2éme session du Congres Mexicain sur les UAP
7 NOVEMBRE 2023
James Maussan n’en démord pas,
ses momies dites E.T. sont vraies.
Oui, admettent un certain
nombre de scientifiques, de vraies créatures, rien ne prouve l’origine E.T. ,
aucune preuve qu’elles viennent de Nazca au Pérou… tellement de mystères, d’imprécisions qu’il
est difficile de faire la lumière sur ces statues momies.
Et si elles sont sorties du
Pérou, c’est encore là un gros problème ! Une situation illégale !
Si on veut avancer en science,
il est utile de se conformer aux procédures qui permettent de valider la
découverte de A à Z. Dans le cas présent, dans l’état actuel, il ne s’agit ni
plus ni moins que d’une découverte sans fondement, irréaliste et qui à l’évidence
ne sert qu’a flatter l’Ego de James Maussan qui en fait ne semble pas connaitre
les règles de la science et de l’honnêteté intellectuelle.
En effet, affirmer sans
preuves toute une série de « faits » sans qu’aucune procédure légale
n’ait été suivie ne sert strictement à rien !
James Maussan, fait du « buzz »,
mais c’est totalement inutile pour faire avancer nos connaissances.
Auteur : Personnel Du Ministère De La Défense Nationale
10 Novembre 2023
Lors d'une audience au Congrès
cette semaine, le journaliste mexicain et passionné d'OVNIS Jaime Maussan et
d'autres chercheurs ont déclaré que deux spécimens préservés – présentés à
la Chambre des députés en septembre comme extraterrestres – étaient de
véritables organismes autrefois vivants.
Ils ont toutefois refusé de certifier que les restes momifiés étaient ceux d’êtres extraterrestres.
Les deux corps minuscules avec
de grosses têtes, de grands yeux, un long cou et trois doigts sur chaque main –
ressemblant à la représentation archétypale d'un extraterrestre gris – auraient
été découverts au Pérou. Maussan les a amenés au Congrès le 13 septembre pour
une audition unique en son genre sur les ovnis, qui sont aujourd'hui
généralement appelés phénomènes anormaux non identifiés (UAP), ou FANI en
espagnol. Il a insisté sur le fait qu’il s’agissait de cadavres
d’extraterrestres vieux de 1 000 ans. À l’époque, les experts avaient qualifié
sa présentation de coup de théâtre, soulignant des études sur des restes
similaires qui concluaient que les spécimens avaient été modifiés à l’aide d’os
d’animaux et d’humains.
Mardi, pendant trois heures,
dans une salle de la Chambre des députés, Maussan a présenté une ribambelle de
médecins et de scientifiques, ainsi que des photographies et des radiographies
de ce qu'il a appelé un nouvel « être non humain ».
"Ils sont réels", a
déclaré l'anthropologue Roger Zúñiga de l'Université nationale San Luis Gonzaga
au Pérou, soulignant que les chercheurs avaient étudié cinq spécimens
similaires. "Il n'y a eu absolument aucune intervention humaine dans
la formation physique et biologique de ces êtres."
Le chirurgien argentin
Celestino Adolfo Piotto a déclaré avoir examiné les données et les images,
concluant que les corps étaient une version évoluée des êtres humains
d'aujourd'hui. Il les appelait « nos descendants ».
Zúiñga a présenté une lettre
signée par 11 chercheurs de son université déclarant que les corps n'étaient
pas humains, mais la lettre indiquait clairement qu'ils n'impliquaient pas que
les corps étaient extraterrestres.
"Aucun des scientifiques
ne dit que [les résultats de l'étude] prouvent qu'ils sont extraterrestres,
mais je vais plus loin", a déclaré Maussan, suggérant que les corps
pourraient être la preuve de formes de vie non terrestres, ou d'une
"nouvelle espèce" en raison de leur absence. des poumons ou des
côtes.
Il avait précédemment affirmé
que les spécimens avaient un gros cerveau et de grands yeux qui « permettaient
une large vision stéréoscopique » et qu’ils manquaient de dents, ils ne
faisaient donc probablement que boire et ne mâchaient pas.
"Toutes les idées et
toutes les propositions seront toujours les bienvenues", a déclaré le
député Sergio Gutiérrez Luna, " pour en débattre, les écouter et se mettre
d'accord ou non".
Avec des rapports d' El
Financiero et de Reuters
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Sont-ils parmi nous ? Jaime Maussan revient au Congrès pour présenter des preuves d'« êtres non humains »
Source et Informations complémentaires : https://www.elfinanciero.com.mx/nacional/2023/11/07/jaime-maussan-presenta-pruebas-de-extraterrestres-en-camara-de-diputados/
Le journaliste spécialisé dans les questions OVNIS et extraterrestres, Jaime Maussan, a animé un deuxième épisode à la Chambre des députés pour défendre la véracité des prétendus extraterrestres.
Par AP07 novembre 2023 | 22h07
La véracité de certains corps extraterrestres supposés localisés au Pérou a été le thème d'une séance spéciale qui a eu lieu ce mardi au siège de la Chambre des députés, où ont été présentées des photographies et des images radiographiques inédites d'un nouvel « être non humain ». .
Après la polémique suscitée par la présentation de corps d'« êtres non humains » devant le Congrès en septembre dernier, le débat autour des conclusions appuyées par plusieurs médecins et autres spécialistes péruviens a repris mardi dans une salle de la Chambre des députés . journaliste et ufologue Jaime Maussan.
