix fois les hommes, femmes et enfants Ham se sont cachés dans les grottes jusqu’à l’aube. Finalement, ils ont compris le langage des signes des Dropas, et ont réalisé qu’ils étaient pacifiques.” Il faut bien noter ici les différences dans le nom attribué à ce peuple, Dzopa ou Dropa. Il faut savoir aussi que, alors que l’on prononce Dropa, en tibétain les “k” et les “p” sont souvent silencieux, et localement les Dropas sont également connus comme les “Drokpas”…

UNE LÉGENDE VIVANTE

Les analyses auraient finalement révélé que les documents, les gravures rupestres et les squelettes avaient tous 12 000 ans.            

On peut toutefois regretter la faible diffusion des documents relatifs à cette découverte, notamment en ce qui concerne les gravures rupestres et les squelettes. Mais comme toutes les ramifications de l’histoire se sont transformées en un labyrinthe au fil des divers récits, on espère toujours de nouveaux développements dans les recherches pour l’avenir. 

Dans les montagnes de Baian Kara-Ula, il existe une très vieille légende. Une légende populaire encore racontée par les habitants de cette région perdue. Une légende qui raconte que des petits êtres au visage jaune sont venus des nuages il y a très longtemps. Ils avaient une tête énorme et un corps petit et faible. Ils étaient si laids et répugnants que les membres des tribus locales les ont chassés.

Certains récits, connus des archéologues, font état de l’existence des tribus Ham et Dropa. Il n’a pas été possible d’établir précisément les racines ethniques de ces peuples, que ce soit du côté chinois ou tibétain.

Nous avons personnellement reçu le témoignage d’un membre d’une expédition qui eut lieu vers la fin des années 80 entre le Sud de la Chine et l’Europe. Arrivés dans les montagnes de la région de Xi’an, dans un petit village, certains membres ont aperçu des petits êtres avec de grosses têtes qui, apeurés, ont pris rapidement la fuite vers les montagnes…

En 1995, les chaînes d’information chinoises ont rapporté que 120 êtres humains d’une tribu ethnologique non encore classée avaient été découverts dans la province du Sichuan. La taille maximale des adultes était de 1 mètre de haut. À ce jour, aucune explication n’a été confirmée quant à la cause de cette anomalie morphologique. Cette ethnie serait-elle reliée à l’origine des Dropas ? …

LES DISQUES PARTIS EN POUSSIÈRE

Mais, quelle est la véracité de cette affaire, quelle est la fiabilité de ses fondements et que reste-t-il de toute cette histoire ?

Regardons de près des éléments contradictoires, diffusés à partir des années 90, par-dessus certains faits essentiels.

PREMIERS ARTICLES

022 C’est au début des années 1960 que l’on trouve les premières mentions connues de ce qu’on appellera plus tard le « Roswell chinois », dont la découverte aurait eu lieu lors d’une expédition de l’archéologue chinois Chi Pu-Tei en 1938.

Les pierres Dropa auraient été mentionnées pour la première fois le 9 février 1960 dans le journal russe “Literaturnaya Gazeta”, dans un article de Matest Mendelevich Agrest, physicien et mathématicien russe de confession juive, fondateur officiel de la théorie des “paléovisites”.

Puis l’histoire fut reprise dans le « Current Digest of the Russian Press« , un magazine en langue russe publié en Amérique.

Mais la toute première référence à cette histoire, admise par la presse occidentale, provient de l’édition de juillet 1962 du magazine végétarien allemand “Das vegetarische Universum”.  L’histoire, qui fera sensation, parle des découvertes étranges dans les montagnes entre la Chine et le Tibet.

L’article du “Das vegetarische Universum” sera repris quasi-intégralement par le magazine “UFO Nachrichten”, dans le numéro 95 de juillet 1964, deux ans plus tard, à peine remanié par son auteur, Reinhardt Wegemann, celui-ci ajoutant la mention de l’archéologue Tsum Um Nui.

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L’histoire est alors reprise l’année suivante dans plusieurs autres journaux comme le bulletin du BUFOI (Organisme ufologique belge).

Finalement, ce n’est vraiment qu’à partir de 1967 que l’histoire se répand avec succès, avec les articles du Dr Vyacheslav K. Zaitsev, notamment celui du numéro de juin 1967 du magazine soviétique “Sputnik”, qui font traînée de poudre jusqu’aux USA, puis dans le monde.

Elle est également reprise en 1968 par Erik Von Däniken qui publie un best-seller, “Présence des extra-terrestres” (Chariots of the Gods), dans lequel il fait mention de l’histoire des Dropas. 

Par ailleurs, Gordon Creighton, un ufologue britannique, directeur de la revue FSR (“Flying Saucer Review”), commence à enquêter sur l’histoire.

Cette année-là il commence par écrire à un ingénieur soviétique de Moscou, alors secrétaire « non-officiel » d’un groupement d’enquête sur les ovnis, pour lui demander plus d’informations sur ce cas. Ce dernier lui répondit que Zaitsev n’a pas mené d’enquête lui-même et n’a fait que reprendre les récits publiés dans les revues allemandes “Das vegetarische Universum” et “UFO Nachrichten”. 

LES DISQUES FURTIFS

En 1974 un ingénieur allemand, Ernst Wegerer, visite le musée de Banpo près de Xi’an (dans la province de Shaanxi, en Chine) et tombe sur deux disques correspondant à la description du rapport de Tsum Um Nui de 1962. Ils contiennent un trou au centre et Wegerer pense même reconnaître des hiéroglyphes dans les rainures gravées en spirale, quelque peu émiettés cependant.

Il deman026da plus de détails sur l’objet à l’ancienne responsable du musée, qui ne parvint pas à fournir d’autres informations que l’indication qui était présente dans le musée lui-même : des “objets de culte”. Néanmoins, Wegerer est autorisé à tenir un des disques. Il estima le poids à 1 kg, et le diamètre à 30 cm.

Il put prendre des photographies des deux disques sur lesquels on ne distingue pas les “rainures de hiéroglyphes », à priori trop abimés, mais plutôt certainement trop petites pour le genre de prise de vue qu’il put faire.

UN CERTAIN BEST SELLER


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En 1978 paraît “Sungods in Exile” (Dieux-Soleil en exil), un livre dont l’auteur mentionné serait le Dr Karyl Robin-Evans, mais qui aurait en fait été rédigé par un autre auteur, David Agamon. L’ouvrage relate l’histoire, par Robin-Evans, décédé quatre ans plus tôt, telle qu’il l’aurait racontée à Agamon. Sous-titré “Secret Gods of the Dzopa” (Dieux secrets du Dzopa), l’ouvrage relate l’expédition de Robin-Evans vers le « mystérieux territoire des Dzopas”. Peuple qui serait issu d’un métissage entre la peuplade d’un territoire à la frontière sino-tibétaine et les survivants d’un crash de vaisseau extraterrestre, il y a des milliers d’années de cela. Il présente divers éléments pour soutenir son histoire, tel le disque de Loladoff

Le livre reçoit un écho considérable, et en dépit des premières critiques de Gordon Creighton, l’histoire est reprise par de nombreux auteurs.

EXTRAPOLATION OU FALSIFICATION ?

En fait, le livre aurait été écrit par un certain David Agamon, plus exactement David A. Gamon, qui aurait affirmé qu’il s’agissait d’un canular créé par lui-même, comme une satire de l’idée que « dieu serait un extraterrestre”, s’inspirant ainsi du succés de “Chariots of the Gods” de Erik Von Däniken…

Il l’aurait écrit dès 1979 à Vladimir Rubtsov, professeur de mathématiques et auteur :

“Cher M. Rubtsov,

Merci pour votre lettre du 16 juillet (…). Je n’ai pas vu le passage de mon livre auquel vous faites références et cela pourrait très bien être trompeur. J’ai écrit « Sungods » avec deux intentions sérieuses : d’abord, de considérer les implications politiques, religieuses, philosophiques de contacts préhistoriques, et ensuite, de me moquer de ceux qui acceptent trop facilement de telles histoires sur la base d’éléments trop faibles ou inexistants (…). Mon but, en bref, a été de satiriser le type de livre de contacté, très courant ici et aux USA, qui vise un lectorat sans esprit critique ainsi que certains aspects de la vie moderne (…).

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 Avec mes meilleurs voeux,

David Gamon (« Karil Robin-Evans”) »


Ainsi que le samedi 10 janvier 1981 :

“Cher M. Rubtsov,

Enfin je peux vous envoyer une copie de « Sungods in Exile ». Je dois vous rappeler qu’il s’agit d’une fiction et d’une satire sur l’acceptation trop facile de l’idée que la vie, ou une vie est arrivée de l’extérieur de cette terre par transplantation ; nombre de gens acceptent cette conclusion sans chercher de preuves.

Avec mes meilleurs vœux, …

Des articles suivront, et surtout une autre lettre de Gamon au magazine “Fortean Times”, où il déclare : “Les années devinrent maussades. Malgré un livre qui marchera, sur les soucoupes volantes, ma propre carrière littéraire resta obstinément clouée au sol.” 

Deux ans plus tard, le même magazine, publie une nouvelle lettre de Gamon sous le titre « Sungods in Cuckoo Land” (Dieux-Soleil au pays du coucou), ou ce dernier indique :

“Mon canular favori sera toujours “Sungods in Exiles : Secrets of the Dzopa of Tibet” du Dr Karyl Robins-Evans, scientifique qui explora les forteresses de leur montagne et révéla comment cette race avait pauvrement survécu dans cette région, après que leur vaisseau se soit écrasé il y a de nombreuses années. Ce livre fut publié par Neville Spearman il y a 13 ans et republié en couverture rigide par “Sphere”. L’auteur de cette blague a reçu une correspondance nourrie à ce sujet, d’aussi loin que jusqu’à Kiev. Ne me demandez pas comment je le sais.”    Signé : David Gamon, Bristol. 

Bob Rickard, rédacteur-en-chef du magazine, intrigué par la différence de son nom avec celui de David Agamon, le rédacteur des supposées notes de Karyl Robin Evans, il décida de l’appeler.

Au téléphone, Gamon confirma sans difficulté que le livre-canular sur les soucoupes volantes dont il parle est bien “Sungods in Exile”.

Finalement, c’est cela qui est réellement étrange : pourquoi David Gamon s’évertue-t-il à vouloir nous faire admettre qu’il a commis un canular, alors que l’histoire originale ne comporte aucun indice pouvant laisser croire à une invention, ce serait plutôt bien le contraire ? Y a-t-il réellement une part importante d’extrapolation fictive dans ses écrits, qui aujourd’hui, représentent une part importante de référence sur cette histoire ?

UNE BRÈVE ENQUÊTE

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En mars 1994, Hartwig Hausdorf et Peter Krassa s’efforcent de suivre la piste du témoignage de Wegerer à propos du musée de Banpo. Le professeur Wang Zhijun, son nouveau responsable, les accueille, mais les informe rapidement que l’ancienne responsable a été retirée de son poste quelques jours après la visite de Wegerer (…), indique qu’on ne peut trouver aucun de ces disques au musée, et de manière quelque peu contradictoire : “Les disques de pierre que vous avez mentionnés n’existent pas, mais étant des éléments étrangers à ce musée d’articles de poterie, ils ont été déplacés”… 

Sans aucun doute, cette contradiction à peine voilée rajoutera de la crédibilité au récit original.

Par la suite, Hartwig Hausdorf écrivit “The Chinese Roswell” (Le Roswell chinois) publié en 1998, un autre bestseller.

Les disques vus par Wegerer étaient-ils liés à l’histoire des Dropas ?

Cette histoire a-t-elle en fait été romancée à partir de disques anciens courants, issus de découvertes archéologiques ?

Ou l’affaire a-t-elle dû être censurée par divers services, à une époque où l’ouverture de la Chine devenait une priorité nationale, en entamant son chemin vers le “un pays, deux systèmes” ? …

Toujours est-il que les disques chinois anciens, de pierre, ne sont pas rares, mais n’ont couramment pas les particularités décrites pour ceux des Dropas de Baian Kara-Ula.

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Parfois, bien que difficilement, on peut retrouver des traces anciennes, de cette affaire, comme par exemple le numéro de “Das vegetarische Universum” de juillet 1962, qui a été retrouvé en 1996 par un enquêteur allemand, Jörg Dendl. Nous sommes toujours à la recherche d’une copie…

Quoi qu’il en soit, malgré les explications insistantes de Gamon à propos de son canular, l’histoire des dropas circulait déjà bien avant ses propres écrits.

Et elle continue à être racontée encore et encore aujourd’hui, généralement, et malheureusement, en se basant un peu trop facilement sur l’histoire de “Sungods in Exile”, et souvent avec divers ajouts ou déformations.

Beaucoup ont repris des recherches sur les bases de tous ces éléments connus, des chercheurs de tous horizons, mais ce labyrinthe semble criblé d’impasses. 

Nous en avions parlé avec Sun Shi Li, lors de notre conversation mentionnée dans un article précédent. Celui-ci avait répondu qu’il avait peu d’informations à ce sujet, mais qu’il estimait l’histoire originale tout à fait probable.

L’apparition de ce conte extraordinaire dans les années 1960 est le réel point de départ de sa popularité.

On peut se demander si son origine remonterait réellement plus loin que cette période, de laquelle on ne retrouve que très difficilement des traces des personnages et le nom des auteurs d’articles et des organes de presse.

Mais on ne saurait affirmer catégoriquement que tout ce récit est faux.

Même s’il n’existe plus que très peu de pistes concrètes à explorer, pour tout chercheur qui serait tenté de reprendre l’enquête aujourd’hui.

Dans son article de 1964, Reinhardt Wegemann écrit ceci :

“Tout cela est quelque peu confus. Mais cela ne change rien au mystère hiéroglyphique de Baian-Kara-Ula, qui devient encore plus complexe du fait que les parois de la grotte présentent des images sculptées des plaques d’écriture, du soleil levant, de la lune et des étoiles et, entre elles, des essaims entiers de points de la taille d’un pois, qui se rapprochent en un mouvement élégant des montagnes et de la surface de la terre.”

La fumée n’est pas de la brume, et il n’y a pas de fumée sans feu. Et cette fumée, cette histoire du peuple Dropa venu des astres lointains, pourrait avoir laissé, au minimum, un sens symbolique flottant dans les airs, et participé à ouvrir une fenêtre dans nos consciences…

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L’Étude de Didier LAMOUCHE publiée le 24 septembre 2016 est également à citer, du fait des réflexions avancées et de l’approfondissement de certaines affirmations publiées au fil des années. Il a fait un excellent travail.

Nous vous invitions à vous rendre sur son site : https://extra-terrestre.over-blog.com/dropa.html

Le peuple Dropa - les disques Dropa crash OVNI

24 Septembre 2016 – Étude de Didier Lamouche

Voici l'histoire très controversée du peuple Dropa

C'est l'histoire, pourtant banale, d'un crash d'OVNI et de la découverte de squelettes ET, qui a été complétement dénaturée par la stupidité et la malhonnêteté de quelques-uns.

Un regard critique et sans parti pris s'impose maintenant, afin d'y voir vraiment clair.

La majorité des articles sur le sujet, sont des copier/coller les uns des autres, et rapportent la version de Von Däniken.

Erich Von Däniken a recueilli les propos de l'écrivain russe Alexandre Kassanzev sur l'histoire des disques Dropa, lors d'une visite en Union Soviétique en mai 1968.

L'histoire était populaire en Union Soviétique avant la parution du livre d'Erich Von Däniken.

L'histoire est apparue en Union Soviétique dès 1960 dans le numéro de mai du magazine Russian Digest, puis reprise par le magazine Sputnik en 1968.

Le texte chinois de l'histoire des disques Dropa est appelé    神秘  (Du Li Ba Shen Mi Shi). Les caractères « 神秘 (Shen Mi) » se traduisent littéralement par « esprit » et « secret », et lorsqu'ils sont utilisés ensemble, impliquent un « mystère profond » originaire au-delà du monde matériel. Le caractère «  (Shi) » se traduit simplement comme « pierre », mais peut être utilisé pour faire référence à des « tablettes de pierre ».

Le texte chinois    神秘  (Du Li Ba Shen Mi Shi) fait référence aux « mystérieuses tablettes de pierre » associées au peuple Du Li Ba (Dropa ?).

L’ethnie Drokpa

(杜立巴族 - Du-Li-Ba-Zu)

L'ethnie Du Li Ba (traduit en anglais par Dropa, Drokpa ou Dzopa) est un groupe que l'on croit être arrivé dans la zone frontière sino-tibétaine, il y a environ 12.000 ans. Ils ont été décrits comme une race pygméenne et pensés être d'origine extraterrestre. Toutefois, en l'état actuel, il n'est généralement pas accepté que le peuple moderne Drokpa, ou que leurs ancêtres étaient des extraterrestres, qui ont atterri en catastrophe sur notre planète.

« Drokpa » est un terme tibétain qui signifie « peuple des hauts pâturages ».

On estime que deux millions (2006) d'entre eux vivent sur l'ensemble du plateau tibétain. C'est surtout sur les hauts plateaux du Chang Tang qu'on les rencontre, mais aussi dans d'autres provinces historiques du Tibet, comme en Amdo (avec les Golok) ou au Kham, où les conditions de vie sont un peu moins rude.

La découverte (發現 - Fā xiàn)

En 1938, le professeur () Qi Fu Tai (福泰) de l'Université de Beijing a conduit une expédition d'un groupe d'étudiants pour explorer une série de grottes situées à proximité de la chaine de montagnes Bayan Har ou Bayankara Ula (颜喀拉山  - Ba Yan Ka La Shan Mai) dans la province chinoise de Qinghai (青海).

