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DE L'HISTOIRE DES OVNIS AU MAROC
15 MAI 1968 - SIDI YAHIA - REGION D’OUDJDA
Occurred : 5/15/1968 20:00 (Entered as :
05/15/1968 20:00)
Reported: 10/21/2003
10:08:16 PM 22:08
Posted: 10/31/2003
Location: Morocco (Sidi
Yahia U.S. Naval
Facility),
Shape: Disk
Duration:3 hours
UFO sighted by
four people in Sidi Yahia , Morocco , North
Africa
Dear Sirs: While stationed in Sidi Yahia Morocco , my
wife and I were asked to go to the Receiver Site to witness a UFO that had
partially exploded and then fl flew back up again. We could not get past the
Marine Sentries although they verified what had happened. We were originally
notified by phone by by a CT from the transmitter site.
Later that night when the CT got off duty he came to our house with his wife (who worked for the Captain of the base) and had us come out and witness witness the UFO hovering silently up in the air. It was a gray disc shape with red and green lights on the bottom and was completely silent. Could not s see the top of it as it was overhead. It was hard to judge the size but the night was sparkling clear that far out in the desert. It was not a weather balloon as it was too big and did not move but hovered silently. I did not stay up to witness it leaving as my wife and I both had to report to work early in the morning and we were conscientious workers and did not drink or smoke.
This is an authentic report from a military e-9 (30 years service) and his wife who worked for the U.S. Government.
My wife went to work at Supply the next morning and when she reported it, they all laughed at her.
The E-8 or E-9 who worked at the Transmitter site was demoted the next day to Barracks Master at Arms.
What does this tell us. Were they flying a captured UFO in that remote area or was it from outer space and our government knows about it;
Later that night when the CT got off duty he came to our house with his wife (who worked for the Captain of the base) and had us come out and witness witness the UFO hovering silently up in the air. It was a gray disc shape with red and green lights on the bottom and was completely silent. Could not s see the top of it as it was overhead. It was hard to judge the size but the night was sparkling clear that far out in the desert. It was not a weather balloon as it was too big and did not move but hovered silently. I did not stay up to witness it leaving as my wife and I both had to report to work early in the morning and we were conscientious workers and did not drink or smoke.
This is an authentic report from a military e-9 (30 years service) and his wife who worked for the U.S. Government.
My wife went to work at Supply the next morning and when she reported it, they all laughed at her.
The E-8 or E-9 who worked at the Transmitter site was demoted the next day to Barracks Master at Arms.
What does this tell us. Were they flying a captured UFO in that remote area or was it from outer space and our government knows about it;
Quite a mystery that I will never solve in my lifetime.
((NUFORC Note: We have requested more information about the event.
Date is approximate. PD))
Source : Site du Nuforc
- http://www.nuforc.org/webreports/032/S32540.html
COMPLEMENT
Occurred : 5/15/1968
Reported: 8/2/2005 12:55:06
PM 12:55
Posted: 9/2/2005
Location: Sidi
Yahia (Morocco ),
Shape: Disk
Duration
Follow-up on
previous submission
Occurred : 5/15/1968 20:00 (Entered as :
05/15/1968 20:00)
Reported: 10/21/2003 10:08:16 PM 22:08
Posted: 10/31/2003
Location: Morocco (Sidi
Yahia U.S. Naval
Facility),
Shape: Disk
This adds to someone else's report. A CPO took 35mm photos of disk from his
quarters on post. Navy Investigative Service agent requested film, gave a
receipt, the CPO never saw his film afterwards. Personally witnessed disks over
city of
Others reported them,
Repairman on my section saw disk from loading dock at communications station and was warned by watch officer not to report it.
20 OU 21 JUIN 1968 – SIDI BENNOUR. SOURCE UFOCAT. (voir le catalogue en fin du livre)
68175 74250 GEPA PHENO.SPAT 5GP 73F 1968 0620 SIDI BENNOUR AF MAR
68175 LDLN 5FR 70AVL 1968 0621 SIDI BENNOUR AF MAR CE2 6E 1
7 AOUT 1968 TANGER/TETOUAN
68175 LDLN 5FR 70AVL 1968 0621 SIDI BENNOUR AF MAR CE2 6E 1
7 AOUT 1968 TANGER/TETOUAN
Le correspondant du journal catholique
"Ya" publiait, le 7 août 1968, le témoignage d’un docteur américain
résidant au Maroc, qui avait vécu un impressionnant face à face avec un
OVNI ; Le médecin circulait sur la route Tanger-Tetouan quand il aperçut,
ainsi que son épouse "un objet volant qui émit une lumière d’une
puissance jamais vue". "L'objet volant", déclara le médecin,
"allait d’un côté à l’autre, comme s’il inspectait l’automobile, et tout à
coup s’arrêtait à quelques mètres d’altitude, en émettant un vrombissement et
un puissant faisceau de lumière argentée qui inonda tout le paysage". "En
ce qui concerne la lumière émise par l’objet inconnu", poursuit le
docteur, "elle n’irrita pas les yeux et on pouvait la fixer sans
incommodation".
