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vendredi 28 novembre 2025

il révolutionne la recherche sur les PAN, le détecteur multispectral

 Vue d'ensemble du détecteur multispectral : 7 raisons pour lesquelles il révolutionne la recherche sur les PAN

 

Signal Skywatch

Sourcehttps://uapwatchers.com/multispectral-detector-quad-view/

 

La technologie Quad View du détecteur multispectral de Nightcrawler établit une nouvelle norme dans l'étude scientifique des phénomènes aériens non identifiés (PAN). Conçu par les frères Tedesco , innovateurs dans leur domaine, cet appareil est bien plus qu'un simple outil de vision nocturne : c'est une plateforme de recherche à spectre complet, déployable sur le terrain, conçue pour capturer et analyser les émissions électromagnétiques de 190 nm à 2 600 nm.

À une époque où la transparence, la rigueur scientifique et une documentation crédible sur les PAN sont très demandées, le détecteur multispectral Quad View s'impose comme un instrument essentiel pour les chercheurs civils et professionnels.

Dans cet article, nous explorons sept raisons convaincantes qui expliquent pourquoi ce système transforme la recherche sur les PAN et pourquoi il pourrait devenir la pierre angulaire de la prochaine génération d'observation du ciel basée sur les données.

Détecteur multispectral Quad View : conçu pour une visibilité totale du spectre

Contrairement aux dispositifs de vision nocturne ou infrarouges classiques, le détecteur multispectral Quad View couvre une vaste gamme spectrale, allant du proche ultraviolet (190 nm) à l'infrarouge à ondes courtes (2600 nm) . Cela lui permet de capturer des phénomènes invisibles à l'œil nu, aux caméras thermiques, voire même aux systèmes optiques de qualité militaire.

Une fois la cible acquise grâce à la caméra de vision nocturne centrale intégrée, le système à quatre vues s'active et enregistre un graphique multispectral complet. Cette fonctionnalité offre une capacité inégalée pour identifier les anomalies telles que :

·         Émissions de plasma

·         Sorties coronales

·         Différentiels de chaleur

·         Réflectance anormale des matériaux

Cette visibilité sur tout le spectre est essentielle pour l'étude des objets aériens très étranges, dont beaucoup présentent des signatures électromagnétiques inhabituelles dans les bandes UV et IR.

Fusion de capteurs de pointe avec analyse à quatre vues

L'une des principales innovations du détecteur multispectral Quad View réside dans sa fusion transparente des données des capteurs. Dès l'acquisition de la cible, l'interface Quad View fournit des données synchronisées provenant de quatre bandes spectrales distinctes : ultraviolet, proche infrarouge (NIR), infrarouge à ondes courtes (SWIR) et lumière visible.

Cette cartographie spectrale multi-angle fournit aux chercheurs des informations détaillées sur :

·         Gradients de température

·         Changements d'émissivité

·         Dispersion d'énergie

·         Signatures matérielles

Ces données sont précieuses pour distinguer les technologies aériennes connues des engins inconnus. Ce processus d'analyse avancé place la recherche sur les PAN dans le domaine d'une étude scientifique rigoureuse.

Ciblage de précision avec caméra centrale de vision nocturne intégrée

Au cœur du détecteur multispectral Quad View se trouve un système de ciblage nocturne haute performance, permettant le suivi d'objets en temps réel même en conditions de faible luminosité. Cette caméra de ciblage centrale fait office d'« œil » du système, verrouillant les anomalies aériennes avant d'activer le réseau de quatre capteurs.

Résultat ? Un suivi haute-fidélité et une collecte de données multisensorielles à partir d’un seul verrouillage. Cette précision est essentielle pour la capture des PAN (Projecteurs Anomalies Urbains) se déplaçant rapidement ou ayant un comportement erratique, des objets qui échappent souvent aux systèmes de détection conventionnels en raison de leur vitesse ou de leur furtivité.

Cette fonctionnalité permet non seulement la détection, mais aussi la caractérisation spectrale image par image des événements transitoires.

Conçu par les frères Tedesco : pionniers de la recherche civile sur les PAN.

l OVNI - UAP  - Détecteur multispectra
Ce système a été développé par John et Gerald Tedesco, des chercheurs civils qui ont acquis une reconnaissance internationale pour leurs travaux pionniers dans la détection d'anomalies astronomiques.

Leur philosophie est simple : démocratiser les outils de la découverte. En développant le détecteur multispectral Quad View, ils offrent aux civils, aux chercheurs et même aux institutions universitaires un accès à un matériel rivalisant avec les systèmes classifiés ou militaires.

Les travaux des frères Tedesco ont été présentés dans divers médias, notamment lors d'interviews et de symposiums sur les PAN. Leur engagement en faveur de la transparence, de l'accessibilité des données et de la rigueur scientifique fait d'eux une référence dans le domaine de la recherche indépendante sur les anomalies aériennes.

Le détecteur multispectral Quad View fournit des données exploitables, et pas seulement des images.

L'un des atouts majeurs du détecteur multispectral Quad View réside dans son approche axée sur les données. Contrairement aux systèmes produisant des images floues ou des visuels spéculatifs, ce détecteur génère des ensembles de données exploitables et exportables grâce à son réseau de capteurs.

Les chercheurs peuvent analyser :

·         Absorption des raies spectrales

·         Interférences électromagnétiques

·         Anomalies de la courbe de lumière

·         Indices de réflectivité

Cela permet de garantir que chaque événement UAP capturé puisse être analysé et étudié avec une rigueur digne d'un laboratoire, élevant ainsi la recherche sur le terrain au rang de science publiable.

Résultats concrets : Détection d’objets confirmée à plus de 800 mètres

Les tests de performance du détecteur multispectral Quad View démontrent une sensibilité remarquable. Il a détecté et enregistré avec succès des objets de la taille de petits véhicules à des distances supérieures à 800 mètres.

Cela confirme l'utilité du système pour :

·         Observateurs du ciel scrutant l'espace aérien lointain

·         Des chercheurs surveillent les zones à risque connues de PAN

·         Études collaboratives à proximité d'installations radar ou de couloirs aériens

Sa capacité de longue portée, combinée à sa cartographie multispectrale, lui permet de servir d’outil de surveillance autonome ou de s'intégrer à des réseaux de recherche plus vastes grâce à l'horodatage et à la géolocalisation synchronisés.