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La région de la chaine de montagnes Bayan Har où a eu lieu la découverte se situe au Sichuan et non au Tibet

Le professeur Qi Fu Tai (福泰) a découvert que les grottes consistaient en fait en un système de tunnels taillés, et avait des zones qui semblaient être conçues comme des chambres de stockage. Les parois étaient très droites et lisses, et semblaient être polies. C'était comme si la montagne avait été soumise à un type de forage qui a impliqué des températures très élevées.

Les explorateurs des grottes ont trouvé de nombreux alignements de tombes. Dans chaque tombe était un squelette qui mesurait environ 138 cm de long. Ces squelettes consistaient tous en une grosse tête sur un corps mince et fragile. Certain de l'équipe archéologique pensaient que ces restes pouvaient être ceux de singes anciens, mais le professeur Qi Fu Tai (福泰) a répondu : « Je n'ai jamais entendu parler que des créatures simiesques aient enterrer leurs morts ».

Il n'y avait pas d'inscription ou de texte évident pour identifier les restes dans les tombes, mais il y avait des centaines de disques de pierre, décrits dans le texte chinois comme «   (Shi Die) » - littéralement « plaque de pierre ». Ils sont décrits plus loin dans le texte comme « 碟片 (Die Pian) » - littéralement « disque », mesurant environ 30 cm (30 厘米) de diamètre, qui ont été ensuite appelés « pierres Dropa ». Chaque disque avait un trou de 2 cm en son milieu (2  ), et a été gravé de deux petites rainures en spirale à partir du bord extérieur du disque vers le centre. Lorsqu'ils les tinrent en main, les disques et leur conception d'enroulement leur apparurent très élégants. Tous les disques découverts portaient le même motif en spirale inconnu. Les disques ont été transportés à l'Université de Beijing, où au cours des deux décennies qui suivirent, de nombreuses tentatives d'interpréter leur fonction et leur signification ont toutes échouées.

Photo : Disque Dropa (立巴石碟 - Du-Li-Ba Shi Die) - Source chinoise

Puis, en 1958, le docteur Tsum Um Nui de Pékin a examiné ces pierres plus en détail et a découvert que les rainures de chaque disque contenaient de très petits et inconnus pictogrammes, qui ne pouvaient être vu qu'à travers une loupe, en dépit du fait que certaines des rainures avaient été endommagées, ou s'étaient désintégrées au cours du temps. Lorsque le docteur Tsum Um Nui a essayé de déchiffrer ces pictogrammes, il a découvert que le peuple Du Li Ba (Dropa ?) s'est écrasé sur Terre, quand leur vaisseau spatial « 太空船 (Tai Kong Chuan) » a mal fonctionné. En outre, la plupart de ceux qui ont survécu à l'accident ont été apparemment tués par les habitants locaux.

Recherches (研究 - Yan Jiu)

En 1965, le professeur Qi Fu Tai (福泰), et quatre de ses collègues, ont finalement été autorisés à publier leurs conclusions, et d'expliquer le raisonnement derrière leur théorie. Le nom de la publication était :

« Il y a environ 12.000 ans, l'écrasement d'un vaisseau sur la Terre, comme décrit dans le texte trouvé gravé sur les disques de pierre ».

(為約12000年前,地球上的太空飛船墜毀,如發現文字描述刻在石碑上的光盤)

Recherches russes

(俄斯的研究 - E Lou Si De Yan Jiu)

Des scientifiques russes ont demandé à voir ces disques, et donc un petit nombre ont été mis à leur disposition et envoyés à Moscou pour y être étudiés.

Les Chinois Han et le peuple Tibétain

Drokpa

(人与杜立巴的部族 - Hua Ren Yu

Du-Li-Ba De Bu Zu)

Le mot « Drokpa » est d'origine tibétaine et fait référence à un type particulier de peuples. Il se traduit littéralement par « peuple des hauts pâturages », et s'exprime en chinois « 牧者 (Mu Zhe) ».

Le terme se réfère à un groupe d'éleveurs connus pour vivre au Tibet occidental, et qui vivent de l'élevage des yaks, des moutons et des chèvres. Aujourd'hui, le peuple Drokpa et les Han Chinois sont tous deux considérés comme des peuples ordinaires vivant dans la région du Tibet. En apparence, ces peuples semblent être de taille et de construction moyenne, et ne sont pas considérés comme sous-dimensionnés.

Il n'y a pas d'anomalies physiologiques remarquables, et ces gens ne vivent pas dans des grottes.

La confusion entre le peuple Du Li Ba (  ) et le peuple Drokpa (牧者) vient sans aucun doute de la traduction anglophone, et s'est propagée parmi les esprits prêts à croire n'importe quoi, qui auraient dû s'intéresser un tant soit peu à la géographie et chercher à localiser le lieu de la découverte.

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Femme Drokpa actuelle en habit festif

Les grottes (山洞 - Shan Dong)

Ce qui constitue une différence majeure entre le texte chinois et la version de Von Däniken (càd de Alexandre Kassanzev), est que le texte chinois ne fait aucune mention des murs des grottes contenant des marques ou des dessins.

Ni Von Däniken ni les russes ne se sont rendu sur les lieux de la découverte. Les gravures planétaires sont inventées de toutes pièces.

La découverte de gravures de planètes et de point les reliant a été ajoutée par Von Däniken.

Cependant, ce que le texte chinois ajoute, est que les parois du système de grottes semblaient avoir été soumis à des forages à haute température, impliquant que la pierre dure de la montagne avait été fondue pour former les passages.

Une hypothèse apparemment soutenue par cette photographie qui prétend montrer une entrée de « grotte » comme si la roche en se refroidissant avait formé ce qui ressemble à des « bulles » dans la pierre.

Notes

Le texte de Von Däniken donne un nombre exact de disques : 716 disques, mais le texte chinois ne parle que de « centaines ».

Dans le texte de Von Däniken, le professeur Qi Fu Tai est dit avoir cru que les restes squelettiques inconnus avec de grands crânes, étaient une sorte de singe disparu - mais le texte chinois offre l'explication exactement opposée, en disant que le professeur Qi Fu Tai a effectivement critiqué ceux de son expédition, qui avaient foi en cette hypothèse.

Les deux textes sont en désaccord sur le rôle que le professeur Qi Fu Tai joue dans cette histoire, mais c'est le texte chinois qui indique le nom du professeur en caractères chinois (福泰).

Dans la version de Von Däniken, le professeur Qi Fu Tai a publié son œuvre en 1940, mais dans le texte chinois le même événement est signalé se produisant en 1965.

Chi PuTei est la translittération, dans le texte de Von Däniken, du nom chinois du professeur Qi Fu Tai (福泰). Von Däniken n'a pas vu écrit le nom du professeur, mais l'a entendu de la bouche d'Alexandre Kassanzev : d'où translittération.

Il est évident que le texte de Von Däniken cite des sources russes, où les termes clés chinois, les noms et les emplacements géographiques ont été rendus dans le script russe.

Pour le nom du professeur Chi Pu Tei, il est clair que malgré les nombreuses traductions différentes russes issues directement d'un texte source en langue chinoise, la translittération du nom original du professeur Qi Fu Tai (福泰), a été remarquablement bien conservée.

Bien que Tsum Um Nui soit mentionné dans le texte chinois, aucune mention de la publication de son œuvre, qui selon Von Däniken est arrivé en 1963, n'y est faite à aucun moment, même si les deux textes conviennent que c'est Tsum Um Nui qui a craqué les pictogrammes des disques.

Comme il n'y a aucun caractère chinois représentant le nom de « Tsum Um Nui » dans le texte chinois, il est difficile de savoir avec exactitude qui était cette personne.

Cela semble impliquer que le nom de « Tsum Um Nui » a été transmis verbalement et non par écrit comme dans le cas du professeur Qi Fu Tai (福泰), et peut être représentatif d'un ajout issu du texte russe rapporté par Von Däniken, ajouté après que le texte original en chinois ait été traduit (?).

Pourquoi le nom de « Tsum Um Nui » ne possédait il pas les caractères chinois ni dans la version chinoise ni dans celle de Von Däniken ? Une explication possible pourrait être que le nom lui-même est une translittération étrangère d'un nom chinois, qui provient du sein d'un groupe ethnique ou régional minoritaire chinois, tels que les Fujian, She, Teochiu, Danka, ou même Hakka, etc ...

Plus tard, avec la libéralisation de la Chine, les chercheurs de ce pays ont probablement rencontré le texte de Von Däniken et l'ont recoupé avec les textes chinois en leur possession, et ont ajouté les informations sur Tsum Um Nui. Ce nom ne représente pas une translittération en Mandarin. Les chercheurs chinois n'ont pas été en mesure de le rendre en caractères chinois, donc le nom de Tsum Um Nui est resté « Tsum Um Nui » dans les textes chinois, même si on lui donne le titre chinois de « 博士 (Bo Shi) », qui équivaut à « docteur en philosophie » ou simplement « docteur ».

Cependant, il est raisonnable de supposer qu'il doit y avoir eu une autre preuve corroborant l'implication de Tsum Um Nui dans l'histoire des pierres Dropa en Chine, qui a permis que son nom soit placé dans un texte chinois sans être exprimé en caractères chinois, preuve qui n'est évidemment pas contenue dans les textes chinois ou non-chinois contemporains traitant de ce sujet aujourd'hui.

D'une manière générale, même les noms étrangers sont généralement rendus en caractères chinois, en particulier les étrangers qui vivent et travaillent en Chine. L'examen d'un certain nombre d'autres textes en langue chinoise parlant de l'histoire des pierres Dropa, ne montrent qu’aucun n'a utilisé les caractères chinois pour le nom Tsum Um Nui, et qu'il semble être une convention pour orthographier son nom seulement en translittération. Cette situation est problématique car cela n'est pas typique des textes chinois, en particulier par rapport à d'autres noms asiatiques tels que ceux japonais ou coréen.

Synthèse

Quelle que soit la vérité sur la question, les deux textes conviennent clairement et sans ambiguïté, que ce fut Tsum Um Nui qui déchiffra les pictogrammes gravés dans la spirale des disques.

En effet, le texte chinois déclare que s'est Tsum Um Nui qui non seulement a déchiffré les pictogrammes, mais a aussi à l'origine découvert ces pictogrammes dans les rainures qui ne pouvaient être vus qu'à travers une loupe. Le texte de Von Däniken, lui, implique que ces pictogrammes étaient évidents au professeur Qi Fu Tai et aux personnels de l'expédition en 1938, avant que les disques soient transportés à Beijing University. Ce qui était impossible.

Le texte de Von Däniken se réfère au professeur Qi Fu Tai (Chi Pu Tei) comme étant un archéologue, mais ne donne aucun détail quant à l'établissement universitaire pour lequel il travaillait. Dans son texte, Tsum Um Nui est décrit comme travaillant pour la soi-disante « Académie de la Recherche Préhistorique » de Pékin.

Le texte chinois indique clairement que le professeur Qi Fu Tai (福泰) a travaillé pour l' « Université de Beijing » (北京大学 - Pékin Da Xue), et que Tsum Um Nui a étudié les pierres Dropa tout en résidant à Pékin, toutefois sans associer Tsum Um Nui avec l'Université de Beijing ou la soi-disante « Académie de la Recherche Préhistorique ».

On peut supposer, sans trop se risquer, que Tsum Um Nui a examiné les disques Dropa à l'Université de Beijing, parce que c'est le lieu où ils sont connus pour avoir été stocké pendant environ 20 ans après la date de leur découverte.

Le texte chinois présente le professeur Qi Fu Tai (福泰) soutenant pleinement les conclusions sur les disques de pierre gravés et des squelettes inconnus, mais n'ayant aucune explication conventionnelle, bien qu'il pensât que quelque chose de très inhabituelle avait eu lieu dans les montagnes de Bayan Kala, et ce, avant même que l'histoire indiquant que des extraterrestres aient atterri sur la Terre il y a 12.000 ans, ait été révélée par son collègue Tsum Um Nui.

C'est seulement après cette révélation que le professeur Qi Fu Tai (福泰), en collaboration avec quatre autres collègues, décide de retirer toutes leurs informations et de publier son journal en 1965.

En revanche, le texte de Von Däniken dépeint le professeur Qi Fu Tai (Chi Pu Tei) comme quelqu'un de sceptique, qui tente désespérément de maintenir le décorum du milieu universitaire ordinaire tout en traitant de ce sujet.

Les deux textes conviennent de la date de 1938 pour la découverte initiale, mais aucune des autres dates ne coïncident.

Dans le texte de Von Däniken, le professeur Qi Fu Tai (Chi Pu Tei) est dit avoir publié son journal en 1940, dans lequel il prétend que les squelettes inconnus trouvés dans les grottes étaient une forme éteinte de singe, qui était probablement l'ancêtre de l'évolution de la population locale de la région, les modernes Drokpa et Kham. Apparemment, cet article a attiré les critiques de la communauté universitaire qui n'était pas prête à accepter l'idée d'un événement évolutif très localisé. Après l'année 1940, le professeur Qi Fu Tai (Chi Pu Tei) disparaît du texte de Von Däniken, et toutes les innovations et articles publiés ultérieurement au sujet des disques Dropa sont attribués à Tsum Um Nui. Selon cette version, c'est Tsum Um Nui qui publie ses conclusions sur les extraterrestres, avec trois collègues, en 1963.

Les deux textes conviennent qu'un certain nombre de ces disques ont été livrés à l'Union Soviétique pour étude, mais seul le texte de Von Däniken suggère que cette étude a révélé des qualités inhabituelles.

Une expédition ethnologique

Peu de temps après la seconde guerre mondiale, un professeur polonais nommé Sergeï Lolladoff a montré l'un des " disques de pierre " à un scientifique britannique, le docteur Karyl Robin-Evans. Lolladoff a prétendu avoir acheté le disque à Mussorie dans le nord de l'Inde, et qu'il était censé être d'un peuple mystérieux appelé les " Dzopa " ou " Dropa ", qui l'avait utilisé pour des rituels religieux. Robin-Evans a suivi la piste Dropa à sa source, et a été en mesure de prendre une photographie rare des leaders Dropa en 1947

La pysionomie de ce couple ne correspond en rien à celle des Drokpa tibétains. Cette photo n'a certainement pas été prise au Tibet, mais peut-être dans le nord du Sichuan ?

Un témoignage problématique

En 1974, un ingénieur autrichien nommé Ernst Wegener a vu deux des disques exposés au Musée Ban Pô à Xi'an, province du Shaanxi. Le directeur du musée (une femme selon ses dires) ne pu rien lui dire à propos des disques, qui avaient commencé à se détériorer, mais lui a permis de toucher l'un d'eux et de les photographier. Il l'a fait, mais il avait seulement un appareil photo Polaroid avec lui.

Photographie censée être de Wegener - sans garantie

Ernst Wegener décrit ces disques comme ayant 12 à 12,5 pouces de circonférence, et possédant une épaisseur d'environ 2,2 pouces soit 5cm. Chaque disque pèse environ 2,2 livres, et ils ont une rainure en spirale qui courre du centre vers le bord, et de retour au centre à nouveau. Ernst Wegener ne signale pas qu'il a vu des caractères dans les rainures, mais mentionne que ces deux disques de pierre ne sont pas dans leur meilleur état.

Cependant, le Ban Pô Museum a été construit en 1958 spécifiquement pour abriter les très importantes découvertes archéologiques de la région, qui se rapportent à un village néolithique datant d'environ 4700 BC. Il n'y a aucune raison pour que ce musée au nord-ouest de la Chine, à plusieurs centaines de kilomètres de l'Université de Beijing, ou de la chaîne de montagnes de Bayan Kala, ait eu en 1974, des objets découverts dans une région éloignée proche de la frontière sino-tibétaine. D'autant que les disques ont été transportés à l'Université de Beijing pour étude en 1938, et y sont restés jusqu'en 1958 (source chinoise).

La description de Ernst Wegener est plus problématique. Il fait référence aux disques comme ayant 12 à 12,5 pouces, soit environ 30 cm de " circonférence " et non de diamètre. En outre, le texte de Von Däniken indique une épaisseur de 2cm, alors que Wegener la décrit comme étant d'environ 2/5ème de pouce, soit un peu plus de 1 cm.

Une circonférence de 12 pouces correspond à un diamètre de 3,82 pouces, soit 7,62 cm de diamètre.

Le récit de Wegener ne dit rien d'un trou dans le centre, mais la présence d'un centre troué est évidente du fait de ses photographies Polaroid.

Wegener mentionne également qu'il a été autorisé à tenir un des disques et qu'il pèse environ 2,2 livres. Ni le texte de Von Däniken, ni le texte chinois ne mentionnent le poids des disques. Wegener estime que les disques de pierre qu'il a examinés étaient en granit ou en marbre, en accord avec l'affirmation de Von Däniken, qu'ils étaient faits de granit. Le texte chinois ne réfère simplement aux disques comme étant en " pierre " ( - Shi), un terme qui porte le sens de " roche ", mais ne dit rien sur le type particulier de roche.

La description de Wegener convient que les disques sont circulaires, et contiennent des rainures en spirales gravées dans la pierre, mais sa description des dimensions est en contradiction avec celle des textes de Von Däniken et chinois.

Les disques de Wegener sont beaucoup plus petits.

La période du voyage de Ernst Wegener à travers la Chine est celle du chaos et de la violence. La Révolution Culturelle de 1966 à 1976, était une campagne nationale pour détruire tout ce qui était considéré comme " vieux " ou " traditionnel " en Chine, et séparer complètement la Chine moderne de son passé féodal.

Comment un étranger a pu, en cette période troublée de la Révolution Chinoise, acquérir la permission d'entrer en Chine, puis a été autorisé à se déplacer librement dans ses provinces, pour étudier l'archéologie chinoise, un des objectifs exprimés par la Révolution Culturelle ?

