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vendredi 20 juin 2025

AU DANMARK ON OUVRE LES ARCHIVES SUR LES OVNIs

 Les archives gouvernementales Danoises révèlent des rencontres avec des ovnis nordiques

Auteur : Cristina Gomez

10 janvier 2025


Source : https://www.ufonews.co/post/government-archives-reveal-nordic-ufo-encounters

Les archives gouvernementales des régions nordiques documentent des décennies de rencontres avec des OVNI qui ont mis au défi les experts de l'aviation et les enquêteurs gouvernementaux dans toute l'Europe du Nord.

Les régions nordiques sont devenues l'une des zones les plus importantes au monde en matière d'observations d'OVNI et de phénomènes aériens inexpliqués. Des archives militaires déclassifiées du Danemark aux aurores boréales de Hessdalen, surveillées scientifiquement en Norvège, ces nations nordiques ont accumulé des décennies de rencontres documentées qui continuent de remettre en question notre compréhension de ce qui peuple notre ciel. Grâce aux archives militaires, aux rapports de police et aux enquêtes scientifiques, un schéma convaincant d'activités inhabituelles a fait des pays nordiques un pôle crucial de la recherche sur les ovnis.

Les fondements historiques des observations d'OVNI nordiques sont profondément ancrés dans le patrimoine culturel de la région. D'anciennes sagas nordiques et des manuscrits médiévaux contiennent des récits fascinants de « vaisseaux célestes » et de mystérieux phénomènes aériens. Au XIIIe siècle, des observateurs ont signalé des objets métalliques scintillants traversant les fjords norvégiens, descriptions qui semblent transcender les simples erreurs d'identification de phénomènes naturels comme les aurores boréales.

Des OVNI au-dessus du Danemark et des archives gouvernementales publiées

Les récents développements, notamment au Danemark, ont suscité un regain d’attention sur cet aspect fascinant du ciel d’Europe du Nord.

Les autorités danoises et le service de renseignement intérieur danois (PET) ont ouvert une enquête sur plusieurs observations d'OVNI près de Køge, près de Copenhague, où une vingtaine d'objets non identifiés ont été signalés le 3 janvier 2024. L'incident a particulièrement attiré l'attention, le PET ayant confirmé qu'aucun permis de drone n'avait été délivré pour la zone lors des observations. Lire l'article ici .

Il est intéressant de noter que l'armée de l'air danoise a fait la une des journaux en 2009 en publiant 329 pages d' archives d'OVNI précédemment classifiées , contenant plus de 200 cas non résolus documentés entre 1978 et 2002.


1 page des archives danoises sur les ovnis

CLIQUER SUR LES IMAGES POUR AGRANDIR

Incident de Vallentuna, Suède

Parmi les cas modernes les plus convaincants figure l' incident de Vallentuna, survenu en 1974 en Suède, qui a suscité une attention particulière de la part des forces de l'ordre. Sur une période très courte, la police a recueilli soixante-seize rapports détaillés de trente et un témoins crédibles, décrivant tous des observations remarquablement similaires : un objet ovale ou ovoïde doté de trois lumières distinctes. La cohérence de ces récits, conjuguée au professionnalisme de nombreux témoins, a incité le commandant en chef Stig Synnergren à lancer l'opération S, impliquant les forces de défense nationale et l'Institut national de recherche sur la défense dans une enquête approfondie sur la zone.

Coupure de presse Suède

L'affaire Vallentuna se distingue par les preuves matérielles découvertes au cours de l'enquête. Les équipes de recherche, vêtues de vêtements de protection, ont prélevé des échantillons d'herbe et de terre brûlées sur le site d'atterrissage signalé, où elles ont découvert trois marques distinctives en forme de coin dans le sol, rappelant les traces physiques rapportées à Rendlesham. Plus intriguant encore, la documentation officielle a révélé que des observations similaires avaient été signalées dans la région trois semaines avant l'incident principal, à environ huit kilomètres de Vallentuna.

