Soucoupes volantes au-dessus des mines d'uranium du Congo belge
Source : https://ufoac.com/unidentified-flying-objects-over-morocco-and-french-west-africa-1952.html
Dans les archives de la
CIA se trouvait un article du journal viennois « Die Presse »
du 29 mars 1952, traduit de l'allemand.
Récemment, deux disques
incandescents ont été observés au-dessus de mines d'uranium situées dans
le sud du Congo belge (dans le district d’Élisabethville, à
l'est du fleuve Luapula, qui relie les lacs Meru et Bangweolo).
Ils ont glissé dans le ciel en décrivant de gracieuses courbes, changeant
d'inclinaison à plusieurs reprises. Vus d'en bas, ils ressemblaient à des
plaques, puis à des ovales, puis à de simples traits.
Soudain, les deux disques restèrent
immobiles puis s'envolèrent vers le nord-est en décrivant une étrange
trajectoire en zigzag. Ceux qui observaient depuis le sol entendirent un
sifflement et un bourdonnement sonores. Le spectacle dura entre 10 et 12 minutes.
Pierre, commandant du petit aérodrome
d’Élisabethville, décolla immédiatement en chasseur pour intercepter
l'appareil. Lors de la première approche, il vola à environ 120 mètres de l'un
des disques. Selon le pilote, cette « plaque » en forme de
disque mesurait entre 12 et 15 mètres de diamètre.
La partie intérieure demeurait
parfaitement immobile, laissant apparaître une protubérance centrale et
plusieurs petits orifices. Le pourtour extérieur, entièrement enveloppé de
flammes, devait tourner à une vitesse prodigieuse. La couleur de son métal était
semblable à celle de l'aluminium.
Les disques effectuaient aisément des
manœuvres précises, tant horizontalement que verticalement. Ils pouvaient
passer de 800 à 1000 mètres d'altitude en quelques secondes. Les
disques s'élevaient souvent à 20 mètres au-dessus de la cime des
arbres. Pierre juge impossible la présence d'un pilote à bord du
disque, car les variations chaotiques de vitesse et de chaleur rendraient
impossible la survie d'une personne dans son noyau immobile.
Le pilote abandonna la poursuite
après 15 minutes lorsque les deux disques, émettant un sifflement strident
(qu'il entendait malgré le bruit de l'avion), volèrent en ligne droite vers le
lac Tanganyika. Il estima leur vitesse à 1 500 kilomètres par heure.
Le journaliste Fritz Sitte a dessiné
un schéma supposé de la conception du « disque ». Selon lui, il
s'agit d'un engin tout à fait terrestre. Au centre, une partie fixe, se
trouveraient des explosifs et des dispositifs permettant de contrôler le
« disque » par radio, tandis que la partie mobile abriterait des
réservoirs de carburant et des moteurs à réaction.