Communiqué de presse chinois

En 1995, la Chine a publié le communiqué suivant :

" Dans la province du Sichuan, qui se trouve à la frontière orientale des montagnes Baian-Kara-Ula, 120 personnes d'une tribu auparavant ethnologiquement non classée, ont été découvertes. L'aspect le plus important de cette nouvelle tribu est la taille de sa population : pas plus grand que 117 cm, le plus petit adulte mesurant seulement 63 cm. Cette découverte pourrait être la première preuve tangible sur l'existence des Dropa / Dzopa - un peuple dont les prédécesseurs sont dits venus des étoiles ".

Conclusion

Il y a à mon avis bon nombre d’invraisemblances et d'incohérences dans le texte de Von Däniken qui a été modifié par lui au cours du temps.

Le voyage de Ernst Wegener me parait fortement douteux et sa description des disques ne correspond en rien avec la découverte chinoise de 1938.

Toutes les publications occidentales qui ont suivies, sont issues de ces deux versions.

J'accorde plus de crédit au texte chinois plutôt qu'à la version russe de Von Däniken, dont la motivation n'était pas d'éditer un compte-rendu archéologique, mais bien un best-seller.

Il y a apparemment bien eu un crash d'OVNI, il y a 12 000 ans dans cette région. Ceux qui ont survécu au crash et aux chasses lancées contre eux par les autochtones, ont enterré leurs morts dans des grottes creusées artificiellement.

Le peuple Drokpa tibétain a été faussement assimilé aux descendants des extra-terrestres. La confusion est maintenant installée, et son nom est définitivement associé aux disques de pierre avec lesquels il n'a pourtant aucun lien.

La découverte faite par Qi Fu Tai (福泰) en 1938 se situe à l’extrême nord de la province chinoise du Sichuan, et non pas sur le plateau tibétain où vit le peuple Drokpa.

Pour la localisation, se reporter à la carte de la région en tête d'article.

Il faut arrêter de croire n'importe-quoi ou n'importe-qui. Cela embrouille tout le monde et nuit à la vérité qui n'est pourtant pas bien loin.

Pour espérer une information digne de foi, mieux vaut retourner à la source ...

Attention HOAX

Photo : L'assiette de Lolladoff est un Hoax bien huilé, puisqu'il a fait le tour de la planète.

L'assiette de Lolladoff, un fake issu du livre Sungods in ExileEn 1995, l'auteur britannique David Gamon a admis dans Fortean Times, qu'il avait écrit " Sungods in Exile " comme un canular sous le pseudonyme de Agamon, inspiré par la popularité de Erich Von Däniken et ses livres sur les anciens astronautes, et un roman français de science-fiction " Les disques de Biem-Kara " de Daniel Piret.


La photo du Dalaï Lama s’entretenant avec Kary Robin Evans (montage photo en réalité !)

La visite légendaire du docteur Karyl Robin-Evans au Dalaï Lama, a parait-il fourni une mine d'informations sur la recluse et unique tribu du peuple Dropa, si l'on en croit la photographie de cette entrevue ..

Une photographie détournée... en 1947, Tenzin Gyatso, 14ème Dalaï Lama, n'avait que 12 ans ...

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SÉRIE 2 : NICE 1608  

OVNI A NICE EN 1608 - Discours des terribles et espouvantables signes apparus sur la mer de Gennes - Martigues - Nice en août 1608.

CASADAMONT n'a pu poursuivre l'édition des séries de diapositives en projet, suite à la cessation des activités de sa maison d'édition. Il édita seulement la série Baian Kara Oula, dont la diffusion s'est faite essentiellement par Gérard Lebat. C'est donc naturellement Gérard Lebat dans le cadre du GEOS France, qui prit la relève et procéda à la publication sous forme de 12 diapositives, des documents dessinés par Casadamont. (Auteur des dessins). Il y eu entre quatre et cinq éditions de cette série, au nom du GEOS France et vers 1975 une édition au nom du CFRU. (Voir la page " Mon histoire" pour connaître l'historique des associations à cette époque.) Cette série de diapositive, comme toutes celles éditées par Casadamont et le GEOS France, a fait l'objet d'un dépôt officiel à la Bibliothèque Nationale de Paris, la bibliothèque Départementale et auprès des organismes concernés. Malheureusement le financement d'un tel projet était d'un coût très élevé à cette époque. En une quinzaine d'années, 9 séries verront tout de même le jour. La série de Nice en 1608, a donc été la première à être publiée par le GEOS France et Gérard LEBAT. 

L'élaboration de ces diapositives a fait l'objet d'une étude historique de l'époque, d'une analyse du document de base afin d'être au maximum, pour chaque vue, en conformité avec les descriptions faites à l'époque. Elle laisse toutefois place à une interprétation dans les détails indispensables à l'élaboration des dessins par les auteurs. Il faut aussi se remettre dans le contexte de la fin des années 60, une documentation difficilement accessible comparée à notre époque, aucun commentaire sur cette affaire, aucune étude du document qui venait d'être porté à la connaissance du milieu ufologique par Guy Tarade

LES EXTRATERRESTRES - DIAPOSITIVE 1

NICE 1608 - Dans les archives de la ville de Nice, une bien curieuse histoire d'intervention extraterrestres fût retrouvée. Nous allons maintenant vous livrer ce document.

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LE SIEGE DU GEOS FRANCE EST AUJOURD'HUI A : 

GEOS FRANCE - GERARD LEBAT - 39 rue de Fretay 91140 VILLEJUST

LE PORT DE NICE 1608 - DIAPOSITIVE 2

Au début du XVIIème siècle, Nice port principal du Royaume du Piémont connait une période de grande prospérité. L'imposante forteresse qui domine la ville décourage les incursions barbaresques qui ravagent régulièrement les côtes voisines.

039

SUR LE QUAI - DIAPOSITIVE 3

Sur le quai de riches demeures aux balcons ouvragés. Dans cette charmante cité maritime on respire la paix dans un climat paradisiaque, quand soudain !.....

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APPARITION D'OVNI - DIAPOSITIVE 4

Au crépuscule du 5 août 1608, les niçois voient apparaître dans le ciel, trois masses lumineuses se déplaçant à grande vitesse. Les engins s'arrêtent au dessus de la forteresse. Ils descendent à 1 m de la surface de la mer, à faible vitesse. Les habitants peuvent examiner en détails les trois engins.

040 1

LES ENGINS - DIAPOSITIVE 5

Se maintenant proche de l'eau les trois masses provoquent une sorte de bouillonnement de l'eau avec dégagement d'une vapeur ocre-orangée, dans un bruit infernal. De l'un des engins surgit un être, puis deux...

 040 2

LES ETRES - DIAPOSITIVE 6

Ces deux personnages plongent dans l'eau jusqu'aux hanches. Leurs bras maintiennent à la verticale deux tubes raccordés à la ceinture. Pendant deux heures les engins les engins restent pratiquement en cette position. Puis les êtres embarquent vers 22 h, les engins partent vers l'Est, dans un bruit infernal, et disparaissent en quelques secondes.

  040 3

AVERTISSEMENT DE DIEU - DIAPOSITIVE 7

Les Niçois attribuant ce phénomène à un avertissement de Dieu, ils s'ébranlent en de longues processions religieuses, portant le christ en tête, jusqu'à l'aube du 6 août 1608.

 040 4

DE NOUVEAU A GENES - DIAPOSITIVE 8

Au matin du 22 août, les trois engins se présentent à Gênes. Informé des évènnement suvenus à Nice 17 jours auparant, il déclanchent un violent tir d'artillerie sur les trois vaisseaux. 800 boulets sont ainsi tirés, sans que les engins ne subissent de dommage. Après une heure d'évolution au dessus des flot, un engin se détache du groupe et fonce sur la ville à une vitesse vertigineuse.

 040 5

PANIQUE - DIAPOSITIVE 9

Une folle panique s'empare alors de la population, et l'on relève plusieurs morts et blessés après le passage de l'engin à la suite de piétinement, émotions ou radiations émises par le vaisseau. Les trois vaisseaux se regroupent ensuite et disparaissent vers l'Est à une vitesse vertigineuse.

 040 6

A MARTIGUES - DIAPOSITIVE 10

Le 25 août 1608, dans le ciel de Martigues apparait un vaisseau spatial qui évolue durant une 1 h 30 au dessus de l'agglomération. Deux êtres sortent du vaisseau, évoluant autour de l'engin et semblant se livrer à un duel en plein ciel. Ce sera la dernière manifestation relaté par cet écrit dans la région Méditerranéenne.

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PLUIE ROUGE - DIAPOSITIVE 11

Une semaine plus tard, d'abondantes pluies rouge comme le sang tombent dans la région. Les habitants pensent qu'il s'agit de sang, et qu'ils ont à faire à une vengeance divine, à la suite des évènements de Martigues, Nice ou Gènes !...

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DANS LES EGLISES - DIAPOSITIVE 12

Pendant quarante jours les chapelles, églises et cathédrales de la région allant de Martigues à Gènes, voient une foule énorme venir prier jour et nuit.

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Cette information fut portée à la connaissance du grand public par Guy Tarade, dans son ouvrage " Soucoupes Volantes et civilisations d'outre-espace". C'est à partir du document cité dans l'ouvrage que nous avons, fin des années 60, conçue une série de vues pour illustrer cette affaire qui rappelons le, s'est passée à Gênes, Nice, Martigues et en Provence à cette époque. Publication de la première édition de cette série de diapositive vers 1970

Précisions de Guy Tarade :

L'affaire du 16 août 1608 a été consignée dans les archives de la ville de Nice, sous le titre : "récit de Pierre Menier".

C'est mon amie Yasmine Desportes, alors journaliste à Nice-Matin qui m'a communiqué cette information.

Bien Sincèrement.

Guy Tarade

Deux documents différents, au minimum, édités et réédités au fil des siècles, sous forme d'un petit recueil, sont disponibles dans différentes bibliothèques. (Troyes, Nice, Original transféré à la bibliothèque nationale à Paris, copie à Nîmes etc.…) Ils racontent cette histoire de l'apparition d'ovnis et d'extraterrestres, en langue et avec les mots de l'époque, sur la Ville de Gennes, de Nice, Martigues, en Août 1608. (Variation selon les éditions dans l'orthographe des mots employés du fait de l'évolution de la langue et des dialectes locaux).

Le document, déposé à la Bibliothèque Municipale de Nice a pour titre : (original transféré à Paris selon information reçue dans les années 70/75) :

Version Nice : "Discours des TERRIBLES ET ESPOUVENTABLES SIGNES apparus sur la mer de Gennes, au commencement d'Août dernier avec les prodiges du sang qui est tombe du ciel, en pluye DU COSTE DE NICE et en plusieurs endroicts de la Provence, Ensemble l'apparition de deux hommes en l'air, lesquels se sons battut par plusieurs fois, et ont efté veu en grande admiration durant trois jours SUR L'ISLE DE MARTEGUE qui est une ville sur la Mer A CINQ LIEUES DE MARSEILLE."

À Paris par Pierre Ménier, - 1608 - portier de la porte Saint Victor. Iouxte la Coppie Imprimée à Lyon

Copie du document original :

Page 1

Il s’agit de la version imprimée à Troyes (il existe plusieurs éditions reprenant un texte identique, hors quelques modifications du langage.) "Discours des TERRIBLES ET ESPOUVENTABLES SIGNES apparus sur la mer de Gennes, au commencement d'Août dernier avec les prodiges du sang qui est tombe du ciel, en pluye DU COSTE DE NICE ETC… »).

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SÉRIE 3 : DIAPORAMA UFOLOGIQUE

VALENSOLE

Le plateau de Valensole (Basses Alpes) Une idée des lieux ou se déroulèrent l'un des plus importants atterrissages d'ovni en France. Photo Geos France - Gérard Lebat

 

 

VALENSOLE

Les lieux et les traces laissées par cet atterrissage, à Valensole, le 1er juillet 1965, ou vers 5 h du matin, un cultivateur, Mr MASSE, surpris des "extraterrestres" arrachant ses pieds de lavande.

 

VALENSOLE - Les traces

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 VALENSOLE

Ces photos couleurs ou N et B ont été prises en 1967, soit deux ans après l'atterrissage. Les traces sont toujours nettement visibles. C'est de derrière un monticule que ce matin du 1er juillet 1965, Mr MASSE surpris deux êtres affairés à cueillir de la lavande. Ils étaient habillés d'une combinaison de couleur gris vert, d'une seule pièce semble t'il. Ils portaient un étui assez petit, à la ceinture gauche et un étui plus gros à la ceinture droite. Doc. Gérard Lebat

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VALENSOLE

Mr MASSE s'approcha pour les observer mieux, c'est alors que l'un d'eux s'aperçu de sa présence. Il sorti alors e sont étui gauche un appareil qu'il braqua en direction du témoin, qui se retrouva paralysé, mais gardant sa lucidité. Ils remontèrent alors dans l'engin, il les vit dans la partie supérieure transparente, puis s'éleva lentement pour partir ensuite à une vitesse vertigineuse. Doc. Gérard Lebat

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VALENSOLE

Les traces laissées sur le terrain furent examinées et analysées. La gendarmerie fit un excellent travail. On nota la présence d'une radioactivité anormale, le sol semblait comme durci. L'engin de 5 m environ avait la forme d'un œuf surmonté d'un dôme transparent. Doc. Gérard Lebat

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VALENSOLE

Mr Masse qui revient voir les traces.053 

ALLEMAGNE 1971

Une série de photos avec agrandissement d'un objet.



ALLEMAGNE 1971                               054

Le 23 mai 1971, un ingénieur se promenant près Deutschlandsberg (Allemagne) entendit au-dessus de lui un bourdonnement.

ALLEMAGNE 23 MAI 1971

Il leva alors la tête et pu observer un objet qui se balançait

 

ALLEMAGNE 23 MAI 1971

Cet objet de la forme d'un disque venait en ma direction et me survola. Il prit 11 clichés de l'objet qui le survolait. Il estima son diamètre à 12 ou 15 m. Reproduction des photos et agrandissements des objets.

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TRUCAGE EN CORSE

Ce document est l'œuvre de Mr Fabre qui a déclaré avoir pris cette photo d'un objet volant le 12 février 1971. Pierre GUERIN, a enquêté sur l'affaire et il est parvenu à faire avouer le témoin qui a reconnu avoir truqué cette photo.

  

 

AUX USA

Ce document pris dans les années 1950 nous vient des USA.

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DOCUMENT DOUTEUX

L'une des photos prises par Paul Villa en 1952 aux USA. Il existe de nombreuses photos qui auraient été prises par ce témoin, malheureusement toutes sont très douteuses.

LEFEUVRE-PACAUT

René LEFEUVRE (décédé en 2002) un éditeur qui eut le courage de publier une série d'ouvrages sur les OVNI (sans succès malheureusement, il tomba rapidement en faillite) Il reçoit au Club Pernod en 1978 le journaliste et écrivain René PACAUT. Un auteur qui a enquêté sur des centaines de cas pour ICI PARIS et NOSTRA. DEUX GRANDS AMIS QUI NOUS ONT QUITTES ! Décédé à Louhans le 30 novembre 2006.à l'âge de 91 ans. René Pacaut a été également un résistant très actif durant la guerre.

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NID DE SOUCOUPE

Dans les années soixante, en Australie en retrouva un grand nombre de ces empreintes qu'on appela " NID DE SOUCOUPE".

 

 


USA - 29 JUILLET 1952

Cette photographie a été prise par Georges STOCK à PASSAIC, New-Jersey, le 29 juillet 1952.

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INFORMATIONS SUR L'AFFAIRE DE VALENSOLE

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La scène de l'atterrissage de Valensole - Série de diapositive initiées par Gérard Lebat et éditée par Le GEOS France - Dessin de Noël Paulin

MON OPINION SUR LE CAS DE VALENSOLE DANS LES BASSES ALPES

En 1967 je me suis rendu à Valensole, avec deux amis de l’époque, ufologues en herbe, après avoir rencontré plusieurs personnes dans le village, nous avons été informés du lieu de l'observation et de l'atterrissage. Voir les photos prises sur place - Les traces, à notre surprise, étaient encore bien visibles, délimitant une zone aux pieds de lavande chétifs, voire inexistant. Le sol ne comportait que peu d'herbes par rapport à d'autres secteurs. J'ai à l'époque été surpris par le fait que les habitants rencontrés prenaient en fait l'atterrissage au sérieux et considéraient que Monsieur Maurice Masse n'avait pas raconté d'histoire. On respectait en fait ses déclarations, le fait qu'il avait peut-être observé un véritable objet venant d'une autre planète. À aucun moment, les enquêteurs privés mais surtout les gendarmes qui ont enquêtés sur place à plusieurs reprises, n'ont trouvé un quelconque élément indiquant que Maurice Masse avait menti. Un gradé de la Gendarmerie à l'époque, intéressé aussi par l'insolite, avait pris quelques temps après le dossier en main et ses conclusions quant au témoin, vont dans le même sens. La forme de cet objet n'est pas nouvelle, plusieurs cas relevés dans le monde décrivent l'observation visuelle d'un objet de forme similaire. Ayant enquêté sur l'un d'eux, près de Marrakech au Maroc, le témoin a décrit un objet ovale avec l'observation d'êtres aux abords. Toutefois ce cas a été découvert et enquêté longtemps après ce qui en donne une description moins précise, de plus de nuit et par une personne totalement illettrée, ne connaissant rien du phénomène ovni, non pollué par les médias ou autres moyens d'informations, ce qui fait aussi de ce cas similaire un témoignage crédible 

A chaud, voici ce qu'en disait un journaliste du Provençal :

Le Provençal - France - 3 juillet 1965.

UNE "SOUCOUPE VOLANTE" A-T-ELLE ATTERRI DANS LES BASSES ALPES ?

Les gendarmes ont relevé d'étranges traces à l'endroit où un habitant de Valensole affirme l'avoir vue avec 2 passagers.

