4 - HISTOIRE DES OVNIS AU MAROC 1968 - 1970

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DE L'HISTOIRE DES OVNIS AU MAROC
 
15 MAI 1968 - SIDI YAHIA - REGION D’OUDJDA
Occurred : 5/15/1968 20:00 (Entered as : 05/15/1968 20:00)
Reported: 10/21/2003 10:08:16 PM 22:08
Posted: 10/31/2003
Location: Morocco (Sidi Yahia U.S. Naval Facility),
Shape: Disk
Duration:3 hours
UFO sighted by four people in Sidi Yahia, Morocco, North Africa
Dear Sirs: While stationed in Sidi Yahia Morocco, my wife and I were asked to go to the Receiver Site to witness a UFO that had partially exploded and then fl flew back up again. We could not get past the Marine Sentries although they verified what had happened. We were originally notified by phone by by a CT from the transmitter site.

Later that night when the CT got off duty he came to our house with his wife (who worked for the Captain of the base) and had us come out and witness witness the UFO hovering silently up in the air. It was a gray disc shape with red and green lights on the bottom and was completely silent. Could not s see the top of it as it was overhead. It was hard to judge the size but the night was sparkling clear that far out in the desert. It was not a weather balloon as it was too big and did not move but hovered silently. I did not stay up to witness it leaving as my wife and I both had to report to work early in the morning and we were conscientious workers and did not drink or smoke.

This is an authentic report from a military e-9 (30 years service) and his wife who worked for the U.S. Government.

My wife went to work at Supply the next morning and when she reported it, they all laughed at her.

The E-8 or E-9 who worked at the Transmitter site was demoted the next day to Barracks Master at Arms.

What does this tell us. Were they flying a captured UFO in that remote area or was it from outer space and our government knows about it;

Quite a mystery that I will never solve in my lifetime.

((NUFORC Note: We have requested more information about the event.
Date is approximate. PD))
COMPLEMENT
Occurred : 5/15/1968
Reported: 8/2/2005 12:55:06 PM 12:55
Posted: 9/2/2005
Location: Sidi Yahia (Morocco),
Shape: Disk
Duration
Follow-up on previous submission
 
Occurred : 5/15/1968 20:00 (Entered as : 05/15/1968 20:00)
Reported: 10/21/2003 10:08:16 PM 22:08
Posted: 10/31/2003
Location: Morocco (Sidi Yahia U.S. Naval Facility),
Shape: Disk

This adds to someone else's report. A CPO took 35mm photos of disk from his quarters on post. Navy Investigative Service agent requested film, gave a receipt, the CPO never saw his film afterwards. Personally witnessed disks over city of

Kenitra (25 mi west of Sidi Yahia) on numerous nights during summer of 1968.

Others reported them,
NIS stopped taking written statements.

Repairman on my section saw disk from loading dock at communications station and was warned by watch officer not to report it.
20 OU 21 JUIN 1968 – SIDI BENNOUR.  SOURCE UFOCAT. (voir le catalogue en fin du livre)
68175     74250       GEPA PHENO.SPAT         5GP         73F        1968        0620          SIDI BENNOUR            AF              MAR
68175                      LDLN                                  5FR          70AVL   1968        0621          SIDI BENNOUR            AF              MAR     CE2    6E    1

7 AOUT 1968 TANGER/TETOUAN
Le correspondant du journal catholique "Ya" publiait, le 7 août 1968, le témoignage d’un docteur américain résidant au Maroc, qui avait vécu un impressionnant face à face avec un OVNI ; Le médecin circulait sur la route Tanger-Tetouan quand il aperçut, ainsi que son épouse "un objet volant qui émit une lumière d’une puissance jamais vue". "L'objet volant", déclara le médecin, "allait d’un côté à l’autre, comme s’il inspectait l’automobile, et tout à coup s’arrêtait à quelques mètres d’altitude, en émettant un vrombissement et un puissant faisceau de lumière argentée qui inonda tout le paysage". "En ce qui concerne la lumière émise par l’objet inconnu", poursuit le docteur, "elle n’irrita pas les yeux et on pouvait la fixer sans incommodation".
17 SEPTEMBRE 1968 – LAAYOUNE - SUD MAROC
Le 17 Septembre 1968, une sphère de vol plané au-dessus des pistes de l'aérodrome militaire à El Aaiun, ce qui provoque les autorités à allumer les lumières, il devrait s'avérer un aéronef en détresse.
29 NOVEMBRE 1968 – CEUTA
A minuit, le 29 Novembre 1968, plusieurs habitants de Ceuta ont été témoins du vol d'un objet en forme de ballon de rugby. Il pse présentait comme une lumière qui clignotait des couleurs rouge et bleu. L'objet a disparu après quelques minutes après s’être déplacé rapidement vers le désert Albadé García.
Source : Olmedo Andalousie Misteriosa  Angel Carretero - S. Corrales
NUIT DU 30- 11- 1968  AU 1- 12 – 1968  RABAT  
Entre Rabat et El-Harhoura ( Phénomènes Spatiaux N°20 juin 1969)
Voir dans le rapport de l’observation du 8 décembre 2012, ci-dessous issu de LDLN qui place cette observation à la date du 8 décembre 2012. Il semble que l’article du GEPA soit la bonne référence car on trouve cette information dans la presse en date du 8 décembre 2012, d’où certainement la confusion..
 