17
SEPTEMBRE 1968 – LAAYOUNE - SUD MAROC
Le 17
Septembre 1968, une sphère de vol plané au-dessus des pistes de l'aérodrome
militaire à El Aaiun, ce qui provoque les autorités à allumer les lumières, il
devrait s'avérer un aéronef en détresse.
Source :
ANGEL CARRETERO OLMEDO http://andaluciamisteriosa.es.tl/Avistamientos-en-el-Sahara-Espa%F1ol.htm
29
NOVEMBRE 1968 – CEUTA
A minuit, le 29 Novembre 1968, plusieurs
habitants de Ceuta ont été témoins du vol d'un objet en forme de ballon de
rugby. Il pse présentait comme une lumière qui clignotait des couleurs rouge et
bleu. L'objet a disparu après quelques minutes après s’être déplacé rapidement vers
le désert Albadé García.
Source : Olmedo Andalousie Misteriosa Angel Carretero - S. Corrales
NUIT DU
30- 11- 1968 AU 1- 12 – 1968 RABAT
Entre
Rabat et El-Harhoura ( Phénomènes Spatiaux N°20 juin 1969)
Voir dans le rapport de l’observation du 8 décembre 2012, ci-dessous
issu de LDLN qui place cette observation à la date du 8 décembre 2012. Il
semble que l’article du GEPA soit la bonne référence car on trouve cette
information dans la presse en date du 8 décembre 2012, d’où certainement la
confusion..
8 DECEMBRE 1968 - RABAT
Par M.
DUTUIT dans LDLN contact lecteur N° 99bis de mai 1969 - Rabat
une soucoupe volante se pose.
Le dimanche 8 décembre 1968, à 3 h 30 du matin, M. et Mme
Caviglioli viennent de quitter Rabat en voiture en direction de Casablanca,
leur résidence.
II y a peu de circulation à cette heure, la route est libre,
la voiture fonce dans la nuit ; le ciel est noir, teinté de rouge. Ils arrivent
à l'entrée de Rabat, 3 km avant l'embranchement d'Harhoura.
A côté de son mari, Mme Caviglioli lui dit soudain : «
...Regarde la lune, elle est bizarre ce soir... elle est toute rouge ! »
« ...Luna rossa... la, la, la... », fredonne !e conducteur.
« ...Mais, regarde!_ elle tourne... elle va tomber... »
Et, en effet, derrière les arbres, cette espèce de lune rouge
descend du ciel. Elle va plus vite que la voiture, beaucoup plus vite, et
paraît tourner sur el!e-même...
Elle s'approche du sol et soudain s'arrête, et c'est fait, la
« chose » vient de se poser en peu en avant de la voiture, à 800
mètres de nos témoins,
Le conducteur ne plaisante plus, ne chantonne plus, il a
stoppé la voiture pour mieux observer.
« Un spectacle impressionnant », dira-t-il plus tard.
« Je frissonne quand j'y pense », ajoute Mme Caviglioli.
L'objet rougeoyant et étincelant qui fonçait dans le ciel,
dans un tournoiement vertical, éclaira sa descente de faisceaux lumineux
multicolores dirigés perpendiculairement au sol. II est là maintenant, posé ou
presque au-dessus d'un champ bordant la route.
II apparaît un moment sous la forme d'un « cigare » auréolé
de lumière rouge : comme deux assiettes renversées, dira M. Caviglioli à notre
correspondant, M. Dutuit.
Quelques minutes s'écoulent, et au centre du « cigare »
s'éclaire un rectangle d'un blanc brillant non aveuglant, des projections lumineuses
partent du dessous de l'engin, éclairant le terrain au-dessous. II est rare,
nous semble-t-il, de trouver dans nos récits d'observation, une description
aussi complète d'un atterrissage d'engin ; on les voit partir le plus souvent
De leur voiture, à 800 m de là, tous phares éteints, nos
deux témoins observent ce qu'il va se passer.