DIGNE. (De notre envoyé spécial Victor Nathan.)

Le village de Valensole, dans les Basses-Alpes, au milieu d'un immense plateau de lavande, est en émoi, on peut même dire qu'il est en révolution. Un de ces objets mystérieux, que les américains désignent sous le nom de "non identificated flying object" [sic], objet volant non identifié, se serait posé sur le plateau, avant-hier matin.

Le bruit s'en est répandu comme une traînée de poudre, et déjà des centaines de personnes sont allées visiter l'endroit où cet atterrissage aurait eu lieu, piétinant consciencieusement les champs de lavande.

Comment cette rumeur s'est-elle répandue, et quelle croyance [sic] peut-on lui accorder?

A l'origine, il y a un habitant de Valensole, un cultivateur, M. Maurice Masse, âgé de 41 ans, marié, père de deux grands enfants. C'est un esprit solide, un homme sérieux qui généralement, ne parle pas pour rien dire.

Jeudi matin, donc, il quittait son domicile, Place du Marché à Valensole, pour se rendre dans ses terres. Il était environ 5 h. du matin, M. Masse voulait profiter de la fraîcheur de la matinée. Il se rendit au quartier de l'Olivol, à deux kilomètres environ au Nord-Ouest de Valensole, à proximité de la route d’Oraison.

Et là, il commença le binage de ses plants de lavande. Vers 5 h. 45, il s'arrêta un moment pour fumer une cigarette, se mettant à l'ombre d'un petit monticule de terre. Il était là depuis quelques mètres à peine, lorsqu'il entendit un bruit étrange, plutôt un sifflement qui l'intrigua passablement. Il pensa que ce bruit était dû à un appareil hélicoptère ou autre et que des manœuvres avaient lieu par là.

Sa première réflexion fut :

"Il aurait pu se poser ailleurs que dans mes lavandes". Il contourna le mamelon derrière lequel il s'abritait, et c'est alors qu'il fut le témoin d'un spectacle absolument surprenant, inattendu et quelque peu terrifiant.

Comme une monstrueuse araignée

M. Maurice Masse nous fait lui-même le récit de cette vision étrange, non sans réticence, il faut bien le dire, car il a peur, manifestement, de s'attirer des ennuis.

Pourtant, ce récit, il devait le confirmer devant le chef de gendarmerie Oliva, commandant la brigade de Valensole :

J'ai vu, nous a-t-il confié, à environ trente mètres de moi, un étrange véhicule dont la forme rappelait vaguement celle d'un ballon de rugby. Il avait le volume d'une Dauphine, à peu près, et était de couleur mate.

Il était posé sur quatre sortes de pattes métalliques et d'un pivot central.

"J'ai pensé, nous dit M. Masse, à une monstrueuse araignée. À terre, se trouvait un être humain de la taille et de la corpulence d'un enfant de 8 ans environ. Il avait une combinaison, mais pas de casque et les mains nues. À l'intérieur de l'appareil, j'ai pu apercevoir un autre être. Soudain, celui qui était à terre se retourna et me vit, il sauta immédiatement dans l'appareil. Une porte à glissière se referma derrière lui et l'engin décolla à une vitesse hallucinante, sans dégagement d'aucune fumée ni poussière, en une fraction de seconde ce fut terminé, je l'avais perdu de vue. 

"Je n'en croyais pas mes yeux, et pourtant, nous affirma M. Masse, je n'ai pas rêvé, et je n'ai jamais de vision. Je vous donne l'assurance formelle que le spectacle dont j'ai été témoin s'est bien déroulé sous mes yeux."

La terre durcie comme du ciment

Avec les gendarmes de Valensole, nous nous sommes rendus sur les lieux de l'atterrissage. Il ne fait aucun doute que quelque chose est passé par là. À l'emplacement du pivot, on peut voir maintenant, dans le sol, un orifice de 20 centimètres de diamètre et de 50 centimètres de profondeur environ. Partant de là, des traces en forme de X qui sembleraient confirmer la version des quatre pattes de l'appareil.

Mais, la chose la plus étrange, c'est que tout autour de l'orifice, la terre est comme pétrifiée, dure comme du ciment, alors qu'ailleurs elle s'effrite et s'écrase en poussière sous les doigts.

"Mais, nous dit M. Masse, tout de suite après le départ de l'engin, la terre avait la consistance d'une boue presque liquide. Chose d'autant plus étrange, du fait qu'il n'a pas plu ici depuis longtemps."

Comme on peut l'imaginer, ce récit a provoqué une émotion intense, et l'on attendait, dans la soirée, l'arrivée du capitaine Valnet, commandant de la Compagnie de gendarmerie de Digne.

Nota de la rédaction : Certains détails dans cet article journalistique ne sont pas conformes à la description réelle du témoin, enregistrée par les gendarmes.

  SÉRIE 4 : LES OVNI - PROBLÈME DE NOTRE TEMPS

Au rythme d’une série par année dans le meilleur des cas, la série 4 vit le jour en 1977.  

COMA METEORITE

Coma météorite photographié à bord du Concorde 001 lors de l'éclipse solaire du 30 juin 1973. Présenté tout d'abord comme un ovni dans toute la presse, le Professeur KOUTCHMY du CNRS PARIS en donna rapidement la véritable origine.

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FORME D'OVNI

A travers les âges les ovnis se sont manifestés sous différentes forme. Cette reproduction reprend les formes de la soucoupe Adamski, du cigare es nué, etc.... 


OBSERVATION DU CIEL

En 1967, au mois d'Août, sur le Mont Baouz des Blancs, proche du col de Vence, au-dessus de Vence, des ufologues établirent un camp d'observation du ciel 24h sur 24 qui dura un mois. De telles initiatives n'étaient pas rare à cette époque. La vue était immense sur toute la côte méditerranéenne. 

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OVNI ALLONGE

Alamogordo - Nouveau Mexique - Melle Ella Fortune prit cette photo en 1957 alors qu'un objet allongé traversait le ciel à faible vitesse.

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NUAGES

Cette photo nous vient du Brésil et représente un nuage lenticulaire. Dans certains cas ces nuages ont été pris pour des OVNI. Le phénomène n'est pas rare, en montagne entre autres. Un second exemple.

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SAN FRANCISCO

Le 10 Octobre 1956, cet objet aurait été pris en photo au-dessus de San Francisco. Photo prise par Joe Kerska et couramment vendue par un certain Robert C. Gardner, ce qui en fait un document peu fiable, certainement l'objet d'un montage. À cette époque, le début de l'ufologie, lors de conférences, ce genre de document pouvait se vendre, aucun souci, on ne parlait pas à cette époque des trucages ! Cette photo a été reprise par de nombreux bulletins ufologiques à l'époque puis par de nombreux médias. 

APOLLO II

Lors du vol d'Apollo II en 1969 à partir de la cabine en orbite lunaire, plusieurs photos de formes lumineuses ont étés prises.

APOLLO II

Une variante des "objets lumineux" photographiés à bord d'Apollo II en 1969.

 

 

GEMINI 7

A bord de la capsule GEMINI 7 les astronautes, Franck Borman et James Lovell ont photographiés des sortes de "lucioles" aux abords de leur cabine le 4 décembre 1965.

 

P.S.I.

PROJECT STARLIGHT INTERNATIONAL. En 1977 - 1978, une équipe de jeunes ingénieurs a mis en place un laboratoire équipé d'un important matériel pour tenter d'obtenir des données plus précises sur les OVNIs ;

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P.S.I.

Nous n'avons pas connaissance des suites de ce projet et nous ne savons pas à ce jour si cette équipe dynamique à obtenue des résultats.

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P.S.I.

Le pylône de la station du PROJECT STARLIGHT INTERNATIONAL.

Fondé en 1964, le projet a pour objectif de recueillir et de diffuser auprès de la communauté scientifique un large éventail de données instrumentées sur les ovnisAu cours de son existence, il a utilisé des magnétomètres, un gravimètre, un spectromètre, un radar, un système laser-télescope-vidéo et d'autres systèmes électroniques et optiques pour enregistrer les effets physiques, les images optiques et la localisation des ovnis. Le projet effectue des analyses approfondies des films d'ovnis réalisés par le personnel du PSI, ainsi que des données magnétométriques, spectrographiques et autres enregistrées lors d'événements ovnis. Adresse : PO Box 845, College Park, MD 20740.

OUI LE PHENOMENE OVNI EST BIEN REEL. LA QUANTITE DE TEMOIGNAGES RECUEILLIS  MET EN EVIDENCE UN PROBLEME ET CES PHOTOS PROUVENT QU'IL EXISTE ….

                    

SÉRIE 5 : OUI LES OVNI EXISTENT ! 

CES PHOTOS LE PROUVENT.

REVIGNY SUR ORNAIN

Photo prise par un gendarme de REVIGNY SUR ORNAIN le 6 juin 1975. Ce document a été de nombreuses fois publiés dans des revues sérieuses et notamment dans LA REVUE DE LA GENDARMERIE NATIONALE avec une conclusion favorable quant à son authenticité.

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REVIGNY SUR ORNAIN

Ce document est le second pris par un gendarme de REVIGNY SUR ORNAIN le 6 juin 1975. Il était 21 h 30 lorsque marchant sur le RD 3105 il aperçut deux objets de couleur rouge/orangée, très brillants de forme allongée.

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NAMUR

Une série de trois documents photos pris le 5 juin 1955 près de Namur - Belgique.





 080NAMUR - BELGIQUE

L'objet arriva à grande vitesse, puis il ralentit.


NAMUR 5-06-1955

L'objet brillait au soleil, couleur gris argenté, puis il descendit et une trainée de vapeur se forma, pour enfin disparaître à grande vitesse.

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MONTREAL

À Montréal au Canada, le 5-08-1973 un jeune garçon pris cette photo d'ne série de lumières qui se déplaçaient à grande vitesse.

 

 

083AUSTRALIE

Ce curieux objet en forme de cloche a été photographié par un homme d'affaires depuis son jardin de Balwyn, dans la banlieue de Melbourne. L'OVNI a été aperçu le 2 avril 1966 et la photo a été prise quelques minutes après 14 heures avec un appareil photo Polaroid.

TULSA - USA

Le fameux document pris à Tulsa aux USA qui a été publié par le journal OKLAHOMA CITY JOURNAL, jugé alors authentique et que des ufologues considèrent, après étude, comme un trucage.

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LA PHOTO DU R.P. BENITO REYNA

Cette photo prise par le RP Benito Reyna, à l'observatoire d'Adhara en Argentine montre 3 des sept disques qui se profilaient devant la lune au cours d'une séance d'observation. Adhara - San Miguel - Argentine - 1965


JIMMY GUIEU EN CONFERENCE !

Conteur, excellent orateur, ancien journaliste radio, écrivain de science-fiction de renommé, JIMMY GUIEU vers 1978 au cours d'une conférence. Comme à l'habitude, JIMMY GUIEU, a encore conquis ce jour-là son public. Excellent ami, d'une gentillesse extrême, on regrettera toujours Jimmy Guieu qui nous a si souvent fait rêver…

Jimmy Guieu (pseudonyme littéraire de Henri-René Guieu), né le 19 mars 1926 à Aix-en-Provence et mort le 2 janvier 2000 à Vernouillet est un écrivain de science-fiction, essayiste ufologue, vidéaste et homme de radio français. Il a publié notamment au Fleuve noir et a écrit des romans d'espionnage (sous le nom de Jimmy G. Quint), des romans policiers (sous le nom de Claude Rostaing), des romans érotiques (sous le nom de Dominique Verseau), ou encore Claude Vauzière. Il a aussi collaboré avec Philippe Randa et surtout Richard Wolfram (de son vrai nom Roland C. Wagner). Il a aussi bénéficié des couvertures de Brantonne. WIKIPEDIA.

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MICHEL MONNERIE

Michel Monnerie, excellent et compétent ufologue de l'ancienne génération des années 60-70, prit un virage à gauche durant les années 70 et se mit à douter de l'existence des OVNI. Il est l'auteur de ET SI LES OVNI N'EXISTAIENT PAS - 1977 - un titre qui est clair quant à sa nouvelle pensée ! et pourtant ls OVNI sont toujours là ….

Michel Monnerie, né en 1940, est un ufologue français, membre de l'association Lumières dans la nuit (LDLN) et représentant de la « nouvelle ufologie ». Michel Monnerie est restaurateur d'œuvres d'art aux Archives Nationales et astronome amateur dans le "civil"

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SOUCOUPE TERRESTRE

Fabriquée par la main de l'homme, la soucoupe AVRO est maintenant dans un musée. Elle ne s'est jamais élevée à plus d'un mètre du sol. Des idées, mais un budget insuffisant pour les développer....

L'Avro Canada VZ-9 Avrocar est un aéronef à décollage et atterrissage verticaux conçu et développé par Avro Canada (en) dans le cadre d'un projet militaire secret américain lancé dans les premières années de la guerre froide. Pour générer sa portance, l'Avrocar, de forme circulaire, fait appel à l'effet Coandă et utilise un unique turbomoteur, situé au milieu de l'aéronef et dont l'éjection est dirigée vers le bas. En vol, l'Avrocar doit ressembler à une soucoupe volante.

 

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SÉRIE  6 :  LES HUMANOÏDES  

La série 6 de diapositives éditées par le GEOS France était consacrée aux HUMANOÏDES, ces êtres qui ont été aperçu aux abords des ovni posés au sol. Cette série a rencontré un énorme succès et   ses images ont été publiées dans le monde entier. Nous vous la livrons ci-après, complétée par des cadrages complémentaires.

LA REVUE LES EXTRATERRESTRES

Cette illustration reprend le célèbre autocollant édité par le GEOS durant les années 60 à 80.

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HUMANOIDE TYPE

Un groupement américain a déterminé ce portrait-robot comme étant l'être humanoïde le plus SOUVENT observé au monde. Sa taille de 0 m 90 à 1 m 20.

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PORTRAIT ROBOT DE L'E.T. TYPE

Une variante de l'E.T. type le plus souvent observé, dessiné par Noel Paulin et qui illustra la couverture de l'une des séries de diapositives du GEOS

 

 

VALENSOLE

Vous trouverez maintenant la reconstitution d'après nature, de l'observation de Maurice Masse, à Valensole en 1965 ; l'humanoïde, l'engin....

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VALENSOLE

Scène de Valensole, observation par Maurice Masse d'êtres aux abords d'un objet inconnus au sol. 

 

















VALENSOLE

L'engin posé au sol. 

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MON OPINION SUR LE CAS DE VALENSOLE DANS LES BASSES ALPES

En 1967 je me suis rendu à Valensole, après avoir rencontré plusieurs personnes dans le village, nous avons été informés du lieu de l'observation et de l'atterrissage. Voir les photos prises sur place - Les traces, à notre surprise, étaient encore bien visible, délimitant une zone aux pieds de lavande chétives, voire inexistant. Le sol ne comportait que peu d'herbes par rapport à d'autres secteurs. J'ai à l'époque été surpris par le fait que les habitants rencontrés prenaient en fait l'atterrissage au sérieux et considéraient que Monsieur Maurice Masse n'avait pas raconté d'histoire. On respectait en fait ses déclarations, le fait qu'il avait peut-être observé un véritable objet venant d'une autre planète. A aucun moment, les enquêteurs privés mais surtout les gendarmes qui ont enquêtés sur place à plusieurs reprises, n'ont trouvé un quelconque élément indiquant que Maurice Masse avait menti. Un gradé de la Gendarmerie à l'époque, intéressé aussi par l'insolite, avait pris quelques temps après le dossier en main et ses conclusions quant au témoin, vont dans le même sens. La forme de cet objet n'est pas nouvelle, plusieurs cas relevés dans le monde décrivent l'observation visuelle d'un objet de forme similaire. Ayant enquêté sur l'un d'eux, près de Marrakech au Maroc, le témoin à décrit un objet ovale avec l'observation d'êtres aux abords. Toutefois ce cas a été découvert et enquêté longtemps après ce qui en donne une description moins précise, de plus de nuit et par une personne totalement illettrée, ne connaissant rien du phénomène ovni, non pollué par les médias ou autres moyens d'informations, ce qui fait aussi de ce cas similaire un témoignage crédible 

ITALIE - RAVEA

Ces êtres ont été observés vers 9 h le matin près de Ravéa (province du Frioul) Italie le 14 aout 1947.

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Le cas est bien connu, fut publié pour la première fois en 1964 sur la revue "Clypeus" et puis repris partout (en France, sur la revue du GEPA, "Phénomènes spatiaux").

L'illustration est assez fidèle pour ce que concerne les humanoïdes, mais pas pour la "soucoupe" qui était en forme de disque et placée en vertical.

RAVEA - ITALIE  


Détails et croquis des êtres observés à RAVEA province du Frioul ITALIE.

Le peintre et écrivain de science-fiction RL Johannis (pseudonyme), lors d'une excursion en montagne près de Raveo (Villa Santina, Udine), remarqua la présence d'un étrange dispositif lenticulaire, d'une dizaine de mètres de diamètre, coincé verticalement dans une fissure transversale d'une paroi rocheuse. Il était 9 h 14, le 14 août 1947. Il semblait être en métal peint d'un rouge vif ; au centre se trouvait un dôme bas, surmonté d'une antenne télescopique. À une cinquantaine de mètres de là, le témoin remarqua la présence de deux êtres : croyant qu'il s'agissait de bergers, il les appela et se dirigea vers eux.
                                                                                                                                                                                                                                      
C'étaient deux petits hommes qui avançaient à petits pas, les mains le long du corps. Leurs grosses têtes étaient recouvertes d'une sorte de bonnet marron, tandis que leurs yeux étaient énormes, globuleux, jaune-vert, avec une fine ligne au centre. Ils portaient une combinaison noir-bleu, semblable à du plastique brillant. Le témoin et les êtres s'arrêtèrent pour s'observer, puis Johannis leur demanda qui ils étaient, tout en levant le piolet qu'il avait sur lui : l'un des êtres porta la main à sa ceinture et une légère fumée s'en échappa. L'homme se retrouva à terre et un nain ramassa le piolet qui lui avait échappé : tous deux se dirigèrent alors vers le disque, disparaissant de leur vue. Soudain, l'objet se détacha de la fissure, flottant immobile en position verticale ; puis il s'inclina légèrement et s'éleva rapidement, disparaissant. Johannis constata plus tard la perte de son piolet et de certains éléments de son équipement, tous en aluminium.