La CIA en Suède

En 1959, la CIA s'est particulièrement intéressée à une série d'observations d'OVNI au-dessus de Stockholm, en Suède, démontrant l'importance mondiale des phénomènes aériens nordiques pendant la Guerre froide. L'implication de l'agence était remarquable non seulement par sa portée internationale, mais aussi parce qu'elle intervenait à une époque où la CIA minimisait officiellement l'intérêt du public pour les OVNI aux États-Unis. Leur enquête en Suède visait à éliminer d'éventuelles activités de surveillance soviétiques, mais, comme de nombreux cas similaires de cette période, leurs conclusions sont restées classifiées pendant des décennies et la véritable nature des objets n'a jamais été révélée publiquement.

Le rapport publié en 2010 indique : Soucoupes volantes aperçues au-dessus de la Suède « Huit personnes ont vu une soucoupe volante », Stockholm, Stockholmy-Tidningen, 20 janvier 1959, page 1 Pas moins de huit personnes fiables ont récemment observé une « soucoupe volante » au-dessus de Stigsjoe, près de Haernoesand (province de Västernorrland). L'objet s'est approché lentement des observateurs depuis le sud au-dessus du lac Langsjoen, à une hauteur d'environ 300 mètres. L'objet était rond, de 6 à 8 mètres de diamètre, et entouré d'un anneau lumineux d'environ deux mètres de diamètre. La face inférieure de l'objet émettait une lumière jaune rougeâtre. Elle était visible pendant environ trois minutes. L'incident a été signalé aux autorités militaires.

Archives de la CIA –

Incident du Soesterberg, Pays-Bas

L' incident de Soesterberg, survenu le 25 mars 1972, est l'une des rencontres d'OVNI les plus marquantes des Pays-Bas. John Brunier, un résident néerlandais, a été témoin, tôt le matin, d'une rencontre avec un engin non identifié et son occupant. Réveillé par un bourdonnement et une lumière vive à 4 h 30, Brunier a été témoin d'une série de phénomènes inhabituels : un étrange brouillard, sa voiture inexplicablement chaude au milieu de véhicules couverts de givre, et une chaîne mystérieusement brisée. L'incident a culminé avec l'observation d'un grand engin ovale d'environ 30 mètres de diamètre et 3 mètres de haut, contenant ce qui semblait être une entité humanoïde vêtue d'une combinaison métallique et équipée d'un appareil respiratoire.

Bien que Brunier ait publiquement déclaré l'incident comme un canular en 1976, sa famille a révélé plus tard qu'il avait maintenu l'authenticité de la rencontre en privé, la niant uniquement pour protéger sa réputation professionnelle et échapper à toute attention indésirable. L'enquête du Centre néerlandais des ovnis, quelques semaines après l'incident, a permis de découvrir des preuves matérielles, notamment une chaîne brisée et de la limaille de fer sur le site. Malgré son caractère controversé et la proximité d'installations militaires, la véritable explication de l'incident de Soesterberg reste non élucidée, ce qui alimente les spéculations persistantes sur l'activité ovni dans la région dans les années 1970.

Projet Blue Book : enquête sur les Pays-Bas

Selon les archives du Projet Blue Book, les enquêteurs de l'US Air Force ont documenté au moins deux cas significatifs d'OVNI aux Pays-Bas dans les années 1950. Un cas notable, datant de 1952, comportait des preuves photographiques, bien que, curieusement, les dossiers contenaient peu d'informations descriptives. Un cas plus détaillé, datant de 1954, décrivait deux objets aux capacités extraordinaires : se déplaçant à des vitesses incroyables tout en démontrant la capacité de rester complètement immobiles pendant trente secondes.