8 DECEMBRE 1968 - RABAT
Par M. DUTUIT dans LDLN contact lecteur N° 99bis de mai 1969 -  Rabat une soucoupe volante se pose.
Le dimanche 8 décembre 1968, à 3 h 30 du matin, M. et Mme Caviglioli viennent de quitter Rabat en voiture en direction de Casablanca, leur résidence.
II y a peu de circulation à cette heure, la route est libre, la voiture fonce dans la nuit ; le ciel est noir, teinté de rouge. Ils arrivent à l'entrée de Rabat, 3 km avant l'embranchement d'Harhoura.
A côté de son mari, Mme Caviglioli lui dit sou­dain : « ...Regarde la lune, elle est bizarre ce soir... elle est toute rouge ! »
« ...Luna rossa... la, la, la... », fredonne !e con­ducteur.
« ...Mais, regarde!_ elle tourne... elle va tom­ber... »
Et, en effet, derrière les arbres, cette espèce de lune rouge descend du ciel. Elle va plus vite que la voiture, beaucoup plus vite, et paraît tourner sur el!e-même...
Elle s'approche du sol et soudain s'arrête, et c'est fait, la « chose » vient de se poser en peu en avant de la voiture, à 800 mètres de nos témoins,
Le conducteur ne plaisante plus, ne chantonne plus, il a stoppé la voiture pour mieux observer.
« Un spectacle impressionnant », dira-t-il plus tard.
« Je frissonne quand j'y pense », ajoute Mme Caviglioli.
L'objet rougeoyant et étincelant qui fonçait dans le ciel, dans un tournoiement vertical, éclaira sa des­cente de faisceaux lumineux multicolores dirigés per­pendiculairement au sol. II est là maintenant, posé ou presque au-dessus d'un champ bordant la route.
II apparaît un moment sous la forme d'un « ciga­re » auréolé de lumière rouge : comme deux assiettes renversées, dira M. Caviglioli à notre correspondant, M. Dutuit.
Quelques minutes s'écoulent, et au centre du « cigare » s'éclaire un rectangle d'un blanc brillant non aveuglant, des projections lumineuses partent du dessous de l'engin, éclairant le terrain au-dessous. II est rare, nous semble-t-il, de trouver dans nos récits d'observation, une description aussi complète d'un atterrissage d'engin ; on les voit partir le plus souvent
De leur voiture, à 800 m de là, tous phares éteints, nos deux témoins observent ce qu'il va se passer.
« Pas de doute, c'est une soucoupe », dit le mari. « ...Partons, j'ai peur », répond Mme Caviglioli. Au même moment, la « chose » se soulève, vient vers eux, oscillant légèrement « comme sur des cous­sins d'air, au ras du sol ». Elle progresse, Mme Cavi­glioli s'affole : « ...Partcns vite, on ne sait pas ce qu'il va se passer, ce qu'ils vont faire... »
Mais, voici que l'engin opère une marche arrière, et au même instant la voiture reprend sa route...
« Je serais bien resté sur place, dit M. Caviglioli, mais ma femme avait très peur ».
Plus loin, la curiosité fut plus forte que la peur. Ils arrêtent leur voiture et M. Caviglioli tente de s'approcher du lieu de l'atterrissage, en contournant une élévation de terrain.
L'engin avait disparu, il ne reste plus, à son em­placement, qu'une lueur rouge braise, comparable à la réverbération d'une ville pendant la nuit.
M. Caviglioli est architecte et c'est un homme très sérieux. II est retourné plusieurs fois, mais en vain, sur le lieu de ''atterrissage pour recueillir des indices.
C'est M. Dutuit, notre correspondant à Casablanca, qui a recueilli, auprès de M. et Mme Caviglioli, quel­ques renseignements complémentaires sur cette obser­vation qui a été publiée par <. La Vigie Marocaine » (l'ouverture était blanche et non orange).
Le dessin composé par M. Caviglioli est extrait du journal.
Nous espérons quelques détails complémentaires en liaison avec les failles (à l'heure où nous écrivons, un séisme assez violent vient d'avoir lieu), ils ne nous sont pas parvenus. Nous pensons que tel quel, ce récit présente beaucoup d'intérêt.
 
N.D.L.R. - De Nice, en dernière minute, M. Watrin nous adresse un plan et croquis de la ville et de la région. Nous sommes en mesure de préciser que l'at­terrissage a eu lieu sur faille géologique.
 