 La possibilité qu'il s'agisse d'une histoire inventée à des fins inconnues (une blague destinée aux passionnés de « soucoupes volantes » de l'époque avec lesquels Johannis était en contact ?) semble tout à fait plausible. Mais rien de prouvé. Ces remarques s’appuient sur le fait que Johannis était un auteur de science-fiction et qu’il s’intéressait aux ovnis.  Son fils, après la mort de son père, confirme que son père lui a toujours parlé de ce cas, ainsi que d’anciens amis, et qu’ils considèrent le dossier comme réel. 

ANTONIO VILLAS BOAS

Illustration de l'être observé par ANTONO VILLAS BOAS en 1967 au Brésil

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ILES CANARIES 22 JUIN 1976

Voici l'illustration de l'observation relatée dans la revue LES EXTRATERRESTRES n° 5 et qui décrit une observation avec description d'êtres insolitesDes occupants d'OVNI sont vus dans une « bulle de verre » au-dessus de Las Rosas, aux îles Canaries, le 22 juin 1976 « L'étrange bulle de verre est restée stationnaire, et ils pouvaient voir deux figures géantes à l'intérieur. Leur observation a duré environ 20 minutes à très courte distance, ce qui leur a permis de fournir des détails très spécifiques. La bulle de verre était transparente, et on pouvait voir les étoiles dans le ciel derrière elle.  

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ILE DE LA REUNION

Voici le spectacle qui a été vu à LA PLAINE DES CAFFRES, Ile de la Réunion dans un cas célèbre et très bien documenté, à l'honneur encore de la gendarmerie. Dessin de Noel Paulin -GEOS France.

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ile DE LA REUNION

Détail de l'objet observé le 31 juillet 1968 à La Plaine des Caffre - Ile de la Réunion - par un témoin allant ramasser de l'herbe pour ses lapins dans un champ non loin de sa maison.

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ILE DE LA REUNION

Détails de l'être observé à LA PLAINE DES CAFFRES - ile de la Réunion - en 1968. Un humanoïde de style "bonhomme Michelin". Ce type d'être a été observé à plusieurs reprises.

LA DESCRIPTION DE CETTE AFFAIRE DE PATRICK GROSS REPREND LE PEU DE RENSEIGNEMENT QUE NOUS AVONS SUR CETTE AFFAIRE. ELLE EST L’UNE DES PLUS COMPLETE DONT NOUS DISPOSONS.

https://ufology.patrickgross.org/htm/plainedescafres1968f.htm

Le 31 juillet 1968, vers 9 heures du matin, Luce Fontaine, créole, garçon vacher ivre selon les sources moquant l'affaire et cultivateur époux d'une institutrice selon d'autres sources, âgé de 22 ans, cueillait de l'herbe pour ses lapins dans une petite clairière, au centre d'un bois d'acacias au lieu-dit Le Tampon dans la Plaine des Cafres, à l'île de la Réunion.

Il a dit avoir vu là pendant une quinzaine de secondes un objet de forme ovoïde, au centre translucide et aux extrémités bleu sombre, stationné quatre ou cinq mètres au-dessus de lui à une distance de 25 mètres. L'engin mesurait dans les 5 mètres de large et 2 mètres 50 de haut.

Dessin de J.P. Lavilgrand figurant dans son rapport.

De couleur bleue et blanche, l'objet émettait une lumière blanchâtre crue comparée à celle d'un arc électrique. Des sortes de grands pieds de métal étaient au-dessus et en dessous de l'engin.

Au centre de l'engin, derrière la partie translucide, Luce Fontaine voit deux personnages de type humanoïdes, d'environ 90 centimètres de haut, vêtus des pieds à la tête d'une sorte de tenue de cosmonaute boudinée, qu'il surnommera les "babas Michelin" puisqu'ils ressemblaient à la célèbre mascotte de la marque de pneus. Les deux êtres portaient des sortes de casque qui masquaient partiellement leur visage.

Au bout de quelques secondes, les deux êtres semblent s'apercevoir de la présence de Luce Fontaine, ils lui tournent alors le dos et l'engin disparaît en quelques secondes dans un éclair aveuglant et un souffle d'air chaud.  

Luce Fontaine, selon les diverses sources journalistiques locales, est présenté tantôt comme "un ouvrier agricole considéré comme sobre et de bonne foi", ou "un garçon vacher de retour d'un bal bien arrosé." Les récits ne précisent pas si c'est lui qui est allé spontanément trouver les gendarmes pour rapporter ce qu'il a vu ou si ce sont les gendarmes qui sont venu interpeller l'homme pour savoir ce qu'il en serait, toujours est-il que les gendarmes de l'île ont noté ainsi la déclaration qu'il leur a faite.

"J'ai aperçu pendant une quinzaine de secondes un objet de forme ovoïde stationné à quatre ou cinq mètres du sol. L'objet émettait une lumière crue comme celle d'un arc électrique. Il avait quatre à cinq mètres de diamètre et environ deux mètres et demi de haut. Il était bleu et blanc dans ses parties supérieures et intérieures. Un peu gêné par la forte lumière, j'ai pu quand même distinguer, derrière un écran bleu, deux personnages qui m'ont paru mesurer environ 90 centimètres. Les deux personnages étaient vêtus d'un scaphandre."

"Ils ressemblaient à deux "Babas Michelin" dont l'un me tournait le dos alors que l'autre me faisait face. Lorsque ces deux espèces de cosmonautes m'ont vu, il y a eu un éclair blanc et l'appareil s'est envolé."

Son interrogatoire par la gendarmerie, dans le cadre de l'enquête dirigée par le capitaine de gendarmerie Maljean, de Saint-Pierre, n'a pas donné lieu à la publication d'une explication triviale ni à l'exposition d'un canular et les rapports ne sont pas disponibles.

Après l'enquête de la gendarmerie, c'est le directeur du service départemental d'incendie et de secours, le capitaine Léopold Legros, qui avait des compétences en matière de nucléaire, de chimie et de biologie, qui s'est aperçu que le chapeau et le pantalon de Luce Fontaine étaient radioactifs dans des proportions supérieures aux taux naturels. Il avait utilisé le matériel de détection de l'aérodrome de Gillot pour cela.

Legros a alors inspecté les lieux de l'observation et y a détecté également une radioactivité anormale en six endroits ponctuels alignés trois par trois au sol. Par ailleurs, Luce Fontaine a saigné du nez pendant les huit jours qui ont suivi son observation, mais il n'y eut aucune autre conséquence notée sur sa santé.

J.P. Lavilgrand, de Saint-Denis de la réunion, sera le premier ufologue "civil" à être au courant de l'affaire et en fera le compte rendu, suivi de M. Albany du groupe d'ufologie GEPA. Le capitaine Legros dira à J.P. Lavilgrand au sujet de la radioactivité mesurée sur l’emplacement :

"Dans un rayon de cinq mètres autour du point survolé par l'OVNI, huit points de radioactivité ont retenu notre attention. Sur des touffes d'herbes, sur des galets, nous avons détecté jusqu'à 60 millièmes de Röntgens."

Ces taux ne sont pas alarmants, mais bien anormaux. J.P. Lavilgrand a par ailleurs fait remarquer que les mesures ont été faites 10 jours après les événements, et que les pluies abondantes de la saison avaient pu délaver le terrain. Il a lui-même noté les déclarations de Luce Fontaine comme suit :

"Je me trouvais au kilomètre 21 dans une petite clairière au centre d'un bois d'acacias. Courbé vers le sol, je ramassais ce matin-là de l'herbe pour mes lapins, quand j'ai brusquement aperçu dans la clairière une sorte de cabine ovale à 25 mètres de moi, comme suspendue à 4 ou 5 mètres du sol. Ses extrémités étaient bleu foncé, le centre était plus clair, plus transparent, un peu comme le pare-brise d'une 404. Au-dessus et au-dessous, il y avait comme deux pieds de verre en métal brillant."

"Au centre de la cabine se tenaient deux individus, le dos tourné vers moi. Celui de gauche a tourné la tête sur lui-même et m'a donc fait face. Il était debout, petit, 90 cm. environ, enveloppé des pieds à la tête dans une sorte de combinaison comme les bonshommes Michelin. Celui de droite a simplement tourné la tête vers moi, mais j'ai quand même eu le temps d'entrevoir son visage, en partie masqué par une sorte de casque."

"Tous les deux m'ont ensuite tourné le dos, et il y a eu un éclair aussi violent que celui de l'arc électrique d'un appareil de soudure. Tout est devenu blanc autour de moi, une forte chaleur s'est dégagée, puis comme un souffle, et quelques secondes plus tard il n'y avait plus rien."

"Je me suis alors approché de l'endroit où se tenait l'engin; il n'y avait aucune trace. Cet objet mesurait 4 ou 5 mètres de diamètre et 2 mètres 50 de haut environ. Il était de couleur bleutée, blanc sur les parties supérieures et inférieures. J'ai raconté tout cela à ma femme et aux gendarmes, tous m'ont cru tout de suite."

L'affaire a été racontée dans la presse locale, sous le titre : "Soucoupe volante à la Plaine des Cafres ? Radioactivité légèrement supérieure à la normale constatée sur les vêtements de l'unique témoin, un cultivateur nommé Luce Fontaine qui affirme: "Deux babas Michelin habitaient l'engin"." Elle passa ensuite dans la presse métropolitaine, avec de nombreux articles dans des journaux comme "Centre-Matin", "Le Courier de l'Ouest", "l'Alsace", "Nice Matin", "Le Provençal": qu'il y ait eu une enquête de gendarmerie, et les traces de radioactivité, avaient permis aux journalistes de penser que l'événement était digne d'être rapporté.

Sur le lieu même de l'observation se trouve maintenant l'une des plus célèbres boîtes de nuit de la Réunion, "La Soucoupe Volante", et l'affaire est devenue autant le sujet des quolibets de l'île qu'un classique mineur de la littérature ufologique.

Patrick Gross - https://ufology.patrickgross.org/htm/plainedescafres1968f.htm 

 

HUMANOIDE ROBOT

Ce type d'extraterrestre, genre Robot aux gestes lents, a été observé aux Usines Renault à Ika à Santa Isabel en Argentine en Septembre 1972.

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HUMANOIDE ROBOT

Il s'agit d'un autre type d'humanoïde observé à de nombreuses reprises, et nous illustrons ici le cas de Carlos Pas (Cordoba) Argentine du 20 juin 1968.

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HUMANOIDE A APPARENCE HUMAINE

Ce type d'être a été souvent observé, il est d'apparence humaine avec une chevelure blonde, un nez étroit et pointu, des yeux allongés de type ''chinois'' ainsi qu'une bouche sans lèvre. Peu observé de nos jours.

HUMANOIDE TYPE ADAMSKI

Cet être a été observé durant les années 50 , rare depuis, mais il faut le mentionner. Haut de 1 m60 - 1 m80, cheveux blond long, combinaison collante. Type Adamski.

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LES ETRES BIZARRES  

Des milliers d'observations d'êtres bizarres observés aux abords d'objets au sol sont décrits aux quatre coins du monde. En voici un tableau représentatif.

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HUMANOIDES

Parmi les humanoïdes bizarres, un agrandissement détaillé de notre vue générale.


HUMANOIDES

Détails des Humanoïdes bizarres observés dans le monde, en un seul exemplaire en général…. Les objets observés ont également les formes les plus diverses.


KELLY USA

L'Affaire de Kelly est un classique de l'histoire des Ovni, un cas solide, des êtres uniques et une histoire incroyable.

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KELLY USA

Détails des êtres observés lors de l'aventure extraordinaire de Kelly - USA

  

KELLY

Un être étrange, vue et revue, un engin, une lumière, une histoire étrange et impensable d'une observation d'êtres extraterrestres dans la ferme de Kelly - USA

 Details sur l’affaire de Kelly

Le soir du 21 août 1955, cinq adultes et sept enfants se sont présentés au commissariat de Hopkinsville, affirmant que de petites créatures extraterrestres venues d'un vaisseau spatial avaient attaqué leur ferme et qu'ils les avaient repoussées par des tirs « depuis près de quatre heures ». Deux des adultes, Elmer Sutton et Billy Ray Taylor, ont affirmé avoir tiré sur quelques silhouettes sombres et courtes qui apparaissaient à plusieurs reprises à la porte ou scrutaient les fenêtres. Le Kentucky New Era, premier journal à rapporter l'incident, a estimé le nombre de créatures à « 12 à 15 », chiffre qui reste le plus souvent rapporté.

Inquiets d'une possible fusillade entre citoyens, quatre policiers municipaux, cinq agents de la police d'État, trois shérifs adjoints et quatre policiers militaires du Fort Campbell, base de l’armée américaine située à proximité, se sont rendus à la ferme Sutton, située près de Kelly. Leurs recherches n'ont révélé aucune trace, hormis des vitres brisées et des trous dans les moustiquaires, probablement dus à des coups de feu.

Parmi les résidents de la ferme figuraient Glennie Lankford, ses enfants, Lonnie, Charlton et Mary, deux fils adultes issus d'un précédent mariage, Elmer « Lucky » Sutton, John Charley « JC » Sutton, leurs épouses respectives Vera et Alene, OP Baker, le frère d'Alene, et Billy Ray Taylor et son épouse June. Les Taylor, « Lucky » et Vera Sutton étaient apparemment des forains itinérants de passage à la ferme. À leur retour le lendemain, les policiers ont trouvé la maison vide. Des voisins les ont informés que les familles avaient « plié leurs bagages et quitté les lieux », affirmant que « les créatures étaient revenues vers 3 h 30 du matin ».

Canular, hiboux ou autres explications ont été avancées, mais toutefois aucune preuve déterminante quant  quant à ces conclusions.



Le GEOS France crée officiellement en 1969, journal officiel de la République Française du 5 juin, à longtemps enquêté sur les OVNI ou UAP auprès des témoins et menant diverses activités en rapport avec le phénomène OVNI de 1969 à ce jour.
Gérard Lebat : lebat1@aol.com



SÉRIE 7 : CES ENGINS QUE L'ON APPEL « SOUCOUPES VOLANTES ».

La majorité des dessins réalisés dans nos séries de diapositives sont de Noël Paulin, un dessinateur de très bon niveau, qui anonymement bien sûr, réalise certaines publicités que vous pouvez voir dans la grande presse, l'Express par exemple. La qualité de son travail doit être irréprochable. Nous avons ajouté, comme précédemment, un certain nombre de documents photos, que le GEOS n'avait jamais publié, certains publiés en Noir et Blanc dans la revue Hypothèses Extraterrestres, d'autres des reproductions en noir et blanc qui nous ont paru d'un grand intérêt. Nous rappelons que tous les documents réalisés par le GEOS et Gérard Lebat sont reproductibles, il suffit de nous contacter au préalable par un petit émail à : lebat1@aol.com

CES ENGINS - MEME AU MOYEN AGE !

Le 14 avril 1561 au-dessus de Nuremberg, de nombreux témoins furent les observateurs de ce spectacle qu'un miniaturiste, Mr Hanns GLASER reproduisit. Dessin repris d'après la gravure figurant dans la collection Wickiana de la bibliothèque principale de Zurich en Suisse.

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LE CIGARE

Le cigare se propulsant à plus ou moins grande vitesse a été de nombreuse fois observée, ici par les pilotes d'un DC3 - Chiles et Whitted - le 24 juillet 1948 à 1 h 55 du matin. De justesse il évita l'avion !

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LE CIGARE VOLANT
Seconde version de l'objet en forme de cigare volant observé pas les pilotes d'un DC3 en 1948

LE CIGARE DES NUES

Une version observée à plusieurs reprises, le CIGARE DES NUES. Ici nous illustrons le cas d'Oloron Ste Marie le 17 octobre 1952.

LE CIGARE DES NUES

De très nombreux témoins ont pu voir cet objet évoluant dans le ciel, d'où s'échappaient des petits engins en forme de boules entourées d'un anneau. L'engin allongé émettait sur l'arrière, une sorte de panache de fumée blanche….

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LE CIGARE DES NUES

De cet engin tombaient des parcelles de matière gélatineuse qui arrivées sur le sol se désagrégeaient rapidement. De très nombreux témoins assistèrent à ce spectacle qui demeure une énigme dans l'histoire des OVNI.

LE DISQUE CLASSIQUE

Cette forme se retrouve fréquemment. Nous illustrons la photo prise à Mc Minville (Oregon - USA) le 11 mai 1950.

 SOUCOUPE A TERRE

Vers 4 h de l'après-midi, le 13 août 1967, dans une ferme Brésilienne, isolées, dans l'état de Goiás, un cultivateur rentrant des champs aperçoit cet objet, une sorte de cuvette renversée. À côté il y a des personnages. Le cultivateur tir vers l'engin. Un rayon vert le frappe à la poitrine. Il est mort 60 jours plus tard..

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LA MASSE METALIQUE ELIPTIQUE

On a souvent observé cette masse métallique elliptique. Ici nous reprenons le cas de Gérald Gâteau, près de Troyes le 28 mars 1964. Témoin le matin, alors qu'il roulait en voiture, pour se rendre à son travail, de cette apparition dans un champs en contrebas.