Archives du projet Blue Book

Lumières de Hessdalen, Norvège

Les aurores boréales de Hessdalen, en Norvège, sont peut-être l'un des phénomènes les mieux documentés scientifiquement dans la région. Depuis les années 1930, ces phénomènes lumineux inexpliqués sont régulièrement observés sur une bande de 11 kilomètres de la vallée de Hessdalen. Ce cas est unique grâce aux recherches scientifiques menées pour comprendre ces phénomènes. Les équipes de recherche utilisent des équipements de surveillance sophistiqués tout au long de l'année, mais la nature de ces aurores boréales reste un mystère malgré des décennies d'investigation. Visionnez l'interview de l'équipe du projet Hessdalen ici .

Incident de Pori, Finlande

L'incident de Pori en 1969 est le seul cas d'OVNI officiellement reconnu et étudié par l'armée de l'air finlandaise, marquant ainsi un événement marquant dans l'histoire nordique des OVNI. Le 12 avril 1969, l'incident débuta lorsque sept objets jaunes, en forme de disque ou sphériques, furent repérés en vol stationnaire au-dessus de l'aéroport de Pori. Le pilote Tarmo Tukeva, à bord de son Fouga Magister, mena une enquête. L'observation fut particulièrement remarquable : l'officier Jouko Kuronen, qui avait entendu des communications radio concernant les objets, prit également l'avion pour enquêter, fournissant ainsi un second observateur expérimenté du phénomène.

Ce qui distingue ce cas des rapports d'OVNI classiques réside dans les multiples formes de vérification impliquées : confirmation visuelle par les deux pilotes militaires, détection sur le radar privé de Kuronen et suivi par les systèmes de contrôle au sol. Les objets ont démontré des capacités extraordinaires défiant les limites des avions conventionnels : lorsqu'ils ont finalement bougé, ils ont accéléré à des vitesses telles que l'avion de Tukeva, volant à environ 700 km/h, semblait stationnaire en comparaison. Plus remarquable encore, le contrôle au sol a confirmé la présence des objets au-dessus de Vaasa, à 177 km de là, presque immédiatement après leur départ de l'aéroport de Pori, suggérant une vitesse bien supérieure à celle de tout avion connu à l'époque. La documentation de l'incident par la radiotélévision publique finlandaise, Yle, et son statut toujours inexpliqué en ont fait un cas phare de la recherche finlandaise sur les ovnis.

Rencontres nordiques avec des OVNI

Les régions nordiques constituent un centre crucial pour la recherche sur les ovnis, offrant des cas parmi les plus remarquables et les mieux documentés. De la publication transparente de dossiers militaires par le Danemark à l'incident de Pori en Finlande, en passant par l'affaire de Vallentuna en Suède et le phénomène actuel des lumières de Hessdalen en Norvège, ces rencontres se distinguent par la multiplicité des témoins fiables, des enquêtes officielles et souvent des preuves physiques ou radar concrètes. Les récentes observations au Danemark en 2024 démontrent que ce phénomène continue de remettre en question notre compréhension, faisant des pays nordiques un point de mire permanent dans la quête de compréhension de ces mystérieuses rencontres aériennes.

Cristina Gomez

AU

mardi 17 juin 2025

Ovni : Un enquêteur du Geipan – Gilles Munsch - vous explique ce que vous pouvez voir dans le ciel

 

Ovni : Un enquêteur du Geipan – Gilles Munsch - vous explique ce que vous pouvez voir dans le ciel

Émilie Jehanno

Publié le 02/07/2023

Source : https://www.20minutes.fr/societe/4043685-20230702-ovni-enqueteur-geipan-explique-pouvez-voir-ciel

 

Une lueur dans le ciel, un objet volant étrange ? Sur les réseaux sociaux, une vidéo peut vite faire le tour et être associée à des extraterrestres, comme “cet objet volant” vu au-dessus d’une ville du Mexique, le 25 juin. Il existe en France un service très sérieux qui se charge d’enquêter sur ces phénomènes aérospatiaux non identifiés (PAN). Pour la journée mondiale des ovnis, le 2 juillet, 20 Minutes vous raconte comment travaillent les enquêteurs du Groupe d’études et d’informations sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés (Geipan). Et vous dévoile les principales explications de ces phénomènes étranges.