 
L’OBSERVATION EST ICI PLACEE A UNE DATE DIFFERENCE (Bulletin du GEPA)
NUIT DU 30- 11- 1968  AU 1- 12 – 1968  RABAT  
Entre Rabat et El-Harhoura ( Phénomènes Spatiaux N°20 juin 1969)
Non loin de Rabat, et sur la côte occi­dentale du Maroc, M. et Mme Caviglioli furent, dans la nuit du 30.11 au 1.12.1968, les témoins d'une étrange apparition. Cet incident donna lieu à un article dans « La Vigie Marocaine » du 8.12.68 et fit l'objet d'une brève mention dans « Paris-­Jour » du 10.12.68, mention que J.-L. Bec­quereau eut l'obligeance de nous faire parvenir.
Nous aurions pu en rester là - tant d'observations nous parviennent dont il ne nous est pas possible de faire état ! -­ si nous n'avions reçu d'un de nos mem­bres résidant au Maroc, M. D., une let­tre datée du 13.12.68 dans laquelle il nous faisait part de son intention de mener sur ce cas une enquête approfondie.
 
Quelque temps après, il nous adressa un compte rendu provisoire qui fut suivi de ce qu'il considéra comme le rapport définitif.
 
L'observation elle-même est des plus intéressantes mais la qualité de l'enquête menée par Mr. D. ajoute encore à cet intérêt.
 
Nous avons eu le plaisir de rencontrer à Paris Mr. D. et il nous a inspiré la plus entière confiance. Le fait que nous pensions plus prudent de lui conserver, pour des raisons d'ordre professionnel, un certain anonymat, ne doit lui retirer aux yeux de nos lecteurs aucun crédit.
 
Comme il nous l'a lui-même suggéré, nous dirons ici que notre correspondant appartient à un service scientifique de recherche où il se consacre à des études visant un tout autre sujet que celui qui nous préoccupe.
 
Il y a un peu plus d'un an, mésestimant - à son jugement actuel - la masse, la cohérence, la signification des témoigna­ges sur le phénomène OVNI, et pensant que, de ce fait, ledit phénomène n'était pas encore mûr pour l'étude, il était enclin à le considérer avec scepticisme.
 
 
C'est un témoignage du type IV A de Jacques l'allée (1), rapporté par un des ouvriers travaillant sous sa direction, qui déclencha chez lui, sur la base de réflexions personnelles, la prise de cons­cience de la réalité possible des OVNIs, une prise de conscience qui fut accélérée par son étude ultérieure des travaux concernant ces objets. L'ouvrier en ques­tion était un paysan berbère illettré, n'ayant subi, dans ce domaine aucune influence psychosociale et dont le témoi­gnage fut ensuite corroboré par celui d'autres paysans berbères habitant dans la même région.
 
L'enquête qu'on va lire est la première faite en cette matière par ce chercheur.

Conditions de l'enquête

L'enquête a été menée comme il suit :

- Une relation générale de l'observa­tion a été faite par M. Caviglioli. Des précisions étaient demandées au témoin au cours du récit, La sincérité, l'esprit critique et la mémoire du témoin étaient testés chaque fois que possible.

M. Caviglioli, qui est architecte, accompagnait son récit de nombreux dessins.

- M. Caviglioli me conduisit le len­demain sur les lieux de son observation. Son épouse était présente et tous deux effectuèrent au cours du trajet, parcou­ru lentement, une sorte de reconstitution qui me permit de noter quelques diffé­rences entre ce qu'avait perçu M. Ca­viglioli et ce qu'avait perçu son épouse. Ces différences, minimes d'ailleurs, dans les témoignages seront notées dans le compte rendu d'enquête.

- Un questionnaire préalablement éta­bli d'après l'ouvrage des Vallée (.1. et l. Vallée), « Les phénomènes insolites de l'espace », La Table Ronde, Paris 1966) a été soumis à M. Caviglioli, après qu'il eut fait son exposé général, dans le but de lui faire approfondir plusieurs aspects de son témoignage et de ne rien oublier qui soit essentiel.

- L'enquêteur est ensuite retourné seul sur le terrain.

Ce travail a été effectué les 15, 16 et 17 janvier 1969, donc un mois et demi après l'événement. L'objet a été vu par les témoins du bord de la route par une nuit très noire. Des pluies torrentielles ont sévi à plusieurs reprises entre l'ob­servation et l'enquête. Par conséquent, bien que les témoins connaissent parfai­tement la route de Casabianca à Rabat, une certaine imprécision règne en ce qui concerne la connaissance du lieu d'at­terrissage et le couloir de déplacement de l'« objet » au sol, qui ne peuvent être donnés qu'à 300 m près. Une visite des lieux ne nous a rien montré de particu­lier. De toute façon, dans ce cas, étant donné le délai après lequel a été effec­tuée l'enquête, et les autres circonstan­ces dont il a été question plus haut, les erreurs qui pourraient naître d'un exa­men trop imaginatif du terrain sont trop aisées à commettre pour que l'on se ris­que à cet examen.
 
