A la fin des années 90, probablement
vers le mois d’octobre 1999, un ouvrier rendant visite à sa famille observe un
objet dans le ciel, au loin. L’objet arrive de la vallée de l’oued N’Fis,
plonge dans le lac formé par le barrage « Lalla Takerkoust » et
ressort de l’eau environ 2 Kms plus
loin. Il s’élève alors à grande vitesse
vers l’espace.
La vallée du mausolé de « Lalla Takerkoust » était sacrée, les croyances et légendes y étaient nombreuses. Pourtant, le progrès a sacrifié sans remord, ce lieu religieux, prisé par les berbères de la région. Le mausolé fut reconstruit non loin du barrage, dans le nouveau village de Lalla Takerkoust. Un second village, fut également construit pour loger les nombreux habitants de la vallée : Agargoure. Il se situe à coté du barrage.
(Notre photo : le barrage Lalla Takerkoust)
Le
barrage a été construit de 1929 à 1935 dans le but de produire de
l’électricité, alimenter en eau potable la région et irriguer la grande plaine
du Haouz. Il produit environ 13 millions de kWh et irrigue aujourd’hui près de 10 000
hectares .
Toutefois, l’envasement du lac réduit ses capacités et il fut décidé entre 1977
et 1982 de le surélever de 9 m , portant ainsi sa hauteur finale à 71 m . Long de 357 m , il a été nécessaire d’utiliser pour sa construction
plus de 150 000 m3 de béton et le volume utile du réservoir est de quelque 78 000 000
m3 . Le lac formé par le barrage est long de 7
kms. Le lac est longé sur sa droite, par une route qui se prolonge jusqu’à la
moitié environ de sa longueur. (Jusqu’au « Chalet du Lac » un
restaurant fréquenté par la bourgeoisie de Marrakech et par de nombreux
visiteurs et touristes. Ensuite, c’est une piste longée parfois de mûrs en
pisé, que l’on peut emprunter avec des véhicules adaptés. Elle se prolonge
jusqu’à la fin du lac, se poursuit dans la vallée du N’Fis vers des villages
perdus dans la campagne. On peut, en la suivant, déboucher près d’Amizmiz.
(Notre photo : une vue du Lac formé par
le barrage Lalla Takerkoust appelé à l’origine « barrage Cavignac ».)
UNE OBSERVATION SIGNALLEE AU GROUPE
OVNI MAROC A MARRAKECH
C’est
dans ce décor féérique qu’un témoin a observé lors d’une soirée d’automne 1999,
un phénomène insolite, qu’à ce jour, on n’a pas encore été en mesure
d’expliquer.
C’est à la suite de rapports d’observation publiés
par le groupe OVNI Maroc International
de Marrakech sur divers forums, blogs et sites sur Internet au Maroc que
Mohamed M, nous contacta. Mohamed M travail dans l’immobilier, il réside dans
la Palmeraie de Marrakech et il y a plusieurs années il a entendu de la bouche
même du témoin, la description d’une observation d’un phénomène qu’il n’a pu
identifier. Il a toujours en mémoire cette observation, cela l’intrigue et en
mai 2012 il décide de nous contacter par téléphone. Cultivé, à la pointe de
l’information et de tout ce qui se passe dans le monde, il nous raconte la
scène : une personne qu’il connaît bien,
Youssef G., lui a raconté il y a quelques années qu’il avait observé un
objet qui a plongé dans le lac Lalla Takerkoust et en est ressorti plus loin,
s’élevant alors à la verticale à une vitesse rapide pour disparaître dans le
ciel.
(Notre photo : une vue du Lac formé par
le barrage Lalla Takerkoust appelé à l’origine « barrage Cavignac.)