Nightcrawler façonne l'avenir de l'observation scientifique des PAN

iNFO sur le Détecteur multispectral OVNI - UAP
Bien plus qu'un simple produit, le détecteur multispectral Quad View représente un changement de paradigme dans notre façon d'observer, d'enregistrer et d'interpréter les phénomènes PAN. La mission de Nightcrawler est de remettre la science au cœur du débat.

Au lieu de se fier à des témoignages anecdotiques ou à des vidéos de mauvaise qualité prises avec des téléphones portables, les chercheurs disposent désormais d'une panoplie d'outils performants pour :

·         Capturer les anomalies EM scientifiquement significatives

·         Distinguer les événements aériens naturels des événements aériens artificiels

·         Contribuez à une base de données mondiale sur les agressions sexuelles non protégées (ASP) fondée sur des données probantes.

Cet outil permet aux chercheurs sérieux de combler le fossé entre la curiosité et la confirmation.

Foire aux questions

Quelles bandes spectrales le détecteur multispectral Quad View couvre-t-il ?

Il capture de 190 nm (ultraviolet) à 2600 nm (infrarouge à ondes courtes), y compris la lumière visible, le NIR et le SWIR.

Comment fonctionne le système de ciblage ?

La caméra centrale intégrée de vision nocturne se verrouille sur une cible, après quoi le réseau de capteurs à quatre vues s'active pour commencer la capture de données.

Qui a créé la vue quadruple du détecteur multispectral ?

Il a été développé par John et Gerald Tedesco, fondateurs de Nightcrawler 1, connus pour leurs innovations dans les outils de recherche civils sur les PAN.

Est-ce adapté aux chercheurs amateurs ?

Oui. Bien que sophistiqué, ce système a été conçu pour être accessible au grand public. Il est idéal pour les chercheurs indépendants, les citoyens scientifiques et les institutions universitaires.

Où puis-je acheter cet appareil ?

Vous pouvez consulter les détails du produit et passer commande via la page produit officielle .

Réflexions finales : Pourquoi la vue quadruple du détecteur multispectral est importante

Le détecteur multispectral Quad View n'est pas un simple outil : il représente une avancée majeure dans l'acquisition de données sur les PAN. Dans un contexte où les gouvernements restent muets et où la science traditionnelle peine à s'adapter, Nightcrawler intervient pour apporter des réponses concrètes à des phénomènes bien réels.

Sa combinaison de détection à longue portée, de collecte de données multispectrales et d'intégration transparente en fait l'outil de recherche sur les PAN le plus avancé et accessible aux civils actuellement disponibles.

Que vous soyez un amateur passionné ou un chercheur confirmé, le détecteur multispectral Quad View peut être votre point d'entrée dans l’avenir de l'observation scientifique du ciel.

 

dimanche 2 novembre 2025

Flotte d'OVNIs filmée au-dessus du Japon à une vitesse « impossible »

 Réalité ou canular ? Choc général : une flotte d'OVNIs filmée au-dessus du Japon à une vitesse « impossible ».

Une vidéo virale montrant des objets lumineux traversant le ciel nocturne japonais a relancé le débat sur les ovnis.


Par Melvin Gascon
Publié le 24/10/25 à 17h09 HAE

SOURCE ET INFO COMPLEMENTAIRES 
https://www.ibtimes.com/real-hoax-shock-ufo-fleet-caught-camera-racing-over-japan-impossible-speed-3788413


Une vidéo virale prétendant montrer une flotte d'objets volants non identifiés traversant le ciel nocturne japonais a déclenché un débat en ligne passionné.

Alors que certains utilisateurs insistent sur le fait qu'il s'agit d'une « preuve d'activité extraterrestre », les experts et les autorités avertissent que les images représentent probablement des drones, des aéronefs ou des illusions d'optique plutôt que des visiteurs extraterrestres.

La vidéo virale qui a déclenché la frénésie

La vidéo, publiée en début de semaine sur les réseaux sociaux, notamment X (anciennement Twitter ) et YouTube, montre plusieurs objets lumineux filant à toute vitesse en formation apparente avant de disparaître au loin. Des témoins oculaires ont décrit ces lumières comme étant « plus rapides que n'importe quel avion à réaction » et « clignotant à l'unisson ».

Vendredi, aucune confirmation officielle n'avait été émise par le gouvernement japonais ni par les Forces d'autodéfense. Cependant, les analystes estiment que cet incident s'inscrit dans une tendance régionale plus large à la hausse des signalements de phénomènes anormaux non identifiés (PAN) en Asie de l'Est.

Le Japon enquête déjà sur les signalements d'OVNIs

Cette observation survient alors que le Japon intensifie ses efforts pour enquêter sur les phénomènes aériens inexpliqués. En juin 2024, plus de 80 parlementaires ont formé un groupe d'étude des PAN, suite à un rapport du département américain de la Défense qui qualifiait l'Asie de l'Est – de l'ouest du Japon à la Chine – de « zone à haut risque » d'observations, selon CBS News.

L'ancien ministre de la Défense, Yasukazu Hamada, a averti que « laisser des zones d'ombre constitue un problème pour la sécurité nationale », ajoutant que certains objets pourraient représenter des drones de surveillance étrangers, et non des engins extraterrestres, comme l'a indiqué Popular Mechanics.

Les Forces d'autodéfense japonaises travaillent actuellement avec les responsables militaires américains pour normaliser les protocoles de signalement, tandis que les autorités de l'aviation civile évaluent les risques potentiels pour la sécurité des aéronefs commerciaux.

Les experts partagés entre fascination et scepticisme

Les analystes vidéo et les spécialistes de l'atmosphère appellent à la prudence avant de tirer des conclusions hâtives. Sur les images devenues virales, les prétendus OVNI semblent se déplacer en ligne droite et à vitesse constante, un comportement compatible avec celui de formations d'aéronefs ou de météores.

« La combinaison d'appareils photo grand public, d'une longue exposition et du flou de mouvement peut facilement faire ressembler des lumières normales à des anomalies à grande vitesse », a expliqué un chercheur en aérospatiale à Popular Mechanics.

Le vulgarisateur scientifique Mick West a ajouté que la réputation du Japon en tant que « haut lieu des OVNI » découle en partie de la forte présence de webcams dans des régions comme Fukushima, où d'innombrables caméras surveillent constamment le ciel.