Généralités

L'avis de l'enquêteur ayant, dans les enquêtes concernant les Objets Volants Non Identifiés, une certaine importance, je dirai que les témoignages ont été pré­cis, surtout celui de M Caviglioli, et que leur honnêteté ne semble pas devoir être mise en cause. Sur le plan profes­sionnel, M. Caviglioli avait probablement plus à perdre qu'à gagner en laissant publier le récit de ce qu'il avait vu. Peut-être faut-il signaler que, rentrés à leur domicile à Casablanca à 6 heures du matin, les témoins ne dormirent que quelques heures et repartirent immédia­tement vers Rabat pour voir si la confi­guration du terrain, les points de repère qu'ils avaient pris, correspondaient bien à la réalité. Ils étaient à tel point ébran­lés par leur nuit, qu'ils ne répondirent même pas à des amis qui leur faisaient signe d'arrêter sur leur route.

La remarque que je ferai maintenant est assez formelle car, comme le souligne Vallée dans l'ouvrage déjà cité, la cohérence ou l'incohérence de l’ensemble des phénomènes de cette catégorie ne peuvent apparaître que lors d'une étude glo­bale faisant intervenir des méthodes per­fectionnées de traitement de l'informa­tion. Cette remarque concernant la pré­sente enquête est la suivante : Dans la mesure où l'enquêteur croit M. et Mme Caviglioli sincères et honnêtes, l'obser­vation de type I (cf. Vallée, même réfé­rence) qu'ils ont décrite ne peut être réduite dans son intégralité à un phéno­mène naturel actuellement connu. Toujours si l'on admet la sincérité et l'hon­nêteté des témoins, la complexité de structure et de comportement du phé­nomène décrit (Phase V) ne peuvent s'expliquer que par une hallucination très complexe des témoins, ou bien alors par une structure intelligente du phé­nomène décrit.

Météorologie : Observation faite de nuit, le ciel étant très noir (couverture nuageuse complète), sans pluie ni vent ni brouillard. Ces indications viennent des témoins et n'ont pas été vérifiées.

Réseau routier : Dans le territoire inté­ressé par l'observation, existent trois routes allant de Rabat à Casablanca, parallèlement à la côte, c'est-à-dire se­lon une orientation Nord-Est/Sud-Ouest.

- La plus côtière est la route secon­daire 222­

- Un peu plus à l'intérieur du pays est la route principale 36.

- La troisième route est la principale N 1.

La trajectoire de l'objet se situerait d'après les indications des témoins entre la R.S. 222 et la R.P. 36, ou carrément au-dessus de l'océan.

Les évolutions de l'objet au sol se si­tuent entre la R.S. 222 et ]a R.P. 36, en­viron 800 m avant la bretelle de raccor­dement de ces deux routes au niveau de El-Harhoura (cf, carte Michelin).

la route la plus fréquentée est la R.P. 36, qu'ont suivie les témoins. Mais, même sur cette route, la circulation est très faible la nuit.

Cartes disponibles et Géologie

- Carte Michelin n 169 du Maroc au millionième avec agrandissement de la région Rabat-Casablanca au six-cent-mil­lième.

- Carte I.G.N. « Temara » au cinq-cent-­millième. Feuille n NI-29-X1I-3c de 1927 révisée en 1935-1936. C'est un fond topo­graphique qui ne reflète plus l'infrastruc­ture du pays. La R.P. 36 n'y figure pas.
 
- La carte géologique du Maroc au 500.0000', feuille de Rabat, publiée en 1954.
La géologie du territoire consiste en une couverture de sédiments quaternaires d'origine littorale et sans tectonique su­perficielle. Ces sédiments sont cartogra­phiés qMD : Quaternaire marin et du­naire consolidé. Trois lignes de dunes consolidées longent ainsi la côte et, portant pâturages et cultures, détermi­nent de petits plateaux de 40 m d'alti­tude environ.
 
L'OBSERVATION

Il s'agit, selon la classification de Vallée, d'une observation de type I fai­sant suite à une observation de type IV. Elle eut lieu dans la nuit du 30 novem­bre au 1er décembre 1968, sur un seg­ment de route de 6 km environ, à la sor­tie de Rabat. Débutant à 3 h 50 du ma­tin, elle dura 45 minutes.

Dans la succession des faits décrits par les témoins, nous distinguerons six phases, les trois premières se rapportant à une observation du type IV et les trois dernières, à une observation du type I.

Phase 1

La voiture de M. et Mme Caviglioli, une Citroën DS 21 à phares à iode pivo­tants, sort de Rabat en direction de Ca­sablanca et aborde le rond-point de croi­sement de la route Hôpital Avicenne- quartier de Yacoub-El-Mansour avec celle de Casablanca. Au rond-point même, Mme Caviglioli qui est devant et à droite pousse un cri d'étonnement et montre à son mari, qui conduit, une boule rouge ­orangé à 45° de hauteur environ, au­dessus de Yacoub-El-Mansour, à l'Ouest. M. Caviglioli chantonne : « Luna rossa, etc. ».