« Pas de doute, c'est une soucoupe », dit le mari. «
...Partons, j'ai peur », répond Mme Caviglioli. Au même moment, la « chose » se
soulève, vient vers eux, oscillant légèrement « comme sur des coussins d'air,
au ras du sol ». Elle progresse, Mme Caviglioli s'affole : « ...Partcns vite,
on ne sait pas ce qu'il va se passer, ce qu'ils vont faire... »
Mais, voici que l'engin opère une marche arrière, et au même
instant la voiture reprend sa route...
« Je serais bien resté sur place, dit M. Caviglioli, mais ma
femme avait très peur ».
Plus loin, la curiosité fut plus forte que la peur. Ils
arrêtent leur voiture et M. Caviglioli tente de s'approcher du lieu de
l'atterrissage, en contournant une élévation de terrain.
L'engin avait disparu, il ne reste plus, à son emplacement,
qu'une lueur rouge braise, comparable à la réverbération d'une ville pendant la
nuit.
M. Caviglioli est architecte et c'est un homme très sérieux.
II est retourné plusieurs fois, mais en vain, sur le lieu de ''atterrissage
pour recueillir des indices.
C'est M. Dutuit, notre correspondant à Casablanca, qui a
recueilli, auprès de M. et Mme Caviglioli, quelques renseignements
complémentaires sur cette observation qui a été publiée par <. La Vigie
Marocaine » (l'ouverture était blanche et non orange).
Le dessin composé par M. Caviglioli est extrait du journal.
Nous espérons quelques détails complémentaires en liaison
avec les failles (à l'heure où nous écrivons, un séisme assez violent vient
d'avoir lieu), ils ne nous sont pas parvenus. Nous pensons que tel quel, ce
récit présente beaucoup d'intérêt.
N.D.L.R. - De Nice, en
dernière minute, M. Watrin nous adresse un plan et croquis de la ville et de la
région. Nous sommes en mesure de préciser que l'atterrissage a eu lieu sur
faille géologique.
L’OBSERVATION EST ICI PLACEE A UNE DATE DIFFERENCE (Bulletin
du GEPA)
NUIT DU
30- 11- 1968 AU 1- 12 – 1968 RABAT
Entre
Rabat et El-Harhoura ( Phénomènes Spatiaux N°20 juin 1969)
Non loin de Rabat, et sur la côte
occidentale du Maroc, M. et Mme Caviglioli furent, dans la nuit du 30.11 au
1.12.1968, les témoins d'une étrange apparition. Cet incident donna lieu à un
article dans « La Vigie Marocaine » du 8.12.68 et fit l'objet d'une brève mention
dans « Paris-Jour » du 10.12.68, mention que J.-L. Becquereau eut
l'obligeance de nous faire parvenir.
Nous aurions pu en rester là - tant
d'observations nous parviennent dont il ne nous est pas possible de faire état
! - si nous n'avions reçu d'un de nos membres résidant au Maroc, M. D., une
lettre datée du 13.12.68 dans laquelle il nous faisait part de son intention
de mener sur ce cas une enquête approfondie.
Quelque temps après, il nous adressa
un compte rendu provisoire qui fut suivi de ce qu'il considéra comme le rapport
définitif.
L'observation elle-même est des plus
intéressantes mais la qualité de l'enquête menée par Mr. D. ajoute encore à cet
intérêt.
Nous avons eu le plaisir de
rencontrer à Paris Mr. D. et il nous a inspiré la plus entière confiance. Le
fait que nous pensions plus prudent de lui conserver, pour des raisons d'ordre
professionnel, un certain anonymat, ne doit lui retirer aux yeux de nos
lecteurs aucun crédit.
Comme il nous l'a lui-même suggéré, nous
dirons ici que notre correspondant appartient à un service scientifique de
recherche où il se consacre à des études visant un tout autre sujet que celui
qui nous préoccupe.
Il y a un peu plus d'un an,
mésestimant - à son jugement actuel - la masse, la cohérence, la signification
des témoignages sur le phénomène OVNI, et pensant que, de ce fait, ledit
phénomène n'était pas encore mûr pour l'étude, il était enclin à le considérer
avec scepticisme.
C'est un témoignage du type IV A de
Jacques l'allée (1), rapporté par un des ouvriers travaillant sous sa
direction, qui déclencha chez lui, sur la base de réflexions personnelles, la
prise de conscience de la réalité possible des OVNIs, une prise de conscience
qui fut accélérée par son étude ultérieure des travaux concernant ces objets.