Passionné d’astronomie, Gilles Munsch est tombé dans la marmite de l’ufologie il y a quarante-cinq ans. Aujourd’hui, à 68 ans, l’ingénieur de formation, enseignant à la retraite, est enquêteur bénévole pour le Geipan depuis 2007. Ce service du Centre national d’études spatiales (Cnes), mis en lumière dans la série Ovni(s) en 2021, fonctionne avec quatre temps pleins et une équipe d’une vingtaine d’enquêteurs bénévoles. Entre 600 et 700 sollicitations sont reçues chaque année. Pour une centaine, une enquête est ouverte.

Dossiers classés « D »

C’est alors qu’entre en scène Gilles Munsch ou un autre enquêteur, missionné par le Geipan. Ils peuvent aller aux quatre coins de la France pour essayer de trouver une explication à un phénomène observé. Une première enquête avec une analyse à distance est menée, à partir de sources disponibles en ligne.

Il s’agit de procéder avec méthodologie, en se basant sur les connaissances scientifiques actuelles et les phénomènes aérospatiaux connus. Les enquêteurs peuvent s’appuyer sur un collège d’experts et des interlocuteurs externes comme la gendarmerie nationale, l’armée de l’air, l’aviation civile, la Marine, Météo-France ou la communauté scientifique (CNRS, CEA, etc.). Au final, environ 3,5 % des dossiers ne trouvent pas d’éclaircissement et sont classés « D », cas encore ouvert après enquête.

« Ne pas reconnaître la Lune »

Une des principales sources d’explication, ce sont tout simplement les phénomènes astronomiques. « Ça peut paraître surprenant, mais les gens peuvent, en toute bonne foi, ne pas reconnaître la Lune, souligne Gilles Munsch, notamment quand ils sont dans un véhicule et qu’ils roulent », par exemple. Cela se produit aussi avec Vénus ou d’autres astres, planètes, étoiles, météores, comètes.

Comment les enquêteurs savent-ils qu’un témoin a vu Vénus ? « Pour l’astronomie, c’est presque le plus facile, explique Gilles Munsch, qui se souvient d’une époque où les calculs étaient effectués à la main. Maintenant, on a des logiciels d’astronomie qui nous permettent d’avoir des cartes du ciel, de trouver en quelques minutes la position des astres, n’importe quelle planète, étoile ou objet céleste. »

Et même des satellites, car beaucoup peuvent, en effet, créer des méprises, notamment les Starlink d’Elon Musk. Ces informations sont enregistrées par les agences spatiales, les radars. « Si le témoignage est suffisamment précis, avec une heure, des directions d’observation, la localisation du témoin, on ne met pas très longtemps à trouver la solution », assure l’enquêteur bénévole.

Cartes radars de l’armée de l’air

De nombreux phénomènes sont aussi aéronautiques, ce sont des engins qui volent, comme les avions civils ou militaires qui manœuvrent à basse altitude, des ULM, des montgolfières, des ballons à gaz, des ballons fantaisie, etc. « Ils se baladent dans l’air de façon plus ou moins contrôlée, plus ou moins officielle et ne sont pas forcément répertoriés », pointe Gilles Munsch. Là, les enquêteurs peuvent consulter Fly Radar pour essayer de retrouver la trajectoire d’un avion civil ou font appel à l’armée de l’air pour avoir accès aux cartes radars.

Et enfin, il y a des méprises avec des véhicules ou objets terrestres qui émettent une lumière puissante la nuit. Au rang des coupables : moissonneuses-batteuses dans un champ, voitures, camions, grues, projecteurs de boîtes de nuit, etc. « On essaie de voir tout ce que l’activité humaine a pu engendrer comme activité autour du témoin, » détaille-t-il. Cette activité peut être inhabituelle, mais les conditions météo peuvent jouer un rôle aussi dans ce qui a été observé. Les outils Géoportail ou Google Maps permettent de repérer ce qu’il y a dans l’environnement du témoin (industries, terrains sportifs ou d’aviation, champs d’exercice).