S'agit-il d'un canular ou d'une erreur d'identification ?

Bien qu'aucune preuve ne suggère une falsification délibérée, plusieurs possibilités sont envisagées :

· Drones commerciaux ou militaires : le Japon a déjà détecté des ballons de surveillance chinois présumés et des aéronefs non enregistrés au-dessus de son territoire, selon CBS News.

· Événements célestes ou météorologiques : des météores brillants, des satellites ou des reflets d'avions volant à haute altitude peuvent imiter des formations organisées dans certaines conditions d'éclairage.

· Manipulation vidéo ou illusion d'optique : Le mouvement rapide visible dans les vidéos filmées à main levée peut résulter de tremblements de la caméra et d'artefacts de compression.

Tant que les agences japonaises de défense ou météorologiques n'auront pas confirmé les données radar ou les témoignages oculaires provenant de plusieurs endroits, les analystes affirment que l'existence de cette « flotte » reste non vérifiée.

Le réseau de recherche japonais sur les PAN (phénomènes aériens non identifiés) en expansion

Le Japon est aujourd'hui l'un des centres les plus actifs au monde en matière de recherche sur les phénomènes aériens non identifiés (PAN) et les ovnis. Selon un article de Popular Mechanics, le pays recense chaque année des centaines d'anomalies aériennes, alimentées à la fois par la fascination du public et la reconnaissance officielle de ces phénomènes inconnus.

Selon des analystes en sécurité, la récente vidéo souligne la difficulté de distinguer les preuves scientifiques crédibles des fausses informations virales. « Qu'il s'agisse d'une illusion atmosphérique ou d'autre chose, c'est précisément pour cette raison que le Japon formalise ses protocoles relatifs aux phénomènes aériens non identifiés », a déclaré à IBTimes UK un analyste de la défense basé à Tokyo.

Verdict : Non vérifié, mais impossible à ignorer

À ce jour, aucune preuve indépendante ne vient étayer les affirmations selon lesquelles les images prises au Japon montrent un engin extraterrestre. Néanmoins, cette observation met en lumière à la fois l'intérêt du public pour les récits d'OVNI et le besoin croissant de transparence scientifique.

Pour l'instant, les experts s'accordent à dire que les images doivent être analysées objectivement, sans sensationnalisme. Qu'il s'agisse de drones, de météores ou d'un phénomène totalement inconnu, cet événement confirme que le mystère plane encore sur les cieux les plus scrutés du monde.

Article initialement publié sur IBTimes UK

50 ANNÉES D’HISTOIRE UFOLOGIQUE et l'histoire des Repas Ufologiques de Gérard Lebat

Découvrez sur nos pages  : 


50 ans d'ufologie - gerard lebat

Fréquemment, lors des conférences et réunions diverses auxquelles j'assiste ou à d'autres occasions,  on me pose la question : "Comment en êtes-vous venu à vous occuper  des OVNI ?" Toujours la même histoire  à raconter, toujours incomplète car il est toujours trop  long de tout expliquer.

Il y a quelques années un ami ufologue m'a demandé d'écrire mon histoire, puis un deuxième,  un troisième....  C'est pourquoi, j'ai décidé un jour d'écrire le texte que vous allez lire ci-après pour faire un point succinct sur mon passé. Incomplet, il sera régulièrement augmenté dans l'avenir, à la suite des souvenir qui me reviendront.

Je vous livre donc maintenant plus de 50 années d'histoire !


1966 – (j’ai alors un peu plus de 16 ans) à Paris je rencontre dans le cadre de mes activités professionnelles, alors agent des « postes et télécommunication » à mes temps perdus, Jean-Michel FERRARI qui est membre de la Commission

002 Photo Marc Thirouin, directeur de la commission Ouranos.

marc thirouin ouranosOURANOS et auteur d’un petit recueil publié par Marc THIROUIN. Il   a pour titre » La vérité sur l’affaire de FATIMA ». Il me fait connaître le domaine de l’ufologie, Marc Thirouin, puis j’apprends l’existence sur Paris du GEPA. En parallèle je lis un certain nombre d’articles dans la presse et notamment dans « Le Parisien » qui a publié à cette époque une longue série d’articles sur le phénomène OVNI. Je me passionne enfin pour ce dossier après la lecture du premier ouvrage de Franck EDWARD, « Soucoupes Volantes, affaires sérieuses. » Dans ce contexte, j’apprends bien vite l’existence du GEPA, à mieux le connaître et dès 1966 j’assiste à ses réunions. Être présent à ces rencontres était pour moi un certain exploit car je devais me rendre à la gare de Meaux en mobylette alors que j’habitais la commune de Saint Denis Les Rebais.

suite sur la page : httpshttps://ovni-maroc.blogspot.com/p/la-veritable-histoire-des-repas.html


mercredi 17 septembre 2025

Quand un missile Hellfire rencontre un OVNI : un incident inexpliqué

Quand un missile Hellfire rencontre un OVNI : un incident inexpliqué

 

missile hillfire tiré sur ovni uap


bob barrow
Par Bob Barrow

Les Chroniques des OVNI – The UFO Chronicles

9-12-2025


SOURCE – TRADUCTION ET INFORMATIONS COMPLEMETAIRES : https://www.theufochronicles.com/2025/09/when-hellfire-missile-meets-ufo.html

L'événement le plus marquant de la semaine a eu lieu lors de la dernière audition du Congrès sur les OVNIs à Washington. Les participants ont visionné une vidéo militaire prise au large des côtes du Yémen l'année dernière, montrant un missile Hellfire attaquant un PAN/OVNI, le missile ayant explosé semblant simplement rebondir sur l'objet.

Tout d'abord, je ne suis pas certain de l'opportunité de tirer sur un objet inconnu, mais peut-être y avait-il plus de choses que ce que nous savons.

Deuxièmement, si cette vidéo ne parvient pas à prouver le bien-fondé de tous ces incidents rapportés au moins depuis la Seconde Guerre mondiale et qui sont généralement mis en doute par les sceptiques, d'incidents où des pilotes militaires ont pratiquement juré sur leur vie qu'ils SAVAIT qu'ils avaient tiré et étaient entrés en contact avec des choses dans le ciel, sans aucun effet apparent ni dommage (à l'exception des cas où les pilotes eux-mêmes auraient été affectés par des sources de chaleur intense après avoir touché de tels objets), je ne sais pas ce qui le fera.