La voiture dépasse le rond-point et s'engage dans la ligne droite (1 km en­viron) qui aboutit à la bifurcation de la R.P. 1 avec la R.P. 36. A ce niveau se trouve le cabanon de la Sécurité routiè­re. Cette ligne droite est bordée de très grands eucalyptus. A gauche de la route (en direction de Casa) se trouvent les pépinières Vita, à droite, une alternance de terrains vagues et d'édifices divers. Toujours à sa droite, Mme Caviglioli aperçoit derrière le feuillage des arbres une lueur. Elle demande à son mari : « Mais tu t'amuses avec tes phares ? » A la réponse négative de M. Caviglioli, tous deux regardent plus attentivement et constatent qu'il s'agit toujours de la « lune rousse » vue à travers les euca­lyptus, à une hauteur angulaire peut-être moins grande qu'au carrefour. Cette boule est toujours un peu en avant de la voiture.

La D.S. arrive au cabanon de la Sécu­rité routière. Le caractère d'étrangeté de la boule n'avait pas encore dû apparaître à M. Caviglioli puisqu'il me dit au cours de la reconstitution : « Je prends tantôt l'une, tantôt l'autre de ces routes ; ce soir-là, j'ai pris la grande route» (la R.P. 36). II m'a alors semblé que la mo­tivation consciente de son choix n'avait pas été l'objet insolite.

C'est tout de suite après cet embran­chement de routes qu'il remarque que l'objet prend de l'avance sur leur voiture. L'étrangeté de la chose le frappe alors et il demande à son épouse de prendre un point de repère. En amor­çant la grande courbe en montée (800m environ) par laquelle débute la R.P. 36, M. Caviglioli accélère à 140 km/h envi­-ron pour tenter de suivre l'objet.

Description de l'objet (vu au cours de cette première phase)

 
Selon M. Caviglioli le diamètre appa­rent de l'objet était de une demi-lune. Son épouse ne peut préciser car elle fut surtout étonnée par les couleurs. Elle crut d'abord voir la lune. Rappelons que cette nuit-là était très noire ; c'était aussi cinq nuits avant la pleine lune. Mme Caviglioli a employé le terme «fu­ligineux » pour décrire un ensemble de rouge et d'orangé brouillé, avec des stries circulaires de ces deux teintes et un halo lumineux trouble. Le tout lui parut très beau. Elle s'est étonnée que cette lune lui ait donné l'impression d'être « verticale » dans le ciel alors que d'or­dinaire elle 1a trouve « oblique ». A l'en­quêteur qui lui demande de préciser sa pensée, elle traduit après coup que l'ob­jet, qui devait se révéler ensuite à ses veux comme étant discoïde, devait être à ce moment « de champ » dans le ciel.

 « Cela donnait l'apparence de tourner sur soi-même comme une roue, dans le sens inverse des aiguilles d'une montre " précisera M. Caviglioli. A ma demande, il affirme que ce mouvement se faisait sans libration, et qu'il ne s'agissait pas d'un déplacement global de l'objet au­tour d'un point extérieur au centre du disque visible avec une translation li­néaire surajoutée. Il m'est confirmé que sur sa trajectoire linéaire le disque était affecté, ou semblait affecté, d'un mou­vement circulaire net, régulier, dont le centre était celui du disque (cf. Fig 1).

Phase 2

Toujours très vite, après le virage en montée, la voiture aborde le deuxième virage en descente, et en sens inverse du premier. La première courbe escalade le deuxième cordon de dunes consoli­dées, et le deuxième virage en descente, rapprochant la route de la côte, l'amène dans la dépression entre le premier et le deuxième cordon de dunes (voir le panorama).

Lorsque la voiture s'engagea dans la petite dépression existant entre les deux lignes de collines, l'objet se trouva un court instant dissimulé derrière le cor­don de dunes le plus côtier. I1 se confir­me donc que l'objet était en descente et l'enquêteur suppose que l'objet volait plutôt au-dessus de l'océan, non loin de la côte, qu'au-dessus du littoral. C'est ce que semble indiquer la comparaison entre la grandeur apparente donnée par les témoins à l'objet pendant cette pha­se de l'observation et la dimension qu'ils lui attribuèrent plus tard lorsqu'ils le virent au sol (l5 m).

Phase 3

Les témoins avaient roulé sur trois ki­lomètres à partir de l'embranchement des R.P. 1 et R.P. 36. 1e cordon côtier de dunes est à cet endroit très bas et ils revoient l'objet qui passe instantanément de l'aspect discoïde à l'aspect lenticu­laire comme si le disque d'abord vertical avait basculé de 90° pour se mettre horizontal.
 
Phase 4

L'objet leur paraissant avoir arrêté sa course, M. et Mme Caviglioli arrêtent leur voiture au bord de la route, environ 1 km avant la route de raccordement avec la R.S. 222. Les deux routes sont ici très proches l'une de l'autre : 600 à 1000 m. Ils descendent de voiture après en avoir éteint les phares et regardent en direction de l'objet et de l'océan, océan qu'ils n'auraient d'ailleurs pas pu voir même de jour, car les collines cô­tières les en séparaient. Ils distinguent, lointain dira M. Caviglioli, le disque rouge, et Madame Caviglioli dit : « C'est peut-être un reflet sur l'eau ». Son mari, qui connaît particulièrement bien 1a rou­te, pour la prendre plusieurs fois par semaine, lui fait remarquer que l'ocean n'est pas visible de l'endroit où ils sont. Face à l'enquêteur, il se demandera plus tard si les « phares » de l'objet (voir plus loin) n'étaient pas alors déjà allumés et si ce n'est pas leur éclat sous le disque qui a amené son épouse à penser à un reflet sur l'eau.