L'ouvrier en question était un paysan berbère illettré, n'ayant subi, dans ce
domaine aucune influence psychosociale et dont le témoignage fut ensuite
corroboré par celui d'autres paysans berbères habitant dans la même région.
L'enquête qu'on va lire est la
première faite en cette matière par ce chercheur.
Conditions de l'enquête
L'enquête a été menée comme il suit
:
- Une relation générale de l'observation
a été faite par M. Caviglioli. Des précisions étaient demandées au témoin au
cours du récit, La sincérité, l'esprit critique et la mémoire du témoin étaient
testés chaque fois que possible.
M. Caviglioli, qui est architecte,
accompagnait son récit de nombreux dessins.
- M. Caviglioli me conduisit le lendemain
sur les lieux de son observation. Son épouse était présente et tous deux
effectuèrent au cours du trajet, parcouru lentement, une sorte de
reconstitution qui me permit de noter quelques différences entre ce qu'avait
perçu M. Caviglioli et ce qu'avait perçu son épouse. Ces différences, minimes
d'ailleurs, dans les témoignages seront notées dans le compte rendu d'enquête.
- Un questionnaire préalablement établi
d'après l'ouvrage des Vallée (.1. et l. Vallée), « Les phénomènes insolites de
l'espace », La Table Ronde, Paris 1966) a été soumis à M. Caviglioli, après
qu'il eut fait son exposé général, dans le but de lui faire approfondir
plusieurs aspects de son témoignage et de ne rien oublier qui soit essentiel.
- L'enquêteur est ensuite retourné
seul sur le terrain.
Ce travail a été effectué les 15, 16
et 17 janvier 1969, donc un mois et demi après l'événement. L'objet a été vu
par les témoins du bord de la route par une nuit très noire. Des pluies
torrentielles ont sévi à plusieurs reprises entre l'observation et l'enquête.
Par conséquent, bien que les témoins connaissent parfaitement la route de
Casabianca à Rabat, une certaine imprécision règne en ce qui concerne la
connaissance du lieu d'atterrissage et le couloir de déplacement de l'«
objet » au sol, qui ne peuvent être donnés qu'à 300 m près. Une visite des lieux ne nous
a rien montré de particulier. De toute façon, dans ce cas, étant donné le
délai après lequel a été effectuée l'enquête, et les autres circonstances
dont il a été question plus haut, les erreurs qui pourraient naître d'un examen
trop imaginatif du terrain sont trop aisées à commettre pour que l'on se risque
à cet examen.
Généralités
L'avis de l'enquêteur ayant, dans les enquêtes concernant les
Objets Volants Non Identifiés, une certaine importance, je dirai que les
témoignages ont été précis, surtout celui de M Caviglioli, et que leur
honnêteté ne semble pas devoir être mise en cause. Sur le plan professionnel,
M. Caviglioli avait probablement plus à perdre qu'à gagner en laissant publier le
récit de ce qu'il avait vu. Peut-être faut-il signaler que, rentrés à leur
domicile à Casablanca à 6 heures du matin, les témoins ne dormirent que
quelques heures et repartirent immédiatement vers Rabat pour voir si la configuration
du terrain, les points de repère qu'ils avaient pris, correspondaient bien à la
réalité. Ils étaient à tel point ébranlés par leur nuit, qu'ils ne répondirent
même pas à des amis qui leur faisaient signe d'arrêter sur leur route.
La remarque que je ferai maintenant est assez formelle car,
comme le souligne Vallée dans l'ouvrage déjà cité, la cohérence ou
l'incohérence de l’ensemble des phénomènes de cette catégorie ne peuvent
apparaître que lors d'une étude globale faisant intervenir des méthodes perfectionnées
de traitement de l'information. Cette remarque concernant la présente enquête
est la suivante : Dans la mesure où l'enquêteur croit M. et Mme Caviglioli
sincères et honnêtes, l'observation de type I (cf. Vallée, même référence)
qu'ils ont décrite ne peut être réduite dans son intégralité à un phénomène
naturel actuellement connu. Toujours si l'on admet la sincérité et l'honnêteté
des témoins, la complexité de structure et de comportement du phénomène décrit
(Phase V) ne peuvent s'expliquer que par une hallucination très complexe des
témoins, ou bien alors par une structure intelligente du phénomène décrit.
Météorologie : Observation faite de nuit, le ciel étant très noir
(couverture nuageuse complète), sans pluie ni vent ni brouillard. Ces
indications viennent des témoins et n'ont pas été vérifiées.