Une observation attentive de la vidéo principale de cette semaine n'est pas nécessaire pour noter également que lorsque le missile a apparemment atteint sa cible, certains objets plus petits semblent s'être séparés de l'OVNI - qui, non affecté, a immédiatement suivi l'objet principal alors qu'il s'élevait.

Au début des années 60, je me souviens avec tendresse de mes dossiers remplis de lettres de représentants du gouvernement et de diverses autorités niant pratiquement l'existence même des ovnis. Au moins, cette époque connaîtra peut-être une fin bien méritée. Nous l'espérons.

Alors, que se passait-il exactement dans cette vidéo militaire ? La science établie (ou délirante) a-t-elle une piste ? Alors que nous sommes tous contraints de nous soumettre à l'intelligence artificielle et que ses progrès sont susceptibles de présenter des risques pour l'homme encore insoupçonnés, l'IA saura-t-elle tirer pleinement parti du bourbier souvent absurde des ovnis ?

La vidéo
Un missile hillfire tiré sur ovni uap
Document que vous pouvez regarder sur FACEBOOK :

Je ne sais pas ce qui se passe, mais j'ai eu une ou deux réflexions, en supposant qu'il s'agisse d'une vraie vidéo d'un véritable inconnu. Par exemple, l'OVNI avait-il la capacité de « lire » tout ce qui concernait le missile avant même qu'il ne frappe ? L'objet avait-il la capacité de tout savoir sur le missile au moment même de l'impact, lui permettant une réaction en une fraction de seconde ? Un sens prémonitoire ? Savait-il ce que pensait le pilote du drone ? Nous connaissons déjà des cas où des OVNI semblent avoir capté et/ou compris en temps réel les instruments de bord conventionnels d'un avion bien avant toute manœuvre d'évitement ou de confrontation initiée par des pilotes humains.

Des miroirs. Je me suis demandé. Un miroir reflète une image. L'OVNI possède-t-il un miroir technologique, réfléchissant extérieurement ou intérieurement ce qu'il rencontre à la vitesse de la lumière, dupliquant ensuite ce qu'il connaît afin de réagir rapidement et en conséquence ? Je suppose que cela nécessiterait une couche protectrice externe de plasma, d'électricité ou autre sur l'OVNI, mais comme la plupart des miroirs brisés par un choc violent, il resterait des structures de soutien derrière eux.

Un OVNI pourrait-il imiter précisément tout ce qu'il rencontre dans le ciel pour protéger son environnement ? Si des atomes, des molécules et des substances dont nous ignorons peut-être l'existence peuvent être manipulés de manière à détecter instantanément la force, la masse et les effets précis d'un missile guidé, cette mystérieuse énigme venue du ciel peut-elle invoquer une force similaire pour annuler ses propriétés destructrices ? Une image miroir de ce qui existe, provoquant la collision dudit missile avec un double, un clone si l'on veut, de lui-même dans un continuum espace-temps profondément modifié, causant des dommages principalement au missile lancé ?

Dans le domaine de l'impossible, est-il possible que la structure même d'un OVNI soit si différente de celle de notre propre avion que la rencontre entre le missile et l'objet n'ait que peu ou pas de points communs ? Les OVNI sont-ils comme des bonbons M&M's, protégés par une coque dure et imperméable qui maintient leur contenu parfaitement inconscient des forces extérieures ? Qu'est-ce qui maintient ces étranges objets à l'abri, quoi qu'on leur lance ? Peuvent-ils être ici et absents en même temps ?

Quoi qu'il en soit, ce serait quelque chose sur lequel les physiciens devraient réfléchir, en plus des historiens qui réfléchissent peut-être à des théories troublantes sur la question de savoir si les objets brillants et brillants du phénomène OVNI expliquent l'origine des religions préférées sur Terre.

Méfiez-vous des théories d'un vieux cinglé, mais continuons à diffuser des vidéos et des films militaires ! Pour l'instant, la science a été déconcertée par les OVNI/PAN, et certains de ses principes les plus chers semblent avoir été bouleversés. Sommes-nous prêts pour plus, ou le phénomène OVNI restera-t-il le chat du Cheshire souriant des cieux ?




David Grusch payé par le membre du Congrès Eric Burlison !

David Grusch payé par le membre du Congrès Eric Burlison !

Par Toledo
Le 11 septembre 2025


Source et informations complémentaires
: https://www.uap-blog.com/david-grusch-paye-par-le-membre-du-congres-eric-burlison/



Et c’est une information publique !!!

Qui a trouvé cela ? John Greenewald @blackvaultcom

Si quelqu’un s’intéresse à ce que le « lanceur d’alerte sur les OVNI » David Grusch reçoit du membre du Congrès Eric Burlison, c’est une information publique.

Du 01/04/2025 au 30/06/2025, il a été payé 10 500 $.

Il a également été remboursé de divers frais de voyage, tous en avril.

Ceci est tiré du relevé des dépenses de la Chambre, le plus récent publié par la Chambre. Un autre sera déposé probablement fin novembre. Puisqu’il a été vu derrière Burlison lors de l’audience d’hier, il est clairement toujours rémunéré.

Il semblerait que cela soit pour un jour de travail par semaine, ce n’est pas encore très clair sur quelle durée.

John Greenewald n’insinue rien, il se pose juste des questions, mais reçoit beaucoup de haines sur X. Évidemment…

mardi 16 septembre 2025

Les États-Unis tentent d'abattre un mystérieux UAP ou OVNI

Les États-Unis tentent d'abattre un mystérieux PAN. Vidéo d'un lanceur d'alerte et informations disponibles.


Article d' Eric Lagatta, USA TODAY NETWORK

Soure MSN – ET USA TODAY NETWORK



Une vidéo inédite diffusée lors d'une audience du Congrès prétend montrer un drone militaire américain tentant – et échouant – d'abattre un mystérieux objet ressemblant à un « orbe ».

Lien et vidéo
VIDEO TIR DE MISSILE SUR UN OVNI - UAP


Fourni par un lanceur d'alerte à un membre de la Chambre des représentants des États-Unis, la vidéo a sans doute été le point culminant d’une longue audience le 9 septembre au Capitole autour des OVNI, que le gouvernement appelle désormais phénomènes anormaux non identifiés, ou PAN.