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MASSE METALLIQUE ELIPTIQUE

Gérald Gâteau, voyant cet engin a tout d'abord pensé à une citerne dans le pré. Mais arrivé à une cinquantaine de mètres l'objet décolla sans bruit. (Nr 11 Revue LES EXTRATERRESTRES éditée par Gérard Lebat)

Ici, Gérald Gâteau avec une équipe de FR3, procédant à une reconstitution sur les lieux, de ce qu'il a observé le 28 mars 1964.

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FAITS NOUVEAUX - LE DOUTE ! 

Gérald Gâteau à par la suite prétendu avoir trouvé six boules d'aspect métallique sur les lieux de cet atterrissage. Fortement médiatisées (TV AVEC DE CHAVANNE) ces boules ne seraient en fait que des morceaux de métaux bien terrestres. Ce cas découvert à l'époque lors d'une conférence du GEOS France à St André les Vergers près de Troyes a été publié par la suite dans la revue HYPOTHESES EXTRATERRESTRES. C'est donc quelques années plus tard que Gérald Gâteau a prétendu avoir trouvé sur les lieux les fameuses boules. Un animateur du GEOS France, Guy CAPET qui habite sur Troyes a eu un exemplaire de cette boule en main, mais il n'en a pas fait état car, entretemps il a enquêté sur Gérald Gâteau qui en fait localement était bien connu pour ses " histoires extraordinaires" et farces ! Personne dans son entourage, parmi les personnes rencontrées, ne croyait à la réalité de toutes ces histoires d'OVNI. Ce travail fait dans son entourage nous permet aujourd'hui de douter fortement quant à la réalité de ces faits, aucune preuve en fait n'a été trouvé et la quête de popularité du témoin est mise en évidence. 

LA BOULE GIGANTESQUE

Ici, une boule énorme, gigantesque que l'avion du capitaine Mantell poursuit. 7 janvier 1948 - confirmation et suivit radar - observation solide. Le pilote trouva la mort en poursuivant l’objet !

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LA PETITE BOULE

Se déplaçant à basse ou à haute altitude, des milliers de témoins ont décrit des boule souvent rouges, orangées se déplaçant plus ou moins rapidement. Ici nous reprenons la description d'une observation qu'a fait un témoin près de Uromesnil dans les Vosges. Ce cas aurait été expliqué. Mais des cas similaires, il y en a des milliers d'autres !

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BOULES DE CONDENSATION

La forme d'objet de type "boule" est observée sous différents aspects. Ici, près de Nemours (seine et marne) les ouvriers qui travaillent dans une carrière observent LE 22 NOV 1978, plusieurs boules qui tournent à grande vitesse, laissant derrière elles des trainées de condensation. REVUE LES EXTRATERRESTRES N° 11.

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FORME BIZARRE

Ici l'objet photographié Cocoyoc au Nouveau Mexique le 3 novembre 1973.

 

FORME BIZARRE

2ème photo de l’engin observé à Cocoyoc.

 


 

FORME BZARRE

3ème photo de l'objet de Cocoyoc.

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FORME BIZARRE

Reconstitution de l'objet de Cocoyoc, posé au sol. 3 novembre 1973. Dessin GEOS France – de Mr Richard, dessinateur Industriel.

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FORME BIZARRE

Interprétation artistique de l'engin de Cocoyoc, en vol.


 

FORME BIZARRE

Selon un dessinateur industriel, voici la forme probable de l'engin, vue de dessous et de dessus.

 

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DETAILS DU CAS DE COCOYOC REFERENCE PAR PATRICK GROSS UN UFOLOGUE FRANÇAIS SERIEUX ET RECONNU QUI EDITAIT AUTREFOIS UN SITE A CONSULTER ET TOUJOURS EN LIGNE

https://ufologie.patrickgross.org/htm/cocoyoc73.htm

Le 3 novembre 1973 à 16h45, un banquier, sa femme, leur enfant et l'infirmière qui s'occupe de l'enfant roulaient en voiture vers Mexico, sur la route entre Cocoyoc et Caxtepec. Le temps était clair, avec quelques légers nuages ​​floconneux parsemant le ciel.

L'épouse du banquier aperçut un objet dans le ciel, à une altitude qu'ils estimèrent à environ moins de 100 mètres au-dessus du sol. Elle raconta ensuite que l'objet était de forme plutôt ronde, qu'elle avait attiré l'attention de son mari sur sa présence et que, tandis que la distance les séparait de l'objet diminuait, ils se rendirent compte que ce n'était pas ce qu'ils avaient initialement imaginé : ce n'était ni un avion, ni un hélicoptère, ni même un ballon de compétition, auxquels ils avaient pensé un instant.

Le banquier arrêta la voiture sur le bord de la route et les passagers sortirent pour mieux observer l'objet. Le banquier réfléchit à son appareil photo, le prit et prit une première photo à ce moment-là, avec l'objectif réglé à une ouverture de 50 mm et un temps de pose de 1/250. Après que le banquier ait pris une première photo, l'objet a soudainement semblé s'éloigner, et le banquier a alors rapidement réglé objectif maxi de son appareil photo à 135 mm et a pris une deuxième photo. L'objet a commencé à descendre vers le sol comme pour un atterrissage et une troisième photographie a été prise à ce moment-là, avec son téléobjectif également de 135 mm. L'objet a effectivement atterri, à environ 200 à 250 mètres des témoins selon leur estimation.

Lors de cette approche suivie d'un atterrissage, les témoins ont constaté que l'objet n'était pas complètement rond, mais plutôt sphérique, prolongé par une protubérance en dessous, lui donnant une forme légèrement piriforme. Au niveau de sa plus grande circonférence, il présentait des appendices légèrement inclinés vers le bas au moment de sa progression en vol, les témoins utilisant le terme « tentacules » pour décrire ces appendices. Cette appellation leur est venue à l'esprit lorsque ces appendices se sont tous inclinés simultanément vers le bas au moment où l'objet a entamé sa descente pour finalement atterrir dans l'herbe. À ce moment-là, le couple remarqua que, non loin de lui, deux enfants observaient l'objet. L'un d'eux se mit à courir vers l'OVNI, ce qui plongea la femme du banquier, puis l'infirmière, dans une crise de panique. Le banquier tenta de calmer les deux femmes, mais finit par céder à leur sommation de quitter les lieux immédiatement. Occupé à calmer les femmes, et peu choqué par l'observation, il ne prit pas de photos de l'objet au sol. Tous montèrent en voiture et prirent la direction de Mexico à toute vitesse.

Durant toute l'observation, l'objet n'avait pas émis le moindre bruit, ni la moindre fumée, traînée de condensation, gaz d'échappement ou odeur, comme s'il était complètement dépourvu de tout système de propulsion connu. Les témoins ont estimé la hauteur de l'objet à environ 12 mètres et sa circonférence à environ 8 mètres. Il ne portait aucune inscription ni marque d'identification, ni hublot ni ouverture, ni nacelle ni moteur visibles. Sa couleur était d'un bleu-vert plutôt foncé.

Après l'observation :

À partir de ce moment-là, alors qu'ils étaient de retour à Mexico, le banquier termina la pellicule en prenant quelques photos de famille, puis l'apporta à la pharmacie la plus proche pour la développer. Les photos étaient prêtes le soir même, et la famille les regarda et en discuta, soulignant à nouveau l'étrangeté de l'objet. Mais rien d'autre ne fut fait : les photos furent rangées dans un tiroir et oubliées. Le banquier expliqua plus tard que les OVNI ne l'intéressaient pas.

Début 1977, un ami de la famille, qui avait vu les photographies, en informa le représentant du MUFON au Mexique, Fernando Tellez. Ce dernier contacta les témoins et reçut les photos ainsi que les négatifs de la pellicule. Il les remit à Roberto Pavilla, alors directeur des services techniques Kodak à Mexico, qui effectua l'analyse reproduite ci-dessous. Fernando Tellez informa le siège du MUFON et l'APRO du cas et celui-ci fut ainsi connu aux États-Unis par un article dans le Bulletin de l'APRO, vol. 25, N. 11, de mai 1977. L'ufologue argentin Carlos Roncoroni, directeur du SIU à Buenos Aires et rédacteur en chef du magazine UFOPRESS, vérifia également l'authenticité du cas. Le couple a toujours souhaité préserver son anonymat et sa bonne réputation. Ils n'ont jamais demandé ni reçu le moindre bénéfice des photographies, et n'ont jamais fait la moindre publicité autour de leur observation. L'affaire a été révélée par pur hasard.

Analyse technique du rouleau de film :

Modèle d'appareil photo : Minolta SRT 101.
Film : Kodak couleur ASA 80.

1.   L'obturateur de l'appareil n'était pas correctement réglé, ce qui explique la légère ombre projetée sur les négatifs, présente sur toutes les photographies. Ceci indique que les photographies ont été prises successivement.

2.   Sur les images deux et trois apparaît un nuage qui est utile comme élément de référence pour déterminer l'angle de descente de l'objet.

3.   L'émulsion du film est la même d'un bout à l'autre de la pellicule, les trois photographies de l'engin se succèdent sur la pellicule, intercalées entre des photographies de famille et de paysages.

4.   Le négatif N° 14 du film est légèrement endommagé par une détérioration, mais cela est dû à l'âge du film, et cela ne diminue en rien l'authenticité des photographies.

5.   La pellicule indique que M. Jimenez [Note : pseudonyme du banquier] avait pris plusieurs photos de famille, suivies des trois clichés de l'étrange appareil aérien, eux-mêmes suivis de photos de famille et de paysages. Si M. Jimenez avait voulu créer des images truquées, il aurait utilisé plusieurs négatifs, voire plusieurs pellicules, et n'aurait montré que les photos réussies.

6.   La raison pour laquelle les clichés deux et trois sont moins sombres que la photographie n° 1 est que lorsque M. Jimenez [Note : pseudonyme donné au banquier] a modifié l'ouverture de 50 mm à 135 mm, ce qui a permis à davantage de lumière de passer à travers le diaphragme. Cependant, cette valeur était plus élevée que nécessaire ; c'est une erreur courante chez tous les photographes occasionnels.

Sur le sexe des dauphins volants :

J'ai cherché une explication à ces événements dans la littérature des ufologues. Je n'en ai trouvé qu'une :

Dans un excellent ouvrage de référence de Mme Margaret Sachs, The UFO Encyclopedia, on trouve la photo d'un « OVNI présumé photographié à Cocoyoc, au Mexique, le 3 novembre 1973 ». Rien autour de cet « OVNI » ne permet de l'identifier ou de le réfuter. La première fois que j'ai vu cette photographie, j'ai ri en pensant à quel point il est étonnant qu'il soit resté si longtemps non identifié.

Je pense que n'importe quel biologiste marin aurait immédiatement reconnu l'OVNI, puisqu'il s'agit en réalité d'un ISO (Objet Nageur Identifiable). J'ai passé de nombreuses heures devant les bassins du zoo de Pittsburgh à expérimenter la communication entre humains et dauphins, et j'ai immédiatement et avec une certitude absolue identifié l'OVNI comme un dauphin nageant vers l'objectif – un objet entouré d'eau et non d'air. Les nageoires latérales sont reconnaissables, la nageoire caudale à peine visible, la nageoire dorsale presque entièrement masquée par la courbure du corps, bien que j'aie déjà vu des dauphins en captivité avec des nageoires dorsales courbées et gravement endommagées. L'unique trait de lumière sur cette tache sombre révèle la courbure de la tête, le museau d'un côté. Je pense même pouvoir l'identifier comme une femelle, tant la photo est claire pour moi ! Et pourtant, elle est utilisée comme la photo d'un « véritable OVNI » ! Incroyable.

Le problème avec l'explication est le problème typique de tout chercheur en fauteuil. L'auteur de l'explication a trouvé une version recadrée et agrandie dans un livre sur les ovnis, sans se soucier de vérifier s'il y avait quelque chose autour de cette photographie susceptible d'aider à l'analyse, imaginant simplement qu'il n'y en avait pas. Il n'a jamais vérifié les photos complètes, n'a jamais soupçonné qu'il pouvait y avoir plus d'une photo, etc.

Voilà ce qui arrive lorsque des personnes peu instruites en ufologie ont cette idée préconçue. Sincèrement convaincues que les ovnis n'existent pas, elles ne ressentent pas le besoin de vérifier et se contentent de la première explication qu'elles croient avoir trouvée. Un dauphin volant, en l'occurrence. Plus précisément : une femelle dauphin volant.

NDLR

Il faut toujours être prudent avec les photos, même si celle-ci semble tout à fait exacte. Ce que je trouve particulièrement intéressant, c'est sa ressemblance avec l'OVNI de Téhéran de 1976. À cette occasion, un individu de la tour de contrôle de la base avait observé l'objet aux jumelles et avait déclaré qu'il ressemblait à un ventilateur de plafond aux pales tombantes. Je qualifierais l'objet sur ces photos de similaire. Cependant, la différence réside dans le fait que l'incident de Téhéran s'est produit de nuit ; l'objet était très brillant et apparemment beaucoup plus grand que celui-ci.

ANALYSE DE L’UFOLOGUE MEXICAIN FERNANDO TELLEZ

 L'ufologue mexicain Fernando Téllez a fait analyser les photographies par Kodak Mexicana S.A. Les résultats sont les suivants, selon Roberto Padilla, directeur des services spéciaux de Kodak Mexico :

136 - Photo : l’ufologue Mexicain Fernando Tellez qui est à l’origine de la diffusion de ce cas, il a enquêté dessus, analysé les photos.

 « Ces négatifs sont parfaitement authentiques. L'appareil photo utilisé pour prendre ces photos était un Minolta SRT 101. La première photo a été prise avec un objectif normal de 50 mm, et les deuxième et troisième photo avec un téléobjectif de 135 mm, en utilisant une pellicule Kodacolor 80 ASA 20 Din. » La séquence du film est logique ; le défaut du rideau est continu ; si les photos deux et trois sont plus nettes, c'est parce que, lors du passage au téléobjectif, l'ouverture a été augmentée d'un cran pour laisser entrer davantage de lumière.

Ma conclusion est que ces négatifs sont authentiques ; ils n'ont pas été truqués. Les photographies sont vraies et honnêtes. Je leur accorde 98 % de chances d'être réelles.

Ce cas a été publié pour la première fois dans le numéro 11 du magazine « Contactos Extraterrestres », dans un article de l'ufologue Fernando Téllez intitulé « OVNI tentaculaire photographié à Cocoyoc » 

SOUCOUPE AVEC DOME

Cet objet a été observé en Nouvelle Zélande, alors qu'il roulait en voiture, à 100 d'altitude, cet objet arrivait vers lui….

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SOUCOUPE AVEC DOME

Approchant, l'engin resta alors immobile durant trois minutes, puis à un moment, un faisceau de lumière sorti de l'engin, qui dirigé vers un arbre, se transforma en sorte d'aura multicolore en le frappant.

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FORME DE SOUCOUPE

20 Août 1977, 23 h 30, entre Mendon et Locoal (Bretagne) un jeune homme qui rentre en mobylette est témoin d'une observation d'un objet en forme de soucoupe, elliptique d'un gris difficile à comparer et qui émet une lumière jaune.

 

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OBJET AU SOL

24 juillet 1977, entre Cruis et Mallefougasse - Auges (04), une lumière très intense à la sortie d'un virage et en contrebas d'une route : un objet à terre et deux êtres sous forme de silhouette, aux abords.

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FORME OVOIDE DE NUIT

La brigade locale de gendarmerie averti un enquêteur OVNI qu'une observation à eu lieu à ST MARCELLIN - Isère - vers 22 h 30 le 15-09-1976. En voici une reconstitution. Rapport complet dans le n° 3 de la revue LES EXTRATERRESTRES éditée par le GEOS France. 

 

OBJET ARRONDI

Près de Mendoza en Argentine le 28 décembre 1954, des témoins observent cette scène. (Enquête dans le n° 17 de la revue HYPOTHESES EXTRATERRESTRES éditée par le GEOS France)

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OBJET BRILLANT A HTE ALTITUDE

Des objets brillants observés à haute altitude sont fréquent, ici, à Lully en Suisse en 1980, un restaurateur observa un objet qui brillait, fixe, en admirant un arc en ciel.

 

MYTHE OVNI

L'inventeur des "Petits Gris", notre ami Jimmy Guieu a beaucoup fait pour faire connaître le phénomène OVNI. Ici en pleine conférence, il explique en faisant rêver son public, comment il voit, de son œil d'écrivain de science-fiction, l'histoire des soucoupes volantes, de ces engins habités pas des petits gris qui régulièrement viennent nous visiter !...

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FORME DE CHAPEAU

Cette photo a été prise à Zanesville dans l'Ohio le 13 Novembre 1966. Un ovni est signalé au-dessus de la ville. Un coiffeur, photographe amateur réussi sous les yeux de plusieurs clients, à prendre ce cliché. Toutefois quelques années après, analysé par la commission Condon, cette photo a été déclarée comme truquée. Interrogé à ce propos par la commission, le témoin n’a jamais daigné répondre !

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OBJET EN FORME DE DISQUE 

17 -07- 1947 un ovni suit un RB 47 H -Oklahoma

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BOULES - 25 02 1942 région Los Angeles tir batterie antiaérienne

La bataille de Los Angeles (appelée en anglais The West Side story, Los Angeles air raid ou encore The Battle of Los Angeles) est le nom donné à un événement ufologique survenu en février 1942, au-dessus de Los Angeles, Californie, aux États-Unis. Plusieurs OVNI furent repérés et la DCA a ouvert le feu.

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148AFFICHE DU GEOS France.