Réseau routier : Dans le territoire intéressé par l'observation, existent
trois routes allant de Rabat à Casablanca, parallèlement à la côte,
c'est-à-dire selon une orientation Nord-Est/Sud-Ouest.
- La plus côtière est la route secondaire 222
- Un peu plus à l'intérieur du pays est la route principale
36.
- La troisième route est la principale N 1.
La trajectoire de l'objet se situerait d'après les
indications des témoins entre la R.S. 222 et la R.P. 36, ou carrément au-dessus
de l'océan.
Les évolutions de l'objet au sol se situent entre la R.S.
222 et ]a R.P. 36, environ 800 m avant la bretelle de raccordement
de ces deux routes au niveau de El-Harhoura (cf, carte Michelin).
la route la plus fréquentée est la R.P. 36, qu'ont suivie les
témoins. Mais, même sur cette route, la circulation est très faible la nuit.
Cartes disponibles et Géologie
- Carte Michelin n 169 du Maroc au millionième avec
agrandissement de la région Rabat-Casablanca au six-cent-millième.
- Carte I.G.N. « Temara » au cinq-cent-millième.
Feuille n NI-29-X1I-3c de 1927 révisée en 1935-1936. C 'est un fond topographique qui ne
reflète plus l'infrastructure du pays. La R.P. 36 n'y figure pas.

La géologie
du territoire consiste en une couverture de sédiments quaternaires d'origine
littorale et sans tectonique superficielle. Ces sédiments sont cartographiés
qMD : Quaternaire marin et dunaire consolidé. Trois lignes de dunes
consolidées longent ainsi la côte et, portant pâturages et cultures, déterminent
de petits plateaux de 40 m d'altitude environ.
L'OBSERVATION
Il s'agit, selon la classification de Vallée, d'une
observation de type I faisant suite à une observation de type IV. Elle eut
lieu dans la nuit du 30 novembre au 1er décembre 1968, sur un segment de
route de 6 km environ, à la sortie de Rabat.
Débutant à 3 h 50 du matin, elle dura 45 minutes.
Dans la succession des faits décrits par les témoins, nous
distinguerons six phases, les trois premières se rapportant à une observation
du type IV et les trois dernières, à une observation du type I.
Phase 1

La D.S. arrive au cabanon de la Sécurité routière. Le
caractère d'étrangeté de la boule n'avait pas encore dû apparaître à M.
Caviglioli puisqu'il me dit au cours de la reconstitution : « Je prends tantôt
l'une, tantôt l'autre de ces routes ; ce soir-là, j'ai pris la grande route»
(la R.P. 36). II m'a alors semblé que la motivation consciente de son choix
n'avait pas été l'objet insolite.
Description de l'objet (vu au cours de cette première phase)
« Cela donnait
l'apparence de tourner sur soi-même comme une roue, dans le sens inverse des
aiguilles d'une montre " précisera M. Caviglioli. A ma demande, il affirme
que ce mouvement se faisait sans libration, et qu'il ne s'agissait pas d'un
déplacement global de l'objet autour d'un point extérieur au centre du disque
visible avec une translation linéaire surajoutée. Il m'est confirmé que sur sa
trajectoire linéaire le disque était affecté, ou semblait affecté, d'un mouvement
circulaire net, régulier, dont le centre était celui du disque (cf. Fig 1).
Phase 2
Toujours très vite, après le virage en montée, la voiture
aborde le deuxième virage en descente, et en sens inverse du premier. La
première courbe escalade le deuxième cordon de dunes consolidées, et le
deuxième virage en descente, rapprochant la route de la côte, l'amène dans la
dépression entre le premier et le deuxième cordon de dunes (voir le panorama).
Lorsque la voiture s'engagea dans la petite dépression
existant entre les deux lignes de collines, l'objet se trouva un court instant
dissimulé derrière le cordon de dunes le plus côtier. I1 se confirme donc que
l'objet était en descente et l'enquêteur suppose que l'objet volait plutôt
au-dessus de l'océan, non loin de la côte, qu'au-dessus du littoral. C'est ce
que semble indiquer la comparaison entre la grandeur apparente donnée par les
témoins à l'objet pendant cette phase de l'observation et la dimension qu'ils
lui attribuèrent plus tard lorsqu'ils le virent au sol (l5 m).
Phase 3
Les témoins avaient roulé sur trois kilomètres à partir de
l'embranchement des R.P. 1 et R.P. 36. 1e cordon côtier de dunes est à cet
endroit très bas et ils revoient l'objet qui passe instantanément de l'aspect
discoïde à l'aspect lenticulaire comme si le disque d'abord vertical avait
basculé de 90° pour se mettre horizontal.