Les événements prennent ensuite un tout autre cours.

Le temps d'une seconde, (M. Caviglioli me mimera : hop-hop) le disque, de très lointain qu'il était, s'impose soudain à leurs yeux comme très proche. «C'était maintenant un énorme cigare». L'adjec­tif énorme est employé, précise ensuite le témoin, par contraste avec ce qu'ils avaient vu jusqu'alors. J'estime à 250 m environ la distance de l'objet à ce mo­ment. Je pense que c'est le chiffre que M. Caviglioli a eu le plus de mal à esti­mer et qu'il est très imprécis. Mieux vaudrait peut-être dire entre 250 et 600 m. I1 est possible que cette impré­cision, que je déduis des hésitations du témoin à la formuler et des autres chif­fres qu'il me donna d'abord, il est pos­sible, dis-je, que cette imprécision soit la conséquence de l'intense surprise des deux témoins et de l'aspect de l'objet à ce moment. Il se présente alors comme un cigare rouge (le rouge d'un métal échauffé par frottement dira M. Cavi­glioli) cerné par une gaine de lumière d'un rouge étincelant et surmonté, sur une hauteur de trois étages, d'une colonne de lumière diffuse rose-rouge, un peu comme la lumière d'une ville dans le lointain mais plus brillante (cf. Fig 2). M. Caviglioli confirme, alors que je le questionne, qu'il s'agissait bien d'une colonne de lumière et non d'un halo mal circonscrit. L'objet est à ce mo­ment juste au-dessus du sol, sans le toucher.

Phase 5

C’est la plus étrange de cette observation et probablement celle qui prête le plus a discussion.

Une « fenêtre » de lumière blanche comparable, dira M. Caviglioli à celle de phares à iode, mais n'éclairant pas le paysage, « s'ouvre  » entre les deux moi­tiés inférieure et supérieure de l'objet dont la forme apparait alors nettement, Les témoins sont d'accord pour dire que la meilleure reprèsentation à donner de l'objet à ce moment est celle de deux assiettes dont les cavités se font face, ces deux assiette-, étant séparées par un intervalle.

C'est cet intervalle qui présentait la luminescence d'une lampe à iode, tan­dis que les «Coques» inférieure et su­périeure paraissaient maintenant plu­tôt grises que rouges, par contraste peut-être avec l'éclat de la « Fenêtre » médiane. Monsieur Caviglioli dit qu'il pense que cette « fenêtre » faisait le tour de l'objet discoïde et il emploiera l'image suivante : « Comme un tour de papier adhésif sur l'anneau séparant les deux assiettes ». Il insistera sur le fait que l'objet était nettement symétrique. Des « phares » blancs    à pinceaux très peu ouverts sont allumés sur le pourtour de la coque inférieure et éclairent obli­quement le sol. Cela n'avait pas l'allure de tigelles lumineuses mais bien de pha­res à faisceaux peu divergents. Sur le pourtour du disque, la «fenêtre » lumi­neuse était en léger retrait par rapport aux bords des deux coques inférieure et supérieure.

Dès que sa partie médiane s'est éclairée, l'objet s'est lentement mis en route en direction des témoins qui se trou­vaient toujours sur le bas-côté de la route. Il s'avançait de façon très douce « comme sur un coussin d'air », en allant, un peu, de droite et de gauche. M. Caviglioli apprécie sa vitesse à ce moment à 20 km/h environ. L'objet s'est arrêté à 150 m d'eux au plus et l'archi­tecte dit avoir pu l'examiner aussi aisé­ment qu'un prototype d'automobile à la même distance. Selon lui, le diamètre du disque était de 15 m et son épaisseur au centre d'environ 3 m.

Lorsque l'objet se fut stabilisé à 100 150 m d'eux M. Cavigilioli dit à son épouse : « J’y vais ! ». Celle-ci se récria, demandant à partir immédiatement et expliquant qu'elle avait entendu parler d'enlèvements perpétrés par des choses semblables ou lu des récits à ce sujet.

L'objet alors, recula de la même façon qu'il s'était approché, et jusqu'au point d'où il était parti, approximativement.