Le
cas est intéressant, même s’il n’est pas récent et il mérite une enquête
approfondie afin d’en relever un maximum de paramètres. Les objets plongeant
dans la mer, dans des lacs sont des cas que l’on a souvent rencontrés. Nous convenons d’une entrevue à notre
domicile à Marrakech, avec Mohamed M. qui nous explique ce qu’il sait de cette
affaire. Cela semble digne de foi, même si les informations sont anciennes,
susceptibles de s’être modifiées avec le temps. Les bases fondamentales sont
là. Le témoin présente toutes les caractéristiques d’une personne qui n’invente
pas une histoire, mais qui a seulement observé un phénomène rare. Il ne cherche
pas la publicité et raconte d’ailleurs avec peu de conviction ce qu’il a vu,
comme si cela n’avait aucune importance. Nous convenons avec Mohamed M de
rencontrer le témoin afin qu’il nous donne plus de détails sur ce qu’il a
observé. Le rendez-vous n’a pas été immédiat, c’est seulement au mois de septembre 2012 que la rencontre a
lieu, à Marrakech, dans un petit café.
Détails de l’objet : 1) lors de
l’apparition 2) lorsqu’il est sortie de
l’eau
UNE OBSERVATION EN DEUX PARTIES
Youssef
G. est originaire d’un petit village situé à environ une dizaine de kilomètres
du lac, dans la vallée de l’oued N’Fis.
Il a une cinquantaine d’année et il a quitté très jeune la campagne pour
tenter de gagner sa vie sur Marrakech, ville située à environ 40 Kms de son
village. Il bricole, tantôt peintre en bâtiment, électricien ou encore maçon,
il a son petit réseau de clients qui font appel à lui pour toutes les tâches
qui entrent dans ces domaines. Il habite dans la médina de Marrakech et survit
car ici, ce travail n’est guère payé, la population est en générale pauvre,
avec toutefois depuis une vingtaine d’années l’arrivée d’européens qui ont
remis en état de nombreux ryads dans la médina, les transformant en véritables
palais. Il parvient alors à faire de « bonnes affaires » comme il
dit, avec ce nouveau type de clients souvent fortunés qui aujourd’hui l’emploi
occasionnellement pour des travaux relevant d’un savoir faire unique dans le
domaine de la réhabilitation de ce patrimoine exceptionnel. Le phénomène OVNI,
il ne le connaît pas car il ne sait pas lire ni écrire et sa principale
préoccupation est d’avoir un minimum d’argent pour manger.
(Notre photo : dans la médina de
Marrakech, de nombreux ryads sont réhabilités par des européens…)
(Notre photo : Après la route goudronnée,
une piste difficile, parfois bordée de murs en pisé)
(Notre photo : une vue du lac et de
l’Atlas en arrière plan)
Il
contemple alors ce spectacle insolite sans pouvoir déterminer s’il a à faire à
un phénomène naturel ou à la présence d’un objet manufacturé. Il pense toutefois
que c’est quelque chose de solide et il l’a alors observé durant au moins 5
secondes à partir du moment ou il l’a vu et le moment ou l’objet a pénétré dans
le lac. L’hypothèse d’un bolide, d’une météorite ne résoud pas cette vision,
l’objet se déplaçait trop lentement et surtout sa trajectoire était horizontale
tout en perdant de l’altitude provenant non pas de l’espace, mais de la vallée,
sans traînée lumineuse ou matérielle sur l’arrière. L’hypothèse d’un petit
avion ne convient pas, cela n’en avait pas la forme et la chute d’un tel appareil aurait alors fait
la une de la presse. Il a seulement
observé un objet rond, aux bords lumineux. Rien de plus.
(Notre photo : vue sur un village en pisé
dans la vallée de l’oued N’Fis, quelques kilomètres après la sortie du lac.)
APRES AVOIR PLONGE DANS LE LAC, L’OBET
SORT DE L’EAU 2 KMS PLUS LOIN !