Cette audience était la troisième en autant d'années au Congrès depuis qu’un témoignage houleux en juillet 2023 a ravivé la fascination du public pour les ovnis, sans parler de la possibilité que des extraterrestres les pilotent. Au cours de ces trois audiences, plusieurs témoins, dont des journalistes et des militaires de haut rang, ont témoigné sous serment au sujet de programmes militaires obscurs visant à récupérer et à étudier non seulement des vaisseaux extraterrestres interstellaires, mais aussi les pilotes extraterrestres eux-mêmes.

La dernière incursion du Congrès dans le sujet des UAP intervient dans un contexte d'appels accrus à la transparence, car une législation en cours d'élaboration obligerait le gouvernement fédéral à divulguer davantage d'informations sur ce qu'il a découvert.

Voici ce qu'il faut savoir sur l'UAP en question, ainsi que sur la tentative apparente de l'armée de le détruire avec un missile Hellfire.

Une vidéo montre un missile américain tiré sur un UAP.

La vidéo virale fournie par un lanceur d'alerte anonyme au représentant Eric Burlison, républicain du Missouri, semble montrer un drone militaire tentant d'abattre un objet non identifié.

Burlison a présenté la vidéo publiquement pour la première fois lors de la dernière audience du Congrès sur les UAP, qui a eu lieu le 9 septembre. La vidéo montrée lors de l'audience de la Chambre, prise le 30 octobre 2024, au large des côtes du Yémen, montre un objet inconnu que Burlison a qualifié « d'orbe » suivi par un drone MQ-9, également connu sous le nom de Reaper, a-t-il déclaré.

Dans la vidéo, un deuxième drone MQ-9, hors champ, tire un missile Hellfire qui pénètre par la gauche pour toucher l'objet, a déclaré Burlison lors de l'audience. Bien que le mystérieux engin semble endommagé par la séparation de petits débris, il est capable de poursuivre sa trajectoire initiale après l'impact direct.

« Le feu vert a été donné pour engager le combat, mais le missile semble inefficace contre la cible », a déclaré Burlison dans un message publié sur le réseau social X après l'audience. Il a ajouté qu'un examen indépendant de la vidéo était en cours.

Que fait un missile Hellfire ?

Le missile Hellfire est un missile américain initialement développé pour une utilisation antiblindé, puis pour des frappes de précision par drone contre d'autres cibles. Il peut être utilisé à la fois comme missile air-air et air-sol, permettant des frappes de précision contre des chars, des bunkers, des hélicoptères et d'autres cibles, selon Military.com.

« Le missile Hellfire est capable de vaincre n'importe quel char connu dans le monde aujourd'hui », affirme Military.com sur son site Web.

Des témoins présents à l'audience, parmi lesquels trois vétérans militaires, ont déclaré au Congrès qu'aucune technologie humaine connue n'est censée être capable de survivre à un impact direct d'un missile Hellfire.

Mais comme l'a observé le journaliste George Knapp lors de l'audience, le missile semble avoir « rebondi directement sur » l'objet en question, « et il a continué ».

Le Congrès entend davantage de témoignages sur les ovnis

La vidéo a peut-être été la plus grande révélation lors de la dernière audience dans les couloirs du Congrès sur les UAP, et sur la question de savoir si l'armée américaine et la communauté du renseignement en savent plus qu'ils ne le laissent entendre.

La représentante Anna Paulina Luna, républicaine de Floride, qui préside le groupe de travail qui a organisé l'audition, a déclaré dans un communiqué préalable que « les Américains méritent une transparence maximale de la part du gouvernement fédéral sur les observations. » Le groupe de travail de Luna sur la déclassification des secrets fédéraux a été créé en février 2025 et constitue une sous-commission de surveillance de la Chambre distincte de celle qui a tenu sa dernière audition sur les ovnis en novembre.

Les quatre témoins qui ont témoigné ont parlé de leurs propres expériences de première main en voyant ce qu'ils croyaient être des UAP, ainsi que de leur connaissance de ce que le gouvernement fédéral pourrait cacher illégalement aux législateurs à propos de ce phénomène.

L'audience a notamment porté sur ce que le Pentagone a – et n'a peut-être pas – divulgué à propos des UAP et du Bureau de résolution des anomalies dans tous les domaines, relativement nouveau, du ministère de la Défense, chargé d'enquêter sur les observations.

L'audience, la troisième du Congrès sur les UAP en autant d’années, fait suite à la dernière série de témoignages du 14 novembre, au cours de laquelle une autre série de témoins a témoigné sur des objets inexpliqués violant l'espace aérien américain et des programmes secrets visant à récupérer et à étudier des vaisseaux spatiaux extraterrestres abattus.

Le Pentagone a toujours affirmé qu’il n’avait trouvé aucune preuve que les UAP observés et étudiés soient de nature extraterrestre.

Eric Lagatta est le journaliste Space Connect du réseau USA TODAY. Vous pouvez le contacter à l'adresse elagatta@gannett.com .



Cet article a été initialement publié sur USA TODAY : Les États-Unis tentent d'abattre un mystérieux PAN. Vidéo d'un lanceur d'alerte et ce que nous savons.
- MSN -

lundi 15 septembre 2025

ETUDES GENERALE DES ACTIONS GOUVERNEMENTALES SUR LE DOSSIER DES OVNI - PAN

 Chronologie historique des approches gouvernementales en matière de recherche sur les OVNI/PAN - Etude générales des actions des gouvernements relatives au dossier ovni - uap



Les gouvernements ont traité les objets volants non identifiés (OVNI) – plus communément appelés phénomènes anormaux non identifiés (PAN) – comme des questions de sécurité nationale, de sécurité aérienne et de curiosité scientifique. Au cours des huit dernières décennies, les efforts officiels ont varié, allant de programmes militaires centralisés à des bureaux de sécurité de l'aviation civile et à des études universitaires financées par des institutions de défense. Le tableau et le récit ci-dessous synthétisent ces initiatives par année et par pays, en mettant en évidence les domaines dans lesquels des enquêtes officielles ont eu lieu et ceux où des documents déclassifiés sont aujourd'hui accessibles. Chronologie en bref