Phase 4
Les événements prennent ensuite un tout autre cours.
Phase 5
Une « fenêtre » de lumière blanche comparable, dira M.
Caviglioli à celle de phares à iode, mais n'éclairant pas le paysage, «
s'ouvre » entre les deux moitiés
inférieure et supérieure de l'objet dont la forme apparait alors nettement, Les
témoins sont d'accord pour dire que la meilleure reprèsentation à donner de
l'objet à ce moment est celle de deux assiettes dont les cavités se font face,
ces deux assiette-, étant séparées par un intervalle.
C'est cet intervalle qui présentait la luminescence d'une
lampe à iode, tandis que les «Coques» inférieure et supérieure paraissaient
maintenant plutôt grises que rouges, par contraste peut-être avec l'éclat de
la « Fenêtre » médiane. Monsieur Caviglioli dit qu'il pense que cette « fenêtre
» faisait le tour de l'objet discoïde et il emploiera l'image suivante :
« Comme un tour de papier adhésif sur l'anneau séparant les deux assiettes ».
Il insistera sur le fait que l'objet était nettement symétrique. Des «
phares » blancs à pinceaux très
peu ouverts sont allumés sur le pourtour de la coque inférieure et éclairent
obliquement le sol. Cela n'avait pas l'allure de tigelles lumineuses mais bien
de phares à faisceaux peu divergents. Sur le pourtour du disque, la «fenêtre »
lumineuse était en léger retrait par rapport aux bords des deux coques
inférieure et supérieure.
Dès que sa partie médiane s'est éclairée, l'objet s'est
lentement mis en route en direction des témoins qui se trouvaient toujours sur
le bas-côté de la route. Il s'avançait de façon très douce « comme sur un
coussin d'air », en allant, un peu, de droite et de gauche. M. Caviglioli
apprécie sa vitesse à ce moment à 20 km/h environ. L'objet s'est arrêté à 150 m d'eux au plus et l'architecte dit
avoir pu l'examiner aussi aisément qu'un prototype d'automobile à la même
distance. Selon lui, le diamètre du disque était de 15 m et son épaisseur au centre
d'environ 3 m .
Lorsque l'objet se fut stabilisé à 100 150
m d'eux M. Cavigilioli dit à son épouse : « J’y vais ! ».
Celle-ci se récria, demandant à partir immédiatement et expliquant qu'elle
avait entendu parler d'enlèvements perpétrés par des choses semblables ou lu
des récits à ce sujet.
L'objet alors, recula de la même façon qu'il s'était
approché, et jusqu'au point d'où il était parti, approximativement.
Je demande aux témoins quels étaient leurs états d'âme au
moment de l'approche vers eux de l'objet qu'ils décrivent, s'ils avaient eu
peur, Leurs réponses sont très différentes. M. Caviglioli dit qu'il n'avait pas
eu peur. Il avait été émerveillé par la beauté de « l'objet» et de sa
marche, il en avait ressenti une joie intérieure et avait éprouvé un désir ardent
d'aller vers l'objet. Pour avoir par la suite discuté avec lui de sujets beaucoup
plus généraux et plus «terrestres» que les soucoupes volantes, je crois volontiers
que la peur, si elle a existé en lui à ce moment, est passée inaperçue et que
c'est la curiosité et d'autres conditionnements qui ont pris le dessus. Mme
Caviglioli quant à elle, dit avoir eu peur. Elle avait confié à son mari que,
plutôt que d'avoir ressenti une réelle frayeur, elle s'était cru « reportée aux
premiers âges de l'humanité, lorsque l'homme voyait des divinités partout et
s'effrayait de choses qui nous paraissent aujourd'hui naturelles ». Je ne cite
pas fidèlement ses paroles mais je ne dénature pas leur sens.
Phase 6
L'objet disparut ensuite sur place d'une façon inexpliquée
par les témoins. I1 est resté à son emplacement une rémanence lumineuse en
colonne telle que nous l'avons décrite pour la phase IV. M. Caviglioli a tenté
d'arrêter deux camions qui vinrent à passer sans que les chauffeurs ne le
voient ou ne veuillent s'arrêter. Cette colonne lumineuse devait persister
vingt minutes au dire de M. Caviglioli. Elle ne faisait encore que commencer à
se dissiper lorsqu'ils partirent vers Casablanca.