Elle était utilisée dans les années 1970 pour annoncer localement les conférences qu'il organisait. Au rythme d'une à deux conférences par semaines, parfois aucune, d'octobre à juin le GEOS France se déplaçais dans les MJC, Théâtres, salles des fêtes, Centres culturels divers, associations, clubs etc.… sur toutes la partie Nord de la France et il réalisa ainsi durant 3 ou 4 années plusieurs centaines de conférences, quelquefois doublées d'une exposition qui pouvait durer plusieurs jours. Dessin : Noël Paulin - Impression : Michel Piccin et en sérigraphie Bernard Charbonnier. Elle fut éditée à plusieurs milliers d'exemplaires, souvent collée dans la ville concernée et distribuée auprès des commerçants par les membres de l'association. 

LUMIERES - INCIDENT DE LUBBOCK AUX USA

En 1951, une série d'observations d'OVNI inexplicables s'est produite au Texas plusieurs nuits de suite, en présence de nombreuses personnes. L'incident et l'enquête Project Grudge qui a suivi restent fascinants aujourd'hui

La plus célèbre d'une série légendaire et controversée d'observations de phénomènes aériens étranges s'est produite à 21 h 10 le 25 août 1951 et a été observée depuis une arrière-cour de la petite ville texane de Lubbock. Les observateurs étaient trois professeurs du Texas Technical Collège dont la discussion sur les micrométéorites a été interrompue par l'apparition soudaine d'une formation semi-circulaire rapide de 20 à 30 lumières, aussi intense que des étoiles brillantes mais plus grande en taille apparente. De couleur bleu-vert et silencieuses, les lumières se sont déplacées du nord-est au sud-ouest et ont été perdues de vue en quelques secondes.

Près de Meridian, Mississippi, un RB 47 de retour de mission a tourné vers l'ouest, voyageant à 34 500 pieds et 500 mph. Peu de temps après, à 4 h 10, au-dessus du centre-est de la Louisiane, le major Lewis D Chase, le pilote, a vu une lumière bleue intense à onze heures. Il l'a porté à l'attention de son copilote, le 1er lieutenant James H McCoid, et les deux ont observé la lumière se déplacer rapidement vers eux. Puis a immédiatement informé l'équipage qu'une action d'évitement devrait être prise, mais avant que cela ne se produise, l'objet a instantanément changé de direction et a filé devant eux, disparaissant à deux heures.

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L'AFFAIRE DE CERGY PONTOISE : 

UN CANULAR AVOUÉ !

SÉRIE SPÉCIALE : L'AFFAIRE DE CERGY PONTOISE

Nous n'avons jamais publié cette série de diapo, faute de budget suffisant. Pourtant, cette histoire qui a fait tant de mal à l'ufologie, mérite d'être connue afin que la crédulité du public ne soit plus abusée de cette façon dans l'avenir. Les documents photos et les réalisations artistiques de l’événement sont du GEOS France, Gérard Lebat, Noèl Paulin

LE DEROULEMENT

On retrace ici le déroulement de l'affaire : sortir la voiture, vue d'une lumière dans le ciel, départ de la voiture et celle-ci est entourée par une boule, la boule part à grande vitesse et Franck Fontaine a disparu : 27 novembre 1979.

 

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LE PARCOURT

Le parcourt précis de la voiture, cité de la justice mauve à Cercy Pontoise, le jour de la disparition de Franck Fontaine.

ENLEVEMENT ?

 Salomon n'Diaye, de l'appartement voit par la fenêtre la voiture arrêtée, qui est entourée d'une sorte de boule transparente....  

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QUATRE BOULES

Ils descendent et observent la voiture comme dans une boule de brume, seul l'arrière du véhicule est visible et autour de la grosse boule qui enveloppe la voiture trois ou quatre petites boules qui tournent autour de la grosse, pénétrant par la suite dans la grosse pour n'en faire plus qu’une !

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DISPARITION

La grande sphère s'étire pour former une sorte de cigare blanchâtre qui disparait à grande vitesse. Salomon et Jean-Pierre se précipitent vers la voiture : le contact est allumé, la porte entrouverte, mais Franck Fontaine à disparu….

SALOMON ET JEAN-PIERRE

Voilà la fantastique histoire de ce trio. La France entière recherche le disparu. Toutes les gendarmeries sont mobilisées. Franck Fontaine réapparaitra 8 jours plus tard, ne pouvant pas dire ce qu'il avait fait durant ces 8 jours ! Esquisse de Salomon N'Diaye et de Jean-Pierre Prevost.

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FRANCK FONTAINE

Franck Fontaine. Nous avons enquêté immédiatement sur ce cas. De très nombreux indices relevés sur place en discutant avec le trio, en allant déjeuner au restaurant, chez la mère de Franck, chez les amis du trio... nous ont fait immédiatement douter de la véracité de cette affaire.

157FRANCK FONTAINE


Nous sommes revenus plusieurs fois à Cergy et nous avons cerné le "côté" marginal de ce trio. Nous avions la certitude qu'il nous mentait, mais durant les premières semaines qui suivirent sa réapparition, nous n'avons jamais réussi à le faire avouer.

JEAN PIERRE PREVOST

Prevost était l'organisateur : il profita de la presse (Match notamment) pour retirer de l'argent de cette aventure, il participa à un ouvrage avec Guieu etc....

LA VIEILLE TAUNUS

Salomon N'Diaye et J.P. Prevost durant la période de disparition de Franck.

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RUE DE LA JUSTICE MAUVE

C'est dans cette résidence qu'habitait le trio. Devant ces bâtiments, leur voiture était garée.

LES LIEUX DE L'ENLEVEMENT

C'est sur ce boulevard, avec pour fond la cité de la Justice Mauve, que Franck fut enlevé, selon ses dires...

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LA GENDARMERIE

La gendarmerie a pris l'affaire au sérieux, mais, on ne croyait pas beaucoup à cette histoire à la brigade….


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MICHEL PICCIN

Durant plusieurs mois, Michel PICCIN (au premier plan) enquêteur au GEOS, passa ses soirées et ses week-ends avec le trio. C'est le PLUS GRAND SPECIALISTE MONDIAL de ce dossier. Il connaît la vérité et il sait ou Franck Fontaine s'était caché durant ces 8 jours Il a publié un compte rendu de plusieurs centaines de pages sur cette affaire, document très important. Rendons hommage à MICHEL PICCIN pour cet immense travail qui a bouleversé sa vie.

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CONTACT OVNI CERGY PONTOISE

Rapidement le trio publia un ouvrage sous la signature de Jimmy Guieu. Éditions du Rocher 1980 - 236 pages.

En conclusion finale de ce dossier, il s'agit d'un canulard. Prévost a indiqué qu'il avait monté cette affaire et caché Franck. (1983) Franck pour sa part a indiqué dans des moments de confidence, à Michel Piccin, et à moi-même, dans les mois qui ont suivi cet histoire, qu'il avait avec Prevost monté cette affaire. L'objectif : faire un livre, monnayer des interviews etc..... Prevost connaissait bien le phénomène ovni, il possédait un certain nombre d'ouvrages sur le sujet et s'y intéressait.

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L’AFFAIRE FRANCK FONTAINE A CERGY PONTOISE LE 26 NOVEMBRE 1979 : UN CANULAR AVOUÉ !

 L'AVEU DE JEAN PIERRE PRÉVOST PUBLIÉ DANS LA PRESSE :

"J'affirme que l'affaire de Cergy-Pontoise est bidon du début à la fin. J'en suis le seul responsable. C'est moi qui ai tout organisé, tout monté. Je peux le prouver. Franck Fontaine a passé les 8 jours de sa disparition dans l'appartement d'un ami, à Pontoise ; c'est moi qui l'y ai conduit, et c'est moi qui l'ai ramené. Comment peut-on imaginer des extraterrestres venant enlever un guignol."

Extrait du Parisien Libéré du 7 Juillet 1983.

ÉGALEMENT :

En juin 1983, Jean-Pierre avoue sur les ondes de Radio-Korrigan : " l'affaire de Cergy, c'est bidon."

C'était connu dans le cercle de Franck, tous savaient que Franck avait monté cette affaire. Lui-même, par la suite le confirmera bien souvent lors de conversations.  Mais la presse, les médias, avaient d'autres sujets à traiter, jamais les trois copains ne furent inquiétés ni par la suite interviewés. Pourtant, en faisant une simple enquête de proximité, dès les premiers 15 jours ce que nous avons fait à l'époque, on arrivait à la conclusion que ce dossier était bidon !

Nous sommes allés sur le terrain, nous avons donné nos conclusions, pourtant encore aujourd'hui, en 2023, des personnes se penchent sur ce dossier dans lequel il n'y a rien à voir, concluant ou pensant parfois que c'était réel ! Que faut-il dire ? 

SÉRIE 9 : Documents O.N.U.

Nous consacrons cette série à notre collection de documents photos relatifs à la période ou Sir Éric Gairy, 1er ministre de la Grenade, œuvrait pour notre cause en intervenant régulièrement à la tribune des Nations Unies. Notre ami le Major Von Keviczky a suivi de très près cette période et avec Sir Éric Gairy, il travaillait cette organisation mondiale afin qu'elle reconnaisse l'existence de ce phénomène.

Malheureusement en 1980, les américains envahissaient l'Ile de la Grenade et Sir Éric Gairy fut destitué. Le dossier OVNI qui fut à l'ordre du jour durant les années 1977-78 dans cet important hémicycle fut à jamais classé après la disparition de Sir Éric Gairy. Nous complétons cette collection par l'intervention du Major à la Chambre des Lords en 1980, lors de son grand voyage en Europe.

Toutes ces photos nous ont été communiquées personnellement pour publication par Le Major S. Von Keviczky, Président de l'Icufon.

Le Major S. Von Keviczky est né le 21 août 1909 en Hongrie - Il est décédé le 27 juillet 1998 à New York, New York, États-Unis (cancer). Son nom de naissance est : Colman S. von Keviczky - Il est connu pour The Force Beyond (1977) et pour des années d'actions pour faire connaître au monde entier la réalité du phénomène OVNI.

ONU - 27 NOVEMBRE 1978

Ce 27 Novembre 1978, au cours de cette séance, sous les couleurs de La Grenade, sont intervenus Allen Hyneck, Jacques Vallée et sur cette photo le Lt Col. Larry Coyne.

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LE MAJOR S. VON KEVICZKY

Le major Von Keviczky dans les loges réservées à la Presse, observe les évènements. Il a toujours appuyé le 1er ministre de La Grenade dans son action à l'ONU visant les OVNI.

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LONDRES  2 JANVIER 1980

Le major Von Keviczky, infatigable, est venu faire un long voyage en Europe en 1980 et est intervenu à la chambre des Lord pour y présenter le dossier WASA. Vous le voyez ici avec Lord Clancarty, passionné par ce phénomène.

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ONU - 12 octobre 1978

A l'ONU le 12 octobre 1978, Sir Eric Gairy est encore intervenu. Tous ces débats sont consignés dans des rapports de séance accessibles. Sir Eric Matthew Gairy (né le 18 février 1922 à Dunfermline, paroisse de Saint-André, à l'est de l'île, près de Grenville, à la Grenade - Il est décédé à Grand Anse le 23 août 1997) fut le premier Premier ministre de la Grenade, en poste depuis l'indépendance de son pays en 1974 jusqu'à son renversement par un coup d'État de Maurice Bishop en 1979. Gairy fut également chef du gouvernement de la Grenade avant l'indépendance en tant que ministre en chef de 1961 à 1962 et en tant que Premier ministre de 1967 à 1974. Sir Eric Gairy s’intéressait de très près au phénomène OVNI et il est régulièrement intervenu à l’assemblée de l’ONU pour tenter de faire reconnaitre à l’échelon mondial ce phénomène. Il était l’ami du major Von Keviczky, qu’il rencontrait fréquemment à New York. En fait dès le milieu des années 1970, le Premier ministre de la Grenade, nouvel État membre, lança une campagne de lobbying pour intégrer le problème des ovnis à l'ordre du jour des Nations Unies. Le Premier ministre Gairy et l'ambassadeur Wellington auprès des Nations Unies soulevèrent la question des ovnis lors d'une réunion du Comité politique spécial de la trente-deuxième Assemblée générale, le 28 novembre 1977. Il est ensuite intervenu à l’assemblée en 1978.

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DES ACTIONS CONTINUES AUX NATIONS UNIS POUR QUE LES OVNIS SOIENT PRIS AU SERIEUX.

En 1977, Gairy a présenté à l'Assemblée générale des Nations Unies une proposition visant à créer une agence des Nations Unies dédiée à la recherche et à l'enquête sur les observations et les rencontres d'OVNI.

La proposition, intitulée « Création d'une agence ou d'un département des Nations Unies pour entreprendre, coordonner et diffuser les résultats de la recherche sur les objets volants non identifiés et les phénomènes connexes », a conduit à la convocation d'une table ronde sur les ovnis à l'ONU le 27 novembre 1978. Le panel comprenait des ufologues, des scientifiques et des experts notables, tels que le Dr J. Allen Hynek, le Dr Jacques Vallée et l'astronaute Gordon Cooper, qui ont présenté des preuves et des témoignages soutenant l'existence des ovnis.

Bien que la proposition de Gairy n'ait pas abouti à la création d'une agence onusienne dédiée, le Royaume-Uni ayant bloqué cette demande, elle a néanmoins contribué à accroître la sensibilisation et le dialogue sur le phénomène ovni au sein de la communauté internationale. Cet événement a marqué la première et unique fois où le sujet des ovnis a été officiellement abordé aux Nations Unies.

DOCUMENT DU 31.08.1977 RELATIF A LA DEMANDE D’INTERVENTION A LA SESSION DE 1978 POUR PARLER DU PROJET OVNI

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Le discours de Sir Eric Gairy du 12 octobre 1978 à l’ONU

Discours de Sir Eric Gairy, Premier ministre et ministre des Affaires étrangères de la République de Grenade, à la 32e Assemblée générale des Nations Unies, 33e session, jeudi 12 octobre 1978.

Le Président : L'Assemblée va maintenant se préparer à entendre le discours du Premier Ministre et Ministre des affaires étrangères de la Grenade. J'ai le grand plaisir de souhaiter la bienvenue à S. E. M. Sir Eric M. Gairy et de l'inviter à prendre la parole devant l'Assemblée générale.

J'en viens maintenant à une question qui intéresse vivement la Grenade et sur laquelle je n'ai cessé d'attirer l'attention de l'Assemblée générale depuis 1975. Je fais référence aux objets volants non identifiés (OVNI). La Grenade est aujourd'hui connue dans le monde entier pour les efforts qu'elle déploie pour persuader les grandes puissances de partager des informations sur les objets volants non identifiés, principalement en raison de la persistance avec laquelle nous n'avons cessé de soulever la question à l'Assemblée générale depuis 1975. Nous sommes convaincus que la question des OVNI est d'un intérêt et d'une importance suffisants pour être soulevée à nouveau cette année et qu'elle nous encourage à rechercher le soutien des États membres afin que la recherche dans ce domaine soit coordonnée par les organisations des Nations Unies.

Les observations d'OVNI ne se limitent pas à une partie de notre planète. De nos jours, des rapports d'observation arrivent du monde entier, et leur analyse scientifique indique clairement non seulement que de plus en plus de gens croient que les OVNI existent réellement en tant que phénomène physique, mais aussi qu'un nombre croissant de pays croient qu'une recherche plus précise sur ce phénomène constituerait une contribution significative au bien-être de la planète Terre ainsi qu'à une meilleure compréhension de l'homme et de son rôle sur Terre. La question qui se pose de plus en plus aujourd'hui est de savoir pourquoi l'homme devrait être exclu de l'information sur une question d'une aussi grande importance pour l'humanité que les OVNI, alors qu'il se trouve inondé de futilités qui ne contribuent en rien à son enrichissement personnel ou au progrès de l'humanité.

Lorsque j'ai pris la parole devant cette Assemblée l'année dernière, j'ai dit ce qui suit : « La Grenade ne prend pas de position théorique sur les objets volants non identifiés. Les théories sur leur nature, leur origine et leurs intentions sont nombreuses et largement connues des groupes de recherche privés et gouvernementaux. En dehors de toutes les théories, tous les principaux groupes de recherche sont essentiellement dédiés aux objectifs suivants : étudier les rapports d'observation d'OVNI significatifs afin d'arriver à une détermination raisonnable et acceptable de leur nature, de leur origine et de leur intention... ; diffuser les résultats de leurs études auprès du public et des médias ; travailler de concert avec l'Organisation des Nations Unies, ou au sein de sa structure, afin de créer un système de communication à l'échelle internationale permettant un échange rapide de données importantes ». 13 13 Voir les actes officiels de l'Assemblée générale, 32e session, 25e Assemblée plénière, paragraphe 31. Je tiens à déclarer que j'ai reçu le plus grand soutien de la part d'individus et d'organisations, ainsi que d'éminents « ufologues », comme on appelle ceux qui s'intéressent aux objets volants non identifiés, pour nos efforts visant à stimuler les Nations Unies à jouer un rôle de coordination dans la recherche sur le phénomène.

 Et c'est avec grand plaisir que j'ai eu l'occasion, plus tôt cette année, de rencontrer certains des scientifiques les plus éminents, et avec eux de rencontrer le Secrétaire général des Nations Unies pour discuter de la meilleure façon de préparer notre présentation à l'Assemblée générale dans le cadre de nos efforts continus pour persuader les Nations Unies de prendre des mesures significatives concernant la recherche sur les OVNI. Cette action conjointe, impliquant d'éminents scientifiques de renommée mondiale engagés dans la recherche sur les OVNI, a en effet eu un effet majeur sur nos efforts dans cette question importante. La liste des scientifiques qui se sont joints à nous pour dialoguer avec le Secrétaire Général comprend : M. Allen Hynek, récemment retraité, et directeur du Centre d'Études sur les OVNI à Evanston, Illinois, souvent appelé « le père de l'ufologie », ou l'étude des objets volants non identifiés ; M. Claude Poher, directeur de l'Agence Française pour l'Étude des OVNI ; M. Jacques Vallée, éminent astronome, mathématicien et chercheur sur les OVNI ; M. Ted Phillips, un grand expert des traces laissées par les atterrissages d'OVNI ; M. Gordon Cooper, astronaute bien connu, vice-président de Walt Disney Enterprises ; M. David Saunders, psychologue statisticien et créateur de « UFOCAT », un système informatisé qui contient entre 60 000 et 70 000 observations du monde entier ; L. Stronglield, chercheur et auteur sur les OVNI ; Lee Spiegel, chercheur et consultant en vidéos d'OVNI ; M. G. Bravo, chercheur sur les OVNI et organisateur du premier Congrès International sur le Phénomène des Objets Volants Non Identifiés, tenu à Acapulco, et de nombreux autres « ufologues » distingués, dont certains sont présents ici aujourd'hui.