Au cours de la séance, qui a duré plus de trois heures, un groupe de médecins péruviens a présenté diverses études, radiographies et tomographies pour défendre la prétendue authenticité des corps, que de nombreux scientifiques qualifient de fraude.
Lors de sa présentation, le médecin péruvien Daniel Mendoza a présenté des radiographies et des photographies inédites du squelette d'un « être non humain » qui, a-t-il assuré, avait été récemment localisé au Pérou, bien que la date de la découverte n'ait pas été précisée.
À ce propos, Maussan a indiqué que le corps supposé serait une « espèce nouvelle » car il ne possède ni poumons ni côtes.
"Nous avons un être hybride, nous avons
d'autres êtres apparemment plus évolués que nous… nous sommes face à quelque
chose de vraiment extraordinaire", a déclaré Maussan en défendant
l'authenticité des corps. Il a assuré qu'il s'agissait « d'êtres non
humains qui ne font pas partie de notre évolution terrestre ». Toutes
les figurines ont la taille d'un squelette d'enfant.
La découverte des corps a été remise en cause
depuis leur lieu d'origine. Ils auraient été trouvés dans le désert
péruvien de Nazca – connu pour ses énormes figures énigmatiques gravées
dans la terre – mais ils n'ont jamais été physiquement présentés au Pérou.
Les êtres
« non humains » seraient des poupées de papier
Le parquet péruvien a été ferme en 2017
lorsqu'il aconclu, sur la base d'un rapport réalisé par l'Institut de médecine
légale, qu'il s'agissait de « poupées de fabrication récente, qui ont été
recouvertes d'un mélange de papier et de colle synthétique pour simuler la
présence de peau."
L'authenticité des corps a également été remise en question par l'Université nationale autonome du Mexique (UNAM) .
Malgré les critiques, Maussan a défendu à plusieurs reprises les découvertes et assure qu'elles sont vieilles de mille ans et même qu'elles ont été datées par l'UNAM avec le test au carbone 14.
Minimisant les critiques
formulées en septembre, le député Morena Sergio Gutiérrez Luna a déclaré mardi
qu'à la Chambre des députés "toutes les idées et toutes les propositions
seront toujours les bienvenues pour en débattre, les écouter, se mettre
d'accord." ou non".
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deuxième session sur les ovnis avec des momies péruviennes
Par Cassandra Garrison
Les législateurs ont entendu pour la première fois le journaliste mexicain et passionné d'ovnis Jaime Maussan le 13 septembre 2023 lorsqu'il a présenté deux spécimens lors d'un événement unique au Congrès sur les ovnis, ou FANI en espagnol. Maussan a déclaré que les corps, qui auraient été retrouvés près des anciennes lignes de Nazca au Pérou, n'étaient liés à aucune vie sur Terre.
Lors de la séance de mardi, Maussan s'est davantage concentré sur la preuve que les corps, qui n'étaient pas exposés cette fois, n'étaient pas faux, ouvrant la voie à une série de médecins qui ont tous déclaré que les corps étaient ceux d'organismes réels, autrefois vivants.
Il laisse néanmoins place à des questions sur leur origine.
"Aucun des scientifiques ne prétend que [les résultats de l'étude] prouvent qu'ils sont des extraterrestres, mais je vais plus loin", a-t-il déclaré, suggérant qu'ils pourraient être la preuve de formes de vie non terrestres.
L'anthropologue Roger Zuniga de l'Université nationale San Luis Gonzaga à Ica au Pérou a déclaré que les chercheurs avaient étudié cinq spécimens similaires sur quatre ans.
"Ils sont réels", a déclaré Zuniga à
Reuters en marge de la séance.
"Il n'y a eu absolument aucune intervention humaine dans la formation physique et biologique de ces êtres", a-t-il ajouté, affirmant ne pas connaître l'origine de ces êtres.
Zuniga a présenté une lettre signée par 11
chercheurs de l'université déclarant la même chose. La lettre indiquait
cependant clairement qu'elle n'impliquait pas que les corps étaient «
extraterrestres ».
La première présentation de Maussan a été critiquée par de nombreux experts qui l'ont rejetée comme une supercherie longtemps réfutée par la communauté scientifique, soulignant des études sur des restes similaires qui concluaient que les spécimens avaient été modifiés à l'aide d'os d'animaux et humains.
Interrogé sur ces études, Zuniga a déclaré que les spécimens étaient probablement faux. Les corps que lui et les autres chercheurs universitaires ont examinés étaient cependant réels, a-t-il déclaré.
Le membre du Congrès Sergio Gutierrez, du parti Morena au pouvoir du président Andres Manuel Lopez Obrador, a appelé à une réforme de la loi mexicaine afin de rendre publiques toutes les informations sur les ovnis.
La séance de mardi a parfois plongé dans une explication plus extrême. Le chirurgien argentin Celestino Adolfo Piotto a déclaré qu'après avoir examiné les résultats des tests et les images des corps, il pensait qu'il s'agissait d'une version évoluée des êtres humains d'aujourd'hui, les appelant "nos descendants".
Dans un moment plus coloré, le rappeur mexicain Claudio Yarto a déclaré qu'il avait personnellement vu des ovnis avant de terminer son discours par une comptine, suscitant les applaudissements de la foule.
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