Année(s) - Pays - Événement

1948 Début du projet SIGN aux États-Unis

1949 Remplacement du projet GRUDGE aux États-Unis

1952-1969 Étude sur les ovnis par le projet BLUE BOOK aux États-Unis

1953 Examen du comité Robertson de la CIA aux États-Unis

1966-1968 Étude du « Comité Condon » de l'Université du Colorado aux États-Unis

1997-2000 Étude interne du ministère de la Défense du Royaume-Uni sur le projet Condign

2000-2009 Fonctionnement du bureau OVNI du ministère de la Défense du Royaume-Uni jusqu'à sa fermeture

1977- A ce jour - Programme d'étude des ovnis GEPAN/SEPRA/GEIPAN en France

1950-1954 Projet Magnet et groupe Second Storey au Canada

1997- A ce jour - Création du CEFAA/SEFAA au Chili pour la sécurité aérienne

2011- A ce jour - Création du CEFAe en Argentine ; devient le CIAE en 2019

2020– A ce jour - : Le ministère de la Défense japonais publie des ordonnances permanentes de signalement des PANs

2001, 2013– A ce jour - : Bureau de recherche ufologique OIFAA/DIFAA du Pérou actif

1991–1997 : L’armée de l’air espagnole déclassifie des dossiers ufologiques

2010 : Les forces de défense néo-zélandaises publient des dossiers ufologiques déclassifiés

1940–1990 : Archives ufologiques de la RAAF australienne

1970–1980 : Programmes de recherche Setka AN et Setka MO de l’Union soviétique

1977–1978 : Décisions 32/424 et 33/426 de l’Assemblée générale des Nations Unies sur la recherche ufologique

2017– A ce jour - : États-Unis

2024 : Publication du rapport historique AARO Vol.1 des États-Unis



États-Unis : Des premiers programmes de l’armée de l’air à un cadre gouvernemental moderne

OVNI ET UAP Info

Les États-Unis possèdent la plus longue documentation continue. L'Armée de l'air a inauguré des études formelles avec le Projet SIGN (1948), suivi du Projet GRUDGE (1949) et du Projet BLUE BOOK (1952-1969), plus vaste. Ces programmes étaient axés sur l'identification, l'évaluation des menaces et les protocoles de signalement public. Si la grande majorité des cas étaient considérés comme des phénomènes naturels, des aéronefs ou des données insuffisantes, les dossiers ont constitué une archive durable et un processus standardisé de collecte et d'analyse pour les bases et les commandements.

Bibliothèques

Parallèlement, des études scientifiques indépendantes ont façonné les politiques. Le Comité Robertson de la CIA, convoqué en 1953, a recommandé des méthodes standardisées et une sensibilisation du public afin de réduire les interprétations erronées d'événements aérospatiaux inconnus. Plus tard, le « Comité Condon » de l'Université du Colorado (1966-1968) a publié une étude de la taille d'un livre qui a influencé la décision de l'Armée de l'air de fermer le Projet Blue Book. L'après-guerre froide a donné lieu à d'importantes publications grâce à la loi sur la liberté d'information, notamment des fonds du FBI et de la CIA qui ont contextualisé la manière dont plusieurs agences ont traité les enquêtes publiques, les canulars et les incidents aériens. À partir de 2017, le Congrès a redéfini les OVNI comme des PAN et a mis en place un processus formel et interinstitutionnel pour collecter et analyser les rapports des aviateurs et des capteurs militaires. Le Bureau du Directeur du Renseignement National a publié une évaluation préliminaire en 2021, suivie de mises à jour. Le ministère de la Défense a créé le Bureau de Résolution des Anomalies dans tous les domaines (AARO) afin de synchroniser la réception, l'analyse et la notification entre les services et les commandements de combat. En 2024, l'AARO a publié un rapport historique qui passait en revue des décennies d'activité du programme et réitérait la nécessité de données de meilleure qualité, de canaux de notification standardisés et d'une caractérisation rigoureuse des capteurs.

Royaume-Uni : Traitement centralisé et déclassification structurée

Le ministère de la Défense britannique a mis en place un « bureau OVNI » de longue date, coordonnant les rapports publics, les enquêtes sur la défense aérienne et les missions ponctuelles confiées aux services techniques. Un projet d'analyse interne, le Projet Condign (1997-2000), a évalué les tendances des observations et mis l'accent sur les explications naturelles et anthropiques, notamment les facteurs atmosphériques et liés aux capteurs. Entre 2008 et 2013, le ministère de la Défense a transféré et publié de nombreux dossiers aux Archives nationales, fournissant aux chercheurs la correspondance, les procédures administratives et les notes de politique générale. Le bureau a fermé ses portes en 2009, et le gouvernement a officialisé une politique interdisant toute autre étude dédiée au-delà des responsabilités courantes de défense aérienne.

France : Un modèle spatial civil avec des dossiers de cas publics

La France a adopté une approche singulière en intégrant l'étude des PANs au sein de son agence spatiale nationale. Le CNES a créé le GEPAN en 1977, puis réorganisé en SEPRA, puis en GEIPAN en 2005. Ce bureau met l'accent sur la sécurité aérienne et la documentation scientifique. Il publie notamment des dossiers de cas anonymisés, des justifications de classification et des conseils aux témoins et aux pilotes. Ce modèle spatial civil traite le signalement des PANs comme une forme d'enquête sur les événements, à l'instar d'autres anomalies et incidents aérospatiaux.

Encourage la collaboration avec les partenaires des secteurs de la circulation aérienne, de la météorologie et du milieu universitaire.

Canada : Enquête et coordination interministérielle au début de l’après-guerre

Le projet canadien Magnet (1950-1954), dirigé par un ingénieur radio principal de Transports Canada, visait à déterminer si le géomagnétisme pouvait être lié aux phénomènes signalés, tout en cataloguant les observations à travers le pays. Parallèlement, un comité interministériel, connu sous le nom de « Second Storey », se réunissait pour coordonner les politiques et examiner les dossiers. Bien que le gouvernement n’ait pas conservé de bureau permanent par la suite, Bibliothèque et Archives Canada conserve les principaux documents et la correspondance Magnet, qui offrent un aperçu de la réflexion du début de la guerre froide sur les rapports d’aviation inhabituels et les hypothèses électromagnétiques.

2024 - Mise en place d'un organisme officiel qui sera chargé de l'étude du phénomène et des observations. 