L'objet disparu, et voyant à sa place la colonne, ils se
demandèrent si l'objet était vraiment parti ou s'il était dissimulé à leur vue
parce qu'il avait reculé en direction de la mer, de l'autre côté de la
colline. Afin de le savoir, ils remontèrent en toute hâte dans leur véhicule
et, roulant aussi vite que possible, prirent la bretelle de raccordement de la
R.P. 36 avec la R.S. 222 puis, une fois sur cette dernière, à E1-Harhoura,
s'engagèrent sur une centaine de mètres en direction de Rabat. La colonne demeurant
visible pendant tout ce trajet, mais non l'objet, M. Cavigliolï arrêta sa
voiture et décida de quitter la route a pied et de marcher jusqu'à la colonne
lumineuse. Son épouse s'y opposa de nouveau vigoureusement, et ils rejoignirent
!a R.P. 36 sur laquelle ils s'engagèrent en direction de Casablanca.
Comme nous l'avons dit, la rémanence lumineuse se dissipait à
peine.
Précisions complémentaires
On trouvera ci-après quelques précisions qui n'avaient pas
trouvé place dans la relation précédente :
L'ancienne dune qui longe le littoral entre la R.P. 36 et la
R.S. 222 ne porte pratiquement, tout du long à ma con-naissance, aucune
habitation, tout au moins jusqu'à la bretelle de raccordement des deux routes
citées. Il n'y a sur ce petit plateau que des pâturages et des cultures. De
jour, il y a toujours un ou deux troupeaux de vaches. Les habitations les plus
proches sont relativement éloignées, et de l'autre côté de la R. P. 36 vers l'intérieur. Il faut faire
exception du village balnéaire d’El-Harhoura, qui devait être l'agglomération
la plus proche du lieu d'atterrissage. Encore faut-il remarquer qu'à cette
époque ce genre de village balnéaire est assez déserté.
M. et Mme Caviglioli ont informé la Gendarmerie Royale de ce
qu’ils avaient vu. La Gendarmerie n'y a pas prêté d'attention.
- M. Caviglioli voit très bien de loin. Il est un peu
presbyte. Mme Caviglioli n'a pas été interrogée sur son acuité visuelle.
- M. et Mme Caviglioli revenaient cette nuit du domicile
d'amis chez lesquels ils avaient passé la soirée et la première partie de la
nuit. M. Caviglioli , qui souffre de l'estomac ne boit pas d'alcool, son épouse
ne supporte pas d'alcool et en boit très peu.
- C'est la première fois que ces témoins ont vu ce genre de
phénomène Un ami de M. Caviglioli, pilote de ligne. avait vu un objet semblable
au sol, plaine de Ben Guérir (70 km au nord de ,Marrakech).
- il n'a pas été souligné dans le récit de l'observation que
strictement aucun bruit n'a été entendu tout au long des évolutions de l'objet
que ce soit en l'air ou au sol.
-- Il n'a été procédé à aucune recherche concernant le
magnétisme ou la radio-activité de quoi que ce soit.
Nous remercions très vivement Mr. D de l'enquête si
minutieuse à laquelle il s'est livré et dont il a bien voulu nous faire part.
Ce témoignage, émanant d'observateurs dignes de foi et
recueilli par un enquêteur dont le souci d'objectivité est évident, acquiert
une très grande valeur par le fait qu'il porte sur le quasi atterrissage d'un
objet insolite qui, au cours de la cinquième phase de l'observation, a été vu à courte distance.
On notera qu'au cours de la phase 1 M . Caviglioli attribue à l'objet, vu
« de champ » dans le ciel, un mouvement de rotation « net et régulier ».
Au cours de la phase 4. l 'objet apparaît « cerné pur une gaine de lumière d'un
rouge étincelant », ce qui fait penser une fois de plus, à un phénomène d
'ionisation.
Lors de 1a phase 5, des « phares » s'allument sur le pourtour
de la coque inférieure de l'objet, éclairant obliquement la sol. Il nous est
dit dans 1e compte rendu que les pinceaux de ces « phares » n'avaient pas «
l'allure de tigelles lumineuses mais bien de phares à pinceaux peu
divergents » . Apparemment, donc, il n'y avait là ni phénomène de «
tigelles » ni emploi de sources de lumière cohérentes (lasers) - à l'encontre
de ce qui semble bien s'être passé dans le cas de Monte Maiz (Bulletin du
G.E.P.A. N 6. trimestre 1964, p. 23).
