jeudi 5 décembre 2013

DES BOULES ORANGES SURVOLENT HEBECOURT - OVNI ?


DES BOULES ORANGE SURVOLENT HÉBÉCOURT (27)


HÉBÉCOURT….ce nom de village était archi connu dans les années 60, et après…parce que le panneau d’indication de commune portant ce nom était donné en exemple dans les manuels d’apprentissage du « permis de conduire »…Pour ceux qui sont de mon âge, et qui s’en souviennent !
Hébécourt est légèrement prolongé par un lieudit nommé « La Vallée ». C’est là que réside notre témoin, homme affable avec son parler simple et direct, vivant dans une maisonnette sise au milieu des arbres.
Cet homme m’affirme ne jamais s’être intéressé au phénomène OVNI, de quelque manière que ce soit. Il est ami avec l’informaticien d’une grande surface locale, à Gisors, informaticien que je connais bien puisqu’il m’a proposé de recueillir le témoignage de sa maman, au-dessus de Gisors. (Voir mon DVD). Ce commercial m’a donc suggéré de prendre contact avec G., parce qu’il lui a confié avoir été témoin d’un passage de multiples boules orange, une nuit, à la fin mai ou début juin, le témoin n’a pas noté la date exacte. Mais, me précise le témoin, ce n’était pas la veille d’un week-end, en tout cas, par ce qu’il voulait aller à la gendarmerie dès le lendemain pour témoigner. Et puis finalement, il n’a pas osé…

En cette nuit de printemps 2013, notre homme a regardé une émission à la télévision, les plus intéressantes sont souvent programmées tard dans la nuit…Il s’apprête à se coucher. Il franchit la porte de sa pièce principale, et pénètre dans sa petite chambre. Comme chaque soir, avant de se préparer pour dormir, il regarde par la fenêtre de sa chambre, afin de « humer » encore la qualité de ce paysage immobile qui l’entoure : un jardin très arboré, à l’aspect naturel très préservé. Pas de vent. Un ciel noir sans lune. Dans la journée, il y avait eu beau temps. Il regarde donc…et il voit, surgi de l’azimut 275°, (avec les repères arborés, la mesure fut aisée), il voit donc surgir , venue de l’ouest, dans le prolongement de cet azimut, une boule orange d’une grosseur apparente comme un quart de lune, qui traverse tranquillement tout le ciel visible, en ligne droite donc, à une vitesse régulière, plus rapide que la vitesse apparente des avions de ligne qui circulent habituellement dans cet espace que notre témoin considère comme un couloir aérien. Quel étonnement ! Il n’a jamais vu un tel phénomène. Et le silence est complet. Il va vouloir s’en assurer vite fait en faisant quelques pas pour descendre les marches de son entrée, se placer juste devant sa maison dont la façade donne plein sud. Décidément, pas de bruit, de la part de cette chose d’un bel orange très lumineux, mais qui n’éclaire pas ni n’aveugle le regard, et qui disparaît dans le fouillis de la verdure des arbres qui saturent rapidement la vision possible d’un large ciel. Interloqué, notre témoin s’apprête à rentrer, quand une autre boule, se présentant exactement de la même façon, dans la même direction, et à la même vitesse de croisière, trace au-dessus de lui une trajectoire identique. Ces boules sont d’un orangé uni. Les bordures de ces boules sont nettes. Pas de nacelle, d’aspérités, de traînées….Rien que ces objets en circulation tranquille et muette presque au-dessus de G. Alors là, il se dit qu’il est en train de vivre quelque chose de plus en plus particulier, et il décide de rester devant sa porte. Il n’a pas à attendre longtemps. G. m’explique que deux bonnes douzaines de ces boules vont survoler la région, exactement de la même façon. Elles ne se suivront pas de manière équidistante cependant, certaines se montreront plus rapprochées que d’autres, parfois même, elles se présenteront presque ensemble. Mais toujours sans se rattraper, toujours selon la même trajectoire. Cette observation s’est déroulée entre 1heure et 2 heures du matin.

Et ce ballet silencieux va se prolonger sur un lapse de temps considérable : environ une heure.

Il n’y aura pas d’autre témoin.
                                                
G. n’a eu aucun rêve ou message prémonitoire, aucune « séquelle » psychologique identifiable.

Mais depuis, chaque soir, plus que jamais, à la nuit tombée, son regard scrute le ciel….

Ce compte rendu a été validé par le témoin ce 02/12/2O13.      

Une enquête de Gérard DEFORGE

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