Un nouveau phénomène

En 2022, le Geipan a ajouté un nouveau phénomène à sa liste : la vision entoptique. Dans de rares cas, ce que le témoin perçoit comme faisant partie de la scène observée est en réalité des éléments internes de son œil, qui se superpose à la scène réelle. C’est Gilles Munsch qui a éludé ce mystère.

En août 2022, une artiste de la région parisienne signale un étrange phénomène au Geipan : à travers les jumelles qu'elle a hérité de son père, elle observe régulièrement des lumières bizarres dans le ciel. Elle en a rempli des carnets de dessin. Mais l’enquêteur en charge de son dossier ne parvient pas à trouver d’explication. C’est au cours d’une réunion avec ses collègues que Gilles Munsch rapproche ce cas d’un autre qu’il avait identifié en 1995, avant de rejoindre le Geipan.

« Le cerveau observe bien quelque chose de réel »

Deux enquêteurs sont retournés chez l’artiste un soir pour regarder avec elle ce qu’elle voyait. Ce qui a permis de confirmer l’hypothèse de Gilles Munsch de la vision entoptique. Le phénomène a été étudié à la fin du XIXᵉ siècle par des chercheurs en physiologie de l’œil, mais il reste peu connu.

Autre dessin d'observation d'un phénomène de vision entoptique. - Geipan/Anne de Giry

« Ce n’est pas une illusion d’optique, souligne Gilles Munsch. Le cerveau observe bien quelque chose de réel, mais qui se trouve dans les yeux. » Comment ça se produit ? Tous les cas en ufologie jusqu’à présent s’expliquent par des jumelles ou une lunette astronomique mal réglée. « L’instrument étant défocalisé, au lieu d’avoir des rayons qui arrivent parallèles à la direction d’observation, ces rayons lumineux vont partir dans toutes les directions et vont éclairer l’œil de façon divergente, détaille-t-il. C’est là que le phénomène se produit, on va pouvoir observer des ombres de différents éléments qui se trouvent dans l’œil », comme des défauts de la rétine, du cristallin, des corps flottants dans le vitré, etc.

Sur l’image observée, un faisceau d’ombre va apparaître que le cerveau n’est pas capable d’éliminer parce qu’il est surpris. Et ce faisceau va se superposer à la scène observée. C’est pour résoudre ces mystères scientifiques que Gilles Munsch se passionne pour l’ufologie, « sans idéologie ou idée préconçue sur ce que peut être un cas ». Fera-t-il un jour une rencontre du troisième type ? « Je n’ai jamais vu d’extraterrestres et je pense, je suis même certain, que je quitterai ce monde sans en avoir vu », s’amuse-t-il.

Émilie Jehanno

 

QUI EST EMILIE JEHANNO

Diplômée du Cuej à Strasbourg en 2013, j'ai été éditrice ou rédactrice pour divers médias (« Guyaweb », « Causette », « Reporterre », etc.). J’ai rejoint «20 Minutes » en 2020, d’abord à l’édition, puis, en 2022, à la rubrique Fake Off. Je suis spécialisée sur les enjeux de désinformation et d'écologie.
Son parcourt – Formation
 Université Paris-Saclay - Université Paris-Saclay
Master 2 (M2), Climat et médias Master 2 (M2), Climat et médias oct. 2023 - sept. 2024 oct. 2023 - sept. 2024
 Centre universitaire d'enseignement du journalisme – Cuej - Centre universitaire d'enseignement du journalisme
Master 2 Journalisme, presse écrite et multimédia Master 2 Journalisme, presse écrite et multimédia 2011 – 2013 2011 – 2013
- Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne - Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Master 2, Histoire des sociétés occidentales contemporaines - Master 2, Histoire des sociétés occidentales contemporaines 2010 – 2011 2010 – 2011
- Université libre de Bruxelles Université libre de Bruxelles
Master 1 (M1), Histoire contemporaine