Le silence qui règne au cours des mouvements puis du
stationnement à une faible distance du sol, de cet objet insolite déjà de
grande taille (15 m de diamètre environ), possédant
une structure bien définie et symétrique ainsi que des sources de lumière
distinctes dont l'allumage paraît bien commandé, ce silence, disons-nous,
écarte d'emblée tout mode de sustentation classique. Aucun avion ou hélicoptère
n'aurait pu évoluer ni se maintenir si proche du sol et des témoins dans un
pareil silence. On n'imagine pas non plus un ballon ou même un dirigea-ble se
livrant à ce genre de manoeuvres. D'autre part, la structure précise de l'objet
sa « fenêtre » équatoriale et l'existence de faisceaux de lumière distincts,
tout cela exclut absolument qu'il ait pu s'agir d'un des plasmoïdes chers à
Philip Klass.
L'inexplicable disparition de l'objet, ne laissant subsister
qu'une « rémanence lumineuse » tenace -- et qui pourrait bien être, cette fois,
un authentique plasma – a déconcerté les témoins. De ce point de vue,
l'observation décrite paraît bien s'ajouter à la liste de toutes celles au
cours desquelles les objets semblent s'évanouir sur place, comme s'ils
s'échappaient dans quelque dimension insaisissable à nos sens ou comme s'ils
n'avaient été que 1a « projection » tridimensionnelle dans notre espace, et à
des fins inconnues, d'objets dont la réalité matérielle se serait située
ailleurs.
Il est remarquable que, là encore, et en conformité avec la
loi statistique formulée par Jacques Vallée (« Flying Saucer Review », 5-6-68,
page 11), cette manifestation insolite est survenue dans une zone qui, comme le
note l'enquêteur, était, à l’époque de l’année, déserte.
Le remarquable effort de M. D. pour préciser les conditions
géographiques et géologiques ainsi que le déroulement de cette observation
mérite tous nos compliments.
Source Lumières dans la nuit. Phénomènes Spatiaux du
GEPA.
Référence Ufocat : 49224 – 54867 – 62580 – 75755
1969 – SAFI
Il s’agit d’une
photographie d’un ovni prise par Abraham El Douradi.
Time: 15,10
Location: Safi
Photographer: Abrahim El Douradi
References: Photograph Catalogue by
Bernard Delair
Information de Juan
Ballester Olmos, document figurant dans le catalogue FOTOCAT
14 NOVEMBRE 1969
BENZU MAROC ?
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62666
|
VALLEE JACQUES
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6JV3
|
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1969
|
1114
|
2145
|
BENZU
|
AF
|
MAR
|
|
GIL
|
E
|
CE2
|
6T
|
|
|
5'23
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35'54
|
62666
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64550
|
PHILLIPS TED
|
6TPS
|
421T
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1969
|
1114
|
2145
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BENZU, F =
|
AF
|
MAR
|
1
|
|
E
|
CE2
|
6T
|
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NOVEMBRE 1969 - CEUTA
À la fin du mois de Novembre 1969, Francisco
Gil et Cristina se promenaient dans les rues de Ceuta quant ils ont vu un objet
dont la dimenssion apparente était de 50-60 centimètres . Ils étaient composés de deux cercles concentriques
à partir desquels une lumière intense oscillante. La lumière de la couronne
externe était plus faible. L'objet est descendu sur le sommet d'une colline,
dissimulé par des arbres, en émettant
des flashes d’une lumière vive.
Le couple, après avoir atteint
Punta Bermeja, a trouvé un second objet, quelque 3 mètres de
diamètre avec un éclairage moins intense. Il a
disparu rapidement au bout de 10 minutes, après être resté immobile.
Les membres du groupe CEONIX ont
appri au cours de l’enquête ultérieures qu’on avait retrouvé deux rainures dans
le sol et d'autres traces inconnues.
Source : Olmedo Andalousie Misteriosa Angel Carretero - S.
Corrales
MAROC
ENVIRON 1970
C'était au Maroc, plus particulièrement à
Mekhnès. Les spectateurs d'un film western dont je faisais partie sortaient du
cinéma A.B.C.
Je prends ma moto au parking face à l'ABC
et là je lève la tête en enlevant l'anti-vol, un engin de forme triangulaire
passe à grande vitesse sur l'avenue. Cela a été vu par des centaines de
témoins, l'année vers les 1970 + ou-, le plus surprenant: pas de bruit et au
ras des toits, vélocité extrême.
Pierre (Orange) – France _ Source Site du
GREPI
SUITE EN PAGE 5
DE L'HISTOIRE DES OVNIS AU MAROC
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