Je demande aux témoins quels étaient leurs états d'âme au moment de l'approche vers eux de l'objet qu'ils décrivent, s'ils avaient eu peur, Leurs réponses sont très différentes. M. Caviglioli dit qu'il n'avait pas eu peur. Il avait été émer­veillé par la beauté de « l'objet» et de sa marche, il en avait ressenti une joie intérieure et avait éprouvé un désir ar­dent d'aller vers l'objet. Pour avoir par la suite discuté avec lui de sujets beau­coup plus généraux et plus «terrestres» que les soucoupes volantes, je crois vo­lontiers que la peur, si elle a existé en lui à ce moment, est passée inaperçue et que c'est la curiosité et d'autres con­ditionnements qui ont pris le dessus. Mme Caviglioli quant à elle, dit avoir eu peur. Elle avait confié à son mari que, plutôt que d'avoir ressenti une réelle frayeur, elle s'était cru « reportée aux premiers âges de l'humanité, lors­que l'homme voyait des divinités partout et s'effrayait de choses qui nous parais­sent aujourd'hui naturelles ». Je ne cite pas fidèlement ses paroles mais je ne dénature pas leur sens.

Phase 6

L'objet disparut ensuite sur place d'une façon inexpliquée par les témoins. I1 est resté à son emplacement une rémanence lumineuse en colonne telle que nous l'avons décrite pour la phase IV. M. Caviglioli a tenté d'arrêter deux ca­mions qui vinrent à passer sans que les chauffeurs ne le voient ou ne veuillent s'arrêter. Cette colonne lumineuse devait persister vingt minutes au dire de M. Caviglioli. Elle ne faisait encore que commencer à se dissiper lorsqu'ils par­tirent vers Casablanca.

L'objet disparu, et voyant à sa place la colonne, ils se demandèrent si l'objet était vraiment parti ou s'il était dissi­mulé à leur vue parce qu'il avait re­culé en direction de la mer, de l'autre côté de la colline. Afin de le savoir, ils remontèrent en toute hâte dans leur vé­hicule et, roulant aussi vite que possi­ble, prirent la bretelle de raccordement de la R.P. 36 avec la R.S. 222 puis, une fois sur cette dernière, à E1-Harhoura, s'engagèrent sur une centaine de mètres en direction de Rabat. La colonne de­meurant visible pendant tout ce trajet, mais non l'objet, M. Cavigliolï arrêta sa voiture et décida de quitter la route a pied et de marcher jusqu'à la colonne lumineuse. Son épouse s'y opposa de nouveau vigoureusement, et ils rejoigni­rent !a R.P. 36 sur laquelle ils s'engagèrent en direction de Casablanca.

Comme nous l'avons dit, la rémanence lumineuse se dissipait à peine.

Précisions complémentaires

On trouvera ci-après quelques préci­sions qui n'avaient pas trouvé place dans la relation précédente :

L'ancienne dune qui longe le littoral entre la R.P. 36 et la R.S. 222 ne porte pratiquement, tout du long à ma con-naissance, aucune habitation, tout au moins jusqu'à la bretelle de raccordement des deux routes citées. Il n'y a sur ce petit plateau que des pâturages et des cultures. De jour, il y a toujours un ou deux troupeaux de vaches. Les habitations les plus proches sont relativement éloignées, et de l'autre côté de la R. P.         36 vers l'intérieur. Il faut faire exception du village balnéaire d’El-Harhoura, qui devait être l'agglomération la plus proche du lieu d'atterrissage. Encore faut-il remarquer qu'à cette époque ce genre de village balnéaire est assez déserté.

M. et Mme Caviglioli ont informé la Gendarmerie Royale de ce qu’ils avaient vu. La Gendarmerie n'y a pas prêté d'attention.

- M. Caviglioli voit très bien de loin. Il est un peu presbyte. Mme Caviglioli n'a pas été interrogée sur son acuité visuelle.

- M. et Mme Caviglioli revenaient cette nuit du domicile d'amis chez les­quels ils avaient passé la soirée et la première partie de la nuit. M. Caviglioli , qui souffre de l'estomac ne boit pas d'alcool, son épouse ne supporte pas d'alcool et en boit très peu.

- C'est la première fois que ces té­moins ont vu ce genre de phénomène Un ami de M. Caviglioli, pilote de ligne. avait vu un objet semblable au sol, plai­ne de Ben Guérir (70 km au nord de ,Marrakech).

- il n'a pas été souligné dans le récit de l'observation que strictement aucun bruit n'a été entendu tout au long des évolutions de l'objet que ce soit en l'air ou au sol.

-- Il n'a été procédé à aucune recher­che concernant le magnétisme ou la ra­dio-activité de quoi que ce soit.

Nous remercions très vivement Mr. D de l'enquête si minutieuse à laquelle il s'est livré et dont il a bien voulu nous faire part.

Ce témoignage, émanant d'observateurs dignes de foi et recueilli par un enquêteur dont le souci d'objectivité est évi­dent, acquiert une très grande valeur par le fait qu'il porte sur le quasi atterrissage d'un objet insolite qui, au cours de la cinquième phase de l'observation, a été vu  à courte distance.

On notera qu'au cours de la phase 1 M. Caviglioli attribue à l'objet, vu « de champ » dans le ciel, un mouvement de rotation « net et régulier ».

Au cours de la phase 4. l'objet appa­raît  « cerné pur une gaine de lumière d'un rouge étincelant », ce qui fait penser une fois de plus, à un phénomène d 'ionisation.