Mais
l’observation ne s’arrête pas là, car deux secondes plus tard, il voit ce qui
pour lui est le même objet ressortir de l’eau, s’élever à une grande vitesse
vers le ciel. L’objet disparaît rapidement à la verticale dans l’espace. La sortie de cet objet, qu’il situe aux
environs de la moitié du lac, voir un peu plus par rapport à sa position
d’observateur, se fait sans mouvement apparent de l’eau. L’objet s’élève très
rapidement à une vitesse constante, similaire à une étoile filante, il le voit
disparaître en une seconde ! La forme de l’objet est alors allongée,
arrondie aux extrémités qui est pointée vers le ciel pour sa partie supérieure,
toujours estimé à la grosseur du quart de la pleine lune. L’objet à un contour
bien défini, de couleur grise comme de l’aluminium qui a vieilli. Il ne brille
pas, malgré le soleil. Le ciel est d’un bleu pur, sans nuage et il fait très
chaud ce jour là.
Cette
seconde phase de l’observation ne trouve aucune explication et contribue à
renforcer l’intérêt de cette vision. On trouve dans les témoignages recueillis
sur les cinq continents fréquemment des observations d’objets plongeants dans
la mer, dans des lacs, ou encore des témoignages faisant état d’objets sortant
de l’eau, mais plus rarement des cas ou l’objet plonge dans l’eau pour en
ressortir plus loin. On peut estimer, compte tenu de la longueur du lac, à
Carte de la région avec l’itinéraire suivi
lors de notre enquête sur les lieux. (2)
environ
deux kilomètres la distance qu’il semble avoir parcourue sous l’eau. La couleur
de l’objet, au moment de l’apparition, jusqu’à sa disparition n’a pas variée
par rapport à ce qui est décri. Aucune modification ou transformation des
couleurs ou de sa luminosité, ces paramètres semblaient figés. La durée totale
de l’observation a été rapide, décomposée, on arrive à environ 8 secondes. Les
trajectoires étaient rectilignes, sans aucun « zig zag » dans les
deux phases de l’observation et lorsque l’objet est entré dans l’eau puis en
est ressorti, la trajectoire sous l’eau semblait elle aussi rectiligne.
Youssef
a observé ce phénomène dans un parfait silence, c’est la seule fois au cours de
sa vie qu’il est témoin d’une observation d’un objet qui se déplace dans
l’espace et qui est pour lui inconnu. L’objet à aucun moment n’a émis un bruit
quelconque lors de ses déplacements.
Compte tenu de l’éloignement, il ne peut pas dire si pénétrant dans
l’eau ou en sortant de l’eau, il y a eu émission de son ou que ces actions
aient provoqués du bruit. Pour Youssef, aucun remous sur l’eau, aucun bruit,
tout s’est déroulé sans que l’environnement ait été perturbé par les actions
diverses de l’objet dont il a suivi
l’évolution. Youssef à une bonne vue, ce qui est encore le cas au moment de
cette rencontre.
Sortie du Lac Lalla Takerkoust avec une vue
sur la vallée d’où provenait l’objet
ICI LES D’JINNS SONT LES MAITRES DES
LIEUX !
(Notre photo, le village de Lalla Takerkoust)
Une habitation en pisé, un mélange de terre et
paille, habitat traditionnel dans les secteurs
non desservis par des routes goudronnées.
Tous
nos remerciements à Mohamed pour n’avoir pas hésité à nous contacter afin de
nous faire connaître cette observation, à Youssef, de nous avoir reçu, expliqué
ce qu’il avait vu mais pour qui ce phénomène n’a guère d’importance et qui
inlassablement poursuit son travail contribuant ainsi largement à la mise en
valeur d’un patrimoine marocain exceptionnel.
Si vous
aussi, vous connaissez le témoin d’une observation d’ovni ou si vous en avez
été personnellement le témoin, n’hésitez pas à nous contacter afin de relater
ces faits, qui rejoindront « L’histoire des OVNIs au Maroc » un
ouvrage gratuit accessible sur le net : Notre émail : lebat1@aol.com
Gérard LEBAT
OVNI MAROC International
Paris - Marrakech
(1) source de l’information : http://profile.madeinmedina.com/fr/article-le-lac-lalla-takerkoust-fraicheur-au-creux-des-montagnes-2010.html
(2) Les cartes sont issues de Google Maps
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