Chili : Accent sur la sécurité aérienne au sein de l’aviation civile

Le Chili a créé le CEFAA en 1997 sous l’égide de la Direction générale de l’aéronautique civile (DGAC). Son successeur moderne, le SEFAA, continue de servir de centre d’échange axé sur la sécurité pour les rapports de pilotes, les incidents radar et les soumissions du public. Le bureau met l'accent sur la gestion des risques, la documentation standardisée et la consultation d'experts issus de la météorologie, de l'astronomie et de l'aéronautique, reflétant une préférence institutionnelle pour l'évaluation multidisciplinaire liée aux opérations aériennes.

Argentine : Du CEFAe au CIAE

L'Argentine a créé la Comisión de Estudio de Fenómenos Aeroespaciales (CEFAe) en 2011 au sein de l'armée de l'air. En 2019, les responsabilités ont été transférées au Centro de Identificación Aeroespacial (CIAE), élargissant ainsi son champ d'action à un ensemble plus large de tâches d'identification aérospatiale. Ce changement organisationnel reflète le passage d'un mandat spécifique aux ovnis à une fonction d'identification opérationnelle plus générale, qui continue de recevoir et d'évaluer les observations inhabituelles.

Japon : Consignes permanentes pour la documentation

En 2020, le ministère japonais de la Défense a publié des consignes permanentes ordonnant aux unités des Forces d'autodéfense d'enregistrer, d'analyser et de signaler les rencontres avec des objets non identifiés susceptibles de compromettre la sécurité nationale ou la sécurité aérienne. Ces directives mettent l'accent sur la documentation et la coordination interne plutôt que sur la création d'un institut de recherche dédié. Il harmonise les rapports avec les partenaires alliés et les autorités aéronautiques et fournit une base de référence pour les politiques futures en cas d'apparition de schémas d'incidents persistants.

Pérou : Des bureaux intermittents ancrés dans la participation du public

L'armée de l'air péruvienne a lancé un bureau en 2001, relancé en 2013 en tant que service public dédié aux phénomènes aériens anormaux. Ses activités comprennent la réception des rapports, la facilitation des analyses d'experts et la publication de communiqués sur les cas notables. Le caractère intermittent du bureau reflète la tendance régionale plus large : l'intérêt du public fluctue et la marge de manœuvre institutionnelle est périodiquement réaffectée. Cependant, les préoccupations en matière de sécurité aérienne maintiennent un niveau minimal d'infrastructure de signalement.

Espagne : Déclassification systématique des dossiers historiques

Le ministère espagnol de la Défense a supervisé la déclassification des dossiers de l'armée de l'air des années 1960 aux années 1990 et les a rendus publics par les canaux officiels dans les années 1990. Ces dossiers comprennent généralement des déclarations de témoins, des journaux de vol et radar, des données météorologiques et des notes de classement interne. Le modèle de publication – une publication centralisée des cas historiques plutôt qu'une unité d'enquête permanente – s'est avéré précieux pour les historiens et les analystes de l'aviation qui étudient les typologies d'incidents et les schémas d'identification erronée.

Nouvelle-Zélande : Publication nationale en vertu de la loi sur l'information officielle

En 2010, les forces de défense néo-zélandaises ont publié des dossiers expurgés couvrant la période 1952-2009, suite à des demandes formulées en vertu de la loi sur l'information officielle. Ces documents regroupaient des rapports de militaires, de pilotes civils et du public, ainsi que des notes internes. Cette publication a complété les fonds d'archives australiens et a permis de compléter les dossiers de l'hémisphère sud, qui reflétaient les schémas observés en Europe et en Amérique du Nord.

Australie : Fonds d'archives et posture contemporaine de « business as usual »

La Royal Australian Air Force australienne a accumulé des dossiers couvrant la période 1940-1990, dont une grande partie se trouve aux Archives nationales. Ces dernières années, le ministère de la Défense a déclaré ne pas maintenir de programme PAN de type américain ni de protocoles dédiés au-delà des procédures standard de sécurité aérienne et de défense aérienne. Cette position considère les PAN comme un aspect de la surveillance opérationnelle de routine plutôt que comme un domaine de recherche distinct nécessitant un bureau dédié.

Union soviétique/Russie : Cellules scientifiques et de défense coordonnées

À la fin des années 1970 et dans les années 1980, l'Union soviétique aurait mené des efforts de recherche coordonnés – communément appelés Setka AN (Académie des sciences) et Setka MO (Ministère de la défense) – pour collecter et analyser des observations inhabituelles pertinentes pour la défense. Bien que les archives conservées soient plus fragmentées que les archives occidentales, les rétrospectives publiées indiquent un système intégrant instituts scientifiques et unités militaires pour trier les rapports, enquêter sur les événements sur les champs d'essai et cataloguer les incidents naturels ou techniques. Sources de perception erronée.

Nations Unies : Encouragement non contraignant plutôt que gestion

En 1977 et 1978, l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté des décisions invitant les États membres à partager avec le Secrétaire général leurs recherches sur la vie extraterrestre et les observations anormales. Ces décisions n’ont pas donné naissance à une agence ni à un programme permanent. Elles servent principalement de marqueurs historiques de l’intérêt international et constituent les premiers appels à une coordination volontaire.

Thèmes transversaux dans les approches officielles

La sécurité nationale et la sûreté aérienne comme principaux moteurs. Dans tous les pays, la justification dominante a été la réduction des risques : s’assurer que les observations non identifiées ne constituent ni des plateformes adverses ni des dangers pour l’aviation militaire et civile. Ceci explique la prévalence des sponsors de la défense ou de l’aviation civile et le recours aux données radar, aux débriefings des pilotes et aux enregistrements du trafic aérien.

Normalisation et rigueur des données. Là où des bureaux ont perduré, comme le GEIPAN en France et le SEFAA au Chili, la rigueur des processus est essentielle. Ces organisations publient des procédures d'admission, appliquent des taxonomies structurées pour le traitement des dossiers et consultent des spécialistes en météorologie, astronomie et ingénierie aérospatiale. Aux États-Unis, le mandat moderne de l'AARO met également l'accent sur l'admission commune, les normes de métadonnées et la caractérisation des capteurs.