Lors de 1a phase 5, des « phares » s'allument sur le pourtour de la coque inférieure de l'objet, éclairant obliquement la sol. Il nous est dit dans 1e compte rendu que les pinceaux de ces « phares » n'avaient pas « l'allure de tigelles lumi­neuses mais bien de phares à pinceaux peu divergents » . Apparemment, donc, il n'y avait là ni phénomène de « tigelles » ni emploi de sources de lumière cohé­rentes (lasers) - à l'encontre de ce qui semble bien s'être passé dans le cas de Monte Maiz (Bulletin du G.E.P.A. N 6. trimestre 1964, p. 23).

Le silence qui règne au cours des mou­vements puis du stationnement à une faible distance du sol, de cet objet inso­lite déjà de grande taille (15 m de dia­mètre environ), possédant une structure bien définie et symétrique ainsi que des sources de lumière distinctes dont l'allu­mage paraît bien commandé, ce silence, disons-nous, écarte d'emblée tout mode de sustentation classique. Aucun avion ou hélicoptère n'aurait pu évoluer ni se maintenir si proche du sol et des témoins dans un pareil silence. On n'imagine pas non plus un ballon ou même un dirigea-ble se livrant à ce genre de manoeuvres. D'autre part, la structure précise de l'ob­jet sa « fenêtre » équatoriale et l'exis­tence de faisceaux de lumière distincts, tout cela exclut absolument qu'il ait pu s'agir d'un des plasmoïdes chers à Philip Klass.

L'inexplicable disparition de l'objet, ne laissant subsister qu'une « rémanence lumineuse » tenace -- et qui pourrait bien être, cette fois, un authentique plasma – a déconcerté les témoins. De ce point de vue, l'observation décrite paraît bien s'ajouter à la liste de toutes celles au cours desquelles les objets semblent s'évanouir sur place, comme s'ils s'échappaient dans quelque dimen­sion insaisissable à nos sens ou comme s'ils n'avaient été que 1a « projection » tridimensionnelle dans notre espace, et à des fins inconnues, d'objets dont la réalité matérielle se serait située ailleurs.

Il est remarquable que, là encore, et en conformité avec la loi statistique formulée par Jacques Vallée (« Flying Saucer Review », 5-6-68, page 11), cette manifestation insolite est survenue dans une zone qui, comme le note l'enquêteur, était, à l’époque de l’année, déserte.

Le remarquable effort de M. D. pour préciser les conditions géographiques et géologiques ainsi que le déroulement de cette observation mérite  tous nos compliments.

Source Lumières dans la nuit. Phénomènes Spatiaux du GEPA.
Référence Ufocat : 49224 – 54867 – 62580 – 75755

1969 – SAFI
Il s’agit d’une photographie d’un ovni prise par Abraham El Douradi.
Time: 15,10
Location: Safi
Photographer: Abrahim El Douradi
References: Photograph Catalogue by Bernard Delair
Information de Juan Ballester Olmos, document figurant dans le catalogue FOTOCAT

14 NOVEMBRE 1969  BENZU  MAROC ?

 

62666

VALLEE JACQUES

6JV3

 

1969

1114

2145

BENZU

AF

MAR

 

GIL

E

CE2

6T

 

 

5'23

35'54

62666

64550

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421T
 

1969

1114

2145

BENZU, F           =

AF

MAR

1

 

E

CE2

6T

 

 

 

 

NOVEMBRE 1969 - CEUTA
À la fin du mois de Novembre 1969, Francisco Gil et Cristina se promenaient dans les rues de Ceuta quant ils ont vu un objet dont la dimenssion apparente était de 50-60 centimètres. Ils  étaient composés de deux cercles concentriques à partir desquels une lumière intense oscillante. La lumière de la couronne externe était plus faible. L'objet est descendu sur le sommet d'une colline, dissimulé par des arbres,  en émettant des flashes d’une lumière vive.

Le couple, après avoir atteint Punta Bermeja, a trouvé un second objet, quelque 3 mètres de diamètre avec un éclairage moins intense. Il a  disparu rapidement au bout de 10 minutes,  après être resté immobile.
 
Les membres du groupe CEONIX ont appri au cours de l’enquête ultérieures qu’on avait retrouvé deux rainures dans le sol et d'autres traces inconnues.
Source : Olmedo Andalousie Misteriosa Angel Carretero - S. Corrales

MAROC  ENVIRON 1970
C'était au Maroc, plus particulièrement à Mekhnès. Les spectateurs d'un film western dont je faisais partie sortaient du cinéma A.B.C.

Je prends ma moto au parking face à l'ABC et là je lève la tête en enlevant l'anti-vol, un engin de forme triangulaire passe à grande vitesse sur l'avenue. Cela a été vu par des centaines de témoins, l'année vers les 1970 + ou-, le plus surprenant: pas de bruit et au ras des toits, vélocité extrême.

Pierre (Orange) – France _ Source Site du GREPI
 
 
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DE L'HISTOIRE DES OVNIS AU MAROC

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