Nous sommes également en contact avec des scientifiques, des groupes de recherches, des écrivains et des personnes de toutes catégories de toutes les régions du monde, des personnes qui ont manifesté un grand intérêt pour ce que nous essayons de faire ici aux Nations Unies et qui se sont engagées à apporter leur soutien lorsque la question sera discutée au sein de la Commission politique spéciale. Je suis le premier à admettre qu'il n'y a pas d'unanimité parmi les scientifiques sur tous les aspects du phénomène OVNI. Certains croient que la sécurité internationale est menacée par l'apparition d'OVNI, tandis que d'autres le nient et prétendent que les OVNI contrôlent notre planète afin d'aider les terriens plus faibles et moins sophistiqués. D'autres encore croient que les OVNI sont engagés dans une mission visant à sauver l'humanité de l'autodestruction. Il n'est pas dans mon intérêt d'aborder de telles controverses ici aujourd'hui, mais plutôt de souligner, avec M. Allen Hynek, que les OVNI sont sans aucun doute un phénomène mondial. Il est en effet étonnant de noter qu'il existe diverses caractéristiques, en termes de structure physique et de modèles de comportement, qui ont été observées et vérifiées par des personnes qui sont tout aussi fiables dans pratiquement le monde entier. Depuis mon allocution à l'Assemblée générale en octobre 1977, j'ai été littéralement inondé de littérature de toutes sortes, ainsi que d'appels directs m'exhortant à continuer à défendre dans ce forum la question de la recherche sur les OVNI et de sa coordination au niveau des Nations Unies. Il y a en effet une réelle possibilité que les agences intéressées par cette question établissent un centre de recherche sur les OVNI à la Grenade. En outre, en réponse à la résolution adoptée à l'unanimité par le premier congrès international sur les objets volants non identifiés, tenu à Acapulco du 17 au 24 avril 1977, le deuxième congrès international est en cours de préparation, qui se tiendra à la Grenade vers la fin de 1979. Il semble y avoir une grande force à l'œuvre pour soutenir nos efforts visant à garantir que les Nations Unies jouent un rôle plus large dans la coordination de la recherche et la diffusion d'informations sur le phénomène OVNI. Le moment est plus que jamais propice pour que l'ONU s'engage dans cet important domaine de la recherche et du savoir. Les enquêtes statistiques prouvent que les gens du monde entier s'attendent à une telle implication.

Une fois de plus, je désire appeler les membres de ce distingué forum mondial à écouter les appels des plus grands scientifiques du monde dans le domaine de l'ufologie, les appels des médias et, certainement aujourd'hui, ceux des peuples du monde aux Nations Unies pour jouer un rôle actif et moteur dans la coordination de la recherche sur le phénomène OVNI et dans la diffusion d'informations connexes pour le bénéfice et l'éclairage de toute l'humanité. ….. ….. ….. ….. .

 LE PRÉSIDENT (avec traduction simultanée de l'espagnol) : Au nom de l'Assemblée générale, je voudrais remercier S. E. M. le Premier Ministre et Ministre des affaires étrangères de la Grenade de l'important discours qu'il vient de prononcer.

La séance prend fin à 13 h 40.

 

AVEC KARL VEIT

Lors de son voyage en Europe en 1980, le major Colman S. Von Keviczky est décoré par KARL et ANY VEIT pour ses 15 ans de recherche sur les OVNI. 23 février 1980. Karl VEIT était le responsable d'une revue allemande importante sur les ovnis. 

 

7 OCTOBRE 1977 AUX NATIONS UNIES

Intervention de Sir Eric Gairy, de La Grenade, à la Tribune le 7 octobre 1977 devant l'assemblée générale des Nations Unies.

29 janvier 1980 - LONDRES

Discussion avec Antonio Ribera, Ufologue espagnol, lors de la 2ème séance de la chambre des Lords à Londres.

 

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JANVIER 1980 - LONDRES

Le dossier WASA sous le bras, le Major von Keviczky se rend à la Chambre des Lords. Il est devant la statue de Richard Cœur de Lion.

 




28 NOVEMBRE 1977 - Nations Unies

Débat sur les ovnis au comité spécial politique.

A la tribune de l'assemblée, sir Éric Gairy le 28 novembre 1977 


 










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28 NOVEMBRE 1977  Rencontre du Major avec Sir Eric Gairy.

LE MAJOR ET LE 1ER MINISTRE DE LA GRENADE

Le major rencontre le 1er ministre de La Grenade, sir Eric Gairy et lui montre un certain nombre de revues ufologiques.

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ONU JUIN 1978

Rencontre du 1er ministre de la Grenade, Sir Eric Gairy avec Kurt Waldheim, secrétaire général des Nations Unies.

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LONDRES JANVIER 1980

Le major montre à l'audience de la chambre des Lord un document photos relatif aux OVNI.


ONU - 27 NOVEMBRE 1978

Intervention de Jacques Vallée à la tribune des NATIONS UNIES.

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SÉRIE 10 : DOCUMENTS EN VRAC - ARCHIVES DU GEOS FRANCE

Nous avons sélectionné pour cette série un certain nombre de documents photos issus des archives photographiques du GEOS.  Nous vous les présentons.

CHARLES GARREAU ET GUY CAPET

CHARLES GARREAU - ECRIVAIN ET JOURNALISTE - REND VISITE AU GEOS FRANCE LORS DE L'UNE DE SES NOMBREUSES EXPOSITIONS/CONFERENCES - ANNEE 1976-1980 -

GERARD LEBAT - GUY CAPET - BERNARD CHARBONNIER

FER DE LANCE DES CONFERENCES DU GEOS FRANCE, GERARD LEBAT - GUY CAPET ET BERNARD CHARBONNIER. TOUT TROIS ETAIENT DEVENUS DES SPECIALISTES DANS CE DOMAINE APRES PLUSIEURS CENTAINES DE CONFERENCES DONNEES DURANT LES ANNEES 1975-1980.


 


EN ALLEMAGNE - CONFERENCE AVEC KARL VEIT

LORS D'UN CONGRES DE LA DUIST EN ALLEMAGNE, LE PLUS IMPORTANT GROUPEMENT D'UFOLOGIE A CETTE EPOQUE DANS CE PAYS -1979-1980- LES GEOS FRANCE A PRESENTE SON MONTAGE AUDIO VISUEL DEVANT LES NOMBREUX PARTICIPANTS - SUR LE PODIUM : GERARD LEBAT ET KARL VEIT

Karl Veit est né en 1907 et il est décédé en 2001.

L'un des premiers ufologues européens avec une forte orientation Adamski. Fondée en 1956, la maison d'édition Ventla a publié une longue série de livres sur les ovnis avec un accent sur les contacts. La même année, Veit a également fondé le groupe DUIST et la revue UFO-Nachrichten.

INTERVIEW À RADIO MONTE CARLO VERS 1968-75

INTERVIEW DE GERARD LEBAT SUR R.M.C.

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DESSIN DE SOUCOUPE

CE DESSIN A SERVI A ILLUSTRER UN OUVRAGE PUBLIE DANS LES ANNEES 1970 PAR LE GEOS FRANCE : LA VERITE SUR LES SOUCOUPES VOLANTES D'ANDRE VILLETTE, UN UFOLOGUE LILLOIS QUI S'EST PASSIONNE POUR CE PHENOMENE DURANT DE TRES NOMBREUSES ANNEES. Dessin de Daniel Boileau de Chalons en champagne.

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UN OVNI QU'ON NOUS CACHE !

LE GEOS ORGANISAIT DURANT LES ANNEES 70-80 DES REUNIONS MENSUELLES SUR LES OVNI A PARIS. ON NOUS PARLA D'UNE SOUCOUPE VOLANTE CONSERVEE AU SECRET DANS UN BATIMENT SECRET- NOUS SOMMES PARVENU A REMONTER A CETTE EPOQUE CETTE RUMEUR : IL S'AGISSAIT DE LA SOUCOUPE DU GENDARME ET LES EXTRATERRESTRES AVEC LOUIS DE FUNES- ON RETROUVE ICI CETTE SOUCOUPE PHOTOGRAPHIEE AU SALON DU BOURGET

HERMANN OBERTH ET LE MAJOR

LE MAJOR VON KEVICZSKY RENCONTRE LE 25 FEVRIER 1980 LE DR HERMANN OBERTH, LE PERE DE L'ASTONAUTIQUE. LE DR PENSAIT DEJA A CETTE EPOQUE QUE LES OVNI EXISTAIENT ET QU'ILS POUVAIENT VENIR D'UNE AUTRE PLANETE.

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 UNE AUTRE PHOTO DU PROFESSEUR ALLEN HNECK - ICI DEVANT UN TELESCOPE. 
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PROFESSEUR HNECK -





CHARLES GARREAU

  UNE NOUVELLE PHOTO DE NOTRE AMI REGRETTE CHARLES GARREAU AUTEUR DE NOMBREUX ARTICLES ET OUVRAGES SUR LES OVNI. ENVI 1975

HUMOUR
UN DES DESSINS HUMORISTIQUES PUBLIEE PAR LA REVUE HYPOTHESES EXTRATERRESTRES.


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HUMOUR SUITE
SOUS LA PLUME D'UN JEUNE DESSINATEUR - GEORGES CHALOUPEK - UN AUTRE DESSIN HUMORISTIQUE PUBLIE DANS LA REVUE HYOTHESE EXTRATERRESTRE.

                                     .

OVNI EN POLOGNE

CE DOCUMENT PHOTOGRAPHIQUE NOUS VIENT DE POLOGNE ET A ETE PRIS LE 22 DECEMBRE 1958 VERS 3H DE L'APRES MIDI PAR LE DR STANISLAS KOWALCZEWSKY


OVNI EN BRETAGNE

CETTE PHOTOGRAHIE A ETE PRISE EN BRETAGNE, EN NOVEMBRE 1980, A LA SORTIE DE RENNE ET NOUS MONTRE UN OBJET LUMINEUX FIXE DANS LE CIEL VERS 7 HOO DU MATIN : IL S'AGIT DE LA REFACTION DU SOLEIL SUR LES NUAGES, QUI PREND ICI L'APPARENCE D'UN OVNI !

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OVNI ILS EXISTENT

IL S'AGIT ICI DE LA PREMIERE VERSION DU FAMEUX AUTOCOLANT EDITE PAR LE GEOS AU COURS DES ANNEES 1975 -1980. PLUSIEURS MILLIERS D'EXEMPLAIRES DE CET AUTOCOLANT QUI MARQUAIT ONT ETE DIFFUSES. Époque ou le GEOS fusionnait avec le CFRU - OURANOS


EMISSION TV

LE GEOS FRANCE A REALISEE AVEC LA TV DE TRES NOMBREUSES EMISSIONS. ICI ON TOURNE UNE SEQUENCE NOUS MONTRANT DEUX ENQUETEURS SUR LE TERRAIN QUESTIONNANT UN TEMOIN. DES CENTAINES D'ENQUETEURS ARPENTAIENT A CETTE EPOQUE LA CAMPAGNE A LA RECHERCHE DE TEMOIGNAGES TRES PRECIS. UN TRAVAIL OUBLIE DE NOS JOURS !

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PHOTO DE PAUL TRENT 1950

ICI UNE REPRODUCTION DE LA PHOTO PRISE EN 1950 PAR PAUL TRENT AUX USA ET QUI A TOUJOURS ETE CLASSEE "NON IDENTIFIEE".

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ENQUETE DE L'ARMEE ESPAGNOLE DECLASSIFIEE EN 1984 - UNE PHOTOS MAINTENANT PUBLIQUE ! 

UN RAPPORT JUSQU'ALORS SECRET, PUBLIQUE

In September 1981, Lieutenant Colonel Antonio Munaiz Ferro-Sastre presented a 106-page monograph to the regular course for promotion to Colonel in the Official Air School, Air Force Headquarters, Madrid, Spain.

During the seventies, this Air Force officer had been named informing-judge for the official inquiry of several outstanding UFO cases in the Canary Islands, and he was the author of few of the best field-investigation reports in the history of the Spanish Air Force's UFO involvement.

The title of his monograph says it all: A Method For The Investigation Of The Airspace Phenomena.

This document has been kept secret for 15 years, and now I have the pleasure to announce that I have placed it on-line, in its entirety, for access to any interested UFO student. It is preceded with an introduction by me.

Both the preamble and the full monograph are in Spanish.

Juan Ballester Olmos

TRADUCTION

En septembre 1981, le lieutenant-colonel Antonio Munaiz Ferro-Sastre a présenté une monographie de 106 pages au cours régulier de promotion au grade de colonel à l'école officielle de l'air, quartier général de l'armée de l'air, Madrid, Espagne.

Au cours des années soixante-dix, cet officier de l'armée de l'air avait été nommé juge informateur pour l'enquête officielle de plusieurs cas d'OVNI en suspens dans les îles Canaries, et il était l'auteur de quelques-uns des meilleurs rapports d'enquête sur le terrain de l'histoire de l'armée de l'air espagnole. Implication OVNI.

Le titre de sa monographie en dit long : A Method For The Investigation Of The Airspace Phenomena.

Ce document a été gardé secret pendant 15 ans, et maintenant j'ai le plaisir d'annoncer que je l'ai mis en ligne, dans son intégralité, pour l'accès à tout étudiant UFO intéressé. Il est précédé d'une introduction de ma part.

Le préambule et la monographie complète sont en espagnol.

L'OBSERVATIO

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L'observation des îles Canaries désigne une célèbre apparition d'ovni dans la nuit du 22 juin 1976, au-dessus de Tenerife, La Palma et La Gomera. Il y eut de nombreux témoins et L'armée de l'air espagnole diligenta une enquête qui fut déclassifiée en 1994 et qui révéla qu'aucune explication rationnelle n'a été trouvée.

Le 22 juin 1976 à 21h 27, l'équipage de la corvette de la Marine Royale espagnole aperçoit "une lumière jaunâtre-bleuâtre intense se déplacer au large du rivage". L'objet est par ailleurs vu par des civils, depuis le rivage de l'île de Fuerteventura. C'est alors que la lumière s'éteint et qu'un faisceau lumineux commence à tourner, durant deux minutes, avant que la lumière se rallume et que son halo jaunâtre et bleuâtre grossit considérablement. Ce phénomène reste visible durant 40 minutes. D'après le rapport de l'Armée de l'Air espagnole, tout l'équipage de la corvette a observé la même chose. En revanche, toujours selon ce rapport, aucun écho radar ne fut repéré. Au même moment, de nombreuses personnes de l'île de Grande Canarie, civils et militaires, observent le même phénomène.

Cette même nuit, un autre phénomène mystérieux fut observé aux Canaries, plus controversé celui-là, étant un cas de rencontre rapprochée du 3e type. Un médecin, Dr Francisco Padrón León (que l'enquête militaire décrira comme quelqu'un de sérieux et de sain d'esprit), ainsi que le chauffeur du taxi dans lequel il se trouvait, virent une sphère transparente d'une trentaine de mètres, brillant d'une lumière jaunâtre et bleuâtre, dans laquelle, ils déclarèrent avoir vu deux êtres d'environ 2 mètres 50 de hauteur, habillés de rouge, avec une sorte de casque. La sphère commença à briller alors beaucoup plus fortement avant de s'élever vers le ciel et partir avec une grande vitesse, comme dans le cas de l'objet vu par les marins espagnols.

Lorsqu'ils arrivèrent ensuite chez une femme analphabète que Padrón était venu soigner, elle déclara paniquée avoir vu la même chose, et ajouta qu'à ce moment, sa télévision s'était éteinte et ses chiens s'étaient mis à hurler à la mort.

Il est possible que ces deux observations correspondent au même phénomène. Cependant, si le premier est prouvé (de nombreux témoins, crédibles, à des endroits différents, décrivant la même chose sans contradictions) et fut confirmé par le rapport militaire, le second ne dispose d'aucune preuve, même si l'enquête militaire a jugé les témoins crédibles.

Par ailleurs, une photographie fut prise par un touriste, qui fut analysée, et aucun trucage, ni méprise avec un phénomène connu ne purent être détectés.

WIKIPEDIA


PHOTOS EN SOUVENIR DE JIMMY GUIEU

Jimmy Guieu (pseudonyme littéraire de Henri-René Guieu), né le 19 mars 1926 à Aix-en-Provence et mort le 2 janvier 2000 à Vernouillet est un écrivain de science-fiction, essayiste ufologue, vidéaste et homme de radio français. Il a publié notamment au Fleuve noir et a écrit des romans d'espionnage (sous le nom de Jimmy G. Quint), des romans policiers (sous le nom de Claude Rostaing), des romans érotiques (sous le nom de Dominique Verseau), ou encore Claude Vauzière.

PHOTOS EXTRAITES DE L'EMSISSION 

 " ICI À MIDI 3 " DU 7 MAI 1990

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Le GEOS France à longtemps enquêté sur les OVNI ou UAP auprès des témoins et menant diverses activités en rapport avec le phénomène OVNI. 
Gérard Lebat : lebat1@aol.com

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