Transparence grâce à la publication d'archives. Un deuxième thème majeur est la transparence rétrospective. Le Royaume-Uni, l'Espagne, la Nouvelle-Zélande, l'Australie, le Canada et les États-Unis ont tous élargi l'accès public aux dossiers historiques. Ces publications permettent des analyses indépendantes, révèlent comment les gouvernements triaient les rapports publics et documentent les limites des capteurs et des procédures de l'époque de la Guerre froide.

De « OVNI » à « PAN ». Le changement de terminologie est plus qu'esthétique. « PAN » vise à réduire la stigmatisation des pilotes et des contrôleurs, à couvrir un ensemble plus large d'anomalies transmises par les capteurs (y compris les domaines spatial et maritime) et à concentrer l'analyse sur des questions de sécurité et de renseignement exploitables. L'acronyme moderne harmonise également les rapports entre les forces armées alliées et les organismes d'aviation civile.

Méthodologies utilisées par les programmes officiels

Admission et tri des dossiers. La plupart des programmes acheminent les rapports par l'intermédiaire de bureaux centralisés ou de bureaux de sécurité. Les formulaires de réception enregistrent l'heure, le lieu, les rôles des observateurs, les plans de vol, la météo et les informations des capteurs. Nombre d'entre eux sollicitent également la corroboration des radars ou d'autres instruments afin de prioriser les cas pour un examen plus approfondi.

Corrélation avec les données environnementales et de trafic. Les analystes croisent les rapports avec les événements astronomiques, les passages de satellites, les rentrées dans l'atmosphère, les phénomènes atmosphériques et les activités d'entraînement connues. Le cas échéant, ils intègrent les traces radar, les enregistrements ADS B et les signatures électro-optiques.

Classification et traitement. Les programmes classent généralement les résultats par catégories : identifiés (naturels ou d'origine humaine), informations insuffisantes et inexpliqués. La proportion de cas inexpliqués est sensible à la qualité des rapports ; l'amélioration des données des capteurs et des outils d'investigation tend à réduire cette proportion au fil du temps.

Publication et retour d'information. Les organismes d'information civile tels que le GEIPAN publient des résumés de cas et des supports pédagogiques destinés aux témoins, aux pilotes et au public. Les programmes d'information de la défense publient moins fréquemment, mais peuvent publier des compilations historiques ou des aperçus statistiques, comme le montrent les rapports de l'ODNI et de l'AARO américains. Ce que les documents déclassifiés offrent – ​​et ce qu'ils n'offrent pas

Les dossiers déclassifiés fournissent des informations primaires précieuses : déclarations de témoins originales, journaux de bord, cartes météorologiques et notes d'enquête. Ils révèlent également le raisonnement institutionnel : pourquoi certaines affaires ont été prioritaires, comment les seuils de qualité ont été fixés et où les capacités d'enquête étaient limitées. Parallèlement, les publications d'archives ne visent pas à prouver ou à infirmer des hypothèses extraordinaires ; elles documentent la manière dont les gouvernements ont géré les rapports avec les outils et les missions dont ils disposaient. Les lacunes de couverture, les suppressions pour des raisons de confidentialité ou de sécurité nationale, et la qualité inégale des données sont fréquentes. Pour les chercheurs, l'utilisation la plus productive de ces dossiers est comparative : tester comment différents environnements, combinaisons de capteurs et doctrines opérationnelles façonnent les tendances des anomalies signalées.

Le paysage contemporain et les trajectoires probables

Le cadre interinstitutionnel américain moderne, associé à l'intérêt des alliés pour des rapports standardisés, suggère une approche plus intégrée pour l'avenir. Les domaines prioritaires comprennent :
  •  Intégration de la sécurité aérienne. L'acheminement des signalements de PAN via les systèmes de sécurité existants favorise une résolution rapide des conflits avec le trafic aérien, une collecte de données plus complète et une atténuation plus rapide des risques lorsque des objets présentent des risques de collision ou interfèrent avec les opérations.
  • Analyse forensique des capteurs. De meilleures données d'étalonnage, des métadonnées de capteurs et la fusion inter-domaines (aérien, spatial, maritime) améliorent la distinction entre les sources banales et les signatures véritablement anormales. Cela permet de réduire le bruit tout en concentrant l'attention sur les cas à conséquences graves. 
  • Archives ouvertes et facilité d'utilisation des données. La numérisation continue et la structuration des métadonnées permettront de créer des données historiques.
    Les fichiers OVNI/PAN sont plus faciles à analyser à grande échelle. Cela permet des études statistiques plus rigoureuses et une réplication indépendante.
  • Coordination internationale. Si des programmes officiels des Nations Unies sont peu probables, une harmonisation volontaire entre les agences de défense et d'aviation civile est envisageable. Le partage de taxonomies, de codes d'incident et d'alertes de sécurité pourrait apporter des avantages pratiques sans créer de nouvelles bureaucraties internationales.
  • Analyse forensique des capteurs. De meilleures données d'étalonnage, des métadonnées de capteurs et la fusion inter-domaines (aérien, spatial, maritime) améliorent la distinction entre les sources banales et les signatures véritablement anormales. Cela permet de réduire le bruit tout en concentrant l'attention sur les cas à conséquences graves.
  • Archives ouvertes et facilité d'utilisation des données. La numérisation continue et la structuration des métadonnées permettront de créer des données historiques.
  • Les fichiers OVNI/PAN sont plus faciles à analyser à grande échelle. Cela permet des études statistiques plus rigoureuses et une réplication indépendante.
  • Coordination internationale. Si des programmes officiels des Nations Unies sont peu probables, une harmonisation volontaire entre les agences de défense et d'aviation civile est envisageable. Le partage de taxonomies, de codes d'incident et d'alertes de sécurité pourrait apporter des avantages pratiques sans créer de nouvelles bureaucraties internationales.
Résumé

Les enquêtes officielles sur les OVNI/PAN suivent une logique claire : protéger la sécurité nationale et aérienne, sécuriser les opérations aériennes et recueillir suffisamment d'informations sur les signalements anormaux pour y accorder une attention proportionnelle. Les approches varient : programmes militaires aux États-Unis et en Union soviétique, gestion de l'espace civil en France, bureaux de sécurité aérienne au Chili, diffusion d'archives en Europe et en Océanie, mais le centre de gravité reste le même : reporting rigoureux, recoupement avec les données environnementales et de trafic, et transparence progressive grâce